L’Antre de la Mort.

Sujet: L’Antre de la Mort. Mer 19 Nov 2008 - 8:24

Au coeur de la Forteresse de Mende,
cette ville au passé tumultueux,
se trouve L’Antre de la Mort.

Une Taverne réputé pour sa boisson forte,
ses mercenaires armés jusqu’aux dents qui formaient la garde de l’établissement
et spécialement pour les étranges disparition des riches marchands.

Venez vous y divertir, prendre à boire, vous informez ou tout autre chose qui vous plaira.

Seul exigence, respecter le tenancier et payer votre dû.

Sujet: Re: L’Antre de la Mort. Mer 21 Jan 2009 - 17:13

->>
La Forteresse de Mende...
Monté sur son étalon noir, le Lord était en vue de la Forteresse dont on lui avait parlé.

Celle-ci, lugubre, avait un petit air inquiétant que le Lord connaissait bien.
Mais l'imposante bâtisse ferait bien pâle figure face à Castlevania, joyau en la matière.
Qu'importe, il était là pour affaire, et non pour des critiques.

Guidant sa monture à travers la ville médiévale, l'Antre lui apparu en plein centre.
Il noua les lanières du cuir à un pilier de bois soutenant le frontispice de l'endroit, puis s'engouffra dans la taverne.

Aussitôt, sa présence se ressenti.
Il y avait là de nombreux mercenaires. D'eux il n'y aurait rien à craindre tant qu'aucun contrat ne serait passé.
Mais il y avait aussi des habitués, corpulent et sales, dont le sourire sans toute ses dents ne présageait pas à de fortes gentillesses venant de leur part.
En son for intérieur, le Lord espérait que son interlocuteur ne l'avait pas trompé.
Tous s'étaient tu. Certains à cause de l'insultante richesse dont témoignait les habits du Comte, d'autres parce qu'ils avaient bien perçues les ondes puissantes et maléfiques émanant du personnage.
Quoiqu'il en soit, dans ce genre de situation, s'allait plutôt être le tenancier qui trouverait le Lord, et non l'inverse comme il l'aurait voulu... <<-

Sujet: Re: L’Antre de la Mort. Ven 23 Jan 2009 - 6:28

Je venais d'en terminer avec ma nouvelle recrue qui était aussitôt parti accomplir les ordres que je lui ai donné. Je m'étais dirigé au comptoir de mon établissement afin d'y voir si tout se passait bien. En entrant dans la pièce, je remarqua un Comte, richement vêtu, debout non loin de la porte d'entrée.

Il ne pouvait que s'agir du visiteur dont j'attendais la venue depuis quelques temps déjà. J'aurai ainsi l'occasion de parler affaires plutôt que d'entendre des soûlons grincheux se lamenter. Je m'avança vers le Vampire.

Bonsoir messire, le Comte de Firrhya de présume ? Vous arrivez à point, je m'apprêtait à envoyer un serviteur vérifier que mon messager ne c'était pas endormi en chemin ou si il avait trouvé la mort pour quelconque raison. Prenons place à cette table là-bas pour discuter, personne ne nous y dérangera ou du moins, celui qui le fera risque de se rappeler longtemps de sa bêtise.

Je pointai la table de la main, attendant que mon visiteurs si dirige.

Sujet: Re: L’Antre de la Mort. Ven 23 Jan 2009 - 20:38

->> Un Homme vint accoster le Lord. Il portait un ensemble digne des grands sorciers. Pour autant, les natures maléfiques émanant du personnage n'avaient rien à voir avec quelconque sorcellerie.

L'homme lui désignait une table. Le Lord précéda donc son hôte pour s'asseoir sur les chaises de cuir, matériau rare de ce temps, importé d'autres mondes. Elles n'avaient rien d'inconfortable.
Une fois assis en face de son hôte, le Comte prit enfin la parole.

Vous supposez bien. Je suis bien celui que vous attendiez.

Ne vous tourmentez point, pour un messager.
J'ai eu vent du premier, c'est tout ce qui importait finalement. J'espère que le mien est parvenu à sa destination, sans quoi vous auriez pu vous impatienter.
En fait, le trajet m'a pris de nombreuses journées et nuits de route. Je n'aurais pas pensé faire tel voyage si rapidement.

L'hôte lui avait fait bonne impression. « Prenons place à cette table là-bas pour discuter, personne ne nous y dérangera ou du moins, celui qui le fera risque de se rappeler longtemps de sa bêtise. » Voilà qui partait sur de bonnes bases.

Puisque vous êtes l'hôte, il est de courtoisie de vous laisser poser vos questions d'abord. Si vous n'en avez point, alors je vous poserai les miennes <<-

Sujet: Re: L’Antre de la Mort. Sam 24 Jan 2009 - 16:44

Lord, votre courtoisie est tout aussi respectable que la mienne. Je ne me tourmente pas pour un messager, mais lorsque l'un d'eux n'effectuent pas leur travail, le châtiment les attends. J'ai horreur des fainéants.

Tout en faisant signe à mon tavernier, je continua

Puis-je vous offrir consommation ou repas après cette longue route ?

Le serviteur m'apporta mon verre habituel puis attendit la réponse du Comte.

Et bien, je vous avais fait part d'une offre afin que vous rejoigniez les rangs de ma Compagnie. Cet empire est trop calme et je m'amuse à y faire régner le Chaos. J'irais droit au but, je veux vous voir parmi nous, votre prestance saura en imposer à ce peuple si faible et votre puissance est grandissante. Quel serait pour vous le meilleur terrain d'entente pour que nous scellions notre alliance ?

Sujet: Re: L’Antre de la Mort. Jeu 29 Jan 2009 - 21:57

->> Les choses étaient dites clairement de la part de son interlocuteur... c'était une bonne chose.

Je prendrais bien volontiers un repas assez consistant. J'avoue que le voyage m'a épuisé. Je vous laisse le soin du menu mais sachez tout de même que la nourriture riche me sied bien plus volontiers que les mets ordinaires.

Pour ce qui est de votre demande, je suis d'accord avec vous. Les Vampires ne sont plus cette crainte qu'ils étaient jadis. Ces vulgaires Hommes, nos repas de toujours, se montrent bien insolents envers nous... Il sera plus que temps de leur montrer qui est plus évolué...

Quoiqu'il en soit, pour vous répondre le plus simplement du monde, je vous rejoindrais à la seule condition que je puisse y trouver mon compte. Et cela à tout point de vue.
Voyez-vous, j'aime particulièrement les richesses, les patrimoines antiques très recherchés, les choses rares... Si vous rejoindre me permet d'avoir accès à tout cela, et de me l'approprier, nul doute de ma présence à vos côtés <<-

Sujet: Re: L’Antre de la Mort. Ven 30 Jan 2009 - 18:11

La fortresse était en vue, en contre bas à moins d'une heure de marche, le soleil couchant teinté la cité d'une lueur orange, lui donnant l'aspect d'une cité de bronze. Elle s'arreta un instant pour contempler l'endroit, les tours et les creneaux n'étaient plus frais, temoins d'attaques passées et surement future.

Elle detacha une sangle de cuir de sur son col decouvrant ainsi une cape dont elle dissimula son armure de cuir aux teintes violette ainsi que son sabre. Puis elle reprit le chemin de la forteresse.

Le soleil s'était couché quand elle franchit la lourde porte principale,
les torches donnaient aux rues deja etroites, un sentiment d'etouffement, heureusement elle n'eut pas à chercher longtemps la taverne denomée antre de la mort, c'est ici qu'elle devait rencontrer un certain Mogoth.

Il flottait dans le tripot une forte odeur d'alcool et de sueur, une fumée épaisse tel un brouillard flottait dans la piéce, surement due aux pipes et bougies, certains la regardait avec envie, rare devaient être les jeune fille qui entrait ici.
Deux hommes parlaient dans un coin de la piéce, ils denotaient par rapport au reste des individus presents, elle en conclua qu'il s'agissait de Mogoth. D'un pas sur elle se dirigeat vers eux.

Je suis Shaka, la comtesse Lailah m'a confié la direction de 60 morts vivants, par l'intermediaire d'un regeant de Trasalvia.
J'ai pour ordre de les amener aupres de Vladness pour l'apuyer et vaincre l'ennemi.

La jeune elfe inclina la tête en signe de respect et attendit qu' on lui reponde.

J'eus une brève absence psychique pour régler un petit problème loin d'ici mais je n'avais rien manqué des propos de mon invité. Ainsi, la discussion allait fort bien entre Nosfereatus et moi lorsque nous fûmes dérangé par une drow, envoyé par Lailah de surcroit. Cette traîtresse qui venait de m'envoyer paitre. De manière peu cordiale, je répondis à cette intruse.

Lailah vous envoi me voir mais vous me dites déjà avoir des ordres d'elle. N'est-ce pas des propos très contradictoire ? Et considérant ce que je viens d'entendre, je vous dirai de quitter au plus vite ce lieu pour rejoindre ce Vladness. Je ne tiens pas à salir le plancher encore une fois, ce pauvre tavernier vient seulement d'effacer les traces des derniers soûlons décapité que nous avons eu. De plus, il a un repas digne d'un noble à préparer et cela prend plus que quelques minutes.

Je tourna, suite à ces paroles, mon attention vers Nosfereatus.

Mon ami, pardonnez cette interruption. il semble que l'avenir de cette armada est en péril. Voilà quelques temps nous étions cinq, l'une d'elle n'avait pas encore signé le pacte d'adhésion qu'elle rebroussait chemin. J'avais ensuite envoyé les trois renégats restant dans l'expédition du nord afin d'espionner une cible pour ensuite l'enlever et le retourner en son royaume. Lieu où mes armées effectue sans arrêt pillage et destruction. Les deux hommes sont maintenant mort, celle qui reste se rebelle et semble vouloir ma peau, quelle folle elle fait.

Entre-temps, le tavernier revint avec une coupe bien rempli et une assiette fumante.

Vlà vôt' repas m'sieur, c'est du flan de Leviathan fa'ci et du foie d'Mammouth. Que du frais m'sieur ! Garanti. Pi vôt' verre, ben cé du vin qu'un marchand a emp'unté din cave de l'Emp'reur. Y doi êtes sû'ement bon.

J'espère que cela fera bonheur à votre appétit cher Comte. Concernant le fait d'y trouver votre compte, nul doute que ce sera le cas. Je n'ai que faire des richesses et patrimoines que vous envahirer, je veux seulement le contrôle du territoire. Ce qu'il contient revient à celui qui y affirme mon autorité. Je ne finance aucune armée, ces richesses sont donc votre salaire, à vous de vous enrichir comme vous le souhaitez. Cela vous convient-il ?

Shaka garda son visage impassible, vierge de toutes emotions attendant que le demon finisse son monologue lassant, sans vraiment le regarder elle detaillée son invité, l'homme à sa table.
Il était plutot bel homme, propre sur lui et denoté fortement dans cet endroit crasseu à souhait, elle sentait son sang bouillir dans ses veines, le sang noble d'un vampire, comme Lailah.

Puis lorsque le demon eut enfin finit, elle s'inclina legerement en signe de reconnaissance un sourire narquoi sur son visage.

En posant ses yeux sur le vampire,
vous monterez vite seigneur, votre chef et plus fort pour la parlotte que pour le reste.

Elle s'inclina en signe de respect pour le vampire et tourna les talons pour sortir de cette taniere.
Elle avait les troupes, elle était prete a servir sa maitresse.
Elle deposa une violette dans la chaine de l'enseigne, signe de son passage et repartit

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Le Lord resta imperturbable durant l'échange de politesses réciproque.

Pendant que l'Infernal (les émanations sinistres lui confirmaient cet état) répondait à la jeune femme, il remarqua que celle-ci paraissait plus intéressée par le mirer lui qu'écouter celui qu'elle avait défié.

Avec discrétion et respect, il examina à son tour la nouvelle venue.

Elle semblait apprécier le pourpre et était plutôt jolie femme. D'apparence sure d'elle, elle arborait sous sa parure des plis qui n'avaient rien à voir avec de l'embonpoint, sa taille svelte de l'abdomen et de son bassin ne pouvait donner sur une largeur de hanche pareille. C’était une arme qui causait ce pli.
Alors soit la Belle était une apprentie inconsciente, soit c’était une aguerrie confiante qui n’avait guère plus d’intérêt à cacher son arme mieux que cela.
Vu la confiance des propos, et du rictus arboré lors de sa réponse, c’était plutôt la seconde option…

Puis la Dame s’en allait. Arrivée au bout de la salle, le Lord se leva, épousseta d’un geste mécanique et précis ses habits, puis donna quelques mots à l’égard de la Violette, dans son débit de parole habituel, lent et pénétrant, audible sans être fort.

Ma Dame, j’apprécie beaucoup que l’on me prête si brillant avenir. J’espère bien que l’avenir vous donnera raison.
Je vous remercie de cette bonne sympathie à mon humble égard. Malheureusement, je ne puis lire votre avenir personnel. Aussi je ne puis que l’espérer tout aussi admirable. Je prie donc de n’avoir à vous revoir qu’à l’aube de meilleurs auspices que ce jour, et par pure délicate attention.
Veuillez aussi présenter à votre Maîtresse, Dame Lailah, que je ne connais pas, mes vœux les plus sincères, ce par pure politesse.

Dans une révérence respectueuse, le Lord se remit à table sitôt la jeune femme partie.

C’est alors qu’au moment de répondre à son hôte, le repas lui fut servi.

Merci bien mon brave. Je n’ai encore jamais eu la joie de goûter pareil mets, et à humer l’air, nul doute que ce dîner sera un régal ! Quant à la boisson, je prendrai soin de vous aviser de mon avis sitôt le repas clôturé. Vous pourrez alors toujours dire à votre… "fournisseur", qu’il continue à choisir les meilleures bouteilles.

Revenant à l’Infernal, il s’exprima enfin.

Je vous prie de m’excuser.
Bien. Vous dites n’avoir de but que la domination totale de ce monde. Est-ce bien cela ?
Ou bien il ne s’agit que d’une domination partielle, sur telle ou telle espèce notamment ?

Car si bien que je sois Vampire, j’ai côtoyé dans mon trouble passé la plupart des espèces, et si certaines d’entre elles me déplaisent absolument, d’autres méritent le respect et la reconnaissance.

Voyez-vous, je suis un Vampire de principe. Je n’obéis qu’à mes désirs, sous certaines réserves.
Ainsi, j’accepterai vos ordres sans mot dire sous conditions qu’ils rentrent dans mes principes que j’y trouve un profitable bénéfice.
Mais j’aimerais que sois éclairci votre volonté.

Enfin, je comptais vous interroger au sujet de l’actuelle position de votre organisation, de sa forme et de ses membres, mais vous y avez déjà répondu.

Le Lord s’interrompit, et laissa la réponse à son interlocuteur, tandis qu’il s’armait de ses couverts pour goûter à l’encore fumante tranche de Lévianthan <<-

Nous étions maintenant de nouveau tranquille, je répondis donc aux dernières interrogation de mon interlocuteur.

Je n'ai pas forcément pour but la domination totale de cet empire, mais bien partielle. Dans l'instant présent, les armées sont concentrées sur Vénopole, la province voisine, afin d'agrandir notre territoire et accueillir encore plus de monde désireux de rejoindre notre cause. Ces terres étant sous le joug d'un tyran déchu, j'ai choisi de mettre un réel terme à sa domination et de montrer notre force.

Mes projets futurs seront conséquent de ce qui arrive dans l'Empire. Si des espions m'informe qu'un Vampire ou Infernal a été attaqué, je prendrais sa défense, quoi qu'il en coûte. Nous prouverons ainsi notre puissance. Toute suggestions de divertissement sera également prise en considération, je ne suis pas un chef sans scrupule et empreint de dictature. Certes je donne mes ordres mais j'essai toutefois d'éviter de tomber dans la folie pure et la perte inutile de nos armées.

Le temps filait, je me devais de retourner en Vénopole pour mettre un terme à la conquête. Visiblement l'adversaire ne serait jamais en mesure de repousser nos troupes.

Comte Nosfereatus, je vous invite à venir avec moi en Vénopole afin de terminer le travail entamée depuis déjà quelques temps. J'ai eu vent par mes espions que l'empereur se dirige vers cette province avec le grand inquisiteur. Cette rencontre pourrait être une page tournante de notre armada et forcer l'empereur a accepté la défaite d'une de ses provinces.

Je me leva de mon siège, faisant signe au tavernier mon intention de partir. Aussitôt que le Comte m'aurait répondu, nous franchirons la porte où deux chevaux d'un noir intense attendraient le départ. Ces nobles coursiers nous permettront de se rendre en quelques jours.

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Le Lord, tout en prêtant attention aux paroles du Despote, mangeait avec appétit. La viande était d'une cuisson admirable et la boisson fort agréable au palais.

Après les réponses données, il vit son hôte se lever, signe qu'il ne pouvait faire durer cette entrevue plus longtemps.

Il lui répondit donc après s'être levé.

Mon cher, tout d'abord je vous prie d'excuser la rudesse d'avoir soupé devant vous.

En ce qui concerne votre offre, il me plairait beaucoup partager cette expérience et assister à la déferlante de puissance de votre armada sur ce tyran déshonoré. Aussi j'accepte de vous accompagner. Cependant, serait-il possible de faire un petit détour par la Ville Impériale ?
J'ai une chose assez importante à faire là-bas...

J'imagine à présent qu'il vous est nécessaire un temps de préparation pour le voyage ?
Je profiterai alors de ce temps pour féliciter votre cuisinier, puis vous rejoindrai au-dehors.
Nul besoin de vous enquérir de ma locomotion: je suis me suis rendu ici avec un étalon noir des plus magnifiques, mais surtout des plus rapides.
Aussi ne lésinez pas sur votre monture, la mienne suivra sans peine.
A tout à l'heure donc.

Le Lord quitta donc son interlocuteur un court instant pour se rendre en cuisine <<-

Messire, il est tout à fait possible de faire un détour par la Ville Impériale. De part votre acceptation, j'en conclu que vous acceptez de rejoindre la Compagnie des Renégats. Je vous y souhaite donc la bienvenue et que notre union soit longue et profitables à tous.

Avez-vous une personnalité quelconque à rencontrer à la cité ? Si oui, me permettez-vous d'y assister, nous n'avons logiquement rien à nous cacher n'est-ce pas ? Je vous attends dehors puisque je n'ai aucun préparatif à faire. La nuit commence à tombé et si nous poussons nos montures aux maximum tout au long de celle-ci, nous serons très près de la cité impériale au lever du soleil.

Je sorti de ma taverne, pris place sur ma monture et attendit.

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Le Lord ne voulait pas faire attendre son homologue trop longtemps. Il se rendit donc en cuisine, hâtant le pas plus que d’ordinaire. Il y trouva celui qui l’avait servi auparavant, et lui fit don de son avis.

Mon brave, la viande que vous me servites tout à l’heure fut somptueusement préparée et succulente. Vous m’avez comblé.
D’autre part, la boisson était fort bonne. Je félicite votre fournisseur d’avoir eu si bon flair.
Sur ce, je vous laisse. Je dois rejoindre votre patron pour affaire. A la revoyure.

Nosfereatus sortit des cuisines et rejoignit l’Infernal au-dehors. Il montait son cheval, d’un noir aussi sombre que la robe de Ricx, son cheval à lui, qui s’agitait en tout sens, marchant de tous côtés, hennissant et cherchant à se détacher.

Le Lord réajusta ses gants, puis caressa doucement l’étalon qui faisait sa fierté. Tout en le détachant, il parla à Mogoth.

Je vous prie de l’excuser, mais ce cheval aime la course. A longueur de journée, il court partout où il peut. Cette hyperactivité contraignante à l’occasion lorsque je dois rester pour affaire dans une ville ou une autre, mais d’ordinaire je me déplace souvent, les problèmes sont ainsi limités. Et au besoin, j’organise des courses à Firrhya, mon Comté, où il s’en donne à cœur joie. Jamais encore il n’a perdu de course. C’est un magnifique cheval, une force de la nature, une fierté personnelle, qui, malgré mon appât pour les richesses, ne serait jamais revendue pour tout l’or du monde… Un principe.

Le Lord monta élégamment son cheval qui ne perdait rien de son envie de trotter. Pendant que son propriétaire parlait, il allait au pas, tapant des sabots sur le sol.

Pour vous répondre, je réserve encore mon avis à propos de mon entrée dans la Compagnie des Rénégats, si ainsi est son nom. Je compte apprendre de cette bataille à Vénopole. Ce que je verrai là-bas décidera de mon choix définitif ou non. Mais si vous êtes si convaincu de votre victoire, comptez-moi parmi vos proches dès à présent, tant que le revers ne survient pas.

La personne que je dois voir en ville se trouve être le sbire d’un certain Nerae… En effet, il se peut que je rejoigne la Guilde du Mana, et je souhaiterai voir de mes yeux qu’elle serait la réaction de bonnes gens en face de moi. Vous avez tout loisir de venir avec moi si vous le désirez.

Mais pressons, puisque nos montures semblent vouloir courir.

Le Comte n’eut nul besoin de frapper le flanc de son étalon. Sur un geste des rennes, il partit à vive allure, soulevant sur son passage des nuages de poussière <<-

Invité

Il faisait nuit lorsqu'il arriva en vue de la forteresse, lieu sordide et dangereux d'aprés les dires de certains voyageurs.
La forteresse n'était qu'une imposante masse noire plantée dans la province de Naxos, William talonnat son cheval pour le faire avancer, la pauvre bête était épuisée d'avoir galopé une journée entière mais ne rechignat pas à conduire son maitre.

Derriere les lourdes portes un decor sordide apparut au chevalier, dans des rues étroites et jonchées d'immondices, se vautrés soulards et mendiants, certains tendirent leur bras squelettique vers le cavalier reclamant une piece en braillant qu'ils avaient faim, William ne s'en souciat pas et continua sa route à la recherche de la taverne quand une prostituée vint à sa rencontre, la poudre qui recouvrée son visage dissimulée mal les quelques verrues qui pointaient ça et là, son visage se fendit d'un sourire devoilant des dents jaunies par la crasse, elle l'interpella et remonta un peu sa robe pour l'aguicher, mettant au jour une cuisse gainée d'un bas rouge salit par le temps et surement le plaisir des hommes à en juger les taches, il la repoussa et continua sa route.

Enfin il arriva à la taverne " l'antre de la mort", il poussa la porte aux vitres opaques et entra, il s'attendait à trouver un endroit plus sale, la piece était eclairée par des torches et un imposant lustre dont la flamme des bougies noicissait le plafond.
Il s'approcha du barman et commanda de quoi boire, il scurta la piece, reperant les sortie ,au cas ou un bagarre eclatait, et cherchant un certain Mogoth, mais apparement il n'était pas là.
Quand le barman revint avec sa bierre il lui demanda comment entrer chez les renegats, ce dernier designa du menton une table plus imposante que les autres sur laquelle se trouvait un registre, William le paya et alla imposer sa signature.

Il lut les quelques noms qui le precedaient dans la liste, puis il prit la plume et ecrivit:

Moi Sir William de Bugarache, promet allegeance et fidelité aux renegats, je fais serment de toujours proteger mes frères et de les defendre, je porterais haut les couleurs de l'armada sur les champs de bataille.
Seul la mort me separera de mon allegeance.

Puis il s'entailla la paume de la main et fit couler du sang avec lequel il signa de son nom.
Son inscription faite il fit demi tour et s'en alla rejoindre l'elfe Shaka.

Sujet: Re: L’Antre de la Mort. Dim 1 Mar 2009 - 18:21

Un cavalier noir passa près de la porte de l'Antre, le repaire de la Compagnie des Renégats. D'un bref mouvement du poignet, une dague vint se planter au coeur de la porte de bois massif de l'entrée. Une missive scellé y est accroché et un nom y est inscrit :

Lailah de Trasalvia

Spoiler:

Il faisait nuit noire, un démon arriva face à la porte de l'Antre de la Mort, cette taverne qui sert ou servait de repère pour la compagnie des renégats. Une missive planté par une dague s'y trouvait encore, c'était bien ce que pensait son expéditeur. La créature fit signe à une multitude de lutins de feu qu'il avait apporté avec lui de se rapprocher, puis il pointa l'établissement.

Sans plus attendre, la horde se mit au travail, attaquant chaque recoin des lieux afin de le brûler dans son entier. Plus rien n'y personne n'y mettra de nouveau les pieds. À l'intérieur, on pouvait entendre le hurlement des clients de la taverne, restés prisonnier du brasier. D'une chance inouïe celui qui aurait survécu au sinistre.

Le démon resta de glace devant cet enfer qui agitait la capitale et illuminait les rues sombres de Mende. Il ne quitta que lorsque tout ce qui fut l'Antre deviennent un tas de braise et de cendre. Voilà tout ce qu'il restait de ce qui aurait pu être une organisation crainte et puissante. Mais tel est le résultat de l'impertinence et de la traîtrise d'une comtesse...

Ainsi brulé l'antre de la mort, le ciel se teinté d'une lueur rouge et une epaisse fumée noire se perdait dans la nuit, le craquement du bois était couvert par les hurlements, des prisonniers, les flammes devoraient tout sur leur passage ne laissant que des braises rougoyantes ou des corps calcinés.

La haut sur la colline qui surplombée ce tableau infernal, se dressait la matriarche, assise sur son cheval,les coudes sur la selle et la tete sur les mains, elle regardait bruler la ville, un petit sourire aux coins de levres, les lueurs de la nuit semblaient danser sur sa peau.
Mogoth avait mit feu à la ville comme l'avait deviné Lailah, cela était d'autant plus rejouissant que ce trou putride ne servait plus qu'à combler des soulards et des mediants.
De loin elle voyait Mogoth, chaque fois qu'elle le voyait elle pensait à une cape accrochée à un porte manteau, ce qui ne manquait pas de la faire sourire.
A quoi pouvait il bien penser? a sa victoire? si toutefois cela etait une victoire, ou bien à la comtesse qui malgres tout ce qu'il disait était une preocupation pour lui?

Elle attendrait qu'il bouge pour s'en aller, pour l'instant la chaleur du brasier l'enveloppé comme une douce couverture et l'odeur de la chair brulée la faisait saliver.

Invité

Vinyle ! Vinyle ! Vas-tu te bouger un peu !? Si tu es un Soldat, tu devrais être capable d'aller chercher du bois pour le feu n'est-ce pas ???.. Il ne répondit pas un mot.

Je ne supportes plus cette vie Vinyle.. si tout cela continue ainsi... je vais finir par craquer !! Tu comprends !? Le silence perdura.

(...)

VINYYYLE !! Lâche-moi.... Je ne t'embeterais plus avec mes problèmes c'est fini... mais......mais....Vinyle.....je.... respire plus........ La lourde main relâcha le cou de la femme la laissant s'écraser sur le plancher de la maison.

Vas maintenant t'occuper de cette miteuse maison, et ne me parle plus.. Dit l'homme en se tournant dos à sa compagne, ailleurs.

M'as-tu un jour aimé Vinyle..? Je te le demande, Vinyle.. Elle se releva doucement et s'approcha de lui.

Vinyle.....Je suis enceinte.

Le regard du soldat fut troublé par l'annonce de cette nouvelle écrasante........

***

Pitié !!!! Laissez-moi partir ! J'ai une femme, et des enfants !!!

Un profond grognement émana de la gueule de l'Infernal, ses yeux flamboyants dans la nuit se fronçèrent, le marchand qu'il retenait au sommet d'un toit d'une haute maison était pétrifié de peur, la bête projeta sa victime prochaine en l'air violemment avant de prendre son crâne entre les paumes de ses mains, il poussa un nouveau grognement tandis que le corps de l'homme accompagné par un cri de terreur alla s'écraser trente-cinq mètres plus bas. Sämann retrouva ses esprits, observa en bas le corps inerte comme un poisson sur un étalage puis les alentours.

Cette cité est sombre, elle est emplie de ténèbres ! Cela me convient parfaitement. Pensa t-il.

C'est alors qu'il aperçu une ruine non loin de l'endroit où il se trouvait. Il sauta du toit où il se trouvait atterissa sans mal au sol, puis s'approcha de l'etablissement en ruine. Un morceau de bois à ses pieds portait une inscription On pouvait y lire malgré la noirceur "L'Antre de Mort", un sourire béant et tout sauf chaleureux déchira la figure chaotique de Sämann, ses yeux rouges s'ouvrirent en grands lorsqu'il appela de sa grosse voix ses disciples.

Sortez de l'ombre.

Une centaine d'hommes et femmes de différentes races investirent la place derrière l'Infernal, certains étaient plus vêtus que d'autres, tous avaient ce même regard noir qui n'était pas menaçant mais plutôt inquiétant, sur leur nuque on pouvait distinguer clairement encore un fois ce même symbole rouge sang qui désignait leur maître Sämann. Pas un mot ne sortait de leur bouche. Un imposant Minotaure borgne s'approcha de son maître.

Quels sont vos ordres mon maître ? Demanda passivement l'être.

Reconstruisez cet endroit, une Taverne précisément, ce sera là notre repaire alors appliquez-vous à votre tâche bande de vermines ! L'Antre de la Mort !

Oui mon maître.. Le Minotaure haussa la tête puis se tourna vers les autres asservis.

Allons ramasser du bois, des outils, et tout ce dont nous avons besoin !

La troupe se mit en route à travers les rues et ruelles. Sämann gardait son sourire effrayant, il se disait qu'il avait bien fait d'asservir cet architecte Minotaure et tous ses ouvriers, la construction n'en serait que quatre fois plus réussie et moins longue à rebâtir. Les heures passaient, les serviteurs revenaient avec portes entières, mobilier, planches, récipients, une dizaine de nains ramenèrent des tonneaux remplis de bière. Le démon était loin de se préoccuper de l'endroit d'où venait tout ces biens, puisque de toute façon il tuerait quiquonque viendrait se mettre en travers de sa route. Certaines mains étaient ensanglantées, notamment après avoir brisés des vitres afin de prendre des objets, ou bien à force d'enfoncer les clous en les frappant au poing à défaut d'avoir un outillage adapté, mais dû à leur état d'hypnose ils ne pouvaient ressentir de douleur, aucun de manquait à sa tâche.

(...)

Au matin, les habitants eurent la grande surprise de voir la Taverne de l'Antre de la Mort, comme neuve, prient d'un troublant étonnement, les rumeurs allaient bon train, c'est alors qu'un Nain au regard et à l'habit plus que banal sortit de la Taverne, et en voyant le peuple se trouvant devant l'auberge, il déclara.

Ne soyez donc pas timides ! l'Antre de la Mort vous accueille avec joie ! Entrez, entrez !

Quelques badauts commencèrent à pénètrer à l'intérieur. Des tables, un comptoir, derrière celui ci, un escalier menant à la cave à alcool, une taverne comme les autres à priori.

Mais à la cave, se trouvait désormais le repaire de l'Infernal Sämann ayant élu résidence dans la sombre cité de Mende.

Invité

La nuit de pleine lune éclairait un quartier sillencieux au premier abord, maisons à feu et à sang, ce quartier là de Mende semblait devenu un gouffre où règne le plus grand des mals. Traces de sang et corps se mêlant sur le sol pavé, des bruits de lames et d'armures claquaient près de là. Une patrouille de la milice locale combattait tant bien que mal face aux hordes de créatures qui deferlaient sur eux. Hommes, Nains, Gnomes et même Orques approchaient à grands hurlement et gestes brusques désarticulés. Certains armés d'épées, de dagues voir même d'outils à main et d'outils de travaux lourds comme des masses, parmi la patrouille se démarquait un jeune homme à l'armure aux décorations plus travaillées que les autres. En effet on pouvait apercevoir en son dessus deux chevaux cabrés s'opposant ainsi que de grâcieuses lignes remontant le long du torse jusqu'au bas du dos. Il maniait avec brio un glaive forgé dans un métal très résistant et dont la lame ne pouvait vraisemblablement pas être émoussée, probablement était-ce le Capitaine.

C'est en quelques tours de bras qu'il se débarrassa à l'aide de son escouade de cette vague, un silence des plus étouffants retomba alors que des nuages couvrirent la lune blanchâtre. Les soldats à bout de souffle expiraient et inspiraient à vive allure, la peur au ventre. alors des bruits de pas se firent entendrent dans un écho lointain. Les militaires se dirigèrent de quelques mètres en direction des pas, puis se mirent en garde à l'affut de la moindre chose qui s'approchait. Les pas s'arrêtèrent un moment, avant d'accélèrer le rythme ce qui rendit les soldats plus que nerveux et effrayés. Un coin de ruelle commença à s'éclairer petit à petit juste devant eux, derrière ce coin se trouvait une lumière rougoyante qui grandissait et grandissait à mesure que les bruits de pas se faisaient plus proches. Le jeune Capitaine de l'équipe inspira profondément serrant d'avantage le manche de son glaive, tandis que ses hommes quant à eux serraient les machoires quand celles ci n'étaient pas crispées, néanmoins, tous commençait dors et déjà à avoir des sueurs froides.

La ruelle était désormais fortement éclairée, c'est alors qu'ils chargèrent en un cri d'horreur. Et se retrouvèrent tous les huit nez à nez avec un garde terrorisé, une torche à la main. Il prit la parole difficilement.

Que..que..se passe t-il ici ?! des corps jonchent le sol par..partout !!

Le Capitaine rassuré, répondit calmement.

Nous sommes là pour ça, un mal ronge cet endroit nous devons l'anéantir.. Déclara le jeune soldat au regard de braise.

C'est alors qu'il vit sur l'épaulière de l'armure de son interlocuteur qu'une autre lumière s'y reflètait. Celle-ci s'approchait à grande vitesse, il n'eu juste le temps de.fixer le ciel, lorsqu'un l'énorme masse rouge projeta l'escouade au sol. Des hurlements de terreur retentirent à la vue du démon qui déjà arrachait un bras à un des hommes en un sombre grognement. Le sol trembla de nouveau tandis qu'un grondement sourd résonna. Un des soldats se releva et se fit aggriper par des membres écorchés sortis de l'ombre. alors des serviteurs de Sämann réapparurent de nouveau, et un brouhaha d'hurlements difformes et quelques phrases criées se firent entendre ici et là. Sämann se dressa fièrement à la vue du brave Capitaine qui combattait devant lui. Ce dernier aperçu le démon et chargea sur lui en un cri de guerre le glaive brandit en l'air. Sämann de sa taille doublement plus grande amusa à le projeter au sol en un coup de pied dans le torse. Il récupéra son glaive le détaillant soigneusement dans la rage du combat.

(...)

Le jeune capitaine ouvrit péniblement les yeux, les corps mutilés de ses hommes encore frais. Ses yeux exhorbités firent de lui le témoin de la décapitation des corps devant lui par son propre glaive détenu par le démon. Un rire sadique émana de la féroce bête alors que les têtes roulèrent au sol près de leur superieur. Il se tourna vers celui si et lui adressa un message clair.

Je vais te faire l'un de mes plus fidèles serviteurs, Vrad..

Comment connaissez-vous mon nom ?! Sale vermine !

C'est toi même qui me l'a appris, lorsque tu étais sous mon contrôle..

Ricana Sämann qui ne laissa pas le temps à l'homme de répondre la moindre chose, que déjà des yeux noirs apparaissaient dans ses orbites. Le possédé se releva calmement, Sämann lui redonna son glaive qu'il rangea dans son fourreau avant de reprendre d'une voix posée.

Je vous suis, Mon Maître.

Retour à l'Antre, Maintenant !

Les troupes de Sämann se mirent en marche, sous le sourire béant du Démon, toujours assoiffé de pouvoir et de destruction.
Au lendemain, des soldats furent dêpechés afin de rassembler les cadavres et aller les enterrer. La zone allait être mise en quarantaine jusqu'à nouvel ordre.

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Ambiance festive dans la taverne, l'ambiance, voilà là seule chose que l'on pouvait trouver festif. Les regards vides des clients et des taverniers troublaient par leur noirceur. Des corps ensorcelés se donnaient la main, et dansaient tous ensemble sur des airs de lyr, de violon et de flûte. Sämann, malgré ce jeu amusant de contrôle des esprits, s'ennuyait à mourir. Un comble pour un infernal. Ce dernier comprit qu'il était temps pour lui de trouver ce qu'il aimait le plus : Le Chaos, la Mort et la Terreur. Et la chose apportant le plus ces quelques élements ne pouvait être qu'un conflit entre deux nations.

Le Guerrier se leva de son siège de fourrure au milieu de l'établissement. Puis leva la main droite, plus aucun bruit ne vint percer le lourd silence.

"Je vais prendre la direction de l'Edhesse on dit qu'une force maléfique y règne, et répend le chaos. Vous, allez rester ici et jouer votre petite comédie jusqu'à mon retour en ce lieu.. Est ce clair ?" Le grand démon fut comprit par l'ensemble de ses disciples à l'unanimité. Alors il marcha en direction de la porte, à quelques mètres de celle ci, une voix résonna dans sa tête. Tous les possédés se tournèrent vers le démon puis fonçèrent sur lui à une ahurissante vitesse. Il les projeta tous d'une main, avec un regard noir..

"Vynile...."

L'esprit de l'homme qu'il avait été se rebellait contre l'infernal qu'il était, ce genre d'actions était totalement insignifiantes pour Sämann. Mais néanmoins, si jamais cela venait à s'accroître, ceci pourrait lui poser quelques embûches dans sa quête de puissance.. L'Infernal sorti dans les ténèbres en un rugissement..

Vrad attendait à l'extérieur sur son cheval, Sämann mit sa tête une large capuche noir. puis grimpa sur son cheval, un grand étalon noir.

Allons-y Vrad, montre moi tous les avant postes de la garde de Naxopole, ce sera un parfait moyen de gagner de nouvelles forces pour mon armée pour mon implantation en Edhesse..

Les deux cavaliers prirent la route dans la nuit glaçée