*Cette journée ne pourrait pas aller plus mal?*pensa Nathaniel.
Les éclaireurs avaient repérés la première division ennemie. Elle consistait d'un bon nombre d'homme et nul ne doutait qu'elle n'était pas la seule à faire le siège de la capitale.Nathaniel ordonna à tous d'établir campement à une bonne distance de la capitale.Il fit monter sa tente, et dès qu'elle fut prête s'y engouffra pour méditer.Pendant plusieurs minutes il tenta de se ressaisir.
"Pour une dernière fois, que je sois celui que j'ai toujours été."murmura t-il dans le silence de la tente. Inlassablement il répéta ces mots jusqu'à ce que le calme l'envahisse et que son tourbillon d'émotions soit renversé par une parfaite sereinité.Celle du mercenaire de légende.Alors il se leva et sortit en se couvrant d'une longue cape noire.Il avait enlevé une partie de son armure et n'avait retenu que le casque orné.
Seul, il quitta le camp des mercenaires à pied et marcha à un bon rithme pendant un moment pour atteindre les petites collines qui surplombaient le nord de la cité.Il commença à contourner légèrement la force armée.Il s'approcha rapidement d'un petit groupe d'homme qui campaient.Silencieusement, il rampa dans les herbes et parvint à s'approcher sufissament d'un deux pour l'égorger d'un rapide coup de couteau.Le petit cri que l'homme poussa fut dissipé par la magie du mercenaire. Rapidement , il enleva l'uniforme de l'homme et le revêtit.Par chance, même le casque était à sa taille. . Subitement il se leva, s'exposant aux regards des hommes qui semblaient trop occupés avec leur dés pour se préoccuper. Il marcha calmement vers le camp de la première division. S'il était repéré , il était mort.Mais il passa inaperçu, ressemblant à n'importe quel homme, surtout avec ses cheveux blonds couvert par le casque.Lorsqu'il eut dépassé le camp , il suivit un groupe d'homme qui semblait faire des rondes plus près des murailles. Aucun d'eux ne sembla s'inquiéter de sa présence.Entretemps,il focalisa son énergie et trouva un soldat impérial qui faisait sa garde sur la muraille.
"J'espère que ma femme m'a fait du porc ce soir...."
"Vous"
"Qu'esce que?"
"N'essayez pas de comprendre. Je suis un allié et je veux entrer dans le château.Vous m'aiderez."
"Euh....O...Oui..."
Nathaniel sourit et continua son chemin. Lorsqu'ils furent à bonne distance du camp central, le mercenaire planta son sabre dans le dos de l'homme devant lui puis décapita l'autre qui se retournait, stupéfait.Il y eut un bref échange de coup, puis le corps des deux derniers soldats tomba sur le sol. Il essuya et rengaina son épée, puis fit marche vers la muraille, haute de dizaines de mètre. Mais une corde l'attendait.L'homme avait probablement donner le mot pour qu'il ne soit pas abattu par les archers.Et le mercenaire était ravi.Il se débarassa de l'uniforme du soldat dans un coin de la muraille, puis regarda cette ville qu'il n'avait jamais vu.
C'était franchement désolant. Les rues étaient désertes. Seuls les soldats semblaient garder de l'activité dans le secteur.Il enfila sa cape et son plastron puis déambula dans la rue, même s'il savait exactement où aller : On ne pouvait manquer un si énorme bâtiment.
Les éclaireurs avaient repérés la première division ennemie. Elle consistait d'un bon nombre d'homme et nul ne doutait qu'elle n'était pas la seule à faire le siège de la capitale.Nathaniel ordonna à tous d'établir campement à une bonne distance de la capitale.Il fit monter sa tente, et dès qu'elle fut prête s'y engouffra pour méditer.Pendant plusieurs minutes il tenta de se ressaisir.
"Pour une dernière fois, que je sois celui que j'ai toujours été."murmura t-il dans le silence de la tente. Inlassablement il répéta ces mots jusqu'à ce que le calme l'envahisse et que son tourbillon d'émotions soit renversé par une parfaite sereinité.Celle du mercenaire de légende.Alors il se leva et sortit en se couvrant d'une longue cape noire.Il avait enlevé une partie de son armure et n'avait retenu que le casque orné.
Seul, il quitta le camp des mercenaires à pied et marcha à un bon rithme pendant un moment pour atteindre les petites collines qui surplombaient le nord de la cité.Il commença à contourner légèrement la force armée.Il s'approcha rapidement d'un petit groupe d'homme qui campaient.Silencieusement, il rampa dans les herbes et parvint à s'approcher sufissament d'un deux pour l'égorger d'un rapide coup de couteau.Le petit cri que l'homme poussa fut dissipé par la magie du mercenaire. Rapidement , il enleva l'uniforme de l'homme et le revêtit.Par chance, même le casque était à sa taille. . Subitement il se leva, s'exposant aux regards des hommes qui semblaient trop occupés avec leur dés pour se préoccuper. Il marcha calmement vers le camp de la première division. S'il était repéré , il était mort.Mais il passa inaperçu, ressemblant à n'importe quel homme, surtout avec ses cheveux blonds couvert par le casque.Lorsqu'il eut dépassé le camp , il suivit un groupe d'homme qui semblait faire des rondes plus près des murailles. Aucun d'eux ne sembla s'inquiéter de sa présence.Entretemps,il focalisa son énergie et trouva un soldat impérial qui faisait sa garde sur la muraille.
"J'espère que ma femme m'a fait du porc ce soir...."
"Vous"
"Qu'esce que?"
"N'essayez pas de comprendre. Je suis un allié et je veux entrer dans le château.Vous m'aiderez."
"Euh....O...Oui..."
Nathaniel sourit et continua son chemin. Lorsqu'ils furent à bonne distance du camp central, le mercenaire planta son sabre dans le dos de l'homme devant lui puis décapita l'autre qui se retournait, stupéfait.Il y eut un bref échange de coup, puis le corps des deux derniers soldats tomba sur le sol. Il essuya et rengaina son épée, puis fit marche vers la muraille, haute de dizaines de mètre. Mais une corde l'attendait.L'homme avait probablement donner le mot pour qu'il ne soit pas abattu par les archers.Et le mercenaire était ravi.Il se débarassa de l'uniforme du soldat dans un coin de la muraille, puis regarda cette ville qu'il n'avait jamais vu.
C'était franchement désolant. Les rues étaient désertes. Seuls les soldats semblaient garder de l'activité dans le secteur.Il enfila sa cape et son plastron puis déambula dans la rue, même s'il savait exactement où aller : On ne pouvait manquer un si énorme bâtiment.