Très cher Lhew Therin, Chef des Ombres d'Aëna, second de l'Ada.
Ecriture par la marque du sang...
Je vous écris de nouveau en cette période surprenante d'état de guerre, l'ennemi préparé, vous autres encore à trimer pitoyablement sur vos acquis dû à la révolte contre l'oppresseur. Quand est-ce que ce fut la dernière fois ? Ah oui je me rappelle. Quand vous et vos rôdeurs, sur les ordres de votre grand manitou Arakasï avez tenté de nous poignarder dans le dos nous autres Edars, qui avons pourtant tout autant à coeur les intérêts des notre, les mêmes buts pour la préservation de notre race que vous, convergence à tout point de vue seulement divergente dans les actes et les limites fixées à ces nobles idéaux. Je me rappelle surtout que vous avez lamentablement échoué à me tuer, le comble pour un spécialiste de l'assassinat de se faire assassiner vous me direz. Mais revenons à la guerre qui sonne la charge un peu partout ici et là.
L'Outre-Mer tourmenté, Roc le Chastel devenu caveau, le sang des notre s'écoulant dans les sinusités du tombeau qu'est devenu notre continent souillé. L'impureté poisseuse de l'air empoisonné prétend de son arrogance putride à s'étendre jusqu'à la cité éternelle, la terre sacrée d'Adrien, ses Elfes menacés. Nous voilà donc... contrariés, amenés à ressurgir...
Désagrégation des fondations de notre société, prospérité stagnante, dégénérescence de l'intelligence collective, atonie des idées. L'Outre-Mer affaiblie par des concepts nauséabonds a enfin succombé aux contrecoups de sa politique psychotique. En somme l'agonie de notre civilisation, bientôt viendra notre tour. Peut-être Tol Aëna ne s'obstinera t-elle plus à voir, et savoir. Agir au lieu de subir, prévenir au lieu de guérir. Qu'en pensez vous Ombre Lhew Therin, Chef des Ombres Rôdeurs d'Aëna, second de l'Ada suprême Arakasï, du guide de notre contrée elfique.
Sans ombre il n'est point de lumière, à chaque couleur illuminé son ton chaotique. Pourquoi persistez vous à nous dénier le droit d'exister pour ce que nous entreprenons pour le bien de tous ? Quoi qu'il en soit, l'heure est venu, vous avez lamentablement échoué seuls, nous revenons nous occuper du linge sale de notre royaume appelé à guerroyer implacablement contre les maudits.
Comme tout tombeau, contre les profanateurs sacrilèges, l'Outre-Mer et la terre sacrée d'Adrien auront leur corbeaux, nuées impitoyables, furibondes, mortelles... . Il est venu pour nous le temps de façonner les attributs de ce qu'on appelle le bien qui ont désservi à la cause de notre race prise en otage et d'en faire le mal.
Nous vous avions éclairés Elfes d'Adrien. Du mieux que nous le pouvions. Vous nous avez rejetés Rôdeurs, éradiqués. A cause de vos erreurs d'opinions. Une seconde chance nous vous accordons. Croyez-nous, nous vous sauverons. Ouvrez-vous aux Assassins, Ombres. Aux maudits, aux Rôdeurs qui ont su trouvé le chemin véritable et se sont détournés de cette voie sans issue que vous empruntez aveuglément qu'est l'honneur par le déshonneur. Accueillez nous comme vos sauveurs. Abandonnez vos quêtes infondées de paix et de fraternité avec l'Etranger. La pitié, la compréhension, la compassion, sont des luxes coûteux. Ne nous repoussez plus jamais. Le jour venu, notre aide vous ne pourrez refuser et vous le savez. L'unité fera notre force, la lumière et l'obscurité contre le néant.
Nous autres Edars d'Aëna sommes tout sauf des enfants de coeur et cela vous répugne j'en ai conscience. Les bons samaritains n’ont en effet pas leur place chez nous, mais chez nos ennemis. Vous finirez par basculer de notre côté, lorsque le fléau de la mort soufflera sur les notre...
Pour le moment vous n'avez pas le choix si nous voulons sauver notre peuple. Notre dévotion, notre seule allégeance va à la sainte mère Adrien mais nous sommes prêt à rejoindre les rangs le jour venu.
Mankar Asynur, chef des Edars Maudits, Assassins d'Aëna.
Ecriture par la marque du sang...
Je vous écris de nouveau en cette période surprenante d'état de guerre, l'ennemi préparé, vous autres encore à trimer pitoyablement sur vos acquis dû à la révolte contre l'oppresseur. Quand est-ce que ce fut la dernière fois ? Ah oui je me rappelle. Quand vous et vos rôdeurs, sur les ordres de votre grand manitou Arakasï avez tenté de nous poignarder dans le dos nous autres Edars, qui avons pourtant tout autant à coeur les intérêts des notre, les mêmes buts pour la préservation de notre race que vous, convergence à tout point de vue seulement divergente dans les actes et les limites fixées à ces nobles idéaux. Je me rappelle surtout que vous avez lamentablement échoué à me tuer, le comble pour un spécialiste de l'assassinat de se faire assassiner vous me direz. Mais revenons à la guerre qui sonne la charge un peu partout ici et là.
L'Outre-Mer tourmenté, Roc le Chastel devenu caveau, le sang des notre s'écoulant dans les sinusités du tombeau qu'est devenu notre continent souillé. L'impureté poisseuse de l'air empoisonné prétend de son arrogance putride à s'étendre jusqu'à la cité éternelle, la terre sacrée d'Adrien, ses Elfes menacés. Nous voilà donc... contrariés, amenés à ressurgir...
Désagrégation des fondations de notre société, prospérité stagnante, dégénérescence de l'intelligence collective, atonie des idées. L'Outre-Mer affaiblie par des concepts nauséabonds a enfin succombé aux contrecoups de sa politique psychotique. En somme l'agonie de notre civilisation, bientôt viendra notre tour. Peut-être Tol Aëna ne s'obstinera t-elle plus à voir, et savoir. Agir au lieu de subir, prévenir au lieu de guérir. Qu'en pensez vous Ombre Lhew Therin, Chef des Ombres Rôdeurs d'Aëna, second de l'Ada suprême Arakasï, du guide de notre contrée elfique.
Sans ombre il n'est point de lumière, à chaque couleur illuminé son ton chaotique. Pourquoi persistez vous à nous dénier le droit d'exister pour ce que nous entreprenons pour le bien de tous ? Quoi qu'il en soit, l'heure est venu, vous avez lamentablement échoué seuls, nous revenons nous occuper du linge sale de notre royaume appelé à guerroyer implacablement contre les maudits.
Comme tout tombeau, contre les profanateurs sacrilèges, l'Outre-Mer et la terre sacrée d'Adrien auront leur corbeaux, nuées impitoyables, furibondes, mortelles... . Il est venu pour nous le temps de façonner les attributs de ce qu'on appelle le bien qui ont désservi à la cause de notre race prise en otage et d'en faire le mal.
Nous vous avions éclairés Elfes d'Adrien. Du mieux que nous le pouvions. Vous nous avez rejetés Rôdeurs, éradiqués. A cause de vos erreurs d'opinions. Une seconde chance nous vous accordons. Croyez-nous, nous vous sauverons. Ouvrez-vous aux Assassins, Ombres. Aux maudits, aux Rôdeurs qui ont su trouvé le chemin véritable et se sont détournés de cette voie sans issue que vous empruntez aveuglément qu'est l'honneur par le déshonneur. Accueillez nous comme vos sauveurs. Abandonnez vos quêtes infondées de paix et de fraternité avec l'Etranger. La pitié, la compréhension, la compassion, sont des luxes coûteux. Ne nous repoussez plus jamais. Le jour venu, notre aide vous ne pourrez refuser et vous le savez. L'unité fera notre force, la lumière et l'obscurité contre le néant.
Nous autres Edars d'Aëna sommes tout sauf des enfants de coeur et cela vous répugne j'en ai conscience. Les bons samaritains n’ont en effet pas leur place chez nous, mais chez nos ennemis. Vous finirez par basculer de notre côté, lorsque le fléau de la mort soufflera sur les notre...
Pour le moment vous n'avez pas le choix si nous voulons sauver notre peuple. Notre dévotion, notre seule allégeance va à la sainte mère Adrien mais nous sommes prêt à rejoindre les rangs le jour venu.
Mankar Asynur, chef des Edars Maudits, Assassins d'Aëna.