Fardall revint quelques heures plus tard avec sa fille, galopant tous les deux et s’amusant follement comme un père et sa fille qui n’ont pas passé suffisamment de temps ensemble.
Ils rapportèrent tous les deux leurs chevaux à l’écurie et entrèrent dans le palais. Un drapeau blanc flottait à l’entrée.
Hadawen les attendait sur le pas des portes et leur sourit.
- Ma fille ! Je suis heureuse de te voir si joyeuse. Ton père et toi vous êtes si beaux ensemble. Au fait mon chéri, ton cousin t’attend dans le palais. Je lui ai permis de s’installer avec deux de ses amis, un duc et sa femme semble-t-il. Ils sont dans le grand salon.
[i]Le souverain donna un baiser sur la joue de sa fille, embrassa sa femme et partit s’occuper de ses invités. Il trouva Sirias qui l’attendait avec un simonet à la main dans le grand salon et les deux autres compagnons plus loin s’émerveillaient en regardant les portraits des Empereurs et Impératrices dans le couloir.
- Mon cher cousin ! Ainsi vous êtes venu me voir ? Comment allez-vous ? J’ai entendu dire que vous avez fait du joli travail au Sénat, complimenta-t-il.
Ils rapportèrent tous les deux leurs chevaux à l’écurie et entrèrent dans le palais. Un drapeau blanc flottait à l’entrée.
Hadawen les attendait sur le pas des portes et leur sourit.
- Ma fille ! Je suis heureuse de te voir si joyeuse. Ton père et toi vous êtes si beaux ensemble. Au fait mon chéri, ton cousin t’attend dans le palais. Je lui ai permis de s’installer avec deux de ses amis, un duc et sa femme semble-t-il. Ils sont dans le grand salon.
[i]Le souverain donna un baiser sur la joue de sa fille, embrassa sa femme et partit s’occuper de ses invités. Il trouva Sirias qui l’attendait avec un simonet à la main dans le grand salon et les deux autres compagnons plus loin s’émerveillaient en regardant les portraits des Empereurs et Impératrices dans le couloir.
- Mon cher cousin ! Ainsi vous êtes venu me voir ? Comment allez-vous ? J’ai entendu dire que vous avez fait du joli travail au Sénat, complimenta-t-il.