[RP ouvert à tous] Destin d'une vie

Awake éclata de rire bruyamment, puis il s'approcha lentement de l'humain, il arrivait à ses genoux. Mais bizarrement, aucun sang ne coula, l'Infernal décida de laisser la vie sauve à celui qui lui avait tenu tête sans même lui manquer de respect, c'était digne d'une grande malice, alors la puissante créature dit à l'humain.

- Tu es bien courageux et sage petit homme, ça me plaît. Je tiendrais ton conseil si il s'avère vrai que la peur peut faire faire des folies ! Hahahaha ! Que le fort dorme sur ses oreilles pour l'instant, je m'en irait à la citée Impériale, mais je n'irais pas seul, quelques démons m'y accompagneront, mais je ne vais pas vous laissez seul, voyons voir... Que vais-je vous laissez.. Celui-là !

En un claquement de doigt habituel, un Centaure à deux têtes apparu, un regard rougeâtre braisé encore dans ses orbites, une lame affûtée dans la main gauche et un poignard dans l'autre. Awake tint à s'expliquer de ce geste.

- Tu ne croyais comme même que je vous laisserais seuls, surtout après m'avoir donné un conseil dont je ne peux vérifier l'authenticité. Votre compagnon vous accompagnera jusqu'à votre destination sans la moindre encombre, je ne voudrais que mon informateur périsse ! Hahaha ! Il parle votre langue, mais je vous préviens, il est violent et n'épargne aucune mégarde en ce qui concerne les combats... Donc, surveillez vos arrières ou lui les surveillera mais des cadavres y giseront.

Sur ce, Awake se téléporta en un claquement de doigt, puis soudainement, le Centaure qu'Awake avait nommé Palfak se retournit et fît sonner ses sabots.

- Moi... Palfak, j'ai été envoyé par... Awake pour vous garder en vie.. le temps de votre voyage.. je ne vous dois rien et me devez rien.. bon voyage..

Puis d'un air lugubre, Palfak se mît à marcher à l'allure des autres voyageurs.

J’ai eu un petit rire très discret. Je ne sais pas quel magie, il arrive comme un poil d’orc dans ma soupe. Et qui avait usage de la magie et d’un tire d’arc ? Je sais que ce n’était pas moi ni Sire Babka. Bref, le fantôme mort-vivant décide donc de nous laisser un chien de garde. Un petit centaure. Saviez vous qu’il est facile d’en faire un rôti ? Au pire, en route si la faim ce fait sentir, je vais pouvoir le faire cuire avec mon sort de feu.

Je n’ose non plus lancer la réplique comme quoi nous sommes des elfes et non des humains. Mes oreilles sont pourtant visible. Ce fût divertissant.

Je suis prête a partir. J’ai hâte de voir le fort du Protectorat.

Et avec un petit clin d’œil et en indiquant le Centaure.

Au pire, nous pourrons toujours en faire un gigot si les hommes ont faim.

J’éclate de rire et j’attends sagement tout près de la monture de Sire Babka.

Dernière édition par Penya Tavaril le Ven 9 Mai 2008 - 1:37, édité 1 fois

Amroth voyait au loin un convois des troupes d'amphise? des ennemis? non... l'aura général étais bonne.... elfique! il sentait néanmoins une présence maléfique ..... amroth décida donc de demander refuge au près de ce convois mais il avait soif l'envie de sang ce faisait sentir il lui fallait leur expliquer

bonjour voyageurs je me nomme Amroth elensar je suis fort désolé de vous retarder mais je suis la fort embarrasser j'ai vraiment besoin d'une noble dose de sang et vous demande a vous si vous m'accepter,de pouvoir voyager en votre compagnie je ne suis qu'un mercenaire solitaire et ai fort besoin de votre aide je suis épuiser et n'est rien avaler depuis plusieurs jours je vous escorterait si vous le souhaité jusqu'à votre destination n'ayer crainte je ne mordrait aucune de vos gorge je ne demande rien ci ce n'est que vous m'offriez de quoi subsister quelque heure je possède des savoir magique et runique assez avancer je vous serait donc peut être utile..

Dernière édition par Oengus le Ven 9 Mai 2008 - 8:51, édité 3 fois

Babka avait pris la tête du convoi et avançait à bon pas jusqu'à ce qu'un elfe les accostent. Ce dernier marcha à côté du cheval afin de ne pas déranger tout le monde. Le cavalier l'écouta puis lui répondit :

Bonjour à vous messire Amroth, je serais heureux de vous accueillir parmi nous même si rare sont les fois où j'ai eu l'occasion de voir un elfe sylvestre avoir des goûts de vampire en plus de se présenter en plein jour. Je pose ma confiance en vos propos et vous permet de monter à bord du deuxième chariot afin d'y prendre une pièce de viande qui n'a pas encore été fumé. Elle devrait ainsi être encore passablement saignante. Je vous invites à grimper sur le cheval inutilisé que nous avons afin de faire la route avec nous et que nous puissions en apprendre plus sur vous.

Babka avait pointé du doigt le chariot puis le cheval tandis qu'il expliquait ses consignes à Amroth. Puis il rajouta : Je vous offre ma confiance puisque vous êtes de notre race, mais ne me trahissez pas car je connais un centaure qui vous apprécierai en repas.

Quel curieux monde, du fou furieux qui brûle tout sur son passage, en passant par un drôle d’assassin qui ne reconnait pas un humain d’un elfe et le dernier… Elfe vampire.. La nis est assit sur la croupe du cheval et écoute la conversation des deux nêrs. Échange de présent. Babka accepte le nouveau venu et lui donne les recommandations d’usage. La route est encore longue et en quatre jours, nous pourrons en apprendre un peu plus sur le nouveau.

J’ose prendre la parole, tout en restant sur mes gardes.

Aiya quendë, je suis Penya Tavaril. Melwa lúmë lelya-ten.


Oui, vraiment un beau temps pour voyager. J’espère que vous pourrez parler de vous un peu plus, je suis surprise de voir un hybride. Vous êtes certain de votre état ? Ce n’est pas un mauvais sort a la place ? Je suis curieuse, pardonnez mes questions.

Il n’était pas question pour moi de retourner de suite vers Planvert. Il y avait tellement de chose nouvelle, que par simple curiosité, je dois être présente. J’avais écris un message a mon intendant, l’avertissant que mon voyage serait un peu plus long que prévue et je lui accorde les pouvoirs sur mes terres.

Amroth se retourne et voit Penya

Ne vous excusez pas chère demoiselle ces question sont tout a fait normal mais oui je suis bien sur de mon état chère consœur mon père Ombragius Dremor était un vampire pur bien que je n'eus pas le temps de le connaitre. Il m'avait laisser une lettre lettre sur lequel était écrite toute les réponse a mes questions concernant mon état. Mais heureusement ma mère m'a transmit aussi ses dons elfique et mes oreilles sont la preuve mais si vous voulez en savoir plus sur moi dites le moi!

Amroth esquissa un sourire qui dévoila ses longues canines

Dernière édition par Amroth elensar le Ven 9 Mai 2008 - 18:15, édité 1 fois (Raison : encore et toujours les faute d'orthographe merci a penya pour la correction!)

Lentement, d'un pas lent, monotone et accompagné d'incontinuables paroles à voix basses, Palfak continua sa route en compagnie du convoi. L'air macabre d'un nouvel arrivant lui fît trémir les sabots. L'humain avait vu justement, Palfak n'était guère familier au changement de situations et elles ne lui rendaient pas souvent l'appareil. Mais serrant ses poings, il cracha par terre un liquide qui ressemblaît à du sang mélangé à un restant de lapin et continua de marcher auprès de tout ce troupeau.

Commençant à être agacé des pitreries du nouvel arrivant, Palfak prît la parole d'une voix triste, lugubre, comme à son habitude :

- Si vous continuez.. Vos feux follets et vous même, vont tournés mais autrepart que dans les airs si vous comprenez.. En termes plus littéraux.. J'aimerais ne plus avoir à être déranger, déjà qu'il est pénible de marcher uniquement pour le plaisir du paysage, je ne veux pas être tourmenté par des pitreries.. à moins que vous ne vouliez quelques membres en moins ...?

Accelerant le pas pour rejoindre les deux présences elfiques écrasant l'herbe fraiche mouillé par la rosée matinal, Palfak attrapît l'épaule de l'officier, veillant à ne pas le faire tomber de cheval. Ouvrant peu la bouche et fixant la femme qui se trouvait non loin, Palfak commença à parler.

- Il est loûche, et je n'aime pas ce chemin, il est... trop calme, j'ai juste à vous tenir en vie suffisamment longtemps.. Mais, restez sur vos gardes...

Commençant à courir Palfak, s'écarta de la troupe et pris une route plus éloigné de la marchandise, tout en conservant un oeil à leur égard...

Amroth regarda cette infecte créature difforme avec un air de dédain, cracha par terre et fit revenir ces feux follets autour de lui. puis il lanca d'un air sarcastique a palfak:


chère "centaure" auriez vous oublié que les feux follet ne sont que des esprits enchantant les foret, vous ne pourriez donc pas leur faire le moindre mal et quand a moi sachez que vous ne m'intimidez guerre! "Palfak" c'est le nom que vous a donner votre "maitre" c'est ça? vous n'êtes que sont larbin sa "créature" qui lui obéit aveuglément! Pourquoi ne pas rejoindre vos racines vos semblables avec lesquelles vous etes lié par le sang? Sang avec lequel je me désaltérerais volontiers d'ailleurs

les feux follets ne tournaient maintenant plus qu'autour de Babka, Penya,et Amroth en évitant "palfak" comme une chose répugnante qu'elle était. Non pas qu'Amroth n'aime pas les centaures,ce sont des créature de la foret et il était même en très bon termes avec eux, sur ses terres.Mais celui ci était vraiment répugnant son aura mauvaise et déstrcuctrice se sentait a des lieu a la ronde dès qu'il en aura l'occasion il nous tuerais surement Amroth se pencha alors du coté de babka et de miss Tavaril puis murmura en elfique a leur égards



sir babka, miss Tavaril excusez-moi de douter de la confiance de ce centaure mais a mon avis vous devriez vous méfiez de cet être je pense qu'il nous tuera dès que possible

Dernière édition par Oengus le Jeu 15 Mai 2008 - 2:12, édité 3 fois (Raison : quelques fautes ;-))

Palfak revient sur ces pas, prît un bâton au sol et le mâcha. Il commença à s'approcher du Semi-Vampire, jeta son bâton au sol. Palfak abrita son crâne d'un casque de bronze qui laissait de l'espace uniquement pour voir et laisser voir ses yeux qui viraient aux rouges lorsque la nuit tombait. Palfak regarda brièvement les feux follets d'un profond regret et prît la parole.

- Et vous cher hybride... Vous croyez qu'une créature tel que moi avec cet aspect répugnant ai conservé une quelquonque conscience ou sa nature d'auparavant... J'ai longtemps été un centaure commun aux autres, vivant dans l'amour de la nature mais.. Un jour ma mort a sonné et j'ai vendue mon âme et mon "maître" comme vous dites, m'a pris à son service et j'ai pu échappé à l'enfer en étant sous ses ordres et je préfère cela que de rester en Enfer...

Profitant d'un moment de silence, Palfak partît en solitaire, à son habitude...

Farlen réapparu dans la forêt avec son frère. D'un geste il lui expliqua qu'il devait retourné dans le village, car de nombreuse attaque avait presque tout détruit. Arden disparu.

Farlen alla s'asseoir sur une roche et attendit, il ne savait plus quoi faire, il avait semer la mort, ses mains était mintenant couvert de sang ennemi. Bien qu'il se soit essuyer plusieur, Farlen avait l'impression que le sang était encore là. Il se coucha sur la pierre et patienta, il était trop énervé pour faire quoi que ce soit.

-Pourquoi ce combat, pourquoi suis-je maintenant prisonnier de la mort. Je suis même sur qu'il veut que je m'en sorte pas.

Il regarda le ciel et s'endormi.

Babka continuait d'avancer et regardait la situation tout en souriant de voir les petits feu follets autour de lui. Il était rare de voir un elfe vampire en discussion avec un centaure démoniaque et encore plus intéressant de voir leurs réactions mutuelles. Tandis que le centaure commençait à s'ennuyer et quittait pour un autre chemin l'espace de quelques instant, Babka en profita pour parler avec Amroth.

Messire, je sais que vous n'avez pas confiance en ce centaure, c'est tout à fait normal étant donné qu'il est une incarnation du mal présente pour nous surveiller. N'ayez crainte, faites ce que vous avez à faire en évitant de l'énerver et tout ira bien. Si les choses se corse, nous aviserons.

L'elfe se tourna ensuite vers sa compagne de voyage qui était bien silencieuse. Ma chère Penya, il serait agréable d'entendre une mélodie de votre connaissance chanté par votre douce voix. Cela mettrait de l'entrain au convoi, qui sait si les bêtes n'avancerait pas plus vite.

Tandis qu'il terminait ses propos, un messager à cheval passa à vive allure puis s'arrête soudainement pour faire demi tour et rejoindre la tête du convoi. Il tendit une lettre à Babka qui reconnut le sceau officiel de l'Amphise, il ouvrit donc aussitôt puis la lu rapidement.

Compagnons ! La guerre est terminée ! Le peuple de Kalamaï connaîtra enfin le repos. Il semblerait que notre palatin eut été une des pièces tournante de la fin de tout cela. Il m'indique qu'il sera de retour parmi nous très bientôt.

Le Centaure éclate de rire tellement il n'avait jamais entendu de tels exemples de l'absurdité du comportement humain, pris de peur, le Feu-follet partit immédiatement de son épaule. S'exaltant du discours du nouvel arrivé, Palfak prît la parole une dernière fois envers l'inconscient curieux.

- Hahaha ! Vous êtes un bel imbécile, pensez vous que l'expiation de mes crimes sera faîte en tant que démon, pas du tout, bien au contraire ! Elle sera favorisée et je n'ai plus de conscience pour prêter la moindre attention à votre discours digne de regligieux sans cervelle accordée à leur foi aveuglement. Vous croyez que le Diable accepte une rupture de contrat, c'est sois la destruction de mon âme ou être un démon alors dans le choix, être un démon est plus serviable ensuite ce qui concerne la personne qui me dirige... Elle a été dans une situation presque semblable à la mienne et un accord à été fait, il ne peut pas me tuer et moi non plus, puisque les démons n'aspirent qu'à tuer les Vivants et non les âmes perdues qui habitent un corps vivant. Alors maintenant, si vous continuez à m'agacer avec votre morale d'être sans cervelle qui n'aspire qu'à faire le bien qui lui sera jamais rendu, continuer, mais avec une autre personne. Je n'ai pas de temps à perdre avec vos gamineries...

Approchant à sabots doux de l'endormi, Palfak lui dit doucement dans l'oreille.

- La mort est un rêve plus agréable que la vie puisqu'il est éternel... A vous de choisir..

Se tenant devant Babka, Palfak lui tendit un couteau de qualité médiocre avec un manque ornée de petites perles de verre et une bague d'argent avec un grand "D" sur le dessus.

Amroh cracha par terre en direction de palfak

je pensais que vous valiez mieux que ça "palfak" mais vous n'avez plus une once de centaure en vous, vous n'êtes malheureusement qu'un vulgaire démon, un laquet sans importance

Farlen entendit le bruit de plusieurs charriots qui arrivaient. Il se leva et se cacha pour voir ce qui arrivait. Les charriot de la dernière fois qu'il avait dût partir. Comble de joie il allait avancer lorsqu'il vit un centaure avec un aura maléfique. Malédiction, il continua à regarder et vit Penyal et l'autre elf.... et un autre?? Depuis quand y'avait t'il autant d'elf ici, bref, il devait en finir avec tout ca. Il sortit de sa cachette par derrière et couru plus loin.

Il joua de sa flûte et une douce mélodie résonna de sa flûte. La flûte au lieu de jouer, commenca à réciter un poème. Son aire n'était point mélodieux, mais grave, car la forêt devenait vieille et chantait son malheur.

Toi forêt si fidèle
Toi allié si puissant
Je suis ton serviteur
Viens, j'ai besion de toi
Car, ici et là
Le mal veut te détruire
Aide moi grâce à ton savoir

Un vent brusque le renversa et lorsqu'il se releva, il vit une pierre brunâtre. Farlen le prit et le mit au millieu de la route. Farlen prit son arc et vint se placer derrière la pierre. Lorsque les charriot arrivèrent près de lui, il se stopèrent. Farlen prit son arc et d'un voie forte cria :

- Il y a ici une source maléfique qui ne présage rien de bon, je suis ici pour la détruire, qu'elle se montre et relève son visage. Qu'elle fuit si elle à trop peur. Car je suis venue ici, car la forêt pleure de ses larmes.

Immobilisé, Palfak se mît à éclater de rire. Il regarda profondément le Semi-Vampire et lui disa une dernière fois.

- Imbécile, je vous avez prévenu que je n'avais plus rien de Centaure mais vous n'écoutiez pas ensuite tuez moi, mon âme restera sur le contrat donc un corps me sera vite trouvé ce n'est pas un problème et puis si vous me tuez, Awake viendra vous faire une surprise.. Une mauvaise.. Demandez à Babka, il confirmera..

Regardant Babka une dernière fois, Palfak lui fît un clin d'oeil et se laisse faire en déclarant ultimement.

- Imbéciles d'humain, je n'avais rien pour ou contre vous mais vous préférez la peur à la raison, vous êtes stupides, tant pis, le seul digne humain dans cette contrée se trouve à cheval accompagné d'une Demoiselle. Voilà, tuez-moi et ça sera pire que vous ne penseriez.. Je vous ai prévenu comme j'ai déjà prévenu l'hybride.. A une prochaine fois...

Farlen regardait le centaure qui avait énoncer le nom de Awake, il tira une flèche sur le bras de celui-ci. Le centaure rugit de douleurl. Farlen regarda l'elfe qui l'avait aidé. Vu sa pression, le centaure était vraiment méchant. Il marcha vers le centaire et dans un élan de colère il ajouta :

Je connais Awake, elle ne ferait jamais de mal à qui que ce soit. Vous mentez. D'ailleurs, si il en est ainsi, vous êtes un monstre. J'espère ne pas me tromper lorsque je dit ses mots. Car j'ai connu Awake et elle n'a rien d'un être vil et incapable comme toi. Vous aller mourir pour avoir osez dire cette affront.

Farlen prit la pierre qu'il avait mit à terre et d'un geste la lanca vers le centaure. Il prit ensuite une flèche et tira dessus. La pierre éclaira de mille feu d'un couleurs blanche. Et des rayons atterirent sur le centaure qui disparu. La pierre tomba Farlen prit la pierre. Il dit:

-Voici ce qui est arrivé au centaure. Son âme est dans le cristal. Donc, tant que le cristal restera intact, il ne pourra s'échapper. Il n'est pas mort, son corps est juste détruit à tout jamais.

Farlen s'approcha de l'elf et le remercia de l'avoir aidé.