Alkimen suivit Elrebrias. Il réfléchit à un moyen de transport rapide et efficace.
Hum... Une idée illumina le visage d'Alkimen. Mais il reprit aussitôt son sérieux.
-Mouais, j'ai peut être une idée. Assez dangereuse mais comme tu m'as dit que tu t'en fichais de la mort... Suis-moi !
Les deux elfes parcoururent les sombres ruelles pendant une petite dizaine de minutes. Ils arrivèrent devant un vieux bâtiment ayant l'air désaffecté. Une vielle pancarte était mal accrochée sur la porte. "N'approchez pas plus, où vous mourrez !" était inscrit sur cette pancarte. Alkimen entra avec l'autre elfe. Une pièce munie d'une seule fenêtre barrée par des planches était dans le mur. Une dizaine d'étagères remplies de fioles, d'allumettes et de vieux bouquins s'installaient collées au mur. Un comptoir à droite, un très vieux drow qui lisait un livre sur les runes se leva aussitôt que les deux elfes entrèrent. L'elfe noir sortit un sabre serti de pierres précieuses.
-Que faites vous là ?, et que voulez-vous ?, demanda-t-il d'une voix chevrotante, mais forte.
-Nous voudrions de la poudre de dragon, répondit Alkimen.
-J'en ai pas. Cassez-vous d'ici, maintenant, ou c'est la mort qui vous attend.
-La ferme, le vieux. Donne-nous immédiatement de la poudre où je t'éclate !
Le drow était désarmé et avait une dague elfique sous la gorge.
-C'est bon, c'est bon...
Il farfouilla dans une étagère et sortit un sachet remplie d'une poudre rouge bordeaux.
-Maintenant, partez !
-Merci, répondit Alkimen d'une voix glaciale avec un rire sans joie. Elrebrias, allons-y ! Prends un peu de cette poudre et répète ce que je dis. EXACTEMENT ce que je dis ! Dès que tu verras des cordes, tiens-les fermement où tu risques de tomber dans...le néant. Bonne chance !
Il toussota avant de réciter une incantation bizarre.
-Вредящими milles, дракон, увези нас в Lotah.
A la fin, les deux disparurent. Ils eurent l'impression de voler, et deux cordes étaient accrochées au néant. Ils les tinrent et eurent une impression désagréable lorsqu'ils "atterrirent".
-Maintenant, tu sais pourquoi on appelle cette poudre la poudre du dragon. Ah ah ah ! Nous sommes à Lotah. Alors ?
Un bourg? Non, une ville. Toutes les races se baladaient. Les rues étaient pleines.
-Qu'est-ce qu'on fait ?
Hum... Une idée illumina le visage d'Alkimen. Mais il reprit aussitôt son sérieux.
-Mouais, j'ai peut être une idée. Assez dangereuse mais comme tu m'as dit que tu t'en fichais de la mort... Suis-moi !
Les deux elfes parcoururent les sombres ruelles pendant une petite dizaine de minutes. Ils arrivèrent devant un vieux bâtiment ayant l'air désaffecté. Une vielle pancarte était mal accrochée sur la porte. "N'approchez pas plus, où vous mourrez !" était inscrit sur cette pancarte. Alkimen entra avec l'autre elfe. Une pièce munie d'une seule fenêtre barrée par des planches était dans le mur. Une dizaine d'étagères remplies de fioles, d'allumettes et de vieux bouquins s'installaient collées au mur. Un comptoir à droite, un très vieux drow qui lisait un livre sur les runes se leva aussitôt que les deux elfes entrèrent. L'elfe noir sortit un sabre serti de pierres précieuses.
-Que faites vous là ?, et que voulez-vous ?, demanda-t-il d'une voix chevrotante, mais forte.
-Nous voudrions de la poudre de dragon, répondit Alkimen.
-J'en ai pas. Cassez-vous d'ici, maintenant, ou c'est la mort qui vous attend.
-La ferme, le vieux. Donne-nous immédiatement de la poudre où je t'éclate !
Le drow était désarmé et avait une dague elfique sous la gorge.
-C'est bon, c'est bon...
Il farfouilla dans une étagère et sortit un sachet remplie d'une poudre rouge bordeaux.
-Maintenant, partez !
-Merci, répondit Alkimen d'une voix glaciale avec un rire sans joie. Elrebrias, allons-y ! Prends un peu de cette poudre et répète ce que je dis. EXACTEMENT ce que je dis ! Dès que tu verras des cordes, tiens-les fermement où tu risques de tomber dans...le néant. Bonne chance !
Il toussota avant de réciter une incantation bizarre.
-Вредящими milles, дракон, увези нас в Lotah.
A la fin, les deux disparurent. Ils eurent l'impression de voler, et deux cordes étaient accrochées au néant. Ils les tinrent et eurent une impression désagréable lorsqu'ils "atterrirent".
-Maintenant, tu sais pourquoi on appelle cette poudre la poudre du dragon. Ah ah ah ! Nous sommes à Lotah. Alors ?
Un bourg? Non, une ville. Toutes les races se baladaient. Les rues étaient pleines.
-Qu'est-ce qu'on fait ?