Dans un coin reculé de la ville, loin des regards et de la place publique, un bâtiment où se faisait un petit commerce lucratif était ouvert dès les petites heures du matin. Ce lieu était appelé Eckhart par les connaisseurs de l'endroit. Un terme permettant d'indiquer que le lieu de rendez-vous était cet endroit. Des gens entrait et sortait, ne quittant jamais avec des paquets supplémentaires à ceux de leur arrivé. Toutefois, la porte arrière circulait beaucoup plus, des êtres vivants, enchaînés pour la plupart sortait puis était conduits par charrette.
Un marché d'esclave avait lieu chaque semaine et en cette belle journée, c'était jour de vente. Des hommes, des femmes, des minotaures, des nains, le choix de race et de sexe était toujours alléchant pour ceux qui désirait acheter leur signes à gros prix. Les esclaves était toujours de bonne qualité, leur santé se devait d'être exemplaire avant d'être vendu à un client afin d'assurer une rentabilité convenable.
Un homme de grande stature monta sur l'estrade puis commença à parler.
Bienvenue à vous cher clients, aujourd'hui quelques spécimens intéressant seront mis en vente. N'hésitez pas à miser sur ceux qui passeront car les hostilités qui frappe la région ne nous ont permis que d'avoir quatre choix pour vous en ce jour. La rareté risque ainsi de faire monter les prix puisque vous êtes une dizaine aujourd'hui pour venir faire vos achats.
Lentement, le premier lot fut monté sur la scène afin qu'il soit examiné. Une femme de taille moyenne ayant des courbes intéressante, non pas par sa petite taille, mais bien par ses formes bien en chair fut monté sur l'estrade comme première vente.
Oyez, Oyez cher client, voici pour vous une femme de taille, qui de vous rêve d'une femme de ménage pour sa résidence seigneuriale ? D'une femme capable de forcer tel un homme et d'expulser les gamins de vos cuisines à la nourriture si précieuse. Les enchères commencent à cinq milles pièces d'or !
Ici et là, des mains se levèrent, faisant monter le prix de l'achat. Tout se faisait en silence, l'homme sur l'estrade faisant un signe d'approbation sur chaque mise déposé et indiquant où en était rendu le prix à donner pour obtenir la chose convoité. Surpris, le vendeur conclu la vente à trois fois le prix de départ. Sourire aux lèvres, il indiqua à un des ses hommes de main de conduire la femme à son nouveau propriétaire qui remis une bourse bien remplie en échange. La première vente était déjà très lucrative et il en restait encore quelques-uns.
Un minotaure fut embarqué sur l'estrade, portant aux pieds, aux mains et au cou, une chaine et des attaques reliant tout ses membres. On ne pouvait laisser libre de mouvement une bête aussi féroce, au risque d'avoir le poitrail défoncé à coup de corne. Le vendeur vanta alors sa deuxième vente.
Oyez, Oyez cher client, nous avons ici de quoi faire peur à tout vos ennemis. Saurez-vous dompter cet animal pour en faire votre arme de prédilections sur les champs de batailles ? Qui d'entre-vous ce sent l'âme conquérante et manque de puissance dans ses troupes. Cette créature imposante se fera craindre tant par vos ennemis que par vos hommes. Ces derniers emboiteront le pas avec ardeur sous peine de voir leur arrière train enjolivé de quelques coup de corne. Qui sera le premier à m'en offrir dix milles pièces d'or ?
Encore une fois, la même scène eu lieu, les acheteurs indiquant leur intérêts, qui cette fois-ci était plus nombreux à désirer le spécimen. Au grand plaisir du marchand d'esclave qui voyait le prix monter et monter encore. Avide d'en tirer le meilleur profit, le délai d'attente avant d'adjuger la vente lorsque les mains cessaient de s'agiter était plus long que d'habitude et par deux fois les prix continuèrent de monter au désarroi de celui qui était le meilleur enchérisseur. La vente se termina finalement à trente-cinq mille pièces d'or. Deux hommes costaud escortèrent le minotaure à son nouveau première qui remis quelques bourses bien rempli pour paye son dû. Les hommes de main de l'acheteur quittèrent avec l'acquisition.
Un marché d'esclave avait lieu chaque semaine et en cette belle journée, c'était jour de vente. Des hommes, des femmes, des minotaures, des nains, le choix de race et de sexe était toujours alléchant pour ceux qui désirait acheter leur signes à gros prix. Les esclaves était toujours de bonne qualité, leur santé se devait d'être exemplaire avant d'être vendu à un client afin d'assurer une rentabilité convenable.
Un homme de grande stature monta sur l'estrade puis commença à parler.
Bienvenue à vous cher clients, aujourd'hui quelques spécimens intéressant seront mis en vente. N'hésitez pas à miser sur ceux qui passeront car les hostilités qui frappe la région ne nous ont permis que d'avoir quatre choix pour vous en ce jour. La rareté risque ainsi de faire monter les prix puisque vous êtes une dizaine aujourd'hui pour venir faire vos achats.
Lentement, le premier lot fut monté sur la scène afin qu'il soit examiné. Une femme de taille moyenne ayant des courbes intéressante, non pas par sa petite taille, mais bien par ses formes bien en chair fut monté sur l'estrade comme première vente.
Oyez, Oyez cher client, voici pour vous une femme de taille, qui de vous rêve d'une femme de ménage pour sa résidence seigneuriale ? D'une femme capable de forcer tel un homme et d'expulser les gamins de vos cuisines à la nourriture si précieuse. Les enchères commencent à cinq milles pièces d'or !
Ici et là, des mains se levèrent, faisant monter le prix de l'achat. Tout se faisait en silence, l'homme sur l'estrade faisant un signe d'approbation sur chaque mise déposé et indiquant où en était rendu le prix à donner pour obtenir la chose convoité. Surpris, le vendeur conclu la vente à trois fois le prix de départ. Sourire aux lèvres, il indiqua à un des ses hommes de main de conduire la femme à son nouveau propriétaire qui remis une bourse bien remplie en échange. La première vente était déjà très lucrative et il en restait encore quelques-uns.
Un minotaure fut embarqué sur l'estrade, portant aux pieds, aux mains et au cou, une chaine et des attaques reliant tout ses membres. On ne pouvait laisser libre de mouvement une bête aussi féroce, au risque d'avoir le poitrail défoncé à coup de corne. Le vendeur vanta alors sa deuxième vente.
Oyez, Oyez cher client, nous avons ici de quoi faire peur à tout vos ennemis. Saurez-vous dompter cet animal pour en faire votre arme de prédilections sur les champs de batailles ? Qui d'entre-vous ce sent l'âme conquérante et manque de puissance dans ses troupes. Cette créature imposante se fera craindre tant par vos ennemis que par vos hommes. Ces derniers emboiteront le pas avec ardeur sous peine de voir leur arrière train enjolivé de quelques coup de corne. Qui sera le premier à m'en offrir dix milles pièces d'or ?
Encore une fois, la même scène eu lieu, les acheteurs indiquant leur intérêts, qui cette fois-ci était plus nombreux à désirer le spécimen. Au grand plaisir du marchand d'esclave qui voyait le prix monter et monter encore. Avide d'en tirer le meilleur profit, le délai d'attente avant d'adjuger la vente lorsque les mains cessaient de s'agiter était plus long que d'habitude et par deux fois les prix continuèrent de monter au désarroi de celui qui était le meilleur enchérisseur. La vente se termina finalement à trente-cinq mille pièces d'or. Deux hommes costaud escortèrent le minotaure à son nouveau première qui remis quelques bourses bien rempli pour paye son dû. Les hommes de main de l'acheteur quittèrent avec l'acquisition.