Arrivé au pied des portes de la cité, les deux hommes s'arrêtèrent. Tous deux étaient vêtus d'une cape, mais celle du plus petit dissimulait un pantalon de toile rouge foncé et des lanières de cuir noir lui entourant tout le torse et les bras, tandis que l'autre était vêtu de vêtements en toile noire.
Le plus grand pris la parole :
-"C'est ici que je te laisse. Je t'ai appris tout ce que tu devais savoir, à toi désormais de faire ton chemin tout seul. N'oublie jamais ton enseignement, car tu ne me verras plus jamais, à moins que j'aie besoin de toi.Tu devras désormais te débrouiller seul, tel que tu le désirais depuis que tu as naïvement quitté la demeure de tes parents. Je te dis Adieu, et bonne chance."
L'Homme fit demi-tour et s'en retourna sans un mot de plus. Pellatarte regarda s'éloigner cet Homme qui l'avait élevé et dont il ne connaissait pas le nom. C'est lui qui l'avait nourrit depuis aussi loin que remonte ses souvenirs, c'est lui qui l'avait éduqué, et c'est lui qui l'avait affublé de ce sobriquet qu'il détestait mais qu'il gardait tout de même en signe de respect envers celui qui avait été sa seule famille. Au bout d'un moment, il fit face aux portes de la cité Impériale, et finit par les franchir. A ce qu'on disait, un groupe de renégats s'était soulevé contre l'impératrice, et il comptait aider à leur éradication. Il se dirigea donc vers la place du village pour s'informer des derniers évenements.
Le plus grand pris la parole :
-"C'est ici que je te laisse. Je t'ai appris tout ce que tu devais savoir, à toi désormais de faire ton chemin tout seul. N'oublie jamais ton enseignement, car tu ne me verras plus jamais, à moins que j'aie besoin de toi.Tu devras désormais te débrouiller seul, tel que tu le désirais depuis que tu as naïvement quitté la demeure de tes parents. Je te dis Adieu, et bonne chance."
L'Homme fit demi-tour et s'en retourna sans un mot de plus. Pellatarte regarda s'éloigner cet Homme qui l'avait élevé et dont il ne connaissait pas le nom. C'est lui qui l'avait nourrit depuis aussi loin que remonte ses souvenirs, c'est lui qui l'avait éduqué, et c'est lui qui l'avait affublé de ce sobriquet qu'il détestait mais qu'il gardait tout de même en signe de respect envers celui qui avait été sa seule famille. Au bout d'un moment, il fit face aux portes de la cité Impériale, et finit par les franchir. A ce qu'on disait, un groupe de renégats s'était soulevé contre l'impératrice, et il comptait aider à leur éradication. Il se dirigea donc vers la place du village pour s'informer des derniers évenements.