Le jour touchait à sa fin. Le soleil descendait derrière le bastion d’Exevald. Les couleurs paisibles du soleil couchant brillaient sur les champs de vigne et d’oliviers. Le chef-lieu de l’Exalon commençait à être envahit par l’obscurité.
Le donjon d’Exevald restait flegmatique et seul l’agitation de quelques soldats épuisés brisait la sérénité des lieux.
Dans son immense chambre à coucher, le Patriarche Enguerrand se prélassait avec une certaine quiétude. Au milieu des tapisseries et des tapis qui réchauffait l’esprit, Enguerrand, assis sur son grand lit à baldaquin, contemplait avec euphorie la gigantesque cheminée qui trônait massivement. L’Elfe Noir chantait tandis que les flammes de l’âtre dansaient.
Le Monarque de la Légion de Natémia ne savait point pourquoi mais cette chanson lui fit penser à Auréa. Peut-être était-ce seulement parce qu'il pensait sans cesse à elle.
Il se remit alors à pleurer, seul, dans la pénombre.
Le lendemain, un de ses serviteurs vînt le réveiller. Ce jour était important car il avait convoqué tout les Palatins et les Chefs de Guilde à venir au Palais Impérial pour les informer d'une terrible nouvelle...
Il partit rapidement en direction de la Pierre de Téléportation.
Le donjon d’Exevald restait flegmatique et seul l’agitation de quelques soldats épuisés brisait la sérénité des lieux.
Dans son immense chambre à coucher, le Patriarche Enguerrand se prélassait avec une certaine quiétude. Au milieu des tapisseries et des tapis qui réchauffait l’esprit, Enguerrand, assis sur son grand lit à baldaquin, contemplait avec euphorie la gigantesque cheminée qui trônait massivement. L’Elfe Noir chantait tandis que les flammes de l’âtre dansaient.
C’était dans la nuit noire,
Dans un sombre manoir,
Seule devant son miroir Isabelle pleure son désespoir.
Quand soudain derrière elle,
Dans un battement d'ailes,
Elle sent s'approcher dans son cou la bouche sensuelle...
C'est le baiser, le baiser du vampire,
Le baiser qui vous fera défaillir,
Un seul de ces baisers dans votre cou
Et vous voilà tout sens dessus dessous
Le comte Nospher à pattes,
Revenant des Carpates,
Ajusta sa cravate
Et dit : "Voumez-vous m'épousâtes ?"
« Hélas mon triste sire,
Je ne puis vous mentir,
Je préfère les yeux de Firmin A votre Beau sourire... »
C'est le baiser, le baiser du vampire,
Le baiser qui vous fera défaillir,
Un seul de ces baisers dans votre cou
Et vous voilà tout sens dessus dessous
Alors le comte en rage,
Dedans son sarcophage,
Fit éclater l'orage
Et dit : "Salut, je déménage. "
Isabelle est mariée,
Depuis plusieurs années.
Avec Firmin pas de danger Il n'avait qu'un dentier...
Dans un sombre manoir,
Seule devant son miroir Isabelle pleure son désespoir.
Quand soudain derrière elle,
Dans un battement d'ailes,
Elle sent s'approcher dans son cou la bouche sensuelle...
C'est le baiser, le baiser du vampire,
Le baiser qui vous fera défaillir,
Un seul de ces baisers dans votre cou
Et vous voilà tout sens dessus dessous
Le comte Nospher à pattes,
Revenant des Carpates,
Ajusta sa cravate
Et dit : "Voumez-vous m'épousâtes ?"
« Hélas mon triste sire,
Je ne puis vous mentir,
Je préfère les yeux de Firmin A votre Beau sourire... »
C'est le baiser, le baiser du vampire,
Le baiser qui vous fera défaillir,
Un seul de ces baisers dans votre cou
Et vous voilà tout sens dessus dessous
Alors le comte en rage,
Dedans son sarcophage,
Fit éclater l'orage
Et dit : "Salut, je déménage. "
Isabelle est mariée,
Depuis plusieurs années.
Avec Firmin pas de danger Il n'avait qu'un dentier...
Le Monarque de la Légion de Natémia ne savait point pourquoi mais cette chanson lui fit penser à Auréa. Peut-être était-ce seulement parce qu'il pensait sans cesse à elle.
Il se remit alors à pleurer, seul, dans la pénombre.
Le lendemain, un de ses serviteurs vînt le réveiller. Ce jour était important car il avait convoqué tout les Palatins et les Chefs de Guilde à venir au Palais Impérial pour les informer d'une terrible nouvelle...
Il partit rapidement en direction de la Pierre de Téléportation.