La prise de parole de l'assasin mit de travers Varatorn qui encore une fois se contrôla pour ne pas exploser en furie et déverser sa rage.
Cela était un défaut majeur dans le comportement du Combattant, il avait une soif de sang bien plus importante que tout les suceurs de sang de Kalamaï.
C'était certes un noble de bonne famille, mais son comportement au combat ou même quand il devait juste entretenir une conversation était tout simplement barbare et cruel.
C'est surtout pour cela que Varatorn n'avait aucun ami, car vu son comportement il n'avait aucune chance d'entretenir une relation.
A ce moment la charrette franchissait les murs de la capitale en direction de Naxopole.
Il arpentait les chemins de la province de la capitale, franchissant probablement les plus beaux paysages que la création avait donné à voir et malgré tout, Varatorn avait un comportement comparable à celui d'un enfant qui fait la tête car on lui a tenu tête.
La fin de la journée approchant, Varatorn se tourna vers l'assasin et lui dit :
<< Halte, nous monterons ici le camp pour la nuit, Naxopole est une région voisine à la Capitale. D'ici peu de temps nous y serons. A notre vitesse surement deux jours seront nécessaires, voir moins ça dépendra de notre rythme.
Mais la vieille bourrique qui semble nous servir de cheval de trait est exténuée. On va donc s'arrêter et on passera par les montagnes, j'y ai ma cité quelque part aux pieds des montagnes grises que l'on peut apercevoir à l'horizon. >>
Varatorn mit pied à terre, prit sa besace qui était accrochée à la selle du cheval et sortit un vulgaire sac en toile rembourré avec du coton.
Il se retourna vers l'assasin et lui dit :
<< Allons chercher du bois, un bon feu ne sera pas du luxe. >>
Une fois le feu installé, il faisait presque nuit, les provisions de route sorties, les deux hommes partagèrent le repas.
Varatorn brisa le silence une nouvelle fois et dit :
<< Bon je sais qu'on est partis sur de mauvaises bases mais je vous interdis formellement de me juger.
Je suis comme ça et puis c'est tout, on ne me changera pas, j'ai grandit comme ça. La seule manière d'arriver à quelque chose dans ce monde, c'est en faisant le mal, en étant juste avec la nation. >>
Quand Varatorn parle de nation il parle bien évidemment de la race humaine, en plus du défaut majeur que trainait Varatorn, c'était un parfait Xenophobe qui méprisait toutes les autres races. D'ailleurs ce défaut lui vaut une qualité, une rage encore plus phénoménale quand il s'agit de combattre une race autre que celle des humains.
Cela était un défaut majeur dans le comportement du Combattant, il avait une soif de sang bien plus importante que tout les suceurs de sang de Kalamaï.
C'était certes un noble de bonne famille, mais son comportement au combat ou même quand il devait juste entretenir une conversation était tout simplement barbare et cruel.
C'est surtout pour cela que Varatorn n'avait aucun ami, car vu son comportement il n'avait aucune chance d'entretenir une relation.
A ce moment la charrette franchissait les murs de la capitale en direction de Naxopole.
Il arpentait les chemins de la province de la capitale, franchissant probablement les plus beaux paysages que la création avait donné à voir et malgré tout, Varatorn avait un comportement comparable à celui d'un enfant qui fait la tête car on lui a tenu tête.
La fin de la journée approchant, Varatorn se tourna vers l'assasin et lui dit :
<< Halte, nous monterons ici le camp pour la nuit, Naxopole est une région voisine à la Capitale. D'ici peu de temps nous y serons. A notre vitesse surement deux jours seront nécessaires, voir moins ça dépendra de notre rythme.
Mais la vieille bourrique qui semble nous servir de cheval de trait est exténuée. On va donc s'arrêter et on passera par les montagnes, j'y ai ma cité quelque part aux pieds des montagnes grises que l'on peut apercevoir à l'horizon. >>
Varatorn mit pied à terre, prit sa besace qui était accrochée à la selle du cheval et sortit un vulgaire sac en toile rembourré avec du coton.
Il se retourna vers l'assasin et lui dit :
<< Allons chercher du bois, un bon feu ne sera pas du luxe. >>
Une fois le feu installé, il faisait presque nuit, les provisions de route sorties, les deux hommes partagèrent le repas.
Varatorn brisa le silence une nouvelle fois et dit :
<< Bon je sais qu'on est partis sur de mauvaises bases mais je vous interdis formellement de me juger.
Je suis comme ça et puis c'est tout, on ne me changera pas, j'ai grandit comme ça. La seule manière d'arriver à quelque chose dans ce monde, c'est en faisant le mal, en étant juste avec la nation. >>
Quand Varatorn parle de nation il parle bien évidemment de la race humaine, en plus du défaut majeur que trainait Varatorn, c'était un parfait Xenophobe qui méprisait toutes les autres races. D'ailleurs ce défaut lui vaut une qualité, une rage encore plus phénoménale quand il s'agit de combattre une race autre que celle des humains.