C’est d’un pas nonchalant que l’elfe noir se dirige, dans les ruelles animées de la ville, vers un quartier bien précis, un endroit particulier. Son éternel sourire sur le visage, ses cheveux blanc en bataille, il parait insouciant, étranger au monde qui l’entoure. A chacun de ses pas le tintement de ses armes et autres objets pendouillant à sa ceinture, retentit.
Un peu plus haut dans la rue, une fille de joie se colle à lui et pour quelques écus lui promet moult merveilles, il la regarde, le sourcil levé, l’air grave, puis son sourire revient, il la prend par la taille pour l’emmener dans une auberge.
Quelques heures plus tard, dans les draps chiffonnés du lit, la fille nue à ses côtés lui demande de lui raconter son histoire. Il prend le temps, réfléchit aux choses qu’il peut dire et aux autre qui doivent restée secrètes. Puis il commence son récit.
Je suis Skinn, l’elfe noir, j’ai eu une enfance banale, baladé entre deux combats mon père m’a apprit comment manier une lame et les prêtres m’ont apprit à faire de la magie de base, puis vint le jour où j’ai décidais de prendre ma liberté. Depuis je cherche l’aventure mais je ne trouve que les ennuis, ou alors c’est les ennuis qui me trouvent.
Les flammes des bougies se refletaient dans ses yeux sombre, il se leva et remit ses habits et ses armes, puis jeta une bourse de pièces à la prostituée nue qui l’avait occupée quelques heures, puis il descendit dans les rue de la ville.
Un peu plus haut dans la rue, une fille de joie se colle à lui et pour quelques écus lui promet moult merveilles, il la regarde, le sourcil levé, l’air grave, puis son sourire revient, il la prend par la taille pour l’emmener dans une auberge.
Quelques heures plus tard, dans les draps chiffonnés du lit, la fille nue à ses côtés lui demande de lui raconter son histoire. Il prend le temps, réfléchit aux choses qu’il peut dire et aux autre qui doivent restée secrètes. Puis il commence son récit.
Je suis Skinn, l’elfe noir, j’ai eu une enfance banale, baladé entre deux combats mon père m’a apprit comment manier une lame et les prêtres m’ont apprit à faire de la magie de base, puis vint le jour où j’ai décidais de prendre ma liberté. Depuis je cherche l’aventure mais je ne trouve que les ennuis, ou alors c’est les ennuis qui me trouvent.
Les flammes des bougies se refletaient dans ses yeux sombre, il se leva et remit ses habits et ses armes, puis jeta une bourse de pièces à la prostituée nue qui l’avait occupée quelques heures, puis il descendit dans les rue de la ville.