Les collines verdoyantes entourant la capitale étaient belles et majestueuses, mais elles avaient un défaut : le manque d’arbre ne donnait pas assez d’ombre pour satisfaire les besoins de tous, et il faisait une chaleur suffocante. Par chance, le soleil commençait déjà à décliner, offrant aux voyageurs une fraîche brise venant du nord. Le chemin se faisait en silence, car le manque de connaissance entre les seigneurs des différentes corporations nuisait aux relations sociales. De petits groupes se formaient pour échanger quelques mots, mais ces rencontres étaient souvent brèves, et l’entrain de la marche déclinait a vue d’œil. Plusieurs regards suspicieux s’échangeaient entre différents seigneurs qui ne se faisaient guère confiance, trop souvent par racisme entre les différentes races et par certaines rumeurs, et les gens du peuple étaient perturbés et se faisaient tout petits, de peur d’attirer le courroux d’un d’entre eux. Tous s’en rendaient compte, et malgré les paroles que l’empereur propageaient pour garder le moral des soldats de l’armée impériale et des gens du peuple, de la lassitude et du désintérêt commençait à faire surface chez ceux-ci.
Alors que le soleil commençait à décliner, l’empereur arrêta le convoi dans le creux entre plusieurs collines pour établir un campement. Cette idée était saluée par ceux qui avaient beaucoup voyagé, car ils savaient qu’un tel relief allait les protéger du vent qui allait sans cesse essayer d’éteindre les feux et de refroidir les peaux. On sortit quelques bûches de plusieurs chariots, et on commença à installer des bûchers sur lesquels on ferait cuire les repas du soir. Un feu plus grand fut installé au centre du campement, et il était réservé aux seigneurs.
Ardent avait aidé à la construction du campement pour qu’il soit facile à défendre et pour que tous soient confortables. Il choisit quelques hommes parmi les siens et les soldats impériaux pour qu’ils partent reconnaître les terres aux alentours, et le double d’autres pour surveiller l’attroupement d’êtres humains qui ressemblait à une petite ville. Une fois ces tâches accomplies, il se dirigea vers le feu, où il remarqua que plusieurs seigneurs y étaient déjà. Une attention particulière leur avait été réservée, car en intervalles réguliers se trouvaient des couvertures étalées sur le sol. L’emplacement avait été choisi avec soin, et personne n’avait d’éléments inconfortables qui dérangeaient son assise. De plus, les siège avaient été placé aléatoirement, mais un esprit brillant pouvait remarquer qu’aucun des sièges improvisés n’était près de ceux avec qui les voyageurs avait le plus parlé dans ce premier jour de voyage. Le commandant se trouvait ainsi séparé des membres de sa corporation, et il fut pris d’un doute. Il ne voulait pas que Dartoil se retrouve entouré d’elfes noirs, ce qui pourrait mener à un incident diplomatique, puis il se ravisa. Le paladin était quelqu’un digne de confiance, et il lui avait dit qu’il n’attaquerait personne à moins qu’une attaque ait été portée sur lui.
La plupart des couvertures étaient encore inoccupées, notamment celles de chaque coté du double blason de la corporation des combattants et de Montfort. Le commandant se demandait avec qui il aurait le plaisir de commencer une soirée de discussions.
HRP : Pour des soins de planification des épreuves, pouvez vous m’indiquer par message privé combien de soldats vous accompagnent lors de la quête? Cela serait très apprécié. Merci d’avance.
Alors que le soleil commençait à décliner, l’empereur arrêta le convoi dans le creux entre plusieurs collines pour établir un campement. Cette idée était saluée par ceux qui avaient beaucoup voyagé, car ils savaient qu’un tel relief allait les protéger du vent qui allait sans cesse essayer d’éteindre les feux et de refroidir les peaux. On sortit quelques bûches de plusieurs chariots, et on commença à installer des bûchers sur lesquels on ferait cuire les repas du soir. Un feu plus grand fut installé au centre du campement, et il était réservé aux seigneurs.
Ardent avait aidé à la construction du campement pour qu’il soit facile à défendre et pour que tous soient confortables. Il choisit quelques hommes parmi les siens et les soldats impériaux pour qu’ils partent reconnaître les terres aux alentours, et le double d’autres pour surveiller l’attroupement d’êtres humains qui ressemblait à une petite ville. Une fois ces tâches accomplies, il se dirigea vers le feu, où il remarqua que plusieurs seigneurs y étaient déjà. Une attention particulière leur avait été réservée, car en intervalles réguliers se trouvaient des couvertures étalées sur le sol. L’emplacement avait été choisi avec soin, et personne n’avait d’éléments inconfortables qui dérangeaient son assise. De plus, les siège avaient été placé aléatoirement, mais un esprit brillant pouvait remarquer qu’aucun des sièges improvisés n’était près de ceux avec qui les voyageurs avait le plus parlé dans ce premier jour de voyage. Le commandant se trouvait ainsi séparé des membres de sa corporation, et il fut pris d’un doute. Il ne voulait pas que Dartoil se retrouve entouré d’elfes noirs, ce qui pourrait mener à un incident diplomatique, puis il se ravisa. Le paladin était quelqu’un digne de confiance, et il lui avait dit qu’il n’attaquerait personne à moins qu’une attaque ait été portée sur lui.
La plupart des couvertures étaient encore inoccupées, notamment celles de chaque coté du double blason de la corporation des combattants et de Montfort. Le commandant se demandait avec qui il aurait le plaisir de commencer une soirée de discussions.
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