Les vastes plaines Mésologiennes

Tandis que j'écoutais attentivement les explications du Seigneur Ardent, un pigeon vint se poser sur mon épaule. Je pris le message qui était enroulé à sa patte puis il s'envola. Prenant conscience de la missive, le contenu en était très opportun dans l'instant présent. J'attendis qu'Ardent eu fini de parler avant de prendre la parole.

Messieurs, permettez-moi une petite intervention. Je suis Graubuust d'Erebor, Spadassin de l'Ombre pour ceux qui ne me connaissent pas. Ma position implique des espions à bien des endroits et plus particulièrement sur les terres du palatin Varatorn par les temps actuels. Les dernières informations font état que le royaume de cet homme est totalement sans défense et que la grandeur de son fief à largement diminué. Il semble donc que les troupes présente en Amphise soit tout ce qui reste de sa force.

J'ai également reçu confirmation que certains membres de mon corpus font ou feront bientôt route vers l'Amphise. Je leur transmettrai vos consignes messire Ardent. Bien que de réputation sauvage, nous désirons pour cette fois éviter les trop grandes effusions de sang sur les terres amphisoises.. elles viennent de se remettre de l'invasion des conquérants alors les détruire à nouveau pourrait mener à une guerre sanguinaire et sans merci contre ce fou de Varatorn.

Voilà pour moi tout est dit , messieurs bonne chasse.

Invité

Vorin attendit patiemment que tous les seigneurs se mettent en place, prenant soin de tous les acceuillirs avec le respect qui leur est dut. Une fois tout les seigneurs installés, ils discutèrent. La discussion allait bon train, Voirin prit la parole une fois que le seigneur Graubuust eut finit d'exposer ses iddées :

"Mes seigneurs, seigneur Ardent. Moi Vorin roi de Karak-Dron et ordonnateur des forges de Vénopole, désir vous exposer mon plan. Il s'agit d'une frappe de jour au moment ou tout les reste de la garnison du fort seront dehors. Une fois ce troupes dehors, nous monteront sur des griffons et irons à la grande cheminée je connais un passage qui mène directement à la salle du trône. Nous prendrons ainsi le seigneur Varatorn par surprise ! Qu'en pensez vous ?"

Vorin attendit patiemment que son commandant lui réponde.

Frère Nain, vous êtes digne de notre race. Fier combattant et fin stratège, usant des forces de vos troupes sur la faiblesse de l'ennemi.

Je quitterai dès maintenant cette tente, afin de prendre la route avec la caravane, apportant ainsi les vivres et équipement le plus tôt possible car nous allons moins vite que les troupes armées. N'ayez crainte pour notre sécurité, de nombreuses ombres veillent à ce que ma route soit dégagée. Nous nous reverrons donc plus tard, lorsque vous lèverez le camp.

Messieurs, je vous salut.

Je quittais donc la tente, donna consignes aux hommes de chariots de mettre le cap sur l'Amphise. Le départ fut donné en moins d'une demi heure.

La lieutenante Trike avait été très surprise de se voir ainsi mettre à la tête d’un contingent. Elle obéirait aux ordres du Seigneur Ardent, mais espérait qu’elle aurait quelqu’un avec qui parler et qui la supporterait dans ce commandement. Elle était habituée de commander des troupes zirconiennes et en nombre réduit. Elle se débourillerait.

Alors, le Spadassin prit parole, donna quelques informations et prodigua quelques conseils.

Puis messire Vorin exposa son plan pour déloger Varatorn. Une fois finit ces bavardages, la femme prit parole :

- Alors, que décidons-nous ? Frapper les terres de Varatorn, privant ainsi son armée d’argent et de vivres en espérant qu’Amphise tienne ou alors aller vaincre directement son armée d ‘invasion?

Invité

Après avoir exposé son plan Vorin écouta ce qu'avait à dire chacun des seigneurs présents. Une fois que la lieutenante Trike eut parlé, le roi de Karak-Dron s'exprima :

"Lieutenante Trike, les forces du seigneur Varatorn ont été balayées il y à peut de temps, ce qui nous permet d'attaquer directement ses terres. L'Amphise ne court pas un grand danger, les forces ayant été rééquilibrées entre les deux provinces. Je suggère donc d'attaquer directement le seigneur Varatorn sur ses terres et de le mettre à bas le plus vite possible, comme ça ou cas ou l'Amphise serait débordé nous pourrions la défendre avec un battement de quelques jours. A vous de voir madame."

Vorin avait exposé ses plans mais il savait pertinemment que la décision finale ne lui appartenait en rien, seuls le commandant Ardent pouvait valider ou non la stratégie du nain.

Un aigle entra subitement sous la tente, se posant sur l'épaule en armure du Seigneur Vorin, la grandeur du nain permettait à l'oiseau de se tenir bien droit. Un parchemin au sceau d'Amphise était accroché à sa patte.

Spoiler:

Un oiseau arriva dans la tente, ne voyant pas le Spadassin le volatil se posa sur la table et tendis sa patte à qui voudrait bien lire le message qui y était accroché.

Spoiler:

J’arrivai au campement avec mes cavaliers, Luciole et son armée. Je ne fus arrêté par personne ce qui m’étonna à moins que des consignes avait été donné et qu’on nous attendait mais j’étais tout de même étonné.
Je vis une grande tente au centre du campement, celle-ci était gardée par des soldats armés de lances. Je descendis de mon cheval, mes hommes m’imitèrent et bientôt un de ceux-ci prirent les raines de mon cheval. Je demandai à la comtesse

Je vais dans la tente si tu souhaites me suivre.

Je rentrai aussitôt dans la tente car j’avais déjà bien du retard. De plus je ne savais pas encore si mes messages étaient parvenus à destination.
Je voyais plusieurs seigneurs de guerre sous cette tente, mais je ne vis pas notre Spadassin, certains de ces seigneurs m’étaient inconnu.

Les yeux se tournèrent vers moi, c’est alors que j’ouvris la bouche.

Bonjour, je suis Adola Patriarche des Plaines Perdues, Magistrat des Institutions Impériales et Conseiller de la Corporation de l’Ombre et je suis accompagné de la Comtesse Luciole membre de l’Ombre également.
Et je m’excuse de mon retard, j’aurais dû arriver il y a déjà plusieurs jours mais j’ai été retardé et pour de bonne raison.

Je fis une pause afin de voir si mes propos recueillerent des questions ou objections mais j’en n’entendis rien.
Je décida donc de continuer mon récit.

Tout d’abord il a fallu que je sonne le rappel de mon armée et qu’elle se prépare en vue de combattre, pour se faire il m’a fallu du temps. Mais ce temps n’a pas été perdu car j’ai envoyé des espions qui m’ont informé que Varatorn ne disposait que de peu d’hommes mais que cependant il en recrutait partout sur son royaume. Cela m’a permis de m’installer un temps sur une partie de ses terres mais mes hommes ont malheureusement succombé à une attaque.
De plus j’ai eu il y a très peu de temps la visite sur mes terres de Penya Tavaril ainsi que de Babka le serviteur d’Oengus qui se rendaient en Amphise. J’ai donc été brièvement informé de ce qui se préparait. J’ai donc ordonné à mes troupes d’escorté Penya Tavaril et Babka jusqu’en Amphise et de s’y baser afin de protéger cette province et ainsi avoir des troupes sur places pendant que vous serez libre de combattre Varatorn où vous souhaitez.

J’espère simplement que ma décision ne va pas contrarier vos plans, je tiens quand même à signaler que je suis venu avec un petit groupe de mes cavaliers qui se déplacent rapidement et discrètement ce qui reste l’idéal pour certaines missions.

Voilà je pense avoir à peu près tout dit maintenant je suis à votre écoute si vous avez des questions ou remarques.

Je n’osais pas demander si ils avaient envoyé des émissaires vers Varatorn pour essayer de parlementer et résoudre le conflit sans recourir à la force. Je ne m’étais pas non plus proposé à ce rôle malgré mon statut impérial au sein du Sénat mais je pensais être relativement bien placé pour effectuer ce genre de mission si jamais le groupe l’envisageait. Enfin bon il y avait encore du temps pour proposer cette idée. Tout comme proposé de faire appel au Sénat afin de justifier de la nécessité de ce conflit ce qui aurait comme possibilité de faire appel à l’Armée Impériale.

Loin à l’horizon, un point noir se présentait. Seul des yeux d’elfes comme Penya ou Oengus aurait pu les distinguer. Mais alors que le soleil baissait, la lumière se fit moins aveuglante et l’on vit que quoi que c’était, cela se dirigeait vers l’expédition des corpus.

Alors, les regards les plus perçants purent distinguer deux personnes et une bête. Ce ne fut que lorsque la quatrième heure après midi fut atteinte que l’on identifia les nouveaux arrivants.

* * *

Il y avait maintenant trois jours que Faraël et Caledan déambulaient dans la plaine. Après la cérémonie qui fit de Caledan un être à part entière, Eataine leur avait donné vivres et eau, dans une demi-douzaine d’outres. Faraël avait alors sortit de son baluchon, quelque chose que peu de gens pouvait distinguer dans la nature et encore moins savaient que Faraël les possédaient. Des vêtements de rôdeurs. Avec ses fréquentes relations avec les rôdeurs du Nord de Scitopole, Faraël avait fini par apprendre leurs techniques et même à apprécier leur art, celui du camouflage et du déplacement silencieux dans la nature. Il s’habilla en vitesse et prit une heure de repos, avant de se présenter à Caledan et de lui dire :

- Il est temps, ami, nous avons suffisamment traîné, les volontés de ton père doivent être accomplies sous peu, il y a déjà longtemps qu’elles ont été données.

Le fils d’Ulthuran répondit :

- Je devais partir de toute façon. La partie de ma vie qui devait se passer ici est révolue, Je suis prêt à sortir au grand jour.

Sur ces mots, le groupe avait quitté le temple et reprenant la même barque, était revenu à Saphyra aux petites heures du matin, alors que l’aube pointait. Caledan n’avait pas d’habits de rôdeur, mais ses vêtements n’étaient pas des plus repérables.

Silencieusement, le prince partit en éclaireur et revint annoncer que la voie était libre, étrangement tranquille. Le fils de Fardall et le jeune Khain contournèrent les collines de Mésolongion par le Nord, et plutôt que de tenter d’entrer par la forêt, décidèrent de foncer à travers les plaines, vers Vénopole, où ils auraient le choix entre se téléporter de Samothrace ou continuer vers la Capitale, à pieds.

Le premier soir, ils dormirent à la belle étoile, couché dans l’herbe étrangement haute à cet endroit. Lorsque le matin suivant, Caledan se réveilla et bailla, son lion à ses côtés qui prêtait l’oreille,. Faraël dit :

- Silence ! Il y a une troupe de Kobolds, à moins d’un quart de lieue. On les voit d’ici, alors nous sommes visibles aussi.

Au loin, les Kobolds se mirent à crier. Ils se chamaillaient, pour ils ne savaient quelles raison. Puis soudain, ils se mirent à courir dans leur direction. Faraël eu juste le tempsd e dire avant de partir :

- Reste caché ici dans l’herbe haute, et surtout retient ton lion, ils sont trop nombreux.

Il partit à la course et l’ondulement de sa cape, tissée à la manière elfe donna l’impression à Caledan qu’il s’évaporait. Les cris des Kobolds se firent plus stridents.

- Avoir humains ici !

- Moi dire non, toi imbécile !

- Tais-toi Grump, moi chef.

Alors qu’ils n’étaient plus qu’à une trentaine de mètres de Caledan, dont le sang bouillait de ne pas combattre et Kisvel grognait. L’elfe tenta de le calmer, et il réussit. Ils étaient liés.

- Ici stupides kobolds !

Une pierre sortit des herbes et frappa la tête du chef de la bande. Tous se jetèrent dans cette direction., pour ne rencontrer que le vide.

- Bandes d’idiots, ici.

Une autre roche frappa le crâne d’un kobold isolé. Les kobolds continuèrent ainsi le manège, sans se rendre compte qu’ils s’éloignaient de leur cible.

Faraël sortit des herbes et attrapa Caledan par le bras.

- Vite, par ici, en silence.

Les deux hommes et le lion s’élancèrent dans l’herbe, en direction de l’ouest, sans être vu par la bande de kobolds.

Le soir, ils ne dormirent pas, restant sur leur garde. Ce ne fut qu’à la fin de la troisième journée de maraudage qu’ils aperçurent enfin une troupe non-hostile. Au loin, seul Caledan pouvait distinguer quelque chose. Mais comme il avait été isolé de l’Empire et ne connaissait pas grand chose aux bannières, il ne put les identifier. Il tenta tant bien que mal de décrire ce qu’il voyait à Faraël. C’est alors que parmi tous, le fils de Fardall reconnut la bannière de la Corporation des Combattants. Surement des amis, mais certains membres étaient tout de même hostile. Il approcha donc en grand silence, et à mi-chemin, au moment même ou les observateurs de l’expédition distinguaient leur silhouettes, le frère de Rafaël, le soleil dans les yeux, réussit à identifier, la bannière de Zirconie. Alors il dit à Caledan et Kisvel :

- Venez, ce sont des amis !

Ils accoururent et rejoignirent la grande troupe vers quatre heure de l’après-midi.

- Qui commande ici ?

- Les Seigneurs des Corpus sont dans la tente là-bas.

- Merci bien.

Sans invitation, le Palatin de Scitopole écarta la toile et entra.

- Messire Ardent, messire Adola, messire Graubuust, messire Nain, Dame Trike, bonjour, termina-t-il avec un sourire. Voici Caledan Khain, fils de feu Ulthuran Khain, Seigneur d’Avelorn

Luciole descendit de son cher cheval infernal et leva la main faisant signe a quelqu'un ou quelque chose d'approcher.
Sa servante apparut alors face a elle, s'inclinant pour prendre les raines.

"Comtesse, si je peu me permettre, faite attention a vous"

"Non tu ne peux pas te le permettre, va maintenant !
Dit au troupes de ne plus bouger et d'attendre mes ordres"

"Bien madame"

La servante Resta a l'écart avec le cheval qui ne se laissait pas vraiment faire, n'obéissant réellement qu'a la comtesse.

"Du calme sale bête"

Hime avait un peu de mal a le tenir mais fini par le faire écouter un minimum.
dévisageant les quelques personnes qui passait, le visage pâle et ses long cheveux noir bien raide.

"S'acoquiné avec des êtres du jour, j'ai confiance en la comtesse mais..."

Elle fixa l'animal

"pourquoi je te parle..."

Le cheval souffla de l'air chaud par les nasaux et tappa du sabot au sol énervé attendant le retour de sa maîtresse

Luciole toujours vêtue de sa belle cape pourpre en soie, son capuchon sur la tête hésita a entrer.
Elle qui avait déja eu du mal a supporter recevoir des ordres d'une personnes, alors de plusieur !
mais elle se devait de faire bonne figure.
Une fois les deux hommes entré elle fit de même, ne prononca aucune parole, se contentant de s'incliner, le visage en majeur partie caché.
La jeune vampire alla prendre place dans un coin.
Elle n'avait que peu de chose a déclarer de plus qu'adola, qui l'avait déja présentée, elle l'avait entendu.

Au même moment, l'héritier de famille impériale fut coupé dans son élan par la pointe d'un sabre qui menaçait sa poitrine. L'instant suivant, plusieurs lames furent tirées, pointant soit vers le nouveau venu, soit vers le commandant. Rengainant son arme, Ardent fit signe aux autres de baisser les leurs.

Je m'excuse, lieutenant Faraël, mais nous sommes en temps de guerre et on n'est jamais trop prudent dans de telles circonstances...

Magistrat Adola, je suis fier de vous voir ici, car on parle souvent de vous comme étant quelqu'un de juste. Lorsque l'on a votre réputation, on entend beaucoup, surtout quand on est avec de si bonne compagnie... (En lançant un clin d'œil rapide à la seigneur l'accompagnant)

Et toi, Caledan Kain, Bien que je n'aie jamais connu ton père, Sache qu'il était un homme brave et qu'il est mort comme devait mourir un homme de sa tempe, en essayant de protéger l'ordre et la justice.

Il se retourna vers ses compagnons, et, voyant que le ciel se teintait déjà des couleurs du crépuscule, il commença à raconter aux nouveaux venus la nature du problème. Il expliquait d'une voix rapide, mais sans appel, les agissements qui l'avait poussé à déclarer la guerre à Varatorn et les siens.

Il leur fit aussi part de son plan, qui consistait à capturer toutes les troupes de Varatorn et à le destituer de son rôle de Palatin. Il allait partir avec une troupe se composant d'une petite centaine de personnes, et ils allaient s'infiltrer dans la grande forge de Vénopole pendant qu'une autre escouade allait capturer les troupes ravageant les terres d'Amphise. Une fois ces troupes confiées aux soins des troupes impériales, ils les rejoindraient à Vénopole pour la grande finale.

Invité

Après que le commandant Ardent ais réexpliqué aux nouveaux arrivants la situation dans laquelle ils allaient se plonger, un oiseau se posa sur l'épaule de Vorin, celui-ci dit :

"Encore un piaf qui me prend pour un perchoir non mais c'est pas possible."

Mais le nain changea vite de discours une fois le message déplié, c'était du Khasalide la langue maternelle des nains. Le message disait :

"Seigneur Vorin, votre royaume n'est plus que cendres et poussières les troupes du seigneur Varatorn on tout ravagé mais cela n'est pas le plus triste. Votre famille a été éxécuté sur la place publique pendant que les généraux de Varatorn pillaient vos terres.

Revenez au plus vite mon seigneur Karak-Dron a besoin de vous."

Après avoir lut le message, Vorin sentit la rage et la douleur lui monté à la tête et soudain le nain fou de rage explosa litteralement. Du corps du nain s'éleva un puissant éclair qui monta tout droit vers les cieux, après avoir reprit son calme, Vorin dit :

"A tout les seigneurs présents, veuillez m'excusez pour ce qui vient de ce passer, mon royaume n'est plus que cendres à cause de Varatorn, et ma famille n'est plus.
Commandant, j'aimerais partir d'ici le début d'après midi, si cela ne vous dérange pas, ce Varatorn ne sait pas qui il vient d'offenser. Ma sentence sera pire que la mort !"

Le nain ne pouvant contenir sa rage alla faire un tour sans même attendre la réponse de son commandant.

Le seigneur Ardent venait de nous résumer de manière synthétique la situation qui n'était pas particulièrement affolante mais mieux fallait se méfier car un animal traqué et blessé est toujours plus dangereux. Malheureusement je ne m'attendais pas à ce qui allait se passer et que ma pensée n'allait pas être contre dite.

Vorin venait juste de quitter la tente après avoir annoncé que son royaume avait été mis à feu et à sang. Dans ma famille nous avions aussi connu des massacres sur nos terres et nous avions nous même été chassé de notre royaume.

Je m'avança au centre de la tente afin de pouvoir m'exprimer.

Chers Seigneurs je suis tout comme vous horrifié et scandalisé de ce que Varatorn a encore fait.
Cependant j'aurais une proposition à vous faire et peut être que certains d'entre vous serons scandalisé mais je préfère parler plutôt que de me taire surtout que cette idée me trotte dans la tête depuis déjà quelques temps.

Varatorn est pour l'instant un palatin d'une province de Kalamaï et à ce titre je pense qu'il serait souhaitable qu'un diplomate y aille au nom de Kalamaï afin de poser un ultimatum à ce soit disant seigneur.
Il devra se rendre sans condition, défaire son armée, démissionner de son poste de Palatin et surtout comparaitre devant le tribunal. Si jamais il a un soupçon de regret il se rendra et cela permettrait d'éviter de faire couler du sang qui a déjà bien trop couler.

De plus je pense qu'il faudra que nous informions l'Empereur et le Sénat de ce que nous nous apprêtons à faire afin de légitimer cette guerre qui se prépare.

Maintenant la décision ne m'appartient pas mais je pense qu'il est de mon devoir de Magistrat des Institutions Impériales que de faire cette propositions et je me propose de me rendre à la grande Forge de Vénopole afin de lui faire entendre raison.

J'attendais les commentaires qui j'étais sûr n'allais pas tarder et j'étais convaincu de rencontrer bon nombre de mécontents et à juste titre avec ce que Vorin venait de subir.

Invité

Depuis l'arrivé dans la tente, Caledan n'avait dit aucun mot. Après avoir été présenté aux seigneurs présents, Ardent avait expliqué, à lui et à Faraël, la situation dans laquelle ils se trouvaient. Puis, il avait écouté attentivement les dires de chacun des seigneurs présents dans le but de comprendre le plus possible. Puis, la colère du seigneur Vorin avait éclaté suite à l'annonce de la destruction de son royaume par les armées de Varatorn. Ensuite, se fut Adola qui prit la parole, étalant l'idée de proposer un ultimatum au seigneur Varatorn, le palatin de Vénopole. Étant très jeune, il n'était pas sur s'il devait se prononcer mais, il choisi de se lever tout de même. Lorsqu'Adola eut fini, il parla.

- Pourrais-je m'exprimer?

Faraël lui répondit que oui.

- Bonjour messieurs,
D'après se que j'ai entendu, j'en déduis que les actes du seigneur Varatorn sont guidés par quelque chose qui nous dépasse, que nous ne comprenons pas. Regardez, il se retrouve seul contre plusieurs, Vénopole contre Kalamai. Une personne avec une morale et une logique normale aurait réalisé que c'est une cause perdu pour lui et se serait déjà rendu. Par contre, ce n'est pas le cas de Varatorn. Il possède un ego énorme et il croit, dans sa tête, qu'il est dans la meilleure position possible et que les dieux sont en sa faveur. Il croit qu'il peut gagner.
Ce que je pense, c'est que de proposer un ultimatum en lui demandant de se rendre et de démissionner ainsi que de comparaître serait une grosse erreur de notre part. Voici pourquoi. Il se croit supérieur et cela serait pour lui une offense au plus au point si nous lui disons que c'est le seul moyen d'en finir avec cette histoire. Il en résulterait donc qu'il développera surement une colère et une rage énorme ce qui mènerait à beaucoup plus de violence.

Après s'être exprimé, Caledan se rassit au coté de Kisvel et attendit une réponse, espérant que les seigneurs présents ne tiendraient pas compte de son âge mais plutôt de ses dires.

Caledan Khain avait analysé la situation avec beaucoup de lucidité pour son jeune age. Cependant je ne pouvais pas partager totalement son point de vue. C’est pour cela que je repris aussitôt la parole.

Vos paroles sont sages et je suis persuadé tout comme vous que si je rends visite à Varatorn pour lui poser cet ultimatum et le sommer de se rendre il sera très contrarié je dirais, pour ne pas dire hors de lui.
Cependant je tiens à rappeler que nous sommes un Empire civilisé qui ne peut se permettre que les seigneurs se vengent comme bon leurs semblent sans que l’on plonge dans le chaos. C’est pour cela que je pense qu’il est souhaitable que moi sénateur de Kalamaï me rende auprès de ce palatin afin de lui signifier qu’il doit se rendre au vue de son comportement envers Amphise, envers le Sénat et envers l’Empereur.
Il est souhaitable que ce soit moi qui m’y rende car au vue de mon statut au sein du gouvernement je ne risque pas grand-chose à m’y rendre. Selon la loi de Vénopole les représentant de Kalamaï n’ont pas le droit à être touché et sont libre de leur mouvement au sein même de la salle du trône. De plus si il me toucherait il aurait le grand risque de voir sur ses terres l’Armée Impériale

A la vue de cela si il décide de se rendre je livrerais au tribunal. Mais si comme je le pense, de toujours combattre alors nous serons totalement légitime pour le combattre et le mettre hors d’état de nuire. Cependant il sera indispensable de mettre au courant l’Empereur et le Gouverneur au fil de l’évolution de la situation car ce sont eux qui sont garant de la bonne marche de l’Empire.

Je marqua une pause en espérant avoir convaincu les seigneurs qui étaient présent sous la tente.
Je savais aussi que bon nombre de seigneurs de Kalamaï étaient plus pour l’action que pour la diplomatie. Mais il était aussi de mon devoir que de faire cette proposition entant que Magistrat des Institutions Impériales.
Mais il est vrai que je me demandais également pourquoi Varatorn se bornait dans son combat perdu d’avance surtout qu’il n’avait pas eu de soutien ouvert dans sa lutte. Peut être en apprendrais je plus si le groupe m’autorisais à y aller. Varatorn était tellement arrogant qu’il penserait peut être être supérieur et donc ne pas prendre de risque en dévoilant son plan et à donner ses réels intentions.

Un garde entra dans la tente. Les regards se tournèrent vers lui, ce qui lui donna un profond mal à l’aise. Il montra le rouleau de parchemin qu'il tenait dans sa main droite.

L’Inquisition vient de nous faire parvenir ceci.

Le garde le donna au seigneur le plus proche de lui, puis ressorti de la tente.

Spoiler:

Ardent finit de parcourir la missive une fois qu'il eût assimilé le discours du magistrat Impérial. Les idées et les valeurs que celui ci essayait de protéger étaient faciles à voir, et elle ressemblait à celle qu'il voulait véhiculer, mais Varatorn devait payer pour ce qu'il avait fait. En se tournant vers le seigneur Adola, il dit:

Soit. Mais vous partirez avec nous, et si Varatorn n'accepte pas vos conditions, son palais même sera la proie des flammes, et lui trainé dans la poussière et le déshonneur jusqu'au tribunal impérial. Nous avons perdu assez de temps en vaines palabres pendant que cet homme continue de porter des attaques sur diverses terres, dans plusieurs provinces. Nous partirons dès que l'inquisition arrivera, et cela avec ou sans vous, Magistrat.

Pour ma part, je vais passer le reste de la soirée avec les soldats, qui doivent se ronger le frein en attendant notre décision. Je vais aller les rassurer, vous me direz la décision finale.

Il sortit en laissant la missive de l'inquisition bien en vue sur la carte stratégique étendue sur la table.

Bien si c'est le souhait du reste du groupe je me plie à la majorité surtout que l'inquisition a parlé. Mais je ne pense pas que Varatorn nous laissera tous rentré gentiment sur ses terres pour que je lui parle et l'amène à la raison. onc nous n'aurons plus qu'à le combattre et le battre.
Pour ma part je ne dispose que d'un petit groupe de cavaliers mais très efficaces qui permettront harceler l'ennemie en différents points et de manière rapide. Le reste de mon armée est comme je vous l'ai dit déjà en direction d'Amphise.

Puis m'asseyant je déclara

J'espère seulement que l'inquisition ne tardera pas car j'ai hâte d'en finir avec ce seigneur et surtout de libérer les personnes honnêtes de la tyrannie

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Lun 1 Sep 2008 - 2:12

Un faucon vint se poser l'épaule d'Adola, à son cou il portait un collier orné du sceau de l'Ombre et à sa patte une missive au cachet de Graubuust.

Spoiler:

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Lun 1 Sep 2008 - 6:36

Les événements s’était déroulés à la vitesse de l’éclair. Dès qu’il eu pointé le nez à l’intérieur de la tente, Faraël se retrouva encerclé par des lames acérées qui le menaçait. Il n’avait pas le temps de sortir sa propre épée que de nouveaux bruits, signe que d’autres venaient de dégainer se produisirent. Le Commandant Ardent fut menacé lui aussi, et la Lieutenante Trike maintenue sa lame à la hauteur du Seigneur de Montfort.

Après un bref moment d’hésitation, Ardent baissa son arme, faisant signes aux autres de l’imiter.

Je m'excuse, lieutenant Faraël, mais nous sommes en temps de guerre et on n'est jamais trop prudent dans de telles circonstances...

Magistrat Adola, je suis fier de vous voir ici, car on parle souvent de vous comme étant quelqu'un de juste. Lorsque l'on a votre réputation, on entend beaucoup, surtout quand on est avec de si bonne compagnie... (En lançant un clin d'œil rapide à la seigneur l'accompagnant)

Et toi, Caledan Kain, Bien que je n'aie jamais connu ton père, Sache qu'il était un homme brave et qu'il est mort comme devait mourir un homme de sa tempe, en essayant de protéger l'ordre et la justice.

Faraël était encore un peu abasourdi d’une réaction si hostile dans un campement allié. Il entendit évidemment les mots adressés au Magistrat Adola, arrivé quelques secondes derrière lui.

- Commandant, j’accepte vos excuses, mais je reste tout de même surpris de votre réaction. Une discourtoisie de ce genre pourrait signifier une guerre pour certains hommes, moins enclin que moi à la paix, si vous voyez ce que je veux dire. Je ne m’attendais certes pas à de l’hostilité, même défensive dans cette tente, gardée par de vaillants soldats. Enfin passons, si vous pouviez me résumez la situation …

Faraël ne savait trop quelle heure il était, lorsque les explications se terminèrent. Tout de suite des tactiques de combat se mirent en branle, le Palatin de Scitopole en fut consterné. Encore une guerre alors que le conflit entre factions impériales venait à peine de se terminer. C’était à en perdre la tête. Puis un message arriva pour le maître nain, qu’il ne connaissait pas, la missive le mit en rage noire. Lorsque son contenu fut divulgué, le mari d’Arianthe en resta pantois. Ce Varatorn était un meurtrier de première. Piller et envahir ainsi pour la simple richesse relevait de la bestialité. La Zirconie ne portait jamais d’autres conflits que des expéditions punitives ou des attaques de probables ennemis. Aussi, se réjouit-il d’entendre la proposition du Seigneur Adola. La négociation, voir l’intimidation et la sommation valait mieux qu’un autre génocide. Lorsque Caledan passa devant lui et demanda la permission de s’exprimer, Faraël hocha la tête. Il ne pouvait priver un citoyen de Kalamaï de la parole et il n’en avait pas envie. Le jeune Khain souleva des points importants, même si la solution d’Adola était encore encline à saisir le cœur du zirconien. Faraël fit une bise de courtoisie à la Lieutenante Trike, pendant ce bref laps de temps. Immédiatement, un garde apporta une missive de l’Inquisition. Le fils d’Hadawen eu la chance de la lire. Apparemment, l’Inquisition avait rapidement pris de l’importance parmi les institutions depuis son départ. Maintenant elle ordonnait d’attendre. Faraël y était enclin, mais son cœur lui disait que d’autres ravages étaient perpétués pendant ce temps. Il espérait que le Pontife se dépêcherait. Finalement, un message annonçant la nomination du Spadassin Graubbust au poste de Palatin de Vénopole changea la donne. Lorsque le silence fut revenu, le prince impérial proposa une solution diplomatique similaire à celle d'Adola, même s'il n'avait aucune autorité dont il voulait user ici qui lui donnait le droit d'imposer cela aux compagnons.

- Je suggère que nous envoyons Adola, accompagné du légitime Palatin de Vénopole afin de réquisitionner les clefs du palais de Samothrace et par le fait même sommer Varatorn de se rendre. Une partie de nos troupes pourrait se diriger sur son royaume et l’autre pourrait se diriger rapidement et avec célérité vers Amphise pour aider à défendre la province. Enfin … une fois que l’Inquisition arrivera.

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Lun 1 Sep 2008 - 10:12

Un oiseau vint se poser sur mon épaule. J'ota de suite le parchemin qu'il avait à son cou et le lu. Je reconnu de suite le sceau ça ne pouvait être que notre Spadassin.
Je me hâta de l'ouvrir pour la lire et les nouvelles étaient bonnes voir même excellente.

Mes chères compagnons je me permets de vous interrompre car je viens d'avoir en ma possession des nouvelles qui je penses ont une influences directes et bénéfiques sur notre campagnes.
Pour commencer le Spadassin Graubuust vient de justesse d'être élu comme Palatin de Vénopole. Le seul problème est que cela demeure précaire caar les votes étaient répartie de façon totalement équitable. Je ne sais donc point comment à réagit Varatorn et si il a laissé son siège. Enfin cela n'empêche pas que le vent souffle pour l'ancien tyran de Vénopole la population ne le suit plus entièrement.

Je voyait la mine réjouit de mes compagnons, en ce moment les bonnes nouvelles se faisait rare mais celle ci nous confortait dans nos choix.

Deuxièmement mes troupes sont arrivées en Amphise et surveillent les allés et venues des renfort vénopoliens. Elles sont donc de ce fait prêt à intervenir et à protéger Amphise pendant que nous nous pourrons marcher sur Vénopole afin d'arrêter Varatorn de quelque manière que ce soit.
Je suppose donc que Penya Tavaril ainsi que de Babka le serviteur d’Oengus sont arrivé sain et sauf en Amphise vu que mes troupes les accompagnaient et devaient les protéger.

J'attendais maintenant de voir la réaction de mes compagnons. Si comme Faraël ils seraient toujours d'accord pour que j'intervienne afin d'éviter de faire encore couler du sang ou si vu que Varatorn n'était plus Spadassin nous devions aller directement guerroyer.

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Mar 2 Sep 2008 - 4:03

Mes Seigneurs, une missive portant le sceau de l’Inquisition fit le garde en apportant le morceau de vélin dans la tente.

Spoiler:

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Mar 2 Sep 2008 - 22:11

Le messager du Maître Inquisiteur venait d’amener une missive importante. Les troupes de Varatorn avaient été défaites. Il nous donnait les pleins pouvoirs pour retrouver cet homme afin de le livrer au jugement de la Sainte Inquisition qui ne serait sûrement pas tendre avec lui.
Regroupé à mes informations qu’Amphise était protégé et Vénopole avait changées de palatin au profit de Graubuust, cela permettait de voir l’avenir sous de meilleurs hospices.

Seigneurs, ce sont vraiment de bonnes nouvelles qui nous parviennent.
Visiblement il ne reste plus qu’à trouver Varatorn. Pour se faire je pense souhaitable et bénéfique de faire quérir des messagers vers Vénopole afin de lancer un avis de recherche contre Varatorn récompensant tous citoyens qui fournirait des informations ou mieux qui nous livrerait Varatorn. Nous devons mettre à contribution le peuple de Kalamaï qui pourrait nous fournir des informations précieuses afin de leur trouver.
Et j’espère qu’Orfange nous permettra de vite lui mettre la main dessus.

En ce qui concerne ce qu’a écrit Arzhùl Gorbad à propose que je suis le plus haut représentant de l’Empire et donc en charge de la traque, je ne partage pas son avis.
Je pense qu’il est préférable de prendre les décisions en commun.
Par contre il me sera possible d’informer le tribunal ainsi que le Sénat de nos avancés.

Puis marquant une pause une idée me vint, le nouveau palatin de Vénopole était Spadassin et moi le Conseiller donc les deux plus hauts représentants de l’Ombre, pourquoi ne pas utiliser les moyens de la Corporation pour le plus grand bien de Kalamaï
Je rajouta donc

La Corporation de l’Ombre a de nombreux espions que je vais quérir afin qu’ils nous donnent également des renseignements.

Un nouveau messager arriva avec une missive qu'il me tendis, je le remercia et déroula le parchemin afin d'en prendre connaissance. Il s'agissait de Kaïm qui m'envoyait des informations précieuses

Spoiler:

Je vois que la Corporation de l'Ombre est actif et que nos membres savent prendre des initiatives. Si vous souhaitez consulter le parchemin il s'agit d'un rapport d'espionnage.

HRP: j'ai réduit volontairement le rapport d'espionnage afin de ne pas trop désavantager Varatorn

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Dim 14 Sep 2008 - 23:02

Au dernière nouvelles, Varatorn était retranché dans ses dernières limites, il s'obstinait toujours mais ses armées étaient réduites à presque rien. Faraël prit donc la parole et dit:

- Vu la situation actuelle je ne crois plus qu'une offensive militaire soit opportune. Je suggère que nous laissions cela entre les mains de l'Inquisition qui saura régler le problème. Après tout, si nous attaquons nous avons tout de même des chances de causer la mort de gens, n'est-ce pas ce que nous voulons éviter ? Persister dans un conflit ne donnerait rien. Laissons donc ce bourbier conflictuel et retournons à nos préoccupation première, la mienne étant le bien de mon peuple.

Le jeune Barka attendit la réponse de l'assemblée. Il jeta un coup d'oeil à Caledan et son lion qui était près de lui. Il espérait que le jeun Khaïn penserait comme lui.

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Lun 15 Sep 2008 - 10:14

J'avais écouté attentivement Faraël qui proposait judicieusement d'éviter de nous enliser dans un conflit qui nous couterait cher en hommes.
Un messager rentra dans la tente et vint me donner une missive, je le remericia et déroula le parchemin, il s'agissait d'un nouveau rapport d'espionnage

Spoiler:

Je déposa le nouveau parchemin sur la table afin que toutes les personnes présentent puissent le consulter puis je déclara

Je reste persuadé qu'il est nécessaire de laisser à Varatorn la possibilité de se rendre et je souhaite me rendre vers les lieux où il se cache afin de faire appel à son bon sens et ainsi de se rendre ce qui permettrait d'épargner beaucoup de vie.
Si vous n'y voyez pas d'inconvénients je vais m'y rendre et tenter de parlementer ensuite nous aurons tout le temps de mettre son camps à feu et à sang et alors nous n'aurons pas à avoir de regret.

J'attendais des réactions mais je m'étais décider que faute de réaction je partirais rapidement car nous n'avions déjà que trop attendu pour agir.