Le Siège de la Capitale

Victor met nos couleurs au claire
Victor brandit l'étendard de la 1ère Compagnie pour qu'on puis les identifier au loin

Vous avez vu capitaine, notre armée n'a pas l'air de vouloir prendre par au conflit.
Sergent Von Casendorf préparez vous, nous allons contourner la masse grouillante qui est en contre-bas et allé retrouver les nôtres Sysk'o était fière de voir cette grande et majestueuse armée. Ses frères d'armes... A cette instant il se dit que s'il devait mourir aux combats c'était auprès d'eux et non isolé ici

Le sergent Varl se leva sur ses étriers et hurla
Vous avez entendu le capitaine? Aller tas de féniasse on a pas le temps de mollasser! Sur ces mots les restes de la 1ère compagnie se mi en marche vers l'armée Thassopolienne.

Seigneur un contingent se dirige vers nous.
Ils portent les couleur de la 1ère Compagnie d'élite du Seigneur Gorbad.

Très bien envoyer un émissaire à leur rencontre, et dit leur qu'il sont le bien venu. Que Sysk'o me face sont rapport en personne au plus vite. Rompez. dit t il d'une voix autoritaire, mais cependant naturelle
Le seigneur Hérìngan s'adressa à son capitaine, tous deux sur de magnifique coursier Thassopolite renommé pour leur robustesse et leur rapidité
On peut voir clairement d'ici que l'armée impériale est en déroute, quels désastres...
Je veux que les hommes soient près à un affrontement, on ne sait jamais... Nous verrons bien leurs engagements
Le capitaine parti faire relayer les ordres

Une 15aine de minute plus tares, Sysk'o fut amener pour qu'il puisse faire sont rapport. Il avait quitté son Griffon pour un destrier, lui aussi de Thassopole. Sysk'o se mit au garde à vous

Repos!
Faite moi un rapport détailler des évènements.

Mon seigneur.
Nous sommes arriver à Zircondal, là bas, nous avons été assigner au secteur Nord Est.
Il s'est avéré que ce secteur été quasiment vide de séparatiste.
Héringan écoutait patiemment
Nous avons prit position, le sergent Von Casendorf était charger de l'arrière garde, au cas où. Un groupe d'impériaux qui avait déserter fut exécuter sommairement pour pillage viole et massacre.
C'est à ce moment là que le palatin Oengus nous a trahit. Il ordonna à ses hommes de nous attaquer par derrière, les elfes...
Ne vous égarez pas je vous pris!

Désolée, donc nous avons essayer de combat sur deux front en même temps, entre le marteau et l'enclume.
Le Seigneur Arzhùl compris que c'était à lui qu'en voulais Oengus, je ne sais pour quelle raison...
Et donc le notre Seigneur nous ordonna la retraite sur le champs. Et c'est ce que nous avons malheureusement fait.

Bilan de l'opération, le Seigneur Arzhùl captif, 200 hommes sont soit mort , soit disparu. Une 50aines de blessés graves. Une 100aines de blessé légers. Et à peu près 150 aptes aux services. Nous avons laisser là-bas un total de 130 hommes de la 1ère Compagnie dont 50 blessés graves qu'il faudra secourir au plus vite.

Lieutenant, vous avez entendu comme moi? dit Héringan d'un air sévère
Oui, Maitre Inquis...
Alors que foutez vous encore là?
Aller hop hop hop on se bouge le lieutenant un peu déstabilisé parti accomplir ses ordres de missions.
Reprenez, voulez vous.

Donc, après nous nous sommes diriger directement ici, la Citée Impériale, car c'est là où nous aurions eux le plus de chance de vous retrouvez et d'après le peu que nous avons vue, l'armée Impériale est en déroute, voir même quasiment anéanti

Bien, bien... Préparez vos hommes, positionnez vous sur le flanc gauche, j'aime mieux prendre le plus de précaution possible, on est jamais assez prudent!
Rompez

Le Capitaine Sysk'o fit le salut réglementaire et reparti au trot, saluent ses amis et frères d'armes qu'il croisait

La ville était très grand de sorte que lorsque Laonar et les scitopoliens évadés arrivèrent près de la porte Nord au levé du soleil. La traverse de la ville s'était fait sans aucune difficulté, la troupe n'ayant rencontré aucun garde, et cela, pour Laonar, était étrange. En temps de guerre, la ville aurait du être protégée plus que cela. Au moins, il s'en réjouit. Le séjour dans la prison avait affaibli les soldats et un combat aurait pu être fatal pour plus d'un. Sa joie s'effaça brusquement lorsqu'ils arrivèrent. La totalité des gardes de la ville était là. Il ordonna au reste de la troupe de se cacher pour planifier un plan. Quelques minutes après, l'un d'eux avertit Laonar que les soldats s'étaient tous agenouillé et qu'un elf, qui s'emblait être un chef, leur parlait. Ce dernier s'agenouilla ensuite. Laonar comprit, la guerre était gagnée. Les portes commencèrent à s'ouvrir pour les soldats de Fardall. Laonar réunit alors les évadés et ils se dirigèrent à la rencontre des armées victorieuses.

Lorsqu'ils arrivèrent sur la grande place où était la porte, les soldats agenouillés, les voyant arriver, se déplacèrent pour laisser la place à la cinquantaine de soldats qui s'arrêta à l'entrée de la ville. Un long silence se plaça et Laonar, satisfait, sourit à Fardall et Ardent, qui les avait aidé à s'évadé.

Fardall remarqua l’arrivée spectaculaire de l’armée de Thassopole aux couleurs de cette nouvelle alliance dont il avait entendu parler, une alliance du bien, quoi qu’un peu radicale à son goût. Il décida de ne pas bouger ses troupes de manière hostile afin de leur montrer qu’il comptait sur la fin de cette guerre et ne voulait pas d’hostilités avec l’Ordo Repurgatoris. Il envoya des messagers montés arborant la bannière de l’Alliance de Lumière à toutes les divisions et leur demanda de rejoindre leur groupe, dans le calme et la discipline.

À ce moment, alors que le soleil, à son zénith dans le ciel, alors que la capitale fut immergée sous la lumière éclatante du soleil,alors que Nathaniel posait la couronne de Zirconie sur la tête du Chef de La Garde Divine, les portes s’ouvrirent. Les seigneurs de la Capitale avait décidé de livrer la ville, aux ordres d’Oengus, alors leur supérieur. Fardall devina que le tyran était mort. Le mercenaire avait parlé du << défunt souverain de cette cité >> et sur tout les visages il pouvait lire la détresse des habitants. Leur comportement étaient en lui-même explicite. Lorsqu’il entra par la porte, suivi de tous les seigneurs et dames de l’Alliance, Angelion, Eliess, Aurican, Regit, Bordïsh, Faraël, Arianthe de Bise, Uzul, Belthil, Simuel, Gasdrubal et Galamyël et les autres, il vit que la garde avait posé genoux à terre en signe de soumission, Oengus en tête.

Ému, il ne tenta pas de cacher son cœur gonflé de joie devant la fin de cette guerre, il posa pied à terre. Laissant son cheval, il alla poser sa main sur la tête des vaincus, leur donnant son absolution. Alors qu’il terminait, et qu’il allait prononcer des paroles lourdes de sens, il entendit une voix familière et releva la tête. Là, devant lui, se tenait le Capitaine Laonar, maître de la flotte de lumière en Prévèze. En habit de loque, amaigri, il se tenait avec des amis, que Fardall n’avait encore jamais vu. Le père de Faraël marcha vers lui et lui serra les bras, à la manière des chevaliers. Le sourire joyeux du marin en disait long. Le Zirconien en déduit qu’il avait été incarcéré, probablement libéré par ces amis.

- Viens avec moi, cher Laonar, je vois que tu as toi aussi eu ton lot d’épreuve. Tu les a surmonté, et en toi s’est forgé une nouvelle force, la foi.

Alors que les deux hommes rejoignirent l’Armée qui entrait dans la ville, parfois aux vivats de la populace qui se rassemblait sur la place, Laonar vit Ardent, blessé mais vivant, porté par le Commandant Langeto et le Capitaine Irk, qui apparemment avait laissé un doigt dans la bataille, ajoutant à ses blessures des guerres précédentes, et en fut choqué. Sûrement que ces deux-là se connaissaient.

Arriva alors Sirias Barsis, cousin de Fardall, Chef de la Corporation des Combattants, les deux cousins furent très heureux de se revoir. Le devoir appelait pourtant l’expatrié d’Étimnon et, suivi de sa garde, il emmena le mercenaire Nathaniel dans la Prison d’Ocien-Parlat, maintenant vide. On évacua les deux cadavres des gardes et on mis le Général déchu sans une cellule, où il fut laissé seul un moment. Le temps que le mari d’Hadawen adresse ses requêtes à un de ses soldats, une femme, Ulma, qui avait bien combattu. Fardall demanda aux troupes de se loger su la Place Publique en attendant, où de trouver des places dans les auberges de la ville.

Il écrit également une lettre qu’il confia aux soins de Irk Hort.

Mes chéries,

Aujourd’hui, nous avons vaincu, aux prix de pertes, les dieux nous ont permis de vaincre et de mettre fin à cette horrible guerre. La capitale nous a ouvert ses portes et nous allons leur apporter notre aide. Vous me manquez plus que tout. Je vous invite à me rejoindre, en la capitale, sous escorte des rôdeurs et du Capitaine Irk, porteur de ce message. J’ai hâte de voir à nouveau le sourire illuminer vos visages.

Chaleureusement,

Fardall,

Lorsque ce fut fait, il entra dans la cellule délabrée de Nathaniel et s’assit.


- Tu m’as remis ma couronne, pour faire éclat au peuple de cette cité, je ne puis m’empêcher de me demander pourquoi. Cependant tu seras jugé, par l’ensemble des Seigneurs de cette cité. Tous délibéreront sur le châtiment que tu mérites pour tes actes emplis de désespoir et de mort. Tu seras présent, et tu affronteras ton jugement. Les dieux puissent-ils faire quelque chose pour ton âme, s’il en existe toujours une dans ton enveloppe charnelle brisée. Parle maintenant, et tente d’absoudre tes péchés, car je représente Sorenssen sur ces terres et par lui, le reste des dieux.

Des ambassadeurs furent envoyer et des ordres furent donner.

Vous retenez captif l'un des plus éminent membre de l'Ordo Repurgatoris!
Et sans compté le Palatin de Thassopole!
Tout cela, ambassadeur, sous la même personne qu'est le Maître Inquisiteur Arzhùl Gorbad! Le visage du seigneur Héringan commença à ce froissé de colère
Donc non ambassadeur, non ne bougerons pas!
dit t il d'un ton hautement autoritaire

Je comprends bien Inquisiteur, mais le seigneur Fardall est tout disposé, aucune hostilité ne vous sera présenté de plus je....
M'ai-je suis fait bien comprendre ambassadeur? l'Inquisiteur devint pourpre
Vous abusez de ma patience et jamais cela n'a été bon pour personne!
puis le Maître Inquisiteur parla en exagèrent l'articulation des mots
Libérez le Maître Inquisiteur Arzhùl Gorbad, et notre armée sera toute disposé au seigneur Fardall!
Suis-je bien clair?
Vou.. oui inquisiteur
Alors qu'est ce que vous foutez encore là?

L'ambassadeur, embarrassé, outré et déstabilisé par les manière de l'inquisiteur parti retrouver les sien et annoncé la nouvelle au seigneur Fardall

Simuel avait regardé la scène depuis le début, le seigneur Khaine mort les drow avait perduent l'uns de leurs meilleurs représentants. Le paldin allait rejoindre le seigneur Fardall quand soudain un ambassadeur outré qui parlait tout seul interrompit ses pensées, Simuel dit :

"Hola ambassadeur que vous arrive t'il ? Le seigneur Fardall ne doit pas être dérangé pour le moment."

L'ambassadeur lui raconta son altercation avec un certain inquisiteur mal polis et une fois le message transmit l'ambassadeur tourna les talons et s'en alla.
Le seigneur paladin allai chercher Fardall quand le palatin amphisois l'en empêcha, et rêgla le problème. Simuel repartit s'occuper de ses affaires.

Dernière édition par Simuel le Mar 13 Mai 2008 - 14:45, édité 1 fois

Non je ne veut pas être soigné. Cela fait une éternité que je m'époumone à vous le répéter. Je veux garder cette marque, vous m'entendez??

Par Sorenssen, pourquoi a-t-il fallu que je tombe sur Une guérisseuse... Un homme aurait compris il me semble... Je ne comprendrai jamais les femmes!!!

Il vit Le palatin Oengus parer à un messager non loin de sa tente. Il l'appella:

Sire Oengus!! J'aurais des questions à vous poser !!!

Premièrement, comment vont mes troupes et mes amis?? Pourrais-je les voir??

Deuxiemement, pouvez-vous trouver le corps de mon frere qui est mort devant le palais?? J'aimerais lui offrir des funérailles dignes de lui mais je suis dans l'incabilité de bouger pour le moment...


Ah, J'oubliais, si il est possible de rencontrer le futur empereur avant qu'il rende sa sentence au mercenaire, j'ai quelque chose à lui transmettre. Puisque vous êtes palatin, je crois que vous êtes un des seuls qui puisse le rejoindre.

Il lui fis signe de se rapprocher et lui chuchota dans l'oreille

L'homme contre qui je me suis battu au pied des murs est plus important que vous le pensez... Il n'est pas qu'un simple mercenaire,il est celui qui tua l'empereur.

Oengus paru surpris de cette confession.

Faites ce qui vous semble bon avec ce secret . Je suis la seule personne qui doit le savoir dans cette ville, a part le fils de l'empereur et les serviteurs présents.

Je vous remercie et je vous serais reconnaissant à jamais.


Mon plus grand problème dans cette guerre est que j'ai perdu tous ceux que j'aimais. Il me reste encore quelques amis auxquels je peux me raccrocher, mais ce qui compte vraiment, ma famille, a été tué dans les pillages en Scitopole.

Je ne vous cacherais pas que je suis désespéré au point d'essayer de me jeter tête baissée dans tout espoirs de vengeance... Comme l'autre soir, j'ai provoqué en duel sans réfléchir un homme supérieur à moi...

Je ne vous cacherais pas que mes blessures causées par ce conflit prendront du temps à guérir, mais je me suis résigné... je n'aurais rien pu faire, le destin était contre moi...

Mon domaine a été ravagé et la seule raison qui motivait mes soldats était leur désir de me protéger. Ils sont plus braves que moi... Ils m'ont soutenu tout se temps alors qu'ils ont tout perdu.

Il eut un petit rire qui lui arracha un grognement de souffrance.

Bon j'accepte d'être soigné... j'avoue avoir d'autre choses à faire que de rester coucher sur le ventre à longueur de journée...

Après avoir reçu des soins appropriés, il salua le palatin, puis tenta de marcher vers la prison d'un pas lent, causé en grande partie par sa blessure. Il trébucha, et un homme le releva. Plusieurs s'ajoutèrent et le hissèrent sur un cheval.

Merci les gars, je vous dois la vie...

Et il se dirigea vers la prison escorté de ses hommes.

Wisteria avait suivi son nouveau maître, le seigneur Uzul. Elle attendait qu'il lui donne des consignes mais il ne dit rien, il présenta juste son second. Elle prit son mal en patience mais aucun des deux ne vint lui dire quelque chose. Elle fit par penser que ce devait être la première épreuve de son apprentissage. Probablement que son maître voulait voir sa résistance à l'envie d'agir. Il est bien connu qu'il est plus facile d'agir que de rester inactif.

Elle regardait donc la scène de loin sans vraiment comprendre ce qui se déroulait sous ses yeux. Elle ne voyait pas que l'issue du siège était de plus en plus proche et qu'elle n'aurait bientôt plus l'occasion de se rendre utile ici. Peut-être que des techniques de combat s'inscrivaient dans son esprit sans qu'elle ne s'en rende compte.

Soudain elle entendit la voix d'un certain farlen farden résonner dans sa tête. Elle ne comprenait pas ce qui se passait. Ce n'était pas naturel pour elle. Elle se demandait si la folie s'emparait d'elle. Qu'avait-elle fait pour mériter de subir pareil sort?

Cette voix la traumatisait, la pétrifiait littéralement alors que les paroles qu'elles entendaient n'avaient rien de terrifiant. A présent Wisteria était dans un état second, elle était là sans l'être, n'avait plus conscience de rien et ne pensait plus. Le pauvre rôdeur des forêts n'était pas près d'avoir une quelconque réponse de sa part et ne pouvait même pas percevoir sa détresse.

Qui se rendrait compte que Wisteria n'était pas plus active qu'une statue tellement elle avait été terrifiée par cette voix?

La guerre contre l'empereur était enfin fini et le seigneur fardall était maintenant sur le trône et Enguerrand était mort.

Wisteria, la nouvelle élève du seigneur Uzul, était figé surement par les horreurs de la guerre pensait Uzul.
Celui-ci avait ordonné à son second de ne rien lui dire et de faire attention à ses réactions. Celui-ci lui avait décrit tous ses moindres gestes.
Cependant la guerre était fini, il fallait partir !
Le célestial alla donc voir la jeune célestial pour lui annoncer le départ.

" Wisteria, nous partons de la capitale dans quelques heures, préparez vous, nous allons dans le royaume d'Arataribe, ma patrie !"

Quelques heures passèrent, et juste avant de partir le seigneur Uzul envoya une missive au nouvel Empereur :

Mon seigneur,
Je m'en vais rejoindre mon royaume, ainsi je pourrais former tranquillement ma nouvelle élève et retrouver les miens.
La guerre est don terminée et je suis fier qu'un personnage comme le votre soit sur le trône ! Si vous avez besoin de moi n'hésitez pas à me contacter.
Vive l'empereur et Vive Kalamai !

Uzul

Puis il se mit en route .

Uzul a écrit:

Wisteria, nous partons de la capitale dans quelques heures, préparez vous, nous allons dans le royaume d'Arataribe, ma patrie !

La jeune celestiale revint alors à elle et suivit son maître. Elle parla timidement :

J'aimerai faire partie d'une guilde. J'ai fait mon choix : je désire devenir Inquisiteur et appartenir à la guilde du Culte si vous n'y voyez pas d'inconvénient.

Ils quittèrent alors le champ de batailles.

Juste avant de partir Wisteria posa une dernière question à son mentor, celui-ci lui répondit :

" Je vous le conseille même !
Rejoindre une guilde est presque primordial pour l'intégration dans les terres de Kalamai !"

Puis ils quittèrent la capitale de l'empire pour aller en Scitopole, dans le royaume d'Arataribe où la jeune célestial effectuera sa formation. Cependant celle-ci ne se doutait pas de ce qu'elle allait endurer !

/HRP/ Wisteria, la suite sera dans les collines de Scitopole dans le topic Scitopole /HRP/

Dernière édition par Uzul le Mar 3 Juin 2008 - 19:20, édité 1 fois