Adola, le Seigneur Adola m’avait confié ma première vraie mission. Il me faisait confiance car visiblement la transmission de ce message reflétait un caractère urgent et primordial. Je me demandais ce qu’il pouvait contenir et je m’étonnai en même temps qu’il ne se rende pas lui-même au Palais où il avait pourtant ses entrées.
De plus il m’avait offert une épée, lui qui au départ ne voulait pas que je porte d’arme. Avait-il peur que le message se fasse intercepté alors que j’utilisais essentiellement les souterrains de l’Ombre. Toujours était-il que le message était sous ma cape et j’avais porté ma main droite au pommeau de ma lame prêt à réagir aussitôt.
J’ôta tout de même cette dernière à l’approche des porte du Palais afin que mon geste ne soit pas perçu comme une provocation. Des gardes se tenaient devant l’entrée, jamais encore je n’avais pénétré dans ces lieux, allaient-ils me laisser passer ? sans doute sinon Adola ne m’aurait pas envoyé.
Bonjour messieurs.
Je viens au nom de sa Seigneurie Adola, Spadassins de la Corporation de l’Ombre et Magistrat aux Institutions Impériales.
J’ai pour ordre de remettre un message à l’Empereur.
Ils me firent signe de leur remettre.
Je suis désolé je dois le remettre dans les mains de l’Empereur en personne, ce sont les ordres.
Je montra alors la lettre que m’avais donné Adola avec le sceau de l’Ombre. Ce fut mon sésame on me laissa passé sans plus de formalité. Cependant un garde m’escorta jusqu’à un petit salon où on m’invita à m’asseoir et attendre.
Un serviteur vint me proposer à boire ce que je refusa. J’avais lu beaucoup de grimoire sur l’art d’empoissonner pour dérober sans éveiller de soupçon. Je ne pouvais pas prendre de risque je savais juste que je pouvais me fier à Adola qui avait tout fait pour moi depuis le jour où il m’avait recueilli.
C’était un étrange système pour transporter les messages, on pouvait y glisser un parchemin à transmettre et ceux avec une sécurité satisfaisante, ce qui était pour moi essentielle. C’était un « cylindre de marbre poli » résultant de « l'assemblage de cinq rondelles de pierre juxtaposées, d'environ trois centimètres de large, maintenues l'une contre l'autre par une armature de cuivre », tel un « kaléidoscope à cinq axes ». Les extrémités de ce cylindre étaient « fermées par une capsule de pierre scellée », afin que l'on ne puisse pas voir dedans. Sur chacun des disques de marbre sont présentes les lettres de l’alphabet. Un mot de cinq lettres actionnait la serrure et permettait d'ouvrir le cylindre. À l'intérieur du cryptex, le compartiment creux était conçu pour renfermer un rouleau de papier où a été notée l'information secrète. Ce papyrus très fin, était enroulé autour d'un tube de vinaigre en verre fin, ce qui empêchait toute ouverture de force du cyptex pour obtenir le message : cela briserait le tube de verre et répandrait le vinaigre sur le parchemin qui deviendrait dès lors illisible.
Bientôt un secrétaire arriva afin de recueillir le message.
Je me leva afin d’être plus convaincant, il était petit et on aurait dit un gnome. Je n’étais pas très grand par nature, pas petit non plus, mais à coté je passais pour un géant.
Non comme j’ai dis au garde je ne remettrais le message qu’à l’Empereur en personne, ni à un garde, ni à un secrétaire ni même au Prince !
Il n’est pas là.
Alors je camperais ici, j’ai aussi des ordres de a Seigneurie Adola, que je respecterais. Et si l’Empereur ne peut pas, ou si vous ne voulez pas le déranger, alors je repartirais avec le message.
Je vis ces sourcils se froncer et visiblement il n’était pas ravi de ma réponse, je n’avais pas une grande expérience dans le domaine mais je l’avais contrarié.
Et n’essayé pas la force car au moindre soupçon de menace je laisse tomber le message qui se désagrégera.
Maintenant il ne vous reste plus qu’à trouver un moyen de contacter l’Empereur ou de me dire où je dois me rendre.
Sur ses paroles je me rasseya dans le siège mais dans une position légèrement inconfortable pour ne pas être tenter de m’endormir.
De plus il m’avait offert une épée, lui qui au départ ne voulait pas que je porte d’arme. Avait-il peur que le message se fasse intercepté alors que j’utilisais essentiellement les souterrains de l’Ombre. Toujours était-il que le message était sous ma cape et j’avais porté ma main droite au pommeau de ma lame prêt à réagir aussitôt.
J’ôta tout de même cette dernière à l’approche des porte du Palais afin que mon geste ne soit pas perçu comme une provocation. Des gardes se tenaient devant l’entrée, jamais encore je n’avais pénétré dans ces lieux, allaient-ils me laisser passer ? sans doute sinon Adola ne m’aurait pas envoyé.
Bonjour messieurs.
Je viens au nom de sa Seigneurie Adola, Spadassins de la Corporation de l’Ombre et Magistrat aux Institutions Impériales.
J’ai pour ordre de remettre un message à l’Empereur.
Ils me firent signe de leur remettre.
Je suis désolé je dois le remettre dans les mains de l’Empereur en personne, ce sont les ordres.
Je montra alors la lettre que m’avais donné Adola avec le sceau de l’Ombre. Ce fut mon sésame on me laissa passé sans plus de formalité. Cependant un garde m’escorta jusqu’à un petit salon où on m’invita à m’asseoir et attendre.
Un serviteur vint me proposer à boire ce que je refusa. J’avais lu beaucoup de grimoire sur l’art d’empoissonner pour dérober sans éveiller de soupçon. Je ne pouvais pas prendre de risque je savais juste que je pouvais me fier à Adola qui avait tout fait pour moi depuis le jour où il m’avait recueilli.
C’était un étrange système pour transporter les messages, on pouvait y glisser un parchemin à transmettre et ceux avec une sécurité satisfaisante, ce qui était pour moi essentielle. C’était un « cylindre de marbre poli » résultant de « l'assemblage de cinq rondelles de pierre juxtaposées, d'environ trois centimètres de large, maintenues l'une contre l'autre par une armature de cuivre », tel un « kaléidoscope à cinq axes ». Les extrémités de ce cylindre étaient « fermées par une capsule de pierre scellée », afin que l'on ne puisse pas voir dedans. Sur chacun des disques de marbre sont présentes les lettres de l’alphabet. Un mot de cinq lettres actionnait la serrure et permettait d'ouvrir le cylindre. À l'intérieur du cryptex, le compartiment creux était conçu pour renfermer un rouleau de papier où a été notée l'information secrète. Ce papyrus très fin, était enroulé autour d'un tube de vinaigre en verre fin, ce qui empêchait toute ouverture de force du cyptex pour obtenir le message : cela briserait le tube de verre et répandrait le vinaigre sur le parchemin qui deviendrait dès lors illisible.
Bientôt un secrétaire arriva afin de recueillir le message.
Je me leva afin d’être plus convaincant, il était petit et on aurait dit un gnome. Je n’étais pas très grand par nature, pas petit non plus, mais à coté je passais pour un géant.
Non comme j’ai dis au garde je ne remettrais le message qu’à l’Empereur en personne, ni à un garde, ni à un secrétaire ni même au Prince !
Il n’est pas là.
Alors je camperais ici, j’ai aussi des ordres de a Seigneurie Adola, que je respecterais. Et si l’Empereur ne peut pas, ou si vous ne voulez pas le déranger, alors je repartirais avec le message.
Je vis ces sourcils se froncer et visiblement il n’était pas ravi de ma réponse, je n’avais pas une grande expérience dans le domaine mais je l’avais contrarié.
Et n’essayé pas la force car au moindre soupçon de menace je laisse tomber le message qui se désagrégera.
Maintenant il ne vous reste plus qu’à trouver un moyen de contacter l’Empereur ou de me dire où je dois me rendre.
Sur ses paroles je me rasseya dans le siège mais dans une position légèrement inconfortable pour ne pas être tenter de m’endormir.