Les vastes plaines Mésologiennes

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Mar 16 Sep 2008 - 2:20

Tout se passait à merveille dans le camp. Tous les soldats étaient heureux, en santé et surtout fiers d'avoir été choisis parmi ceux qui devait participer à la réunion historique des plus puissants seigneurs de Kalamaï. Ils se sentaient surtout honorés que le chef des combattants en personne aille les voir en personne pour s'enquérir de leur état. Une fois la revue des troupes effectuée, il rentra dans la tente juste à temps pour entendre les derniers points de vue des seigneurs Faraël et Adola. Il prit la parole à son tour, regardant le palatin de Scitopole.

L'inquisition est en route donc je n'ai plus rien à faire ici. Je vais donc partir pour l'expédition que votre père, l'empereur, m'a demandée de faire.

Il se tourna vers Adola et continua normalement, sans que son mouvement ne coupe la conversation:

Pour votre idée magistrat, j'avoue être en désaccord, je préfère toujours régler mes problèmes militairement quand la partie adverse est incapable d'agir avec un autre moyen que par le sang. Qui tue par l'épée périra par l'épée. Mais faites donc à votre guise, votre rang est supérieur à tous les nôtres.

Encore une fois, il se tourna vers l'héritier impérial sans que rien ne perturbe sa litanie.

Je vais partir le plus tôt possible, ma route sera longue et périlleuse. Je vais vous ramener la preuve de mon voyage d'ici peu. Le temps que je rassemble mes troupes et j'y vais.

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Mar 16 Sep 2008 - 4:05

Faraël écouta attentivement ce qu'avait à dire le patriarche Adola ainsi que le Commandant Ardent qui venait de revenir.

Je reste persuadé qu'il est nécessaire de laisser à Varatorn la possibilité de se rendre et je souhaite me rendre vers les lieux où il se cache afin de faire appel à son bon sens et ainsi de se rendre ce qui permettrait d'épargner beaucoup de vie.
Si vous n'y voyez pas d'inconvénients je vais m'y rendre et tenter de parlementer ensuite nous aurons tout le temps de mettre son camps à feu et à sang et alors nous n'aurons pas à avoir de regret.

L'inquisition est en route donc je n'ai plus rien à faire ici. Je vais donc partir pour l'expédition que votre père, l'empereur, m'a demandée de faire.

Le fils de Fardall répondit:

Bien que je ne désire pas vous offusquer messire Ardent, j'appuie toujours la solution diplomatique du Patriarche des Plaines Perdues. Je vous laisse donc les soins de négocier la fin de ce conflit. Si vous le pouvez, faites-le savoir au Pontife, puisqu'il désire être averti de nos actions.

Quant à vous commandant, je vous souhaite bonne chance pour ce pèlerinage. En espérant que vous n'emmeniez pas une armée se recueillir avec vous. Quant à la preuve de votre acte de foi, vous n'aurez qu'à le remettre à mon père, car c'est lui qui vous confia cette mission, à lui de vous en décharger.

Mes troupes, sous la gouverne de la Lieutenante Trike marcheront jusqu'à la frontière Vénopolienne et y camperont. Si l'Inquisition ou messire Adola on besoin de leur secours pour une raison valable, elle agira en conséquence.

Pour ma part je vais ramener Caledan à mon père, comme j'ai accepté de le faire. Je quitterai donc le camp sur le champ. Que la chance vous accompagne tous.

Faraël les salua tous et sortit du pavillon. Il serra de nombreuses mains, surtout celles de ces soldats, puis fit halte à la cantine du camp pour remplir de provision son sac de voyage. Il fit quelques pas, se retourna et dit:

- Tu viens mon ami ? Kisvel doit être impatient de se dégourdir les pattes ?

Puis, il sourit.

Invité

Durant toute la durée des discussions entre les seigneurs, Caledan était resté assis dans un coin avec Kisvel, sans dire un mot ou presque. Tout ce spectacle lui appris un peu sur la situation de Kalamai, chose dont il entendait peu ou pas dans le temple. Aussi, il reçu cela comme une sorte de cours sur les tactiques militaires. Puis, le temps passa et Farael annonça son départ en compagnie de Caledan. Les deux êtres quittèrent donc le camp militaire.

Ils prirent la direction de la capitale, siège de l'empereur Fardall, où Caledan allait probablement résider quelques temps, même s'il espérait continuer de voyager avec l'héritier de Zirconie, avec lequel une sorte de lien s'était tissée. La nuit venue, ils installèrent un campement dans les plaines et, étant assez épuisé suite à une journée entière de marche, ce fut à Kisvel de chasser le repas. Ce dernier leur ramena un jeune cerf assez dodu duquel ils se régalèrent. La routine continua jusqu'à leur arrivé à destination.

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Mar 16 Sep 2008 - 14:58

Alors que les Seigneurs Faraël et Ardent quittaient la tente afin de suivre chacun leur route, je décida d'en faire autant.
Il était grand temps pour moi de me rendre en Vénopoloe et plus particulièrement dans les Montagnes Grises car le bruit circulait que c'était le lieu de retraite de Varatorn.

Je vais vous laisser mes braves et j'espère que l'on se reverra vite, je vais tenir au courant le Grand Inquisiteur de ma démarche, je me rend en Vénopole et j'en prendrais moi même la responsabilité de cette décision.

Je me tourna pour me diriger vers la sortie et juste avant de franchir le seuil de la tente, je m'arreta et dit sans me retourner

J'espère que ce traitre va tout de même entendre raison sinon nous n'aurons plus d'autres choix que d'anéantir son armée et lui aussi par la même occasion

Puis je sortie, je me dirigea d'un pas décidé vers mon groupe de cavalier qui m'attendait patiemment.

Je vis Luciole qui sortie égalment je me tourna vers elle, pendant qu'un soldat m'amena une de mes armures qu'il m'aida a endosser, elle était en cuir noir avec des plaques métalliques toutes ouvragées.

Comme tu as pu l'entendre je me dirige vers Vénopole pour y rencontrer Varatorn. Cette entreprise n'est pas sans risque car les diplomate sont parfois tuer, c'est aussi la raison qui me pousse à prendre cette armure car si tel est le cas je défendrais chèrement ma vie et j'en amenerais un maximum avec moi.
Mais c'est à toi de voir, rien ne t'oblige à t'accompagner, tu peux y reflechir le temps que je parle aux hommes.

Je me tourna alors vers les hommes qui étaient tranquillement installé au coin du feu à grignoter un morceau.

Mes braves vos frères d'armes sont arriver sain et sauf en Amphise et nous nous allons nous diriger vers Vénopole où je désire proposer à un seigneur de se rendre et d'être juger. Ce n'est pas une mission de guerre mais diplomatique cependant si on nous agresse nous répondront de la même manière.
Préparez vous nous partons!

Avec une efficacité et un calme spartiates, les hommes s'activèrent à lever le camps et préparer les chevaux.
Pendant ce temps je pris un rouleau de parchemin pour écrire une missive que j'envoya à l'Inquisition afin de le mettre au courant de mon action que j'entreprenais.

Lorsque le volatile s'envola un soldat vint m'amner mon fidèle destrier qui était prêt pour le voyage. Je grimpa dessus et regarda Luciole, j'attendais une réponse de sa part.

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Mar 16 Sep 2008 - 16:11

Luciole le fixa dans les yeux un instant puis siffla doucement...
Au galop au loin quelque flamme arrivairent, son cheval démoniaque !
Elle monta dessus avant d'arriver a hauteur du jeune homme pour lui dire d'une voix a la fois solanel et faible pour héviter d'éveiller tout soupçon

"Je ne compte pas vous quitter d'une semelle ! de plus celui qui osera poser une main malveillante sur vous sera immédiatement envoyé dans les entrailles putréfiante des Enfers !
Nous mourrons enssemble ou nous reviendrons enssemble conseillé"

Elle sembla essayer de laisser paraitre un légé sourire, on sentant la sincérité et le désir de lui apporter un peu de tendresse, sans pour autant y parvenir...
Le fixant insistante, voulant admirer son visage, avant de faire signe a sa servante d'approcher

"Dit leur de suivre mais de rester cacher, Adola veux discuter avant de le tuer... si il vous apercoivent cela risque d'être plus dificile de parler"

La servante s'inclina avant de retourner au près de troupe que personne n'avait encore vu puisque celle ci était restée constamen cachée dans la forêt et dans l'obscurité, difficile de dire combien ils pouvait être.

"Bien, nous voila prêt sire adola"

Sujet: Re: Les vastes plaines Mésologiennes Mar 16 Sep 2008 - 16:47

Luciole m'accompagnait ainsi que sa suite. Nous étions donc tous deux sous bonne escorte ce qui permettait ainsi de diminuer les risques.

Je me mis au premier rang car je ne craignait point le danger et j'espérais que les routes seraient sûr surtout en voyant notre nombre

Je lava le bras droit et le descendit en criant.

En avant

Nous sortîmes du camps tout doucement afin de ne pas risquer de renverser quelqu'un mais dès que nous franchîmes la palissade je lança mon cheval au galop car je désirais arriver le plus rapidement possible afin d'être fixer et savoir si comme je le craignait nous rentrerions en guerre et dans ce cas là je devrais en alerter le Grand Prêtre, le Sénat mais aussi la corporation des combattants et l'Ombre bien sûr