Cela faisait quelques jours que l’ost Inquisitorial avait quitté la Citée Impériale. Il ne restait plus qu’un jour de marche pour atteindre la frontière Vénopolienne et à partir de se moment précis beaucoup de choses allait changer. Cela était inévitable, le Maître Inquisiteur ne s’était pas déplacé, lui et les régiments qu’il l’accompagnais, pour rien et la diplomatie ne serait pas de vigueur. Arzhùl chevauchait en tête, avec ses officiers.

Capitaines. Nous devrons frapper fort et rapidement, mettre à bas tout ce qu’y se dressera contre la Sainte Inquisition et Kanderak.
Les différents capitaines présents approuvèrent.
Samothrace va sûrement nous opposer une certaine résistance. Nous nous devons de mâter leurs guérillas le plus vite possible. Il faudra leur miner le moral et faire des exemples en place publique pour bien faire comprendre à la populace qu’on ne s’oppose pas à la Sainte Inquisition, surtout si c’est le Grand Maître de l’Ordre qui en est à la tête !
Ai-je été bien clair soldats ?

Les officiers approuvèrent une nouvelle foi. Certains se réjouissaient d’avance d’occire de l’hérétique. D’autres, eux, n’était pas spécialement fan de ce genre d’agissement, mais l’Inquisition avait sa manière de faire bien à elle, et si on ne si faisait pas, il fallait s’en accommodé, car la Sainte Inquisition n’allait pas changer, surtout pas en cette période de renaissance.

Et le voyage continua dans la tranquillité, enfin...

Plus tard, Arzhùl écrivit et envoya une missive au convoie en stationné en Mésolongion.