Le Siège de la Capitale

Le seigneur Faraël fut troublé par l'offre de Simuel mais malgré cela le fils de Fardall garda toute sa présence d'esprit et après quelques secondes de réflexion il détourna l'offre. Simuel fut déçus, mais voila que le seigneur Faraël lui propose de rejoindre son père pour avoir l'honneur de combattre à ses côtés. Simuel ne put s'empécher de sourire et dit:

"Mon seigneur, malgré votre jeune age vous avez la sagesse d'un ancien millénaire. Ce serai un immense honneur pour moi de me battre aux côtés de votre père pour Zircondal. Je pars dès maintenant avec une centaine de mes meilleurs paladins, leur force n'ont d'égal que leur foi, je ferais tout pour repousser l'envahisseur. Merci pour cette formidable marque de confiance mon seigneur, je ferais tout mon possible pour en être digne. Au revoir mon jeune ami."

Le paladin fit instantanément sonner le cor et rassembler une centaine de ses paladins, et dans une lumière éblouissante les paladins de Sorenssen disparurent pour retrouver le seigneur Fardall dans les collines de Scitopole.

Dernière édition par Simuel le Ven 25 Avr 2008 - 20:14, édité 1 fois

Confortablement installé dans les quartiers du seigneur Uzul, Belthil et son hôte sirotaient tranquillement un vin, après avoir humer les arômes le Paladin porta la coupe à ses lèvres, une excellente boisson d'après le peu qu'il pouvait en juger, étant plutôt habitué à la bière.

Alors qu'Uzul buvait à son tour après la présentation de ses forces, Belthil continua:

Il me semble que nous soyons tous fort bien équipé pour la tache qui nous attend et c'est tant mieux, cela permettra de sauver plus de vie.

Puis soudain il demanda : Dite moi mon ami, avez vous des enfants?

Wisteria avait repéré une grande ville de loin, elle en avait déduit qu'il devait s'agir de la capitale. Elle avait donc choisi de s'y rendre : plus la ville serait grande et plus elle aurait de chance de trouver un maître ou quelqu'un pour lui donner quelques conseils.

Mais maintenant qu'elle était à quelques kilomètres elle voyait un attroupement étrange qui ne rentrait pas dans la ville. Est-ce que la ville était en quarantaine? Une épidémie à éviter? Dans ce cas pourquoi ces gens restaient bêtement là?

Elle décida donc de ralentir et même de faire une halte là avec les quelques guerriers qu'elle avait rencontré sur sa route et qui s'était alliés à sa cause (combattre les forces du Mal quoiqu'il en coûte).

A présent elle se rendait compte que les gens qui attendaient à la sortie de la ville n'étaient pas n'importe qui. On aurait dit des combattants...

Elle ne pourrait pas rester indéfiniment sur ce campement de fortune. Elle décida de lever le camp et de s'approcher pour comprendre ce qui se passerait. Elle avait un peu peur de se faire attaquer mais sa mini armée ne devait pas impressionner cette grande armée. Elle espérait que ces soldats étaient intelligents et ne l'attaqueraient pas. Elle ne savait si elle attendrait qu'on lui parle ou engagerait la conversation. Elle avait quelques pas à faire pour y réfléchir et pour voir ce qu'il adviendrait.

Bien qu'un moment étonné par la question de Belthil, Uzul répondit:

" Non malheureusement, après cette guerre je me trouverai une femme et fonderai une famille je ne veux pas que ma lignée s'éteigne.
Et vous ?"

Oui j'ai un fils adoptif, Eärendil, il est ma seule famille... bien que nous communiquions par lettres il me manque beaucoup, cela fait depuis le début de la guerre que je ne l'ai pas vue... j'ai hâte que tout cela ce termine. J'espère un jour avoir l'honneur de vous voir marier et père! ; dit Belthil dans un grand sourire. En tout cas votre tente est très confortable, merci encore pour votre hospitalité.

Alors qu'ils poursuivaient leurs discutions le second d'Uzul fit irruption dans la tente, apparemment un groupe inconnu de combattants approchaient. Le maître d'Ataribe prit l'initiative de faire quérir des soldats pour partir à la rencontre des étrangers, puis il demanda à Belthil :

Voulez-vous vous joindre à nous pour savoir qui sont ses quelques combattants ?

Ce à quoi le Paladin répondit :

Voilà un événement digne d'intérêt! Je vous suis mon ami, allons voir de quoi il en retourne!
Puis il ajouta : J'ignore si les soldats seront nécessaire étant donné leur faible nombre mais vous avez sans doute raison d'être méfiant, j'ai tendance à être trop confiant vis à vis des inconnus.

Ardent comprit qu'il avait vu trop grand trop tard. L'énorme quantité de papier qu'il avait emporté pour la semaine c'était dispersé en un jour. Il fallait dire qu'il y avait plusieurs facteurs a considérer.

Il remit sa liasse de papier à l'homme maqué qui les rangea dans un porte-document en cuir.

Il partirent ensemble jusqu'a la cathédrale où son supérieur l'attendait et gravit les marches quatre à quatre avec son aide le suivant comme son ombre.

Arrivé en haut, Il remit le porte-document contenant les meilleurs plans qu'il avait écrits après avoir fait une génuflexion à l'homme qui l'attendait.

Marignan suivant les ordes de Ardents commenca à répendre la nouvelle dans la taverne pour commencer et dans les rues par la suite.

Il parla à ses soldats des rumeurs qu'il avait entendu parler sur quoi la fin de l'empreur serai proche et que des armées seraient peut-être même déjà en route.

Marignan parlait fort et la pluparts des gens de la taverne le dévisageais mais il continuais de plus belle il faut dire qu'il avait un peu trop bu et que l'effet de l'alcool se faisait sentir.

Ardent regardait son supérieur avec un brin d'impatience dans le regard. Pour lui, les hommes qu'il avait a l'intérieurs camouflées en aventuriers (300 au total) auraient depuis longtemps du recevoir l'ordre d'ouvrir les portes de l'intérieurs pour que les troupes alliées commencent a se battre pour sauver Kalamaï.


L'homme masqué lui chuchotât quelques paroles et son regard se fit furieux, puis triste. Il se rappela encore une fois comment il avait reçu l'aide de son ami:

Au moment ou il rentrait chez lui, il vit sa femme et son fils pendus dans sa maison qui finissait tranquillement de brûler une petite armée s'éloignait mais il reconnu le propriétaire de ces troupes grâce aux bannières que les troupes transportaient.

Il allait se précipiter seul contre eux mais une poigne de fer le maintint ou il l'était. il se mit a pleurer en regardant les soldats s'éloigner.

Je serait prêt... je serait prêt... lui répondit-il

Wisteria fut un peu rassurée en voyant que Faraël lui souriait, elle le fut encore plus quand il fit baisser les armes de ses hommes. Elle se dit alors qu'elle ne s'était pas trop emmelée dans ses propos. L'homme attendait une réponse mais elle ne savait pas trop ce qu'elle devait faire : se battre pour une ville et des gens qu'elle ne connaissait pas ou passer son chemin?

La voix d'Uzul la fit sortir de ses réfléxions. Elle répondit à son sourire. Soudain elle ouvrit grand ls yeux.

"Me prendre en charge dites vous?" Votre cause me semble juste même si je ne peux pas vraiment demandé leur avis à ceux se trouvant dans la ville. Combattre le mal sous toutes ses formes c'est la promesse que je me suis faite.
Sachez tout de même que je n'ai jamais eu de maître. Peut-être que ce sera tendu. Mais je désire tenter de vous aider même si mes capacités sont limitées. J'espère que je pourrai vous être utile et ne pas trop vous ralentir.

Messire Uul si votre proposition était sérieuse et qu'il n'y a d'objection alors je veux bien tenter l'expérience d'être votre élève, votre disciple.

Une fois sa réponse positive donnée, on pouvait voir un petit sourire sur ses lèvres et un regard interrogateur dans ses yeux. Elle ne savait plus trop ce qu'elle devait faire alors elle décida de rester à attendre un ordre ou un contre-ordre.

Ardent demanda à l'homme masqué si il pouvait aller chercher une innovation que les mages de son village lui avait offert. Lorsqu'il revint, il regarda dans son tube rempli de symboles en le tenant précautionneusement.

Il remarqua, en voyant dans son engin qu'il pouvait voir plus loin que d'habitude, mais il fut déçu car la portée se limitait à 10 kilomètres ou la vue devenait floue. Il remarqua une petite armée et le tendit a Sirias.

Regardez messire, vous verrez mieux ces mouvements au sud.

Il espérait que son chef allait enfin donner l'ordre de prendre les portes...

Il pourrait ainsi assouvir son désir de vengeance qui le brûlait de l'intérieur...

Berthold se tenant à coter de Ardent lui demanda:

Qui s’envient mon vieil ami.

Si se sont les ennemies je rassemble mes troupes et je suis prêt.

Mes troupes sont prêtes à se battre pour défendre cette place.

A la vie a la mort.

Mon ami ou si t’aime mieux mon frère.

Belthil louait les talents de diplomates de ses compagnons, la jeune Célestial accueillie avec méfiance au début était maintenant devenue la disciple du seigneur Uzul. Le Paladin se réjouissait de l'arrivée d'une nouvelle alliée, si peut informée des événements fusse t elle.
A son tour il prit la parole :

Bien! Je voie que tout cela prend le bon chemin, maintenant si vous voulez bien m'excusez j'ai fort à faire. Ma dame soyez la bienvenue parmi nous! Le maître d'Arda s'inclina, s'écarta du groupe puis d'un battement des ses puissantes ailes s'envola en direction de ses quartiers.

Alors qu'il survolait le camp, il pensa à son fils, l'arrivée de la jeune fille le lui avait rappelé, bien qu'Eärendil fusse plus âgé qu'elle. Belthil était soucieux, quelque chose le dérangeais intérieurement, un mauvais pressentiment, une ombre inconnue... Le Paladin se ressaisit puis accéléra l'allure vers sa tente.

Finalement Berthold, j'y vais avec toi. Ils me reconnaitraient et puis, je sais qe tu n'est pas tres diplomate.

Cher Sirias, je vous confie le gros de mes troupes je pars avec mon élite et mon assasin personel.

Il regarda son ami masqué.

J'espere que tu n'aura pas a tuer tous le soldats qui protegent les soldats mais si ils se montrent trop hostiles, je te ferais le signe habituel.

Seul un rire lui répondit

Un jeune soldat arriva tout essouflé près de Sirias. Une fois arrivé, il s''agenouilla et tendit une missive.

Monseigneur, mon chef, Ardent, m'a mis au pouvoir des communications et de son réseau de renseignements. Il m'a dit de venir vous remetre toutes les informations si jamais il était innacessible. Nous venons de recovoir un pigeon d'un de nos hommes à Zircondal

Farlen regadais par dessus son épaule, ses poursuivant avaient vu que du feu. La nuit l'avait caché. Enfin, le jour était une souffrance trop grande. Il se tourna vers l'armé de Fardall, que venait faire cette jeune demoiselle? Plein de question, mais aucune réponce. Une idée me vint à l'esprit, je descendit par la muraille par une corde en étant bien sur que la lumière ne me touche pas et je m'approchait du campement, pas très proche, car les gardes pourraient me voir. Rendu proche de quelques rochers, j'attendais que la demoiselle se montre.

3 heures plus tard, j'attendais encore et encore qu'elle arrive. mais sans succès, j'allais repartir quand je la vis. Elle se promenait sous le regard de quelques gardes. C'est le moment. Utilisant la pierre que mon mage m'avait offert, j'utilisa un sortilège de télépathie sur la jeune fille. Gentiment, je lui dit :

-Bonjour, n'ayez crainte, je ne suis pas un esprit maléfique, je ne veut que vous parler. Seul si possible ou amener vos hommes au pire. Vous m'entender, mais pas les autres. Voyez vous les rochers devant vous, je suis là. Environ 60mètres devant. Vous pouvez parler dans votre tête, je vais vous entendre, si vous avez des questions, dites moi les et vous me direz si vous voulez me voir, car je sais des choses que cette troupes vous caches. Et qui serait important que vous sachiez avant d'embarquer dans cette guerre.