Le reste du repas se termina en règlement de compte, direct ou non. Lulyane se retira de la tablée, soit disant pour laisser ses compagnons entre Palatins et ne pas déranger durant l’élaboration du plan. Elle s’auto-excluait pour une raison bien futile selon Dorgo, car leur classe sociale n’avait rien à faire ici. Ils étaient entre novice, et seul Xanis en sa qualité de Thaumaturge était supérieur aux autres.
Ensuite, Aquilodon, agacé par l’attitude d’Aedric, lui fit savoir explicitement que chaque personne attablée ici n’avait que faire de ses exploits et de ses opinions qui ne concernaient nullement la mission.
Enfin, alors que le buffet touchait à sa fin, Lailah eut une réaction inconsidérée. Elle s’estimait lésée dans le fait d’être retombée au stade de novice, elle qui avait participé à d’autres aventures dont elle ne cessait de se vanter. Agacé, Dorgo lui fit savoir que si elle possédait autant de pouvoir qu’elle le répétait, pourquoi n’allait-elle pas défier directement les deux sœurs ? Vexée, la Comtesse s’en alla, dans le but de prouver ce qu’elle valait à ses compagnons. Elle prit la direction du repère des deux sœurs, à dos de Dragon. On ne retrouva ni l’une, ni l’autre.
Le calme retrouvé, il ne restait à table que le géant Aquilodon, Braniack le vampire discret, l’Inquisiteur Aedric, le Thaumaturge Xanis, et Dorgo. Le Palatin de Mésomnon reçut entre-temps un papier de la part de Lulyane, qui indiquait quelques informations primordiales. Maintenant, le lieu où se trouvait les sœurs était connu, et la présence d’une ‘cloche’ d’origine magique fut révélée. Dorgo profita de cette tranquillité relative pour recommencer à parler d’un plan :
- Aquilodon, je pense que vous avez maintenant les informations que vous souhaitiez. Il est maintenant grand temps d’établir un plan d’action, et je vais vous en proposer un. Que chacun donne son avis, ou propose un autre plan, afin que nous puissions être productifs.
Ce n’est certainement pas le meilleur stratagème à notre disposition, mais je pense que la technique de l’appât semble adaptée. Un de nous se rapprochera de l’antre des sœurs, afin de les obliger à sortir. Cet appât ne montrera pas de signe d’hostilité, afin de ne pas éveiller leurs soupçons. Lorsqu’elles seront suffisamment proche, nous tenterons de les neutraliser avec nos sorts.
Mon plan comporte cependant quelques défauts, il se peut que ce ne soit pas les sœurs qui se dirigent à l’encontre de l’appât, mais je pense que nous pouvons tenter le coup.
Ensuite, il nous faut désigner l’appât. Aedric et Aquilodon, vous venez tout deux de la branche du Culte et vous dégagerez sûrement une énergie trop pure, qui pourrait rebuter les sœurs Velsfer. Si on prend en compte votre nature vampirique Braniack, peut-être que le fait d'être mort ne vous rende pas assez intéressant aux yeux des soeurs. Quand à vous Xanis, je pense que vous êtes trop important pour servir d’attrait, d’autant que cela pourrait mal tourner. Et je pense que vous êtes plus compétent que moi dans l’incantation de sorts. Ainsi, je pense être la personne la mieux placée pour remplir ce rôle.
Qu’en pensez-vous ?
Dorgo espérait avoir réussi à instaurer un véritable dialogue, qui ne se solderait pas par une engueulade. Il souhaitait aussi entendre les points de vue de ses camarades, en espérant qu’ils ne se contenteraient pas de critiquer sans rien proposer de bon.
Ensuite, Aquilodon, agacé par l’attitude d’Aedric, lui fit savoir explicitement que chaque personne attablée ici n’avait que faire de ses exploits et de ses opinions qui ne concernaient nullement la mission.
Enfin, alors que le buffet touchait à sa fin, Lailah eut une réaction inconsidérée. Elle s’estimait lésée dans le fait d’être retombée au stade de novice, elle qui avait participé à d’autres aventures dont elle ne cessait de se vanter. Agacé, Dorgo lui fit savoir que si elle possédait autant de pouvoir qu’elle le répétait, pourquoi n’allait-elle pas défier directement les deux sœurs ? Vexée, la Comtesse s’en alla, dans le but de prouver ce qu’elle valait à ses compagnons. Elle prit la direction du repère des deux sœurs, à dos de Dragon. On ne retrouva ni l’une, ni l’autre.
Le calme retrouvé, il ne restait à table que le géant Aquilodon, Braniack le vampire discret, l’Inquisiteur Aedric, le Thaumaturge Xanis, et Dorgo. Le Palatin de Mésomnon reçut entre-temps un papier de la part de Lulyane, qui indiquait quelques informations primordiales. Maintenant, le lieu où se trouvait les sœurs était connu, et la présence d’une ‘cloche’ d’origine magique fut révélée. Dorgo profita de cette tranquillité relative pour recommencer à parler d’un plan :
- Aquilodon, je pense que vous avez maintenant les informations que vous souhaitiez. Il est maintenant grand temps d’établir un plan d’action, et je vais vous en proposer un. Que chacun donne son avis, ou propose un autre plan, afin que nous puissions être productifs.
Ce n’est certainement pas le meilleur stratagème à notre disposition, mais je pense que la technique de l’appât semble adaptée. Un de nous se rapprochera de l’antre des sœurs, afin de les obliger à sortir. Cet appât ne montrera pas de signe d’hostilité, afin de ne pas éveiller leurs soupçons. Lorsqu’elles seront suffisamment proche, nous tenterons de les neutraliser avec nos sorts.
Mon plan comporte cependant quelques défauts, il se peut que ce ne soit pas les sœurs qui se dirigent à l’encontre de l’appât, mais je pense que nous pouvons tenter le coup.
Ensuite, il nous faut désigner l’appât. Aedric et Aquilodon, vous venez tout deux de la branche du Culte et vous dégagerez sûrement une énergie trop pure, qui pourrait rebuter les sœurs Velsfer. Si on prend en compte votre nature vampirique Braniack, peut-être que le fait d'être mort ne vous rende pas assez intéressant aux yeux des soeurs. Quand à vous Xanis, je pense que vous êtes trop important pour servir d’attrait, d’autant que cela pourrait mal tourner. Et je pense que vous êtes plus compétent que moi dans l’incantation de sorts. Ainsi, je pense être la personne la mieux placée pour remplir ce rôle.
Qu’en pensez-vous ?
Dorgo espérait avoir réussi à instaurer un véritable dialogue, qui ne se solderait pas par une engueulade. Il souhaitait aussi entendre les points de vue de ses camarades, en espérant qu’ils ne se contenteraient pas de critiquer sans rien proposer de bon.