La Prison d'Ocien-Parlat

Malgré les évènements extérieurs, la vie à l'intérieur de la prison était toujours aussi monotone. Puis, une journée, alors que Laonar se reposait, adossé au fond de sa cellule, trois hommes entrèrent dans la prison. Il y avait deux guerriers, en en juger par leur armure, et un autre qui portait un masque. Le garde qui les accueilli n'était pas très sympathique, si bien que lorsque l'un des nouveaux arrivants s'approcha de sa cellule, le garde lui pointa son épée sur la nuque. Ce dernier, ignorant la lame, s'adressa à Laonar.

- Qui es-tu misérable prisonnier? Je crois avoir vu ton visage à quelques reprises… Qu’a tu fait pour être emprisonné ici??

Laonar fut d'abord offusqué Moi, un misérable prisonnier Mais lorsqu'il leva la tête, il s'apaisa en voyant le clin d'œil de son interlocuteur. Il se leva donc et s'approcha de la grille et demanda au guerrier de faire de même. Il s'adressa à lui à voix basse

- Et bien, disons seulement que j’étais au mauvais endroit au mauvais moment. Votre visage aussi me dit quelque chose. Auriez-vous déjà voyagé à bord du navire l'Aigle des Mers?

Oui... Maintenant je me souviens... vous en etiez le capitaine, non???

Lorsque je me suis battu pour l'empire, vous aviez le seul bateau qui restait pour notre division, les autre n'acceptaient pas nos destriers.

Berthold, explique à monsieur le garde qui tu est est l'avancement qu'il pourrait obtenir.

Pendant que son ami attirait l'attention du garde, il se raprocha du navigateur et commença a chuchoter.

Combien d'entre vous sont prêts à ce battre si on leur en donnait l'occasion? J'ai les moyen de la fournir mais seulement lorsque l'assault commencera. Je vous ferais parvenir des armes...

Farlen attendait se qui était pour lui des années, combien de temps encore allait-t-il se passer ? Je n'en savait rien, mon regard vers la prison tristement, comment allait passer le suite, je n'en avait aucune idée, un murmure me parcouru les oreilles, si fragile qu'il soit, je ne pouvait me permettre d'être interrompu, je regarda autour de moi, rien, absolument rien.

Peut-être mon imagination. Je demandai à mon général s'il avait entendu la même chose que moi. Oui, alors nous ne sommes pas seul. Combien était-il, je ne le savait point, mais une chose est sûre, on nous surveillaient. Voici ce que nous allons faire, je crois qu'un paysan se serait enfui en criant. Donc, ce ne pouvais être qu'un des hommes de ces messieurs. Je murmurait à mon commandant :

-Je crois que les ennuis commencent si j'en crois mon expérience. On ne peut plus bouger sauf si on utilise la magie, mais même à ça, çà risque d'être un combat perdu, allons voir ou se bruit. Je prend 5 hommes avec moi, toi, reste avec nos 20 hommes restant. Je vais aller vérifier.

Un sourire au lèvre, j'avançais vers le son. Plus rien ne m'aurait dérangé, pourquoi avoir tout détruit. Je crois que je vais encore me faire avoir, j'espère que ce n'est que le vent. Je pensait maintenant à ma soeur.

-Jespère que qu'elle va vite revenir.

Marignan regardait le misérable petit groupe de trente soldats. Ils devaient vraiment être surs d'eux si ils voulaient seulement survivre aux 50 guerriers d'élites d'Ardent et de plus sa centaine d'hommes qui prenaient position sur les toits et dans les ruelles de manière à sortir rapidement vers eux. Bien sur, les semelles en feutres ne faisaient pas le moindre bruit et aucune ombre ne portait à vue des soldats (il était fier de sa deuxième division de soldats quasi invisible. Pour les retrouver il fallait les avoir vus avant de disparaitre) , donc pourquoi leur chef se dirigeait à l'endroit où il se tenait il y avait une seconde??

(Ce sont des elfes!! Ils ont du entendre ma petite conversation... bon, allons jouer un peu.)

Il avança vers l'elfe et ses gardes en souriant

Bonjour seigneur, savez vous pourquoi j'ai l'impression que quelque chose va arriver?? Le quartier semble un peu tendu depuis que vous êtes arrivé...

De plus, savez vous qui sont rentrés dans la prison?? Un d'entre eux me doit de l'argent mais je n'ai pas demandé son nom...

Personne n'avait jamais décelé quand il mentait auparavant. Il semblait être béni d' Orfange...

Farlen fut surpris de voir l'homme arrivé. Mais bon, son instinct ne l'avait pas trahit. Farlen s'arrêta à quelque coudé de l'homme et se présenta :

-Je suis farlen farden, des rôdeurs de forets, je suis présentement ici pour surveiller la prison. Nous attendions une autre patrouille ici, lorsque 3 hommes dont un masqué est entrer. Nous avons juste trouvé sa louche.

Farlen regarda l'homme avec un peu plus de précision. Un homme banal, avec peut-être une épée. En fait, je n'étais pas très bon pour identifier les hommes.

-Vous trouvez que le quartier est trop calme, à vous voir, vous sembler oublier que Fardall est à l'extérieur. Donc le monde se prépare à un assaut, mais il semble attendre quelqu'un ou quelque chose. Bah, sûrement l'armée de l'empereur qui est en Zircondal.

Farlen dévisagea l'homme, pourquoi était t'il seul et surtout proche de la prison qui n'est loin d'être un merveilleux endroit.

-Je ne trouve qu’anormal qu'un homme se promène seul alors que la guerre va éclater d'un moment à l'autre. Pourquoi n'êtes vous pas chez vous ? Bah, si vous le voulez, je peut vous y reconduire.

Il fallait réfléchir et vite...

En fait, je cherchait un nouveau partenaire pour jouer aux dés avec moi...(ce n'était pas vraiment un mesonge) Comme je le disait, le dernier me doit de l'argent.... donc il ne me reste plus grand monnaie jusqu'a ce que le siège finisse.

Il sortit une petite enveloppe de cuir et en sortit deux dés

Vous voullez jouer???

Farlen fut surpris de l'idée de l'homme, pourquoi jouer au dés dehors? Farlen était mêler, mais bon. Une partie ne lui ferait pas de mal. En plus qu'il fallait attendre le retour des hommes.

-J'aimerais bien connaitre votre nom, si cela ne vous cause aucun problème. Car j'aime bien savoir le nom de la personne avec qui je joue. Ce n'est pas une question indiscrète, je présume.
- Et pourquoi pas, une petite partit ne me tuera pas. Quelle sont les règles, car je ne vais pas souvent en ville. Disons plutot que c'est un des rares moment. Voyez vous, je vis en forêts et ...

Farlen rit un peu et s'excusa, il avait tendance à trop parler. Il regarda l'homme avec curiosité. En pleine guerre il voulait jouer au dés. Étrange.

Dernière édition par farlen farden le Sam 3 Mai 2008 - 1:15, édité 2 fois

Le garde éloigné, Laonar répondit au soldat.

- Tu vois tout les hommes qui sont ici, donnez leurs l'occasion de se battre pour leur empire et ils le feront. Pour sortir de la prison, nous avons déjà ce qu'il faut.

Il marqua une pause et sortit de sa veste un couteau blanc.

- Taillé dans l'os de rats. Extrêmement solide et coupant. Il nous sera utile pour sortir de la prison, donc pas besoin de nous fournir d'arme pour cette partie. De toute façon, rentrer des armes ici serait un enfer. Par contre, pour la suite, nous aurons besoin de votre aide. À l'extérieur, nous aurons besoin de plus d'armes.

Il marqua une courte pause, réfléchissant à un plan.

- Je crois que c'est bon. Lorsque vous sortirez, il y a un vieil abri où la taverne jette ses vieux tonneaux d'alcool. Ce que vous pourriez faire, c'est cacher les armes dans des tonneaux et ensuite, aller les jeter tout bonnement. À notre sortie, nous aurions donc des armes.

Puis, du coup d'œil, il vit que le garde commençait à se douter de quelque chose, Berthold ne pourrait pas le retenir plus longtemps. Alors, il termina ce petit échange.

- Nous comptons tous sur vous, revenez me voir s'il y a des changements, chose que je ne souhaite pas.

Il lança un clin d'œil et repoussa un peu Ardent.

[Farlen, attention à la longeur de tes post]

Ce sera fait mon cher ami.

Ardent se retourna vers ses compagnons.

Nous partons. Ce vermisseau n'a plus rien à me dire. Sortons .

Avant de sortir, Ardent demanda ses armes et les reçut. Il se préparait à partir et l'homme masqué regarda par l'entrebâillement de la porte. Il fit des signes qu’Ardent déchifra sans peine.

Je vois, nous avons été suivis... Enlève ton masque, et met ton casque. Nous ferons de même comme cela nous seront déjà prêts si du grabuge nous oblige à nous battre. Ne dégainons pas mais soyons sur nos gardes. Berthold, arc en main, ce sera plus rapide.

Lorsqu'il sortit armé de pied en cap, Tous ses cinquante soldats se levèrent et formèrent un bouclier de leurs corps et bouclier jusqu'a ce qu'Ardent les calme en leur disant que ce n'était que des préparatifs, toutefois assez silencieusement pour que les elfes ne l'entendent pas.

Il se surprit en voyant Marignan discuter avec ce qui semblait être le chef de la petite division. Il alla les rejoindre. Un fois arrivé, Marignan lui sauta dessus.

Tu me dois de l'argent, mauvais payeur!! Rend moi mon du!

Ardent le regard sans comprendre jusqu'a ce que son ami mette subtilement son doigt sur sa bouche. Il lui remis la bourse et se tourna vers l'elfe.

Vous allez dire que je vous dois de l'argent vous aussi? Je ne crois pas. Pourquoi êtes vous ici? Je ne crois pas avoir vu de prisonniers elfes, donc la question se pose, pourquoi etes vous venus ici, entouré de soldats??

Farlen regarda Marigan qui allait lui expliquer comment jouer lorsqu'il entendit un bruit derrière lui, Marigan sauta sur l'inconnu en lui criant :

Tu me dois de l'argent, mauvais payeur!! Rend moi mon du!

Voici donc ceux qui lui devait de l'argent, n'étais ce point eux qu'ils devaient surveiller? Tant pis, sa troupe auraient dut être sur leurs gardes. L'elfe regarda l'homme et fut surpris de constater qu'il était un de ceux qui était entré dans la prison. Il lui répondit avec un sourire :

-Non, je ne croit pas que vous me deviez de l'argent, du moins, je crois. Ce n'est pas de tes affaires le pourquoi je suis ici et en même temps on doit se présenter avant de parler à un inconnu. Et mon armée, bah 25 elfes comparé à tes 50 hommes, ce serait plutôt à moi de te poser la question.

Farlen s'inclina légèrement avant de poursuivre :

-Je me nomme Farlen farden des rôdeurs des forêts. Je suis venu ici pour une raison quelconque et j'ai entendu ce villageois qui se promenait seul, je dois vous dire ma surprise lorsqu'il a voulu jouer à un certain jeu de dés. Et vous?

Farden se retrouva face à face avec une cinquantaine de lances en fer et d'arcs longs pointés sur sa troupe. Bien sur, ses troupes sortirent leurs armes, mais les soldats d'Ardent étaient prets a mourrir si l' ordre leur était donné, et cela se lisait sur leur visage dans une dure résignation.

Premierement on ne manque pas de respect à un seigneur qui vous demande poliment une question, surtout quand on est en infériorité numérique ou dans des situations particullières, comme si vous êtes chez vous ou qu'il montre clairement qu'il est de rang inférieur, ce qui n'est pas le cas. La situation est assez tendue avec le siège pour risquer de mourrir avant que quelqu'un ne puisse vous apercevoir.

Deuxieme leçon, avant de se montrer arrogant, on s'assure de bien connaitre à qui on parle. Je suis venu ici pour défendre Kalamaï quand bien même un elfe ne sachant pas vivre en société me forcerait à nous entretuer. Si vous auriez tombé sur n'importe lequel de mes lieutenants, vous seriez déja mort à l'heure qu'il est. Donc comptez vous chanceux.

Vous n'êtes pas obligé de répondre à mes question mais ne vous attendez pas à ce que je réponde aux votres.

Berthold voyant se qui se passait écoutais attentivement.

D'un geste vif aucunement remarquable il fit signe a ses archers.

Ses archers reconnus le signe.

Ses archers étais très bien dissimuler il étais indétectable.

Ils savaient que si sa tournerais il n'avait qu'a tirer, de l'elfe et en direction de ses troupes.

Marignan sa va toi?

Farlen fut surpris que sa remarque soit si déplacé, il ne voulait pas se battre et encore faire la guerre, il ordonna à ses hommes de ranger ses armes et dit à l'homme :

-Excuser moi, je ne voulait pas être arrogant, je ne voulait qu'être gentil. Qu'ais je encore fait? Je ne le sais point. Ranger donc vos armes, je sais que vous pourrez me tuer n'importe quand et cela depuis le début. Si j'aurais voulu, je me serais enfui depuis longtemps.

-Et d'autre part, comment pouvais-je savoir que vous étiez un seigneur? Ce n'est pas inscrit sur votre front. Et vous avez raison, je ne connais pas le savoir vivre de la ville et veuillez me le pardonner. J'aurais dut faire ma présentation au début et ensuite vous répondre.

-J'aimerais que l'on recommence du début si cela est possible, car je craint qu'il y a eu un... un, je ne me souvient plus qu'elle est le mot. Incident , je crois.

Soldats, repos.

Les hommes se détendirent, mais ne rengainèrent pas encore, n'ayant pas reçu l'ordre requis.

Ne vous inquiétez pas, aucun de mes hommes ne vous blessera de la moindre façon, pour l'instant.

Bon maintenant, si vous voulez avoir le loisir de me poser des questions, répondez aux miennes, sinon, taisez vous a jamais et passez votre chemin. J'ai assez vu de gens inexpérimentés jouer aux héros et finir dans une fosse commune la gorge tranchée.

Se tournant vers Marignan.

Vous, j'aimerais bien faire une petite partie de dés, ça me détendrais. Que diriez-vous de rejoindre ma suite pour le restant de la journée?

-Donc, je vais y aller, je pense. Et ne croyez pas que je suis inexpérimenté, j'ai vécu bien des choses que vous ne verrez jamais.

Farlen regarda les hommes et marcha en avant, ses hommes furent étonnés de sa résignation, mais obéirent en avancant eux aussi. Quelques mètres plus loin Farlen lanca à l'homme :

-Ne me sous-estimé pas, je sais bien des choses. Et j'ai l'oeil pour des cachettes puisque nous sommes des maitres dans l'art de la discrètion. Vous pouvez dire à vos archers de descendre, leur travail est terminé.

Farlen continua d'avancer et rendu à quelques mètres plus loin, il disparu avec sa troupe.

Je ne sais pas ce qu'il mijote ici, mais il faudrait surveiller les lieux plus fermement pour pas qu'il vienne mettre son grain de sel sur nos plans , chuchota Ardent de manière à ce que même une oreille Elfique ne pouvait rien n'y entendre. Il avait déjà combattu des elfes et connaissait pertinemment leurs forces et faiblesses.

Puisqu'ils se cachent bien, il faudra les détecter avant qu'il ne soit trop tard, si possible. Marignan, disperse tes yeux et oreilles un peu partout dans la ville. Il faut connaître ses déplacements. Il sait que je suis ici. Il ne faudrait juste pas qu'il découvre le pot aux roses.

Pendant la semaine qui suit, je veux qu’à tout moment il y ait ma garde d'élite ici car il pensera que j'y suis. La garde que me procure mes amis est de beaucoup supérieure à celle de cet homme.

Que l'on remplisse les tonneaux de l'alcool des tropes avec toutes les armes et armures de rechange que nous avons. Je ne crois pas que la bataille durera plus de deux jours. N'oubliez pas, les tonneaux doivent être identifiés comme contenant du vinaigre et nous devrions les cacher vers le fond de la ruelle. Ceux qui transporteront les cargaisons ne doivent jamais être deux fois les mêmes et doivent partir d'une auberge différente à chaque fois.

Il avait gardé le même ton de voix durant tout son monologue. Si l'elfe voulait entendre, il aurait du approcher dans la clarté des torches et aussitôt être vu. De plus, la barrière magique de la prison empêcherait le moindre sort de perception de se terminer.

J’aurais du être nommé Général, pensa-t-il.

Je suis Ardent de Montfort.

Je suis désolé cher messire, mais le théâtre va commencer... Si vous voulez m'excuser....

Il fit un signe à ses hommes.

Considérez vous comme prisonniers. Je ne veux pas avoir à tuer plus de gens. S’il vous plait, ne m’oubliez pas à tuer l’un des vôtres.


Voyez messire, en ce moment même plusieurs de nos soldats sont en train de libérer les prisonniers qui sont enfermés sans raison autres que les lois stupides de l’empereur. Les gardes sont maintenant les prisonniers et les prisonniers sont libres. Je vous prierait d’ envoyer vous troupes a l’intérieur si vous ne voulez pas de massacre.

Berthold, Marignan, considérez ces gens plus comme des invités sous surveillance, sauf l’homme qui est un meurtrier. Celui la mérite d’être jugé. Par contre, tuez quiconque qui essaie de s’échapper. Vous êtes maintenant en charge de cette opération.


Désolé maître Oengus, mais j’ai une vengeance à accomplir. N’oubliez pas, près de cinq cents hommes se battent pour moi dans les environs. Ne me décevez pas.

Après un long mutisme le Seigneur Arzhùl sorti de sa torpeur.
Il est enfin temps d'en finir avec cette fichu mascarade. Se dit t il.
Et à ce moment là Arzhùl vit la situation basculer.
Il en profita pour prendre la parole:

Seigneur Ardent de Montfort? C'est bien cela? dit t il de sa voix grave et autoritaire.

Vous ignorez surement qui je suis et pour quelle raison je suis ici! Et je vais vous l'expliquez très rapidement... il s'éclaircit la voix
Je suis le Maitre Inquisiteur Arzhùl Gorbad, Palatin de Thassopole, membre éminent de l'Ordo Repurgatoris. dit t il fièrement
Je suis un militaire et je me bas bat pour des causes qui me paresse juste, Kanderak en tête! Et sur un champ de bataille je travaille à ce que la guerre ce face de façon juste et non barbare! la flamme du devoir brillait dans ces yeux Et c'est pour cela que je suis ici. Pour avoir fait exécuter des déserteurs qui pillaient violaient et massacraient les bonnes gens de Zircondal... alors qu'il disait ces quelques mots une ride d'énervement apparu sur son visage
Trouvez vous cela normale Ardent de Montfort?
Je suis un Inquisiteur, j'ai extrêmement de pouvoir, et sachez que la Sainte Inquisition sera toujours là après cette guerre et elle sait être clément avec qui aurai pu l'aider!

Je suis désolé messires, mais j'a laisé mon commandement à mes amis.

Moi je pars, j'ai mieux à faire.^

Et il partit vers le palais impérial.

Le Seigneur Arzhùl était plutôt amuser par la situation.
Ardent de Montfort et Oengus étaient parti comme des voleurs.
Si ils s'occupent de leur "prisonnier" comme ils font la guerre, ils sont dans de beau drap pensa Arzhùl

Vous!
Qu'attendez vous pour me libérer de mes liens?

Les hommes à qui Arzhùl s'adressaient était mal alaise, ne savaient pas quoi faire

Je crois qu'il est dans l'intérêt de tout le monde que vous me libériez! dit t il de lui de ses voix les plus autoritaire

Si un Inquisiteur vous l'ordonne...
Arzhùl marqua une pause
Vous le devez!
Les deux hommes ne savaient vraiment pas quoi faire, a part attendre leur ordres

Dernière édition par Arzhùl Gorbad le Lun 12 Mai 2008 - 6:36, édité 1 fois

Tsss tss tss

Ilse rapprocha de l'oreille de l'inquisiteur.


Au cas au vous n'ayez pas entendus ce que mon ami a dit, il y a cinq cents hommes prets a se battre ici, et tous vous détestent car vous vous prenez pour le maitre du monde etvous brulez des gens sans raison autre que leurs différences.

Qu'en pensez vous, prisonniers libres??

Un hurlement d'approbation rétentit

Dernière édition par Marignan le Lun 12 Mai 2008 - 6:42, édité 3 fois

Farlen arriva vers le spectacle qui le dégouta, un homme se fesait maltraiter par l'homme de la dernière fois. D'un ajout de la tête, il regarda vers les batiments. Et il avanca vers les hommes. Tous le reconnu et levèrent leurs armes.

-Laisser vos armes à terre, ca ne changera rien, votre vie en dépend.

Les hommes rièrent et l'un d'eux le chargea. Une flèche vint ce planter dans son cou, un elf apparu à côté de Farlen. Farlen regarda encore les hommes.

-Ceci est mon dernier avertissement, déposer les armes ou vous aller tous mourir. Libérer cet homme ou vous subirez le même sort que votre ami. Et cela n'est que plus détestable. Je n'ai pas le temsp à perdre avec vos salades. Et en plus, vous n'êtes pas tous aussi combatif que cela. Vous ne pourrez me battre moi et mon ami, tous autant que vous êtes.


[ Edit Fardall]: Vous êtes assez éloigné de la prison, veuillez donc continuer votre RP sur la place publique si vous ne voulez pas y entrer tout de suite. Au fait, votre discussion se situe au coucher du soleil précédant la bataille, c'est la guerre dehors et l'évasion ne devrait pas tarder. ]

La nuit était tombée, les alentours de la prison étaient déserts. Dehors, à quelques lieux des murs de la cité, la bataille avait éclaté et ce que l'on voyait du haut des murailles était une plaine enflammée.

Dans la prison, les scitopoliens s'étaient assoupis mais ils ne dormaient que d'un œil, attendant à tout moment le signal de l'évasion. Puis, un petit homme arriva, de l'extérieur, près de la fenêtre de cellule de Laonar et il s'adressa à lui.

- Pardonnez-moi de vous déranger monsieur, mais la taverne n'a plus de vin, où se trouve la prochaine?

- Je crois qu'elle se trouve un peu plus loin dans la rue en face de la prison.

- Merci jeune homme.

Puis, l'homme quitta vers la direction donnée par Laonar. Ce court échange pouvait paraitre bien anodin pour un garde ou un prisonnier mais pas pour Laonar. C'était en fait le signal pour dire que le moment était venu de s'évader et que les armes étaient en place. Laonar siffla un peu et les scitopoliens se levèrent.

- Messieurs, c'est l'heure.

Un des prisonniers, au fond du couloir, commença l'opération. Il s'écria:

- Garde, il y a quelque chose d'étrange qui ce passe dans la cellule en face de moi.

- Qu'est-ce qu'il y a? demanda le garde

- L'homme qui était mort la semaine dernière, je crois l'avoir vu bouger.

Le garde, intrigué, se leva pour aller voir. Avant, il sonna une petite cloche pour qu'un autre garde vienne le rejoindre. Lorsqu'il passa devant la cellule de Laonar, son voisin d'en face cracha sur le garde. Le garde, offusqué, se retourna vers l'importun, tournant le dos à Laonar qui lui, d'une rapidité extrêmement, sorti son couteau taillé dans l'os de rat et tira le garde vers lui pour finalement lui trancher la gorge. Le garde tomba dans un lourd silence. Laonar se penchant donc pour ramasser l'arme du garde ainsi que sa clé. Au même moment, le second garde, appelé juste avant par l'autre garde, arriva. Lorsqu'il vit la scène, éclairé par les torches, il sortit sa lame et courut vers Laonar. Heureusement, sur sa voie, se trouvait la cellule d'un colosse de sept pieds qui avait eu la merveilleuse idée d'arracher une pierre pour la lancer dans la figure du soldat. Le crane fracassé, il tomba à son tour.

Laonar avait déverrouillé sa cellule et avait ensuite lancé la clé à son voisin pour aller chercher celle de l'autre garde. En quelques minutes, la totalité des cellules étaient vide et leurs anciens occupants remontaient les escaliers, guidés par Laonar et un ancien commandant, tout d'eux avec les épées des gardes. Ils réussirent à quitter la prison sans problème, la plupart des gardes étaient près des murs, et ensuite, la troupe d'une cinquantaine de soldats arrivèrent au dépôt des tonneaux. Comme convenu, les tonneaux étaient remplis d'armes mais aussi d'armures que tout le monde enfila en un clin d'œil. La troupe était fin prêt et elle quitta le lieu de la prison.