Cela fessait deux jours, que Ken avait quitté le campement rebelle avec ses hommes. Deux jours de marche forcée pour convaincre les impériaux sur leurs destinations. Alors que les hommes n'en pouvaient plus, il continua à avancer. Et c'est seulement à la tombée de la nuit qu'il laissa ses compagnons se reposer et c'est au petit matin qu'ils repartaient en direction de Thassapole. Au deuxième, à la tombée de la nuit, Ken ordonna aux hommes de préparer le campement. Alors qu'il regardait une carte sur un tronc d'arbre avec l'aide d'une lanterne, un homme d'une trentaine d'année arriva et lui dit avec une voie remplir de peur et de crainte :

« Ken, les hommes parlent entre eux depuis que Fen a tué le blanc bec. Il en a certain qui veulent déserter alors que d'autres veulent la mort de notre chef et ses bras droits. Et en plus ils sont fatigués moralement et physiquement... Et nous n'avons plus assez de nourritures pour les nourris. »

Le bras droit du chef rebelle regarda l'homme et lui répondis avec une vois trop calme pendant une telle situation :

« Merci, Skoll pour tes infos, mais j'ai des arguments qui pourrons leurs faire changer d'avis. »

Après avoir dit ces paroles, Ken rangea la carte et alla dans une des tentes pour s'allonger sur le sol. Il se mit à réfléchir comment il allait calmer cette bande de fous furieux. Alors que pendant ce temps, alors que les cuisinées avaient fini de préparer le repas et qu'ils commençaient à servirent leur compagnons. Ceux-ci commençaient à parler entre eux de la qualité et de la quantité de la ration quand ils firent un groupe de guerriers jeter leurs rations et prirent leurs affairent et se mit à marché en direction du nord. Les soldats les plus proches voulurent s'avoir pourquoi ils partaient. Ils leurs répondirent pourquoi il vaut obéir à des types qui les nourrir mal et qui tues les amis pour avoir refuser d'aller pioncer. Plus le temps s'écoulaient et plus le ton montaient entre ceux qui voulaient partir et ceux qui sont resté fidèles. Skoll Essais de calmé le conflit mais en voyant qu'il ne pourrais réussi, il alla voir Ken en courant comme s'il avait un démon derrière lui. Il vit que Ken sommeillait, il le réveilla en le secouent vite mais sans force, tout en disant :

« Réveilla toi, les hommes font bientôt s’entre-tuer... Il faut que tu les calmes. »

Ken se leva et alla voir ce qui se passa. Et ce qu'il vit le perturba, car les hommes avaient dégainer leurs armes et se préparaient pour un combat à mort. Le bras droit de Fenrir pris son soufflet et hurla de toutes ses forces :

« Qu'est qui se passe ici ? »

Les hommes stoppaient leurs actions et se retourna vers leur chef. Et l'un d'entre eux sortir de la masse d'homme et alla vers Ken et lui dit :

« Nous ne voulons plus nous battre sous les ordres de Fenrir. »

« Et pourquoi ? »

« Car il nous considères comme de simples bêtes. Il pourrait tue nos amis, alors qu'ils ont refusé d'aller dormir où qu'ils ont parlé du passé de Fen. »

Ken avait écouté les dernières paroles du guerrier et il put comprendre pourquoi ils ne veulent plus les suivre. Il repris la parole avec une voie plutôt calme :

« Je comprends vos revendications, mais vous ne connaissez pas Fenrir comme moi... Je dois avouer qu'il est une brute, qui fonce dans le tas et qu'il a la colère facile, mais il a une aura qui me force à rester auprès de lui. Il apprécie la vie dans les moindres recoins... Il apprécie ses amis, ses compagnons et il protégerait ses amis jusqu'à la mort. Il tient toutes ses promesses. S'il nous dit qu'il va reverser l'empire, on peut lui faire confiance. Je pourrais le suivrez dans les enfers sans aucune hésitation. »

Les rebelles se mirent à parler entre eux pour s’avoir s’ils continuaient à suivent Fenrir ou partir en direction des autres provinces pour se faire oublier. L’homme qui avais répondus à Ken, souri et pris une voie plutôt neutre :

« Tu sais bien parlé, mais il a une chose qui me dérange. »

« Et c'est quoi »

« Comment tu as fait pour devenir le bras droit de notre cher chef »

« C'est simple, après ma première rencontre avec lui, je me suis battus avec lui pour s'avoir qu'il était le plus fort et malheureusement je me suis fait battre à cause de sa force brute. »

« En deux mots tu es faible »

Ken en entendant cette réponse, fit un large sourire avant de dire :

« Tu es sur... tu veux vraiment me combattre. »

« Et comment, si tu gagnes nous resterons avec vous et si tu perds tu nous laisses partir. »

« J'accepte les conditions...Prépare toi au combat. »

Ken et le guerrier dégaina leurs armes alors que les autres rebelles formèrent un large cercle qui mit les deux combattant au centre de cercle. Alors que Ken avait sorti une belle épée d'acier incrusté de fine ligne d'argent, son adversaire avait pris une hache à double tranchant dans la main droite et une masse d'arme dans celle de gauche. Puis pendant quelques minutes les combattant se regardèrent droit dans les yeux. Puis l'adversaire de Ken attaqua en portant plusieurs attaques rapides avec ses deux armes. Ken esquiva les attaques et bloqua une attaque de la masse d'arme. Après avoir esquivé le premier assaut, Ken fit une contre attaque qui surprit son ennemi. Celui-ci réussi à parer son attaque en bloquant l'épée du commandant rebelle avec sa hache et en profita pour lancer une attaque avec son autre arme en directions des cotes de son adversaire. Ken sauta en arrière, mais ne pus esquiver entièrement l'arme qui lui brisant une côte. Du sang coula de sa bouche. Il observa son adversaire foncé sur lui sûr de sa victoire. Alors que le guerrier envoya ses deux armes sur la tête de son adversaire. Le commandant rebelle fit un pied de pivot et pus ainsi esquiver les attaques et se retrouver ainsi sur le coté droit de son adversaire et mis sa lame sous la gorge de son adversaire. Et lui dit :

« C'était un beau combat, mais tu as perdu. »

Son adversaire jeta ses armes avec force, repoussa l’épée de Ken avec douceur, puis il retourna vers ses compagnons et leurs ordonna de déposer leurs affaires. Ken parler assez fort pour se faire entendre de tous :

« Mes amis nous allons changer notre plan. »

Les rebelles l’écouta attentivement pour s’avoir pourquoi et comment allais dérouler ce fameux plan. Le bras droit de Fenrir repris la paroles après s’être assurez d’avoir l’attention de tout le monde, continua à parler :

« Nous allons nous séparez. Moi et ceux qui veulent me suivent irons comme prévus vers les armées de notre alliez pour faire diversion pour que les impériaux pensent qu'on va ils allaient. Pendant que l'autre partir va se disperser pour allez dans les villages d'Edhesse pour les convaincre de venir avec nous et pour cela vous allez leur donnes un coup de main dans leurs quotidiens. Celapeu dure plusieurs jours ou des semaines, mais quand vous allez entendre que l'armée rebelle se met en marche vers Perganon. Vous nous rejoignez avec le plus de recru possible. »

L’ancien adversaire de Ken avait écouter ces paroles avait attention et pris la paroles :

« C’est une bonne idée, mais nous avons plus de nourritures et nos hommes réclame leurs payes. Il vaudrait que nous attaquons les chariots de ravitaillement des impériaux »

« C’est hors de question, si nous fessons ça, le plan sera découvert et la ville sera fortifier et remplir d’homme et on n’aura aucune chance de pour le prendre après. »

Alors que les deux hommes se disputaient comment agir, une sentinelle vient les voir, on pouvait deviner qu’elle avait courus le plus vite possibles. Il traversa le cercle des guerriers, en écartant toutes personnes qui se trouvaient sur son chemin et quand il put enfin arriver prés des deux hommes, il leur dit tout en reprenant son soufflet :

« Chef… Il y a un… convois… d’impériaux…qui se dirige vers nous… »

Ken et le guerrier regarda le nouveau venu. Le commandent rebelle pris les épaules de la sentinelles et lui demande :

«Dit moi l’ami, il a combien d’impériaux et d’où viennent-ils ? »

« Ils viennent de la direction d’où on voulait allez… ils sont environs 500 hommes et ils escortent une vingtaine de chariots… j’ignore ce qu’ils contiennent. »

Ken lâcha les épaules de la sentinelle, puis se met à réfléchir. Il valais calmé les troupes en leurs proposant un combat contre ce convois et que s'il refusais. Ils n'aurons aucuns mal et lui trancher la tête. Il n'avais pas le chois.Puis il regarda ses troupes tout en disant :

« Mes amis, l’empire nous a donné un magnifique cadeau… Nous allons les attaques pour prendrez leurs nourritures et leurs pièces d’ors. Vous serez rassasiez et vous aurez votre soldes en avances, mais pour cela il va falloir se battre le ventre vide, fatiguer mais nous avons le double d’hommes comparer à eux et nous aurons l’avantage de l’effet de surprise. Êtes-vous avez moi ? »

Et tous les rebelles présents hurlèrent un seul mot en même temps :

« Oui »

« Alors, allons leurs préparez notre embuscade. »

Ken demanda alors à l’éclaireur de leur montrer le chemin puis ordonna à sa bande de le suivre. Ils partirent sur le chemin et se mirent à l’abris des ombres de la forêt.