Le Banquet et le Couronnement de Sa Majesté Fardall 1er

Faraël tendait une pomme à sa belle Arianthe de Bise. Elle était rouge comme le sang, mais luisait comme un rubis. Arianthe souriait doucement, et lui parlait à voix basse. Il lui parlait avec douceur. Elle finit par prendre le fruit et le croqua. Le fils de Fardall la trouvait si belle quand elle lui souriait, elle lui sembla encore plus belle lorsqu’elle croqua le fruit.. Soudain, il réalisa quelque chose et chuchota à la Palatine d’Outre-Mer :

- Tu sais, si mon père deviens empereur, tu deviendras Princesse consort après notre mariage. Je suis sûr que tu agirais en véritable princesse, ta grâce et ta confiance le démontre. Alors, es-tu d’accord ? Quand le ferons-nous ?

La belle damoiselle d’Opselimbe se pencha et lui murmura sa réponse à l’oreille. Le visage du futur prince s’illumina et se fendit d’un large sourire. Il attrapa quelques ailes de requins et entraîna Arianthe avec lui pour les déguster sur la verte herbe de la cour. Il glissa sa cape sous la dame afin de lui épargner de s’asseoir à même le sol.


Le Capitaine Irk et le Commandant Langeto discutait ensemble, parmi la foule de soldat qui arrivaient pour festoyer avec la population. Il discutait des bienfaits de leur victoire et de la paix prometteuse à venir. Le Commandant désirait rentrer chez lui et prendre femme, il n’avait toujours pas trouvé d’épouse, mais il avait encore le temps. Homme mûr dans la trentaine, il était un très bon parti pour ces demoiselles. Irk Hort quand à lui désirait demander au Seigneur Fardall la permission de quitter l’Armée. Il y avait si longtemps qu’il n’avait pas revu sa maison. Sa femme devait le croire mort. Il avait laissé sa terre aux bons soins de ses fils, qui ne s’était pas engagé dans l’armée, ce qui ne serait plus un besoin. Sur ces pensées prometteuses, les deux hommes allèrent distribuer quelques miches de pain aux derniers de la file qui semblaient faméliques et affamés. Un petit orphelin eu même droit à quelques pièces d’or et une consolation

* * *

À l’intérieur du palais, le seigneur Fardall déambulait dans les couloirs. Il avait peine à croire que de telles richesses pouvaient s’être avidement accumulées ici alors que la population de l’Empire était affamée. Lorsqu’il pénétra dans les appartements impériaux, il ne vit pas de cadavre. On avait fait enlever la dépouille du tyran. Elle était conservée dans un lieu secret. Le moment venu, elle serait livrée aux flammes purificatrices dans les rites, même si le futur empereur doutait de la possibilité de l’acceptation d’Enguerrand au royaume des morts. Il entra dans la grande pièce et eu la surprise de trouver là Dame Auréa qui berçait un enfant dans ses bras.

Comment as-t-elle pu se cacher ? Que fait-elle ici ? Qui est cet enfant ?

Ces questions se bousculaient dans sa tête, évidemment il n’était pas au courant que le défunt Maître d’Exalon avait un héritier. Il s’approcha donc doucement de l’elfe noire par-derrière et dit d’une voix anormalement sérieuse :

- Vous êtes encore ici Auréa ? Il y a longtemps que je vous ais vu. Vous me faites rappeler le défunt Argas qui partit un jour à votre recherche. Cependant je ne crois pas que vous devriez vous attarder en ces lieux, surtout avec … cet enfant.

- Ce seront les derniers lieux qu’il verra, Seigneur Fardall, car vous le mettrez probablement à mort.

- Pourquoi ferais-je cela … Serait-ce donc votre fils, l’héritier d’Enguerrand ?

- C’est cela. Et à votre place, je ne pourrais laisser vivre un tel enfant, allez-y, achevez votre quête. Je ne vous supplierai pas de nous épargner, la dignité est la dernière chose qui me reste, hormis mon fils pour quelques instants.

- Non, Auréa. Ce n’est pas ce que ferait un homme de bien. Vous me sous-estimez. Je vous donnerai quelques terres et une escorte. Vous irez vivre avec cet enfant en Igoumen ou en Naxos. Vous y vivrez probablement dans le secret, mais avec votre dignité de Seigneure et d’Impératrice consort. Maintenant, venez, je vais vous escortez avec mes hommes à l’extérieur. Vous pourrez profiter des derniers moments de festivité. Et je vous affirme que je n’ai rien à voir avec le meurtre de votre mari. Je n’avais pas l’intention de le tuer une fois vaincu. Mais les dieux ont décidé de son destin. Suivez-moi.

Auréa fut escorté dehors. On lui permit de faire ce qu’elle voulait, à condition de rester dans la cour et d’être surveillée par quelques soldats. Faraël ne le sut pas, mais elle le fixa un long moment en soupirant devant son amour.

Les rues de la cité, saturées par la masse populaire qui fêtait la libération de l'empire, en famille ou dans les tavernes, furent fort pénible à traverser pour le cortège du Seigneur Sirias qui tentait tant bien que mal à rejoindre la coeur de la ville impériale, le Palais. Au cours de cet ascension difficile dans les rues achalandées de la capitale, Sirias sortit d'une couture de son manteau une lettre finement préservée. Elle avait été envoyé à la demmande de son cousin, Fardall Barka, par un de ses serviteurs. On lui informa au cours de cette missive de l'importance qu'il se rende au palais le plus rapidement possible, il en résultait de l'avenir de Kalamaï.

Monsieur, nous sommes arrivé à destination, la Demeure des Empereurs. Annonça le chauffeur alors que le seigneur venait de terminer la seconde lecture de la lettre.

Sirias remercia l'homme puis sortit du cortège afin de rejoindre une porte secondaire où l'on lui avait indiqué de se rendre. C'était une entrée assez discrète qui servait probablement à la déposition des marchandises au quotidien. Deux gardes le reçut et, suite à vérification du laissez-passer diplomatique joint à la lettre, il put entrer dans le Palais. L'atmosphère y était pessante et le silence, lui, dominant. Alors qui commençait à eximiner de plus près l'architecture de la pièce, un garde impérial vint à sa rencontre.

Messire de Kondall, votre cousin ne tardera pas à vous rejoindre. On m'a fait le message qu'il désirait vous accueillir, il ne sera pas très long.

Après son entrevu avec Laonar à la taverne, le Seigneur Gorbad s’était rendu à la Sainte Corporation avec Sysk’o. Là bas, il fit un brin de toilette et se prépara pour la cérémonie à venir. On lui avait apporté des habits d’apparat destiné à son rang de Grand Prêtre, mais Arzhùl c’était refusé à les mettre.
Quoi ? Vous voulez que je me pavane dans cet accoutrement devant tout Kalamaï… Vous êtes malades, c’est de l’hérésie ce que vous me dites là…
Plus têtu que jamais Arzhùl mit quand même sa Sainte armure d’Inquisiteur, graver des glyphes et runes Inquisitoriaux. Il accepta quand même de prendre le magnifique sceptre et la grande cape rouge orné d’or qui symbolisait sa fonction.
Une bonne heure plus tard ils partirent pour le palais et son banquait.

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Arzhùl fit la moue
Ça me donne envie de vomir toute cette foule.
Nous sommes bientôt arrivé mon Seigneur, vous voyez le croisement là bas, bin y a un palais et…
Ne me prend pas pour un débile Sysk’o, veux tu. Dit Arzhùl d’un air blasé
Mais réjouissons nous, aujourd’hui est un grand jour, nous couronnons un nouvel empereur qui nous être plutôt favorable et les hérétiques ne sentirons pas la cendres aujourd’hui, remarque sa me dérangerai pas de brûlé tout les gugusse qui nous suives comme des rats. Cela fit rire Arzhùl et les hommes de son escorte, mais beaucoup moins la trentaine de prêtres, scribes et autres dignitaires de la corporation des Cultes.

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Le cortège religieux arriva enfin au abord du palais et Gunthar prit les devant.
Excusez moi sergent, pourrions nous…
Ohhh, non vous passez pas avant d’être fouille et que sa soit votre tour qui que vous soyez… ! dit t il sans même se donner la peine de regarder son interlocuteur. Le vieux prêtre retourna voire ses confrères.
Ce sergent n’a pas l’air disposé à nous laisser passer. Nous sommes bon pour attendre au moins une bonne heure avant que toutes ses personnes passe avant nous…
Arzhùl poussa délicatement de la main le vieux prêtre et enchaîna à celui-ci
Avec toutes ses année qui ont passer vous n’avez pas changé d’un poile père Torkish
Arzhùl se dirigea vers le sergent
Sergent ? sur un ton autoritaire
Quoi encore ? d’un air détaché
Par la Sainte Inquisition et par ce bon vieux Kanderak, oseriez vous faire attendre le Grand Prêtre ? le sergent leva la tête pour voir la personne qui lui parlait
Euh… non mon Seigneur… Mes excuses votre Seigneurie, je ne savais pas… le sergent devint tout de suite très aimable et polis
Oui tu savais pas je m’en doute bien… Arzhùl se retourna et fit signe que s’était bon, le sergent, lui, était plutôt étonner par le manière du Grand Prêtre, il n’avait pas l’habitude de ça de la part des religieux.
Par contre votre Sainteté j’ai reçu l’ordre de fouiller quiconque venant au festivité…
le sergent s’attendais au pire
Par l’amour de Kanderak vous voulez me fouiller ? Vous voulez rire j’espère. Je suis un Maître Inquisiteur en plus d’être le Grand Prêtre du Culte de Kalamaï et ce serait plutôt à moi de vous fouiller pour voire si vous n’avez rien qui pourrait nuire à la vie de l’Empereur !
Le sergent laissa donc passer le Grand Prêtre et son cortège.

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Sergent von Casendorf vous pouvez disposé avec les hommes, resté dans le coin au cas où, mais aller plutôt profité des victuailles et de la bonne chaire. Il fit une tape sur l’épaule du sergent bourru à l’allure d’ours avec un grand sourire au lèvres
Je m’occupe de la surveillance du « pas content ».
A vos ordres capitaine et faite attention à lui, on sait jamais à l’vance ce qu’y peut faire… Y aura p’être un ch’ti buchet à la fin d’la cérémonie. Ils se mirent à rire et partirent chacun dans leur sens. Une fois arrivé au niveau du Seigneur Gorbad il lui demanda
On fait quoi maintenant mon Seigneur ?
Chez pas on attend… On verra bien, si y sont polie, y nous enverrons quelqu’un. Puis le Grand Prêtre s’assit dans l’herbe fraîchement tondue. Certains du cortège furent outrer par le comportement du capitaine Sysk’o envers le Grand Prêtre, il y avait une certaine mesure dans la parole quand on s’adresse à ce type de personne. Et encore plus outrer que ce Grand Prêtre s’assit dans l’herbe, ce ne sont pas des manièrent pour un homme de son rang… Mais le Seigneur Gorbad n'était pas une personne de protocole, loin de là à vouloir se montrer supérieur au autres.


Dernière édition par Arzhùl Gorbad le Lun 2 Juin 2008 - 14:11, édité 1 fois

Un nain plus grand que la moyenne, vêtu d'élégant habit se présenta au palais impérial afin de prendre part aux célébrations entourant le banquet et le couronnement du nouvel empereur Phoenix. Devant la grande porte déjà de nombreuses personnes attendait leur tour pour la vérification d'usage pour ensuite avoir accès à l'intérieure des lieux.

Graubuust prit place parmi le peuple, rien ne servait d'être pressé ou d'être profiteur de son rang simplement pour ne pas attendre. Le couronnement étant pour le lendemain, où était l'utilité de courir. chose que détestait faire le nain. Il en profita pour discuter pendant les heures qui suivirent avec les citoyens et ainsi prendre le pouls de la nouvelle situation un peu partout sur l'empire.

Il arriva aux gardes qui demandèrent son identité : Messire Graubuust, Roi d'Erebor et Spadassin de l'Ombre.

Les impériaux furent surpris de constater qu'il n'avait pas user de pouvoir pour accélérer son entré au palais et en prirent note pour leur compte rendu. Après vérification, le nain eu permission d'entrer. Le Spadassin aperçu le seigneur Gorbad assis sur l'herbe. Il n'avait eu qu'un croquis de cette personne mais la fiabilité de celui-ci était frappante. Cet homme a bel et bien l'air de se donner une apparence supérieure méritant purement l'affront pensa t'il. Graubuust était heureux de ne pas avoir à interagir avec le culte, du moins pour le moment.

Il continua sa route pour arriver au côté d'Adola,accompagné de la Luciole. Comtesse, je suis heureux de vous revoir et apprécie votre décision face à nous. J'ai la vague impression que je n'ai peut-être pas fait très bonne figure lors de ma venu sur vos terres. J'espère bien avoir l'occasion de corriger cette faute, très chère.

Puis se tournant vers son Conseiller : Bonjour à vous mon ami, je présume que vous pensiez déjà à vos propos face à l'empereur concernant nos actions puisque je n'étais pas encore là, n'est-il pas ? N'en faites rien et profitez plutôt du temps que vous avez en bonne compagnie. Vous avez, hum.. comment dire .. hum.. une étincelle ... non une flamme dans votre regard lorsque celui-ci se porte sur la Comtesse. J'espère pour vous que cela puisse être réciproque.

Tandis qu'il terminait sa phrase, un serviteur passa avec un cabaret de boissons, le nain fit la requête d'une bonne bière naine qu'il eut en peu de temps Merci mon brave !

Luciole vit le nain... se qui ne l'enchanta guère... au moins il était déjà plus poli que la dernière fois, bien que l'envie de le faire aller voir ailleurs lui trottait dans la tête, entant que comtesse, nouvelle recrue, enfin elle préférait le terme alliée, cela faisait moins.. sous classé !

Sans oublié qu'elle ne devait pas faire sa devant Adola qui adulait tant son spadassin chéri, alors prenant sur elle même répondit le plus poliment possible

"Bonjour maître nain... disons que nous n'avons pas fait d'énorme effort de présentation tout les deux, mais ce qui est fait est fait"

Qu'avait il tous a deviner, Adola ne pouvait il pas cacher ses émotions, non pas que sa la dérangeait mais, c'était plutôt embarassant!

Luciole avait une réputation, et pas la moindre, vampire, assassin, cruelle et froide mon oeil... avec toute ces histoires de flammes dans les yeux elle finira en comtesse rose bonbon et fleur bleu.

Essayant de se détendre elle espérait au moins ne pas être la seul vampire assez bête pour suivre quelqu'un dehors en plein jour alors qu'elle n'a plus dormi depuis un certain moment.

Elle fit approcher un serviteurs et lui chuchota à l'oreille, celui-ci partit et lui rapporta une coupe.

"Je risque encore de passer pour une idiote mais de par la faute de mon prédécesseur je n'ai pas eu grande connaissance des problèmes qu'on connu Kalamaï... de plus les fêtes et les journées ensoleillée ne sont pas vraiment mes hobbis, donc vous m'excuserez si je reste silencieuse un moment"

Au moins elle avait comprit le principe, ils étaient tous content, youpie... Charmante journée en perspective que d'écouter blablater de chose dont elle ne sait rien et dont jusqu'à présent... ne l'interese pas plus que sa

Ardent avançait lentement, savourant la beauté de l'architecture des bâtiments autour du palais qui, étrangement, avaient survécu à la guerre. Il fallait dire aussi que la population qui voulait assister à cette fête faisait un trafic infernal, mais il se plaisait dans la mixité des gens qui marchaient à ses cotés. Tous semblaient remarquer son armure, mais peu s'en souciait. Cela faisait quelques temps qu'il avait libéré sa compagnie, et ses hommes s'étaient dispersés pour aller parler à des gens de leur connaissance, sans toutefois le quitter des yeux.

Quand finalement Ardent arriva à la porte du palais, le garde en fonction voulu le fouiller, mais il fut plus rapide. Il enleva toutes armes qu'il avait sur lui, et les donna à l'homme, sans le sabre. Lorsque le garde l'interrogea du regard, il lui répondit:

Trop de sang a coulé sur cette lame pour que j'en fasse couler d'autre aujourd'hui. L'empereur phoenix lui-même m'a demandé de porter cette lame fièrement, et je le ferais. Je n'utiliserais cette lame qu'en cas de danger auprès de cet homme.

Un mage qui se trouvait près du garde lui chuchota à l'oreille, juste assez bas pour que le garde et le chevalier entendent:

J'ai fouillé son esprit. Il ne veut aucun mal au futur empereur.

Ardent entra dans l'enceinte du palais, et il remarqua que le lieu avait changé depuis sa dernière visite. Il chercha un visage qu'il connaissait, et vu le seigneur Faraël qui se promenait seul avec une femme qu'il ne connaissait pas. Reconnaissant l'étincelle dans leurs regards, il décida de ne pas briser leur moment magique.

Il reconnut le nouveau maître des cultes, l'inquisiteur Arzùl Gorbad, entouré d'inquisiteurs et se dit qu'il valait mieux ne pas les déranger,de peur qu'il prenne cela comme une hérésie, lui qui ne connaissait que peu les règles régissant ces serviteurs de Kanderak.

Ne trouvant pas d'autre visages connus de lui, il décida d'aller fêter du coté des simples soldats. Au départ, ils le regardèrent suspicieusement, mais une fois qu'il mentionna qu'il ne venait que parce leur groupe semblait plus s'amuser que les seigneurs qui semblaient être venus que pour le spectacle du couronnement, les soldats l'accueillirent comme des frères.

Buvant et dansant parmi ces hommes, entendant les récits de gloire de ces personnes lui rappela lorsqu'il était lui-même soldats, et il se sentit comme chez lui.

Le seigneur Simuel était à quelques mêtres du seigneur Ardent, une fois le paladin arrivé près des gardes et mages protégeant le palais il perdit de vue le seigneur chevalier. Le garde demanda au paladin :

"Mon seigneur veuillez retirer armes et armures dans cette enceinte, s'il vous plaît."

Le paladin ne put s'empécher de rire à l'idée que les gardes le croit capable d'un attentat contre l'empereur, mais bon, il respecta les doléances des gardes D'un claquement de doigt, le marteau et l'armure de Simuel firent place à des habits de cérémonie fort élégants et à la surprise générale chez les gardes. Le seigneur paladin dit :

"J'ais combattut aux côtés de l'empereur pour préservé la paix en ce monde, croyez vous vraiment que j'irais faire quois que ce soit contre l'homme qui l'a instoré ? Puis je passer à présent ?"

Le garde regarda le mage qui lui fit un simple hochement de tête et le garde se poussa. Simuel fit le tour des invités et apperçut une groupe de soldats ivres accompagné du seigneur Ardent qui vus l'ordre saccadé de ses mouvements avait lui aussi abusé de la boisson. Le paladin rit à la vue de son ami dansant et alla le rejoindre pour attendre la cérémonie, le cortège religieux lui parressant d'une ambiance glaciale.

Quand le seigneur Fardall arriva au niveau du cortège, une grande allée se fit. Les quidams faisaient une révérence envers le futur Empereur qui s’avançait parmi eux. En voyant à une dizaine de mètres le seigneur Fardall s’approchant de son seigneur, Sysk’o se retourna vivement
Seigneur, vous devriez vous retournez vite, vous avez de la visite, plutôt… Haute placé si vous voyez ce que je veux dire

Arzhùl tourna la tête pour voir qui était l’individu et quand les informations de Sysk’o et le visage de celui-ci furent monté jusqu’à la tête, et oui y faut du temps pour ça, le Seigneur Arzhùl se leva le plus vite possible et se dépoussiéra sa resplendissante armure, même si celle-ci n’en avait pas besoin. Un coup de main par ci, un coup de main par là, il releva la tête pour faire face à son interlocuteur. Mais trop tard, celui-ci était déjà là, devant lui. On ne lui avait pas menti, un homme resplendissant, doué d’une aura de confiance. Arzhùl ne pouvait le nier, cette homme était peut être la personne la plus charismatique qu’il n’est jamais vu, qui aurait pu faire embrasé les cœurs et les âmes au moindre regard. Un meneur d’homme… Un combattant… Un Empereur…
Le Grand Prêtre repris ses esprits, un homme de son rang ne pouvait se permettre des égarements comme celui-là, ce n’était pas de l’arrogance, mais une droiture de vie. Il vit sur le visage de Fardall un petit sourire d’amusement. Pendant que le Grand Prêtre fit une révérence, Fardall, le futur Empereur, prit la parole

-Votre Sainteté, si vous vouliez bien m’accompagnez au palais, la cérémonie devrait débuter bientôt, il faut encore vous remettre les objets comme convenus …

Ses paroles étaient pleines de respect, ce qui rempli de fierté Arzhùl. Voir qu’une personne comme le seigneur Fardall respecté en haut point le Grand Prêtre était un honneur.

Il sera fait comme vous l’entendrez, futur Empereur ! dit t il respectueusement
Je vous laisse mener la marche, Seigneur Fardall, en tendant la main dans la direction voulue pour faire signe à Fardall d’avancer, après tout c’est vous que les bonne gens sont venues apprécier.
Arzhùl emboîta le pas à la droite du Seigneur et se dirigèrent vers le palais.

Laonar arriva enfin sur les lieux festifs du couronnement de l'Empereur Phoenix. La cour du palais était devenue une mer de gens de toute race, classe social ou quelque catégorie qui amenait les gens à se diviser. Par contre, aujourd'hui, les gens qui n'osent même pas s'adresser la parole festoyaient côte à côte. Un soleil réchauffant se tenait haut dans le ciel et ce dernier était accompagné d'une fraîche brise venu des terres du Nord.

Laonar se dirigea d'abord vers la table des invités d'honneur, où un siège lui avait été réservé. Il alla saluer les gens assis à cette table en signe de politesse mais les quitta pour aller manger avec les citadins de Kalamai. Ce fut un groupe en particulier qu'il recherchait parmi cet océan débordant de joie et il le trouva autour d'un des nombreux arbres de la cour impérial. C'était les rescapés de la prison d'Ocien-Parlat, ses anciens compagnons de cellules. Ces derniers ne le virent pas arriver et il en profita pour lancer une phrase qui en fit rire plus d'un.

- Messieurs, ca fait du bien un bon vrai repas.

C'est avec ces gens qu'il passa la plus grande partie du festin, allant de temps en temps discuter avec des citoyens ou de vielles connaissances. Ce fut, selon lui, le plus grand moment de l'histoire de Kalamai, faisant oublier le mal des dernières semaines.

Puis, Laonar vit son Empereur et ami Fardall se diriger vers le palais en compagnie du Grand Prêtre Arzhul. C'était donc l'heure du couronnement. Il prit donc congé de ses compatriotes pour aller prendre son siège à la table d'honneur.

Après avoir chuchoté sa réponse à l’oreille du nouvel empereur, Sirias se dirigea vers la Cour afin de rejoindre les distingués invités. Les pelouses et chaussées de la Cour étaient piétinés par des centaines de personne, par la population citadine, des seigneurs de partout dans l’Empire ou par des dignitaires. Les discussions comportaient principalement sur la récente guerre, ses réussites et défaites, ainsi que sur le sacrement du nouvel empereur.

L'ambiance était donc fébrile au début de ce couronnement. Comme pour soustraire cette atmosphère de suspense, les trompettes se mirent à retentir partout en la Cour du Palais annonçant le début de la cérémonie. Les invités abandonnèrent leurs absurdes discussions pour assister à ce grand moment de l’histoire. Puis ils commencèrent à chercher où l'Empereur devrait sortir, faire apparition pour le sacrement.

Alors que tous pensait voir apparaître l’Empereur via la Grand Porte, certains remarquèrent un rideau s’agiter du haut du balcon de l’Empereur. Ceux-ci commencèrent à crier et à acclamer l’homme, puis, dans un élan de joie et de hurlements, toute la Cour avait les yeux rivés sur la Galerie Impériale et ce fameux rideau qui bougeait.



Vive l’Empereur, hurla la foule, Vive l’Empereur!

Sirias savait que de l’autre côté de cette fenêtre, il y avait la Chambre de l’Empereur. À cet heure, on s’avérait surement à habiller l’homme de sa tenue traditionnelle; Quant au Grand Prêtre, le souverain pontife, il devait réviser son discours de consécration.

"En retard, je suis sur que je suis en retard"

Je courrais le plus vite que je pouvait sur la route couillouteuse, pourvu que j'arrive a temp,
je m'en voudrais tellement de ne pas être présente lors d'un évènement aussi important.
Essouflée j'arriva enfin au porte, n'ayant jamais d'arme sur moi ni quoi que se soit qui pourrait blesser, je passa vite les portes.
Mais je ne m'attendait certainement pas a être bloquée par un mur d'être de toute sorte tel que celui la

Oh non... je ne verrai rien d'ici...

Je me mordille alors les lèvres doucement, essayant en vint de demander si je pouvait passer,
je ne suis vraiment pas grande et si j'arrive a apercevoir, de la où je me trouve,
la tête de l'empereur lorsqu'il sera au balcon j'aurai vraiment, vraiment beaucoup de chance.

Je vous en prie je n'y vois rien

je soupira tristement, ils hurlent tous si fort, mais bien décidée a vouloir admirer se grand empereur,
j'ai essayé de passer entre les jambes des gens,
se qui ne m'apporta qu'une main écrasée et sans doute un bleu a la fesses droite...

Aieuuuuh... quels violence... vous n'avez donc aucune pitié

Je ne veux pas abandonné de si tôt, je ne suis pas du genre a baisser les bras si facilement,
bien qu'embarassée de demander sa a quelqu'un, par de multiple moyen j'attira l'attention d'un homme, plus grand que moi c'est déja un bon point

Ex... cusez moi monsieur... je... je suis trop petite alors je... je ne vois rien... vous ne sauriez pas comment je pourrais voir un peu mieux?

Je n'avais pas osé demander directement si je pouvais monter sur ses épaules et si il pouvait m'aider a me faire un chemin parmit la foule




(HRP: Je laisse a qui voudra bien m'aider le choix de sa réponce T_T merci)

Je regardais la foule crié son nom, encore et encore. Le seul mots Fardall était dans la tête des gens. Je regardais la scène avec compassion et un peu de tristesse. Dire que Fardall n'avait jamais voulu selon moi être un empereur. Il n'aura plus de vie et de liberté maintenant. J'attendais avec patience qu'il montre son nez lorsque quelqu'un me tira vers le bas. Une jeune demoiselle essayait de passer. Voyant qu'elle n'était que trop petite, elle me disa :

-Ex... cusez moi monsieur... je... je suis trop petite alors je... je ne vois rien... vous ne sauriez pas comment je pourrais voir un peu mieux?

Je regardais la demoiselle avec passion, malgrès qu'elle était petite, elle essayait de voir Fardall sans abandonner. J'esquivais un sourire à la gamine et je lui dit :

-Je pense avoir trouvé un moyen de te faire voir de plus proche. Car, je pense bien qu'il serait impolie de bousculer les gens.

Mon dernier voyage m'avait fait voir les choses d'une autre manière, bien que j'avais dût partir lors de la réunion et qu'en plus j'avais laissés le commandement de mes troupes à Torgrund, j'avais recu un entrainement qui avait changer ma vie. J'ai alors regardé la demoiselle et je lui ai dit avec un sourire :

-Suis moi, car ici, les gens sont trop borné pour faire de la place. Là ou nous allons, tu vas le voir.

Je me tourne vers l'arrière et m'enfonce vers une maisson tout en regardant la demoiselle. La voyant hésiter, je lui lance :

-Tu as le droit de ne pas me suivre. Mais je te donne une opportunité de le voir. Car je ne pense pas que tu risque d'aller bien loin.

Je la regarde en attendant un signe d'une acceptation ou non.



-

Je riait de bon coeur lorsqu'elle pensait trop parler. Je marchais avec elle pendant quelques minutes, juste le temps de ne plus avoir à bousculer la foule. Rendu en arrière des gens, je me suis tourné vers elle. J'ai faites une courte révérence en lui disant :

-Je me nommes Irius Farden, je suis un membre des rôdeurs des fôrets. Je suis venu ici histoire de revoir un ou plusieurs de mes anciens compagnions d'armes.

Regardant encore vers le palais, mon esprit sonda rapidement les lieux, je n'oubliais pas que Fardall allait avoir plusieurs ennui diplomatique ainsi que les autres, cette penser me fit rire. Revenant à réalité, je répondit à la demoiselle.

-Effectivement, je viens de loin. Plutot, je reviens de loin. Mais toi, tu est bien jeune pour ne pas etre accompagné. Ou sont tes parents?

Je n'étais pas aussi vieux que j'en avais l'air. En âge humain, j'avais à peu près 20 ans. Mais, j'en avait en réalité plus de 100 ans. D'un aire songeur je regardait dans les airs.

-Bon, si on veux voir quelques choses, il va falloir que l'on s'envole près du toit, on devrait mieux voir. Ensuite j'ajusterai le reste.

Je lui tendis ma mains et attendit sa réaction.


/HRP, mon clavier me fait défault, excuser moi pour les erreurs, je vais essayer de le réparer. HRP/

Je sentis une tristesse envahir Kaomi et cela m'attrista un peu, peut-être n'aurais-je jamais dût parler de ses parents. Ce fut mon erreurs personnelle. Mais en entendant son problème, je lui souriais un moment avant de lui annoncer :

-Si t'elle est ton destin, je vais t'aider à retrouver ceux qui te son chère. Si tu le veux bien sur. Je promets de t'aider même si cela prend des années et des années. Je ne t'abandonnerais pas.

Je la regarde encore et encore, je voyais son sourire, mais le coeur n'y étais pas. Elle essayeais de le cacher. Regardant son désaroi lorsque je lui est dit que nous allions voler, je me suis mit à rire. Lorsqu'elle me disa qu'elle ne pourrais se rendre en haut, je la rassura :

-Tout va bien aller, ne t'en fait pas. Tous va bien aller.

Elle prit ma main et par surprise me sauta au cou. Se tennant trop fort, elle faillit m'étrangler. Je réussis à dire ces quelques paroles.

-Maelstor mdiguriaos étyolyas

Une lumière blanche s'émana de moi et je mis mes bras autour d'elle pour essayer de la rassurer. Il ne fallait pas qu'elle panique, car un seul faux pas et adieu à nous deux.

-Ferme tes yeux, nous y allons.

En quelques secondes, nous avons disparu et réapparu sur le toit. Assez loin du peuple, mais assez près pour mieux voir.