Recrutement Corporation des Combattants

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Aëldred se leva, remercia le maïtre d'arme et partit signer le registre . Il quitta ensuite le hall et alla respirer l'air frais après cette longue attente

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Aprés plusieurs jours de chevauchée, Katherina arriva, enfin, à la cité impériale. Elle suivit les indications des citadins pour se rendre à la guilde des guerriers.
Arrivée à celle-ci, elle descendit de son destrier et sans mot entra dans cette dernière. Elle toisa les nouveaux venus, puis traversa la cour centrale pour pénétrer dans le bâtiment administratif des inscriptions.
Se présentant devant le pupitre du maître d'arme, elle le salua d'un simple signe de tête puis prit la plume et signa le registre.
Par la suite, elle sortit de la bâtisse et remarqua Lyam O'Banon.
Katherina se dirigea vers lui, l'air déterminé, et se planta face à l'homme.
Elle le regarda de haut en bas, puis le fixa droit dans les yeux esquissant un rictus moqueur.
A ce moment, son sourire se changea en moue de colère et elle le dévisagea avec mépris.
Enfin, elle fit demi-tour et commença à cheminer vers la sortie de la caserne, passant non loin de Baplens, elle le fixa avec arrogance et cracha au sol pour lui montrer son antagonisme.

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Baplens était revenu du tribunal... Mais a peine arrivé ses ennemis le regardaient tous droit dans les yeux...
Baplens se sentait mal a l'aise mais pensait qu'au moins, il était connu ici... Puis, apres le crachat de Katherina a son égard qui avait attérit a ses pieds répondit d'un ton grave...

Certes Kaltherina, nous sommes ennemis, mais... Si votre anthipathie envers moi ne peux se faire resentir ailleur, alors je sens que nous devrons nous affronter en duel ... Mais en meme temps, je me dis qu'affronter une petite péripatéticienne telle que vous n'est pas loyal bien que vous savez se que j'en pense de la loyauté...
De plus, vous ne faites pas le poid...
Toutefois, fais gaffe a tes terres ma cocotte.

Baplens eut un large sourrire... Puis avec mépris, continua...

Au fait cocotte, que viens donc tu faire dans un tel batiment ?
Comptais-tu ramasser des fleurs ou jouer les prostituées ?

Baplens explosa de rire devant Katherina qui commençait a s'enerver...

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Katherina, le fixant avec colère, éclata de rire à son tour, puis lui répondit ironiquement et avec arrogance :

"Ces insultes venant d'un traître à l'Empire ne me touche pas, comment un faquin sans honneur et sans loyauté, comme vous, a réussi à passer les portes de la ville...
De toute façon tout comme la vermine, vous passez par les égoùts puants pour vous introduire dans les cités, même si elles vous sont interdites.
De plus, vous osez venir ici... à la guilde des guerriers...
De toute façon la honte ne fait pas partie de votre vocabulaire, lorsqu'on est le bâtard d'une truie et d'un kobold.
Combien les a-t-elle payé pour qu'ils la souillent ?
Votre mère a du prendre du plaisir avec ces créatures répugnantes, à en voir votre apparence, vous portez trés bien les traits de votre père.
De toute façon, il est vrai que les femmes dirigent chez les drows, un régime matriarcale, cela en dit long sur la virilité masculine de votre race...
Enfin... Je vous aurez plus vu en soubrette qu'en guerrier, avec un joli petit tablier..."

Elle fit une pause de quelsques secondes et reprit avec aggressivité et inimitié :

"Aller ! Retournes dans tes profondeurs fétides et ravales tes paroles abjectes ! Le drow ! Vas lécher les pieds de ta catin de matriarche et joues ton rôle de bon esclave !
Et si tu veux en découdre ! Inverti ! Je suis ta femme et je me ferais un plaisir de t'arracher les yeux avec mon drachenfaust !"

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Les rides de Baplens s’intensifiaient, on sentait toute la rage qui courrait en lui en ce moment même... Ses yeux rougeoyaient tel un volcan en éruption...
Puis il se calma peu a peu et répliqua d'un ton féroce...

Sale garce, comment oses-tu ?!
Ce n'est pas par ses insultes insignifiantes et non fondées que tu parviendras à mettre en doute mon sang froid...
Certes tu mérites une bonne leçon... Mais sache que ton royaume ne demeurera plus longtemps sur Kalamai.

Baplens eut un petit sourire et dis...

Hum… Tu as de l’audace cocotte… Tu oses donc critiquer ma race ?
Tu oses également parler de mes parents alors que tu ne les connais pas ? Pour moi, parler dans le dos des personnes, c’est un signe de faiblesse et de non intelligence… Haaaa ! Normal, tu es humaine !
Comment aurais-je pus l’oublier ?!

Il prit son souffle, et continua…

Tu parles de honte ? Effectivement, je ne connais pas la honte… Mais toi tu devrais bien la connaître puisque tu devrais avoir honte d’oser me faire face…
Quand à mon accès en ses lieux, les gardes me laissent passer car je ne suis pas ici pour semer le trouble mais pour l’entraînement et mon agilité dans mes combats a armes… Où plutôt, a l’épée. Même si effectivement, je n’en ai certainement pas besoin contrairement à toi…
Je me demande vraiment se que tu peux bien faire ici toi… Pour cracher dans les lieux publiques de Kalamaï, ou bien comme je l’ai dis dans mes précédents dires ?

Baplens fixait sa vis-à-vis d’un air farouche et pernicieux… Puis continua, toujours avec sa même impression stoïque…

Disais-tu que je devrais porter un tablier ? Peut-être devrais tu porter une petite jupe avec des petits cœurs dessus sans oublier ta petite lingerie mimi et sexy pour attirer tes clients !
Tu parlais d’égouts également ? Désolé mais… Tu ne connais point suffisamment notre race pour porter de tels jugements écervelés…

Spoiler:

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Katherina commençait à s'équiper de son Drachenfaust, tout en fixant Baplens, lui souriant et rétorqua ironiquement, toujours sur un ton arrogant :

"Auriez-vous besoin de vous réfugier derrière vos hommes pour m'affronter ?
De me menacer en mettant toujours en avant que je vais perdre mon royaume ?
Vous êtes donc si lâche, comme vos aieux par le passé au cours de la Guerre des Quatre durant l'Âge d'Ebène, que vous n'osez point sortir vos armes pour me défier !
Auriez-vous peur de vous casser un ongle la donzelle ?
Voyez-vous, c'est ceci qui fait notre différence.
Nous, humains, avons su gagner notre liberté, à la différence de vous, qui vous êtes, vous-même, emprisonnés dans les ténèbres.
Et aprés vous me dites que je suis hypocrite !
Alors que je me tiens devant vous à vous remémorer la vérité passé et présente !
Pour l'instant, la seule personne malhonnête, faible, incohérente et stupide en ces lieux est celui qui a ces origines tirées de la désertion, la duperie et du machiavélisme.
Et cette personne se tient devant moi !
Alors maintenant, agissez comme un homme ! Et non comme une courtisane effarouchée !
Sortez vos armes ! Au lieu de vous cacher derrière votre puissance militaire !
Combattons face à face jusqu'au premier sang !
Je vous défie impie !"

Katherina dégaîna son épée bâtarde et se mit en position défensive, attendant l'offensive de Baplens.

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Une ombre apparu tout a coup entre Baplens et Katherina, Sidirr savait qu'il n'avait pas sa place ici mais une force inconnu l'avait poussez a s'interposer entre ces deux êtres.

Allons je vous demande un peu de calme je vous prie, ce n'est pas le lieu pour vous affrontez, si vous continuez ainsi les gardes vont venir et vous vous retrouverez au cachot tout les deux.

Les deux interlocuteurs semblait surpris d'une si soudaine apparation.

Ah mais ou sont mes maniéres il est vrai que je ne me suis pas présenté, je me nomme Sidirr, elfe noir de naissance.
J'ai assité à toute votre scéne de loin il est vrai que vous semblez vous hair ce qui semble être normal entre un humain et un drow mais je vous en conjure reprenez votre calme ou il me faudra intervenir et vous risquez alors d'en souffrir tous les deux.

Une fois ses déclarations terminées Sidirr sortit son bâton et resta entre Baplens et Katherina impassible, prêt à deployer toute sa magie même si cela devait lui couter le cachot.

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Katherina fut surprise de voir un elfe noir se comporter aussi dignement et protéger l'un des leurs.
C'est vrai qu'il est rare de voir deux représentants de cette même race se porter assistance, en particuliers lorsque ceux-ci ne se connaissent pas.
Habituellement, ils s'entretuent pour se voir attribuer les bonnes grâces de leur matronne.
Elle se disait que celui-ci devait être le peu d'entre eux doués d'intelligence et de bonté comme Auréa ou Iseult.
Un léger rictus, au coin des lèvres, elle rengaina son épée, gardant son Drachenfaust en main, au cas où Baplens tenterait d'attaquer.
Puis elle prit la parole, calmement :

"Enchantée de vous connaître, sire Sidirr, Katherina Klaüs Pösen.
Il est rare de voir un drow démontrer un tel courage et tant de sagesse. Il serait de bon escient que ceux de votre race apprennent ces principes mais tous ne sont pas doués d'une intelligence supérieure tel que la vôtre ou celle d'Auréa ou Iseult.
Les seuls elfes noirs que je respecte pour leurs idéaux, pour leur ferveur et la loyauté qu'ils montrent à la couronne impériale."

Puis s'adressant à Baplens, plus sèchement :

"J'en reste là, pour l'instant, le drow !
Mais remercies cet homme de s'être interposer car la prochaine fois tu n'auras pas cette chance. Maintenant, tu lui dois une vie, ne la gâches pas."

Sur ses mots, Katherina fit demi-tour et se dirigea vers la sortie de la caserne.

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Voyant que la dispute s'était arrêté et que l'un des deux protagoniste s'était éclipsé, Sidirr salua Baplens et parti par la porte cette fois se dirigeant vers la taverne de la ville.

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Baplens était bouche bée... Il ne savait pas comment s'y prendre...
Puis il marmona...

Comment a t-il pu quitter la cohorte ? Par peur des PI ?

Beaucoup de questions circulaient en ce moment dans la tete de Baplens.
Il était en rage...

Comment se traitre a t-il pu nous séparer ainsi ?
Pourquoi n'ai-je pas agit avant qu'elle me fuie...
Comment la perfidie de cette courtisane a t-elle pu lui permettre de fuir ainsi... Arf... Ses humains... Tous aussi scélérats et insidieux...
Comment un elfe noir peut-il avoir un comportement comme tel ?
Hahaha! Il pourra crier son cruel sort d'apatride... Il fait honte a notre race...Peureux...
Il ne l'emmenera pas au paradis... A moins qu'il me présentes ses excuses les plus sincères...
Quand a cette Katherina, je jure solennellement qu'elle me le paiera...

Baplens se posa sur une marche a l'intérieur de la caserne et gambergea seul et dans le calme...

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L'elfe avait signé le papier avec empressement. En rejoingnant le centre de la cour, elle avait entendu des éclats de voix. Une dispute venait surement d'éclater.
Elle s'approcha du rempart derrière lequel la discussion se passait lorsqu'elle entendu un rire puissant. Cela ne faisait aucun doute: C'était son chef qui s'esclaffait! Elle approcha lentement. Elle aperçu une jeune femme et l'entendit insulter son supérieur. A la vue de l'épée que tenait fermement cette dernière, elle sortit a nouveau son arc, tendit une fleche jusqu'à que sa plume frôle sa joue. Elle attendit lors de l'ultime provoquation de la jeune femme, elle n'hésitat pas elle commença a viser l'épaule et au moment ou la flèche allait jaillir, un drow apparut. Il parut qu'il appaisait les tensions. Voyant la femme partir, elle se ravisa, et rangea son arc puis attendit le départ du drow. Son chef en pleine réflexion, elle s'approcha:

Bonjour seigneur... J'était tappie dans l'ombre, prête a intervenir. J'allais éliminer cette traitresse au moment où l'autre drow est apparut.

Devant la mine intriguée et soucieuse du drow elle avança:

Un vrai combattant doit toujours pret a se battre non? Je vous aurait défendue c'est sûr. Venez, entrons.

Elle l'accompagna et lui souffla en entrant:

J'ai mis mon arc, mes flèches, et mon âme au service de la cohorte, toute la cohorte et bien qu'elfe, je m'illustrerait dans le chaos...

Elle attendit patiemment que son Chef signe pour le retrouver. Elle lui confiat:

Je suis impatiente de commencer l'enseignement ici!

Elle se surprit a envier un poignard accroché a la ceintyre d'un commandant et se concentra sur la situation. Elle attendit un signe des dirigeants de la guilde avec toujours autant d'impatience...

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La voila qui revenait des villes, le temps ne lui avait pas manqué mais elle ne connaissait toujours que bien peu de choses en ces lieux.
C' est pourquoi les chuchottements au sujet d' un "Tribunal" ne lui avait rien évoqué.

Mais de toute évidence, la querelle actuelle y voyait un rapport, ce n' était pas plus mal, elle n' avait pour l' instant ni amis, ni ennemis en un sens, du moins, pas dans cette ville.

Elle préféra s' écarter de toute cela et s' approcha du registre afin de le signer délicatement, de sa main gauche.
Une gauchère, archer, elle le savait, pour le matériel, elle risquait d' énerver son maitre d' arme mais tant pis.

Après un sourire au chef de cette guilde, elle partit se poster un peu en retrait, s' avouant tout de meme que le crachat de cette dame aurait put être évité et qu' il ne dévoilait là qu' un manque cruel d' éducation.
Certes elle n' avait rien de noble mais elle n' aurait jamais osé pareille chose.

Le bien, le mal, ici, elle n' en saisissait plus grand chose, mais si la différence n' était pas faite dans cette guilde, elle ne la ferait pas.

Citation :: Bonjours à tous, je vous rappelle que cet article est à l'usage des inscriptions pour la guilde seulement. Maintenant, il vous faut inscrire votre nom via le tableau d'affichage, les activités de la guilde vont bientôt débuter. Si ce n'est pas fait, le membre se verra être expulser sur le champ.

Pour les autres demandes, vous pouvez toujours le faire jusqu'à bientôt.

Chef de la Guilde des Combattants

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Haltrun se leva et alla signé à son tour le registre,

puis, avec un air intéressé, il suivit un chevalier qui venait de sortir...

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Un paladin arriva au galop. Il descendit rapidement de son destrier et s'adresse aux gardes.

"Salutations, je me nomme Aryo. Je souhaite rejoindre mon maître Shavo, déjà inscrit à la guilde. L'entrée m'est-elle ouverte ? Etant paladin moi-même, je suis prêt à signer les registres que vous souhaitez bon que je signe !"

Citation :: Haltrun, tu doit signer le registre à la Guilde des Combattants

Un unique garde guildien était chargé maintenant des inscriptions et de la protection du bâtiment. Il alla à la rencontre du jeune dernier.

- Hola petit! Tu compte rejoindre les combattants de Kalamaï? Sache que seul le courage et la force font un bon serviteur de l'impératrice. Ton maître étant le sieur Shavo, je t'accordera une chance. Souhaite seulement que le chef t'aime bien, lui.

Il lui remis un petit papier lui indiquant le lieu secret où est la caserne de la Guilde des Combattants.

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Edgi arriva devant la batisse et vit le panneau avec les autres noms et inscrivit le sien lui aussi et s'en fut vers Naxos

Le chef de la Guilde des Combattants étant présentement en croisade pour Argostole, son fils Kirsif en avait profité pour aider le remplacent de ce dernier, le paladin et second de la guilde Shavo, en lui enlevant la tache du recrutement. Un certain, Egi, non Edgi, avait signé son nom sur le panneau indiquant qu'il serait intéressé à rejoindre la guilde. Il n'avait pas l'air très motivé et n'avait pas eu le temps de s'entretenir avec lui. Le lieutenant en chef Kirsif envoya donc une missive écrite pour le seigneur Edgi.

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Apres un voyage asser eprovant Edgi arrivat devant la Guilde des Combattants. Il s'imobilisa un instant devant la batisse pour la comtemplée.
Apres quelques minutes de pause il entra, il aperçut un garde et s'approcha de lui et lui dit :

Salutations, je cherche Kirsif le fils du chef, il m'a envoyé une missive ...

Il lui montra la missive

Citation :: Seigneur Edgi,

Vous avez posté une missive au poste de recrutement de la Guilde des Combattants. Pour que celle-ci soit accepter, vous devrez vous présenter en personne devant le recruteur, présent au bâtiment, et lui indiquer vos intentions et vos motivations.

Kirsif, fils du chef,

Et attendit que le garde la lise et lui donne la réponse qu'il attendait

Le garde examina précieusement la missive puis lui l'invita à rejoindre le premier lieutenant Kirsif dans son bureau. Ce dernier s'exécuta.

- Bien à vous seigneur de l'étranger. Je suis très heureux de vous voir en personne. Sachez que j'accepte votre demande. Nous avons besoin présentement de beaucoup de combattants comme vous car la menace ennemi pèse lourd sur la ville impérial et nous nous devons de la défendre. Si vous n'êtes pas à la hauteur, le chef le sera...

Puis Kirsif se leva et sortit de sa poche une clé. C'était le nouveau passeport d'Edgi pour la Guilde des Combattants.

Invité

Edgi suivit le garde et s'asit dans le bureau et ecouta ce que Kirsif dit.

Merci, mais... que veut dire :Si vous n'êtes pas à la hauteur, le chef le sera...
?

IL se leva comme Kirsif.

Je dois vous prevenir je suis plutôt irritable et tres enclin a la guerre comme au duels ...
Mais j'attends une réponse.

Le lieutenant Kirsif regarda dans les yeux le jeune Edgi.

- Ce que je dit n'importe peu, c'est votre motivation à combattre auprès des Combattants qui est important. Nous avons besoin de vous.

Il lui remis à la main la clée.

Invité

Edgi reçut la clée de la main de Kirsif et lui dit :

Merci. Je suis toujours pres a combattre mais je fais aussi parti de l'Ombre Chaotique ne l'oublier pas.

Il partit ensuite vers la guilde.

Invité

Jarek approchait de la guilde, malheureusement à pied, à cause des recentes guerres, les montures capable de transporter un minotaure se faisaient rares et coûteuses.
Le guerrier dont les épaules et quelques autres rares parties de son corps étaient recouvertes de lourdes plaques d'armure et qui possedait une impressionnante hache à double tranchant qui siégeait fiérement attachée dans son dos, ainsi que deux pieux de guerre pendus à son ceinturon, s'approcha d'un pas lent mais rythmé à la maniére des cadences militaire du garde qui se trouvait à l'entrée et lui tînt se language:

"Je viens pour m'engager dans cette guilde..à qui dois-je m'adresser?"

Aux derniers mots du minotaure, le fils du chef de la Guilde des Combattants, Kirsif, répondu à l'appel.

- Vous devez vous adresser à moi jeune recrue, dit-il en souriant. Je suis le fils du chef de cette guilde et je remplace donc ce dernier étant partit en mission pour Argostole. Dit donc, vous êtes bien grand! Je crois bien qu'un colosse comme vous aidera fortement la guilde. Nous partons souvent en mission et nos membres sont très motivés, si vous êtes de ceux-ci alors je vous souhaite la bienvenue.

Le guerrier semblait assez étonné. Kirsif lui remit un passeport donnant accès à la caserne.