Le cavalier était seul, monté sur un immense cheval noir, ses longs cheveux blonds tombaient sur son visage, cachant en partie une cicatrice encore récente, marque d’une blessure qui avait failli le rendre borgne. Devant lui s’élevait la forteresse de Dunamopole, immense construction de pierre noire et de fer, qui se dressait là où il n’y avait que du sable et quelques cabanes de pêcheurs. Le marteau accroché à son dos, semblait briller d’une lumière divine quand les rayons du soleil se reflétaient dessus.
Il éperonna sa monture qui fonça à travers le désert de Zackinthe, il était temps de jouer avec le seigneur de Ménéxène, Thassopole allait le provoquer incessamment jusqu’à ce qu’il passe lui-même à l’attaque et rompe la paix impériale. A ce moment là il écraserait le géant avec toute la puissance de Brak et de Thassopole, il était Aedric von Séviand, le poing de Brak. Il ne perdrait pas, Prévéze était en pleine crise et était lié par un pacte de défense à la République, Scitopole, Naxopole et Mésomnon sans aucun chef compétant, Edhesse qui ne bougerait pas. Seul Maon et Zackinthe était réellement un obstacle.
Il était arrivé à la forteresse, les soldats thassopoliens prévenus de son arrivé s’étaient mis en rang pour accueillir leur palatin. Le nombre de soldat de la République dans la cité ne cessait d’augmenter au fur et à mesure que la cité recouvrait le sable. Le rouge s’adressa au capitaine de la garde locale.
Capitaine vous avez terminé les préparatifs d’expulsion des larbins d’Aquilodon de notre cité ?
Tout est prêt votre Sainteté !
Et bien expulsez moi cette engeance le plus rapidement possible de notre sainte province. Et faite le si possible de la manière la plus violente possible. Je veux que le géant explose de colère lorsqu’il apprendra la nouvelle. Exécution !
A vos ordres seigneur von Séviand !
Tout se passa très vite, les soldats thassopoliens s’emparèrent des ouvriers qui n’avaient pas d’arme et les firent monter de force dans des chariots prévus à cet effet. N’hésitant pas à en molester quelques un au passage. Puis les chariots partirent loin de la cité escorté par des cavaliers jusqu'à la riviére qui marquait la séparation avec Zackinthe.Le Rouge regardait la scène d’un air amusé. Il avait hâte de voir comment réagirais le principale destinataire de la provocation. Il envoya immédiatement une lettre demandant des renforts à Thassopole.
Il éperonna sa monture qui fonça à travers le désert de Zackinthe, il était temps de jouer avec le seigneur de Ménéxène, Thassopole allait le provoquer incessamment jusqu’à ce qu’il passe lui-même à l’attaque et rompe la paix impériale. A ce moment là il écraserait le géant avec toute la puissance de Brak et de Thassopole, il était Aedric von Séviand, le poing de Brak. Il ne perdrait pas, Prévéze était en pleine crise et était lié par un pacte de défense à la République, Scitopole, Naxopole et Mésomnon sans aucun chef compétant, Edhesse qui ne bougerait pas. Seul Maon et Zackinthe était réellement un obstacle.
Il était arrivé à la forteresse, les soldats thassopoliens prévenus de son arrivé s’étaient mis en rang pour accueillir leur palatin. Le nombre de soldat de la République dans la cité ne cessait d’augmenter au fur et à mesure que la cité recouvrait le sable. Le rouge s’adressa au capitaine de la garde locale.
Capitaine vous avez terminé les préparatifs d’expulsion des larbins d’Aquilodon de notre cité ?
Tout est prêt votre Sainteté !
Et bien expulsez moi cette engeance le plus rapidement possible de notre sainte province. Et faite le si possible de la manière la plus violente possible. Je veux que le géant explose de colère lorsqu’il apprendra la nouvelle. Exécution !
A vos ordres seigneur von Séviand !
Tout se passa très vite, les soldats thassopoliens s’emparèrent des ouvriers qui n’avaient pas d’arme et les firent monter de force dans des chariots prévus à cet effet. N’hésitant pas à en molester quelques un au passage. Puis les chariots partirent loin de la cité escorté par des cavaliers jusqu'à la riviére qui marquait la séparation avec Zackinthe.Le Rouge regardait la scène d’un air amusé. Il avait hâte de voir comment réagirais le principale destinataire de la provocation. Il envoya immédiatement une lettre demandant des renforts à Thassopole.