A l'extrème Sud-Est de Scitopole se tient la cité portuaire d'Opselimbe, Oasis en bordure d'une région aride et désertique. Elle a été construite sur les ruines d'une ancienne métropole par une coalition de marchands dans l'espoir d'exploiter les richesses de l'ancienne cité tout en mettant en place un port de commerce efficace.
Aujourd'hui les descendants de ces marchands sont devenus les Princes-Marchands d'Opselimbe, foramant de grandes familles et libres entreprises vivant dans les demeures et le faste restaurés des anciens sultans disparus. Les batiments blancs, les temples aux minarets colorés sont reliés par des rues qui serpentent entre les places de marché et les soucs. Plus de dix-huits langues et dialectes servent régulièrement sur ces lieux de commerce bruyants et animés pour permettre le voyage des caravanes et l'affretement des bateaux.
Dans le silence des temples, loin des fastes et des négoces, sont formés les moniales qui défendent la cité et ses caravannes. Tous les cultes de la lumière y sont célébrés at chaque divinité dispose de sa chapelle dédiée où méditent et s'entrainent les moniales prêtes à la mort.
Le temple le plus important est celui de Folaniss que l'on dit protéger la première famille de Scitopole, celle du Duc de Bise, qui traditionnellement représente les intérêts de la cité à l'extérieur et doit faire appliquer les décisions du tortueux Sénat appointé par les Princes-Marchands.
Les Princes voient en effet en premier lieu leur bénéfice mais jamais au mépris des préceptes du cultes ou du bon droit. Préférant souvent rester neutres, il leur arrive cependant de venir au secours des plus opprimés - certains diront de leurs futurs clients!
Une administration fort complexe gère et analyse la croissance de la cité et peut démettre les sénateurs en cas de bilan négatif ou d'oubli des anciennes traditions.
Car tel est le coeur des citoyens du royaume mercantile : aussi avare que bienveillant!
Tout dernièrement, l'accession au pouvoir de la Première Dame Arianthe, Duchesse de Bise par alliance et d'extraction populaire ( à ce que dit la rumeur), a susctité un renouveau de passion pour les cultes de lumière et les évènements extérieurs. La jeune veuve aux tenues légères et au tempérament charitable fait chavirer les coeurs et pousse les plus réticents à se tourner vers la générosité mesurée, mais désintéressée.
Aujourd'hui les descendants de ces marchands sont devenus les Princes-Marchands d'Opselimbe, foramant de grandes familles et libres entreprises vivant dans les demeures et le faste restaurés des anciens sultans disparus. Les batiments blancs, les temples aux minarets colorés sont reliés par des rues qui serpentent entre les places de marché et les soucs. Plus de dix-huits langues et dialectes servent régulièrement sur ces lieux de commerce bruyants et animés pour permettre le voyage des caravanes et l'affretement des bateaux.
Dans le silence des temples, loin des fastes et des négoces, sont formés les moniales qui défendent la cité et ses caravannes. Tous les cultes de la lumière y sont célébrés at chaque divinité dispose de sa chapelle dédiée où méditent et s'entrainent les moniales prêtes à la mort.
Le temple le plus important est celui de Folaniss que l'on dit protéger la première famille de Scitopole, celle du Duc de Bise, qui traditionnellement représente les intérêts de la cité à l'extérieur et doit faire appliquer les décisions du tortueux Sénat appointé par les Princes-Marchands.
Les Princes voient en effet en premier lieu leur bénéfice mais jamais au mépris des préceptes du cultes ou du bon droit. Préférant souvent rester neutres, il leur arrive cependant de venir au secours des plus opprimés - certains diront de leurs futurs clients!
Une administration fort complexe gère et analyse la croissance de la cité et peut démettre les sénateurs en cas de bilan négatif ou d'oubli des anciennes traditions.
Car tel est le coeur des citoyens du royaume mercantile : aussi avare que bienveillant!
Tout dernièrement, l'accession au pouvoir de la Première Dame Arianthe, Duchesse de Bise par alliance et d'extraction populaire ( à ce que dit la rumeur), a susctité un renouveau de passion pour les cultes de lumière et les évènements extérieurs. La jeune veuve aux tenues légères et au tempérament charitable fait chavirer les coeurs et pousse les plus réticents à se tourner vers la générosité mesurée, mais désintéressée.