Arrivée dans la Cité de Perganon

Nous avions enfin quitté le fort Altaron à mon grand soulagement. C’était un lieu qui respirait l’oppression avec ces hautes murailles. Mais cette halte avait été nécessaire pour penser nos plaies et ça m’avait permit d’interroger l’ennemi.

Je chevauchais en tête avec mes homologues des Corporations ainsi que les membres impérieux. Je n’avais pas l’habitude à prendre temps d’honneur et à laisser mes hommes et collaborateurs de l’Ombre en arrière. Mais il fallait que nous nous entretenions de certaines choses sensibles et nous n’avions déjà passé que trop de temps à nous reposer au fort.

Nous arrivâmes donc à Perganon, capitale de la noble province d’Edhesse à la réputation si sanguinaire. Mais c’était aussi une ville calme car les habitants avaient apprit à redouter les seigneurs qui les oppressaient bien que cela n’était pas systématique. Cela remonte à l’âge de Beth-Aran. Mais bon nous n’étions pas là pour ça. D’ailleurs un peu partout les gens sortaient de leur demeure pour assister au spectacle. Et quel spectacle l’Empereur dans la cité.
Nous nous arrêtâmes mais cela ne devait durer que pour la nuit nous concernant. L’Empereur à ce que j’avais compris resterait un peu de temps dans la ville afin de remettre sur pied un intendant pour diriger Edhesse. Le reste de l’expédition se dirigera alors vers le Nord mais nous ne savions pas qui la dirigerait ? Cela pouvait être Ardent qui était le Commandant et dirigeait donc l’armée tout comme le jeune Prince Faraël. Quoi qu’il en soit le choix de l’Empereur serait le bon.

Je vis Yorg, un adepte de l’Ombre, se diriger vers l’Empereur afin de lui offrir ses services pour patrouiller. C’était une bonne initiative mais il oubliait tout de même la hiérarchie et surtout il oubliait que notre rôle premier était de collecter des informations et c’était surtout les gardes qui assuraient les patrouilles. Mais bon je laisse faire.

Je me dirigea vers Ardent.

Je repensais à ce que vous me disiez l’autre jour et vous ne me devez rien. C’est moi qui vous devais une vie. Là je n’ai fait que vous avertir d’un possible danger. Je n’ai pas eu d’autres informations depuis ce qui est bizarre, enfin mon informateur est une jeune recrue, j’espère au moins qu’avant il avait vérifié ses sources.

Farlen avait recu beaucoup de soins durant le voyage.
Son pied n'étant pas encore complètement guérit.
Par chance, mon bras avait persévéré et je pouvais enfin avoir une cible.
Tout avec entrainement et ses soins m'avais remit le moral à neuf.
La mauvaise humeur venait de partir loin d'ici.
Et pour longtemps, du moins... je le croyais.
Pour le moment, j'avais emprunté un cheval à l'armée d'Ardent.
Finalement, après plusieurs journées de marche à cheval, je vis au loin la fameuse cité.
Bien que personne dans la cité n'avait l'air content, du moins la plupart.
Je regardais avec précaution le moindre mouvement que faisais chaqu'un des paysans.
Je n'avais pas le droit de refaire la même gaffe que la dernière fois.

On mit les tentes à terre et on commencait à construire le campement
Avec de l'étonnement, je vis le seigneur Farael s'approcher de moi.
Je me suis courbé avec un peu de difficulté pour le saluer.
Ses paroles vinrent me soutenir de tout coeur.
Mais, je ne demandais pas tant de faveur de la part d'un combattant aussi puissant que lui.
En plus de pouvoir discuter avec quelqu'un d'aussi `gradé`

Merci messire Farael.

Finalement, je lui ais hoché la tête, car voyant Malbrum arrivé.
Il nous résuma ce qui s'était passé au campement du fort Altaron.
En donnant un papier à Farael.
Regardant rapidement sur le papier en espérant ne pas me faire voir.
J'ai regardé autour de nous pour voir si quelqu'un venait par ici.
Il ne fallait pas alerté tout le monde du campement.
Déjà avec l'espion qui rodait à quelques part dans le campement.
J'ai attendu que Farael dise sa réponse avant de parler...

"Seigneur Faraël, Seigneur Farden, je vous pris de m'excuser Il faudrait que je vous parle d'un évènement survenu à Fort Altaron.."

Le jeune Barka écouta les paroles du Seigneur Malbrum, membre de la Ligue. Celui-ci semblait plutôt inquiet et lui remit un morceau de parchemin. Il le lit et lui répondit, de toute façon le seigneur Farden semblait peu pressé de lui répondre.

"Vos jours sont comptés Seigneur Malbrum, Prenez garde ! Il se pourrait que votre prochaine nuit soit la dernière."

Messire Malbrum. Cela est grave. Des menaces de mort à votre encontre. Avez-vous la moindre idée de qui pourrait ainsi menacer votre vie ? Contre la vie d'un citoyen de Kalamaï, Seigneur de surcroit ?


Ceci était de haute importance. Peut-être était-ce en lien avec cet infernal qui menaçait l'expédition. Faraël lui répondit:

- J'en suis gravement troublé. Va donc en discuter avec Ardent et je t'y rejoins sou peu, cela concerne tout le monde je pense.

[b]- Seigneur Yorg, je suis enchanté de faire votre connaissance. Suite aux événements tragiques des dernières jours, il serait en effet important de patrouiller. Mais nous jugeons que les terres découvertes autour de la cité ne risquent pas grand chose et nous manquons d'effectifs pour faire une ronde. Cependant, c'est volontiers que j'accepte votre offre, vous pouvez aller patrouiller. Avez-vous emmené une escorte ? Car si vous vous joignez à l'expédition il serait mieux, les troupes impériales devront rester en garnison et l'expédition s'en retrouvera quelque peu dégarnie ...

Yorg s'inclinat et dit à son Empereur avant qu'il ne parte vers le donjon:

Il en sera fait selon votre désir, altesse. Je pensé ammener avec moi une poignée de volontaires braves de l'armée impériale car malheureusement , le royaume de Mira ( mon royaume ) traverse des temps obscurs... mes forces sont donc restées sur place... Si aucun braves ne vien avec moi ça ne sera pas grave, je suis habitué à travailler en solo sans me faire voir...


Puis il s'inclina de nouveau avant de partir s'équiper. Il prit sa paire de dagues qu'il enduisit d'un poison très rare de sa fabrication, cinq couteaux de lancé et une épée courte finement ouvragée dont le tranchant n'avais d'égal que sa splandeur.

Après quelques minutes, il alla faire son rapport au seigneur Adola ainsi qu'au seigneur Ardent. Il passa au camp militaire ou il demanda des braves pour partir en patrouille à l'extérieur des remparts. Aussitôt, neuf gardes se levèrent et l'accompagnèrent.

C'est ainci que Yorg et les soldats sortirent patrouiller.









HRP: Je part en vacances jusqu'à Mardi 30/12/08 donc bonnes vacances à tous et bonnes fêtes

La caravane était arrivée à Perganon, le dernier rempart de l'Empire.

Thangorthorim avait fait une petite messe pour les soldats de l'Inquisition, et d'autres allaient suivre, mais une importante tâche attendait Thangorthorim, il avait déja abordé avec le Seigneur Sysk'o la question de l'impieté des seigneurs, et pensait en réferer à l'Empereur.
Une telle décision n'était pas simple et il avait beaucoup retourner la question avant de se décider.

Installé dans les quartiers reservés aux prêtres du lieu de culte local il fit pavenir une missive à l'Empereur et à défaut à son fils ou au commandant des forces Impériales.

Par la présente, moi Thangorthorim, prêtre de Brak et responsable de prière de l'Expédition vous salue.
J'ai fortes craintes quant à la loyauté de certains seigneurs venus dans la grande Croisade ne soit qu'une façade, de plus, certains éléments troublants attestent de la présence d'un ou des traîtres dans nos rangs.
Ma tâche sacrée m'impose de tout faire pour contrer les noirs desseins de nos ennemis.
Ainsi, je vous conjure de m'autoriser à un grand concile, afin de sonder chacun, moi le premier et de prouver son allégeance.
Que la Lumière vous guide, que Brak annime votre bras, que les 12 veillent sur vous et soients cléments.

Encore une chevauchée avait eu lieu, cette fois entre la cité de Perganon, capitale impériale de la province d’Édhesse, et le fort Altaron ou l’interrogatoire et les soins des blessés avaient eu lieu. Le trajet avait été long pour ceux qui étaient blessés, car les chariots étaient plus faits pour transporter de l’équipement que des blessés, mais tous arrivèrent à bon port. A peine le convoi arrivé, il descendit de son cheval, car il avait laissé son dragon dans les bureaux de sa corporation, puis commença à réquisitionner des logements inhabités pour les soldats appartenant à tous les seigneurs présents lors de l’expédition. Une fois cette formalité faite, il alla rejoindre d’autres seigneurs, notamment le Spadassin de l’ombre, Adola des plaines perdues, qui venait à sa rencontre. Rapidement, celui-ci en vint aux faits :

Je repensais à ce que vous me disiez l’autre jour et vous ne me devez rien. C’est moi qui vous devais une vie. Là je n’ai fait que vous avertir d’un possible danger. Je n’ai pas eu d’autres informations depuis ce qui est bizarre, enfin mon informateur est une jeune recrue, j’espère au moins qu’avant il avait vérifié ses sources.

À ces paroles, Ardent eut un léger sourire. Visiblement, son interlocuteur ne pouvait le comprendre lorsqu’il lui disait qu’il lui devait une vie… Il n’avait jamais connu le milieu âpre et sans espoir que le quotidien d’un ordinaire soldat, ni les manières de parler qu’il utilisait fréquemment, celles que son instructeur de chevalerie lui avait apprises lorsqu’il avait décidé d’accepté de devenir officier de cavalerie, il y a de cela assez longtemps pour que même l’actuel empereur ne le retrouve seulement que dans des vieux registres datant d’il y a une bonne dizaine d’années.

Il lui répondit seulement par ceci :

Nous le saurons bien assez tôt. Seulement le fait que vous m’avez informé me donne une longueur d’avance : je sait que ceux qui ont tenté cette action n’oeuvrent plus en secret, pas eux, et qu’il devront essayer de m’avoir d’abord.

Un instant seulement après qu’il eut terminé sa phrase, un seigneur auquel il n’avait jamais vraiment prêté attention depuis de début du voyage se présenta à lui, lui expliquant son problème :

"Faraël m'a dit de venir te prévenir de l'attaque que Yorg et moi avons subi à Fort Altaron. Nous n'avons pu attraper ni identifier l'agresseur, mais il était très agile, silencieux, et à première vue puissant! Il se trouve que Yorg est arrivé quelques minutes après que j'eu senti la présence de quelque chose. Il semble que cette personne en est après moi pour je ne sais quelle raison. J’ai également reçu un message de menace venant de cet assassin, qui était accroché à une flèche qui est responsable de la balafre que vous aurez sans doute remarqué sur ma joue. "

Alors vous êtes sûrement le seigneur Malbrum! , fut la réponse immédiate du commandant. Nous sommes dans la même armada, et j’ai entendu parlé de vous, quoique jamais à l’ampleur que vous le méritez. Je suis membre de la même corporation que vous, la ligue Scitopolienne, et si vous voulez mon avis, Il jeta un regard de gauche à droite, puis voyant que personne n’espionnait leur conversation, c’est la raison pour laquelle vous avez été attaqué. Tous les membres de cette alliance ont leur têtes mises a prix, sauf celle de notre chef, Faraël. Si vous voudriez m’aider à identifier le coupable, je vous serais reconnaissant…

Et maintenant?

Quoi maintenant? le sergent a la barbe généreuse commençais à simpacienté

Bin maintenant je fait quoi sergent?

A ton avis? T'as l'imprétion de faire quoi depuis toute à l'heure?

Monté la garde?

Cest bien tas trouvé tout seul... Maintenant tu continus! la mine exaspéré

A vos ordres sergent...

Cest bien t'es brave... en tappant sur lépaule du soldat, puis en il entra dans la chambre. Le Seigneur Gorbad était alonger dans un grand lit, deux infirmières s'occupaient s'affairé au travaille autour de lui. Un guerrisseur était là lui aussi.

A t'il eu une nouvelle période de conscience?

Pas depuis la dernière, c'est à dire il y a trente cinq minute.

Hmmm... Pouvez vous me rendre un service? le guerrisseur acquiaissa.
Je ne sais pas écrire, et j'ai entandu dire que l'Empereur est resté en ville. Je voudrais lui faire parvenir une missive pour lui dire que le Seigneur Gorbad est ici, et que ce vieux renard est sur le point de se rétablire. Le guerrisseur acquiaissa de nouveau, mais fit de gros yeux quand le sergent blasphèma.

Oui certainement, je vais de ce pas rédiger cette missive pour l'Empereur.

Une fois le guerrisseur parit et le sergent Casendorf se pausa pret du chevet et bu d'une traite sa chopede bierre.

Fardall était dans le Grand Manoir, jadis habité par Beth-Aran lui-même … Il observait les murs sombres et les pièces à lui flanquer des frissons.

À ses côtés était le Régent Hëorg Farwol, celui-ci, la mine sombre énumérait les problèmes de la province, faisant ainsi un vrai cahier de doléances. Cet elfe était du genre qui souriait peu et était toujours impliqué dans la politique, cependant, il avait un esprit juste et un bras droit, il savait diriger avec une main de fer, comme il l’avait démontré dans sa petite seigneurie côtière, inconnue de tous. L’Empereur espérait qu’il saurait ramener l’ordre en attendant la prochaine élection en Édhesse. Détournant ses pensées vers l’Expédition qui poursuivait vers le Nord, il entendit le Régent finir ses plaintes.


…, des brigands dans l’Est, il y a aussi quelques seigneurs agités à notre extrémité nord, les restes de fidèles du Seigneur Iraerakryn peut-être, la famine fait des ravages dans le Sud, et il y a une épidémie de choléra dans les bourgades frontalières.

Oui, oui, je vois messire Farwol, je verrai ce que nous pouvons faire, hélas nos coffres ne sont pas aussi plein que l’on pourrait souhaiter. Des troupes remonteront pour garnir, avec des guérisseurs et des prêtres et peut-être une centaine de chariots de blé. Les récoltes ont été propices en Zakinthe cette année. Mais je vous donne carte blanche pour régler ces problèmes, n’hésiter pas a engager des miliciens pour défendre les bourgades, l’Édhesse a peu souffert de la guerre et la population est encore apte à défendre que je sache. Et puis j’aimerais que vous augmentiez les taxes, la population n’a rien à envier aux autres provinces, et quelques pièces d’or dans les coffres du Sénat seraient les bienvenus surtout dans les provinces plus pauvres. Et surveillez les déplacements armés suspects …

Il fut interrompu par un messager qui désirait le voir. Soulagé, il lui fit signe de s’approcher, il avait terminé de discuter avec le Régent, celui-ci avait l’étoffe d’un dirigeant, mais il lui laissait voir à ces problèmes, de bien plus graves, des rumeurs de l’Est l’inquiétait davantage.

- Votre Majesté, un message de la maison de guérison de Perganon.

L’homme lui tendit une missive qu’il prit, déplia et lut.

Votre Majesté,

Moi, le Sergent Casendorf, aimerait vous signaler que Sa Sainteté, le Pontife est alité et inconscient sous la bonne garde des guérisseurs. Il devrait se rétablir et je pense qu’il lui plairait de discuter avec vous à son réveil.

Courtoisement,

Sergent Casendorf

Rédigé par le Guérisseur Chef,

Merci, tu peux disposer mon ami. Messire Hëorg, il me faut vous quitter, je dois rendre visite à Sa Sainteté en ville, n’oubliez pas mes conseils et vous avez carte blanche pour veiller au bien de la population et des intérêts de l’Empire en Édhesse …

Sur ce, le fils d’Igardal se retira et prit le chemin de la maison de guérison.




On frappa à la porte et celle-ci s’ouvrit pour céder le passage au Protecteur Impérial.

-J’ai ouï-dire que messire Arzhùl était alité ici, est-ce vrai ? Où puis-je trouver le Sergent Casendorf ?

Le père de Faraël sourit aux prêtres et aux guérisseurs qui faisaient ici un travail louable, souvent ignoré des gens, mais primordial et dévoué.

Enfiiiiin, cette halte se terminait! Enfin, l'action avait repris! Même si une nouvelle halte se présentait, l'aventure avait insufflé à l'Elfe Noir une énergie nouvelle...le temps que la nouvelle halte la ronge.

Au moins, dans cette ville, l'occupation serait au moins profitable: il lui fallait toujours trouver un arc de bonne qualité, et un sabre, de même facture, au cas ou de nouveaux problèmes viendraient rompre la monotonie.

Dans une petite rue commerçante, Altarian repéra un artisan qui ne payait pas de mine, mais dont la marchandise attira instantanément l'oeil de l'assassin. Il entra, surpris de ne trouver aucun autre client potentiel, avant de s'intéresser aux armes.Le petit vieux qui fabriquait ces instruments de mort le conseilla sur un excellent arc composite, ainsi que sur un bon sabre léger et, après un test, coupeur de cheveu en 2 dans la longueur. Le vendeur avait les yeux brillants lorsqu'il parlait de ces objets, et Altarian lui glissa une vingtaine de pièces en plus...

Voilà, il n'aurait plus l'impression de ne servir à rien dans une bataille...

Bonne chance.

Ce fut les derniers mots qu’adressa le Sergent Casendorf à l’Empereur avant que celui-ci n’entre et que les odeurs nauséabondes ne lui parviennent au nez. Il fit mine de tousser et s’efforça d’inspirer le moins possible.

- Votre … Sainteté … Je suis ravi de voir que vous êtes en santé. Ainsi donc Arzhùl, mon ami, vous avez pris un mauvais coup, ais-je cru comprendre?

Il se risqua à inspirer et éclata de rire.

- Tu n’es pas à ton mieux… En tout cas, tu désirais me voir ? Il me fera du bien de parler un peu, je suis las de discuter politique avec le régent, il n’a que ce mot à la bouche.

Le Grand Prêtre semblait de très mauvaise humeur de savoir qu’il était confiné ici, mais l’arrivée de Fardall semblait le calmer quelque peu.

Le seigneur Arzhùl fut étonné par l'apparition soudaine de l'Empereur Fardall I.
Empereur Fardall?!? dit t il la voix emplie de surpris.
Le Souverain Pontife était debout au milieu de sa chambre, juste vétu d'une toge blanche, le lit renversé, la seul chaise de la chambre démembré à ses pieds et le fameux pot de chambre brisé au pied du mur avec les excréments qui se déversaient lentement le long des plaintes.
Reprenant toute son assurence abituelle, le Grand Pretre repris.
Je ne pense pas que ce lieux soit convenable pour une personne de votre envergure! En montrant d'un signe de la main les effluves contre le mur et un sourir en coin.
Un fois dans le couloir l'Empereur et Sa Sainteté se dirigeairent vers le jardin.

Oui en effet, je me suis pris un sal coup à la nuque, mais grace à Kanderak, mon heaume à pris le gros du choque... Saleté de troll...
Alors comme ça, mon Empereur se lasse de la politique? les bras coisés dans le dos et un sourcil lever.
Et au soucis de vous vexez, qu'elles sont les nouvelles de l'Empire?
L'expédition en est où? Votre fils en fait partie il me semble?
C'est un brave garçon, il ira loin, si Kanderak et Soranssen en juge bon!
D'ailleurs, a quand remonte votre derniere confession, mon Empereur? En temps que Souverain Pontife, je suis un peu votre confesseur, pretre et confident attitré! Mais qui peut faire confience à un Inquisiteur retor comme moi. Le visage d'Arzhùl était dur et impassible...
Puis... Arzhùl explosa de rire. Un sentiment rare, mais nécessaire pour ne pas devenir fou avec cette histoire d'hospital et l'obligation a y rester.

Hmmm... Vous dites que la guerre fait rage encore une fois en Vénopole? Ces contrées ne connaitront donc jamais la paix... Dit t il l'air amère
L'expédition est entre de bonnes mains, le devoir m'apelle à l'Est, à vos cotés mon Empereur!
Le Souverain Pontife regardait vers l'Est, comme si il pouvait voir ces lointaines contrées de là où il était.
Je crois...
Non! J'en suis persuadé! Il se tourna vers l'Empereur.
Les évènements qui se sont déroulé et qui m'ont obligé à resté cantonné ici sont l'oeuvre des Dieux. Kanderak veut que je vous accompagne. Celà coule de source! Dit t il en relevant un sourcile et en écartant les mains, comme si ce qu'il venait de dire était d'une logique implacable.
Je me sens en pleine forme! Le départ est pour quand mon Empereur? On pouvait décelé un brin d'impatience et d'excitation dans la voix du Pontife habiller en tenu de malade.

Dans une ruelle de la cité balayé par le vent, un groupe d'hommes armés s'est reunit en cercle, tous ricane en regardant vers le sol, leur visages barraient d'horribles cicatrices, grimacent des sourires.

Debout sale catin, on va t'apprendre les bonnes manières et je te jure qu'apres tu pourra plus marcher comme il faut. Ricanne un des hommes.

Au sol une jeune fille, a genoux, repliée, ses longs cheveux blonds en tignasse dissimule sont visage, ses habits sont dechirés, ses doigts fins sont couvert de sang seché et de boue.
Un homme au crane rasé portant une hache à la ceinture se penche et redresse la jeune fille qu'il plaque violement contre le mur d'une maison.
Il plonge sont regard dans les yeux bleus clairs, presque délavé de la jeune fille, du revers de la main il lui caresse le visage ainsi que sa gorge.

Ta peau est froide, jolie catin, je vais te rechauffer comme il faut tu vas voir, et tu vas aimer ça, mais avant dis moi ton nom coquine.

Dans la ruelle de la ville, balayé par le vent, un eclat surgit, rapide, sur, les hommes s'ecroules face contre terre, la jeune fille essuye sa dague sur la tunique de l'un des hommes, puis s'agenouille auprres de l'un d'eux.

Mon nom est Eolia, dit elle avant de plonger ses crocs dans le cou de l'homme à la hache.