Le Banquet et le Couronnement de Sa Majesté Fardall 1er

Fardall était rentré au palais avec le Grand Prêtre. Il l’avait guidé jusqu’à la Salle du Trône, où était gardés par trois gardiens la Couronne Impériale, Symbole de l’Union des Provinces et du Pouvoir Temporel et le Sceptre de Kalamaï, Insigne divin du pouvoir spirituel qui aurait été remis au Premier Empereur, le Grand Manassé Kalamay, par Kanderak lui-même. Ces biens si précieux en apparence mais qui valaient bien peut de chose aux yeux du Seigneur de Zirconie étaient enfermés dans un coffre de cèdre, un bois odoriférant qui embaumait la pièce d’une odeur de forêt.

Le fils d'Igardal prit le coffre et le donna au fier inquisiteur. Le futur empereur demanda ensuite aux gardes de protéger le Grand Prêtre jusqu’à la cérémonie. Il prit le coffre et le donna au fier inquisiteur.

- Tenez Messire Arzhùl. Prenez-en soin, à l’intérieur se trouve le Sceptre et la Couronne. Vous connaissez le texte du sacrement je suppose ? Vous qui êtes si versé dans le culte ne pouvez y manquez, mais voici quand même une copie. On ne sait jamais quand les mots nous manquent, souvent quand on s’y attend le moins et j’en suis la preuve …

Mais trêve de bavardage. Je ne dois pas faire ainsi souffrir de lassitude un homme de culte.

Désirez-vous une boisson pour vous désaltérer Votre Sainteté ?

Le moment n’était pas encore venu pour le couronnement. Il manquait certains dignitaires, particulièrement la nouvelle Thaumaturge dont la présence était attendue en tant que représentante d'une des Corporation de Kalamaï. Il se convenait de l’attendre encore quelques temps ainsi que quelque seigneur manquant.

Invité

M'aider a les retrouver, la dernière personne qui a voulu m'aider en a perdu la vie.
Biensur je veux retrouver ma famille, mon passé, mes souvenirs mais pas au dépend de la vie des autres, une vie est trop précieuse pour la prendre sans regret.
Même si je savait déja que j'allais refuser, je me sentit mieux, c'était agréable que quelqu'un s'interesse a mes problèmes de temp en temp.
Mon étreinte s'adoucit lentement, essayant de me détendre, même si je n'y arriva vraiment que quand je sentit les bras de l'elf me tenir un peu plus.
C'était comme un arnet de sécurité qui me calmait, savoir qu'il me tenait.

Je... ferme les yeux

Mes paupillières se baissairent doucement, inspirant profondément puis j'ai attendut, simplement, a m'en demander se qu'il se passait.
En vérité j'ai trouvé sa plutôt long, c'était normale, n'ayant rien sentit du 'voyage' je ne m'était pas rendue compte qu'on étaient déja sur les toits
alors je resta accrochée a lui les yeux fermé.

mmmh

J'avoue que rester collée a un homme enfin un elf était très agréable même si je suis une prêtresse et que de la ou je viens c'est plutôt mal vu.
M'enfin il faut dire que rien qu'en lui ayant adressé la parole j'ai transgressé les règles de lù d'où je viens, mais après tout j'en suis partie alors peut être que aujourd'hui j'en ai le droit ?!

V... vous ne me lacherai pas n'est ce pas?

Pensant ne même pas encore être partit du sol, me demandant presque se qu'il attendait, peut être réfléchissait il a comment y parvenir?
Au bout de quelques secondes je n'y fit même plus attention, je me sentit juste bien, a l'abris, au chaud,
les bras d'une personne, appart ceux d'Iraema je n'en avais connu aucun, cette sensation de bien être était devenu si rare pour moi,
que j'en profita un peu maintenant, qui sais après combien de temp je devrais encore attendre avant de resentir sa a nouveau?
Cette odeur a la fois étrangère et familière qui vous rassure et vous interroge.
L'étreinte protectrice d'un être vivant, les dernières étreinte que j'ai eu était celle de branches d'arbres qui avait déchiré ma cape,
et celle d'un serpent dont j'ai pu me débarasser de justesse !

Ce n'est que lorsque je fit attention a se qui se passait autour de moi que je sentit le vent sur mon visage.
Il était doux, chaud, l'ombre d'un instant je le confondit même avec une caresse sur mon visage, a moi que se ne soit vraiment une caresse de l'elf.
Je rouvre les yeux lentement et me rend compte que j'étais déja sur le toit !
Très embarassée j'ai voulu lacher d'un coup mais le vide plus bas me fit peur et je me réaggripa a lui, les joue rosie

P... Pardon je... je ne savais pas que nous... y étions déja

Dès que du mouvement avait été aperçu près de fenêtre, toute l'attention des soldats fut dirigée à cet endroit. Ardent, qui était dans un léger état d'ébriété, bien que ses années de soldat l’avaient habitué à l'alcool. Il prenait surtout de bon temps avec des hommes qui connaissaient le même quotidien que lui.

Pourtant, alors qu'il se tournait vers la fenêtre, il se sentit levé de terre. Lorsque les seigneurs qui se trouvaient près de lui voulurent s'interposer, il voyaient que c'était des hommes portant les armes d'Ardent. D'autres apportèrent un tonneau rempli d'eau, et ils le jetèrent dans l'eau. Complètement dégrisé, Il fut une fois de plus levé, mais cette fois, c'était pour lui garantir une meilleure vue sur le balcon sur lequel le couronnement allait se produire.

En regardant à droite et à gauche il remarqua plusieurs têtes connues, mais il remarqua que le seigneur Simuel avait été relevé aussi par les soins de ses hommes.

Je crois qu’ils vous aiment bien, dit Ardent en riant de l'inconfort du Paladin, qui semblait beaucoup plus à l'aise sur un cheval que sur l'appui des bras de ses hommes.

C’est avec une immense fierté qu’Arzhùl prit ce coffre. Il se senti digne, digne des Dieux, et c’était sûrement pour cela qui avait était promu Grand Prêtre.
C’est avec grand soin que je vous garde ce coffre, Seigneur. Que Kanderak nous bénisse.

Arzhùl le calla sous son bras, d’une poigne de fer. Aussi fermement qu’un nain aurait pu le faire avec un trésor familiale au moment de mourir. Il prit aussi la copie et la rangea dans son armure.

Je ne suis aucunement lasser mon Seigneur. Nous sommes à la veille d’un moment des plus historique. Un tyran est mort et un saint homme va bientôt prendre le pouvoir. Il n’y a aucune place pour la lassitude !
Il entendit la foule dehors qui était aux abois
Je voudrais bien quelque chose de frais. Il laissa passé quelques seconds
La populace vous porte dans son cœur, vous êtes un homme bon et vos fait d’armes vous précèdent, je suis sur que vous ne les décevrez pas. J’espère pouvoir vous servir au mieux. Avec la mort d’Enguerrand, la Sainte Inquisition a beaucoup de travail, sans compter que le culte en a prit un coup. Le peuple doit être guidé de la meilleur manière qu’il soit et j’espère avoir votre appuie à ce niveau là. Arzhùl profita de ce lapse de temps pour parler un peu d’autre chose avec Fardall, celui-ci devait en avoir mare qu’on lui parle que de la cérémonie à venir.

J'avais terminé mon sort et j'attendais calmement que la demoiselle ouvre les yeux. Elle n'avais rien sut au sujet du voyage, elle s'était juste agrippée à moi. La sensation d'aider quelqu'un dans le besoin et de lui donner confort et assurance me faisait chaud au coeur. Une seule parole sortit de ma bouche :

-Ne t'en fait pas, je ne te lâcherai pas.

Il était vrai que j'étais jeune et que la magie m'avais aider à trouver une place dans ce monde. Mais, même mon coeur ne pouvais supporter autant d'effort en magie. Relaxer et penser aux autres allait sûrement m'aider. Je regardais le ciel sans lâcher Kaomi. Comme si s'étais un être fragile que je ne pouvais laisser tombé. Une vue magnifique et une légère brise, quoi rêver de mieux?

J'ai abandonné un peu mon étreinte pour lui faire signe que nous étions arrivé. Elle restait là à attendre ou à relaxer. Elle ouvrit les yeux finalement et recula un peu. Voyant le bas elle se réagrippa à moi.

P... Pardon je... je ne savais pas que nous... y étaions déja.

Voyant encore mon erreur d'avoir arrêté trop près, je me suis reculé avec elle. Un sourire, voilà ce que j'ai eut. La voir embarassée me fit sourire. Mais, de là à pensée qu'elle aurait pu tombée me fit perdre un peu d'assurance.

-Tu n'as pas besoin de t'excuser pour ca, ca peut arriver à tous le monde. Non, c'est à moi de m'excuser, je n'aurais pas dût être trop proche du bord.

Invité

Awake atterissa à son habitude, en emettant un tremblement autour de lui. Il fût devant l'entrée du palais, il était trois fois plus grand que tout le monde ce qui lui permetta de voir tout ce qui se passe. Des gardes se figèrent devant lui en lui tenant des piques devants lui. Awake souffla d'anticipation.

- Jeunes gens, chaque personnes est convié ici, peu importe la race, je n'ai pas d'arme sur moi, sans compter mon corps.. Si j'aurais voulu intenter à la vie de l'Empereur croyez-vous que je serais passer par la grande porte.. Ensuite, je vous conseille de vous écarter car je ne suis pas spécialement d'humeur à être clément..

La réponse fût tellement pertinente et réelle que les gardes s'écartèrent immédiatement avec un soupçon de peur.. Awake commença à entrer et un silence s'installa brusquement, comme si l'on avait figé tout le monde. Des murmures se prononçaient au fur et à mesure qu'Awake avançait alors que la foule s'écartait. Un homme trébucha maladroitement et emboita le pas de l'Infernal, implorant sa vie pour ses filles et sa femme, il réclamait le pardon du Démon en pleurant.

- Vie ta vie, sois heureux et n'aie pas peur..

Tels fût les mots de l'Infernal qui remetta l'homme sur pieds et le poussa légérement de la main. Le Démon fût passé de toute aggréssivité du peuple ce qui lui permit d'attendre tranquillement dans la pièce.

Babka se rendit tranquillement jusqu'à la porte de la cour du palais, il portait ses habituels habits de tissu et de cuir ainsi qu'un cape portant les couleurs d'Héraldie en Amphise. Il se présenta devant les gardes impériaux qui demandèrent son identité :

Babka, rôdeur d'Héraldie.

Vous êtes le représentant d'Oengus d'Héraldie ? Son Fils ?

Je ne viens pas en son nom et ne suit pas son fils, d'ailleurs il n'en a pas. J'habite seulement sur ces terres comme beaucoup d'amphisois. Nul besoin d'annoncer quelque chose.

L'accès lui fut donné après ces formalités. L'elfe avança parmi la foule, cherchant du regard si la Thaumaturge l'avait devancé mais il ne l'a trouva point. Babka aperçu alors Awake, disons que sa grandeur était dur à raté dans une foule. Il s'en approcha et lui dit :

Bonjour Messire Awake, je suis heureux de voir que vous vous portez mieux qu'à notre dernière rencontre. J'ai croisé Palfak en Amphise avant de venir ici, il m'a remis l'item en main propre car je n'était pas encore partie.

Essayant de voir parmi la foule, sans trop déranger autour de lui afin de respecter ceux qui était là avant mais ce serait décevant de mal voir. Il leva les yeux, regardant l'Infernal et sa stature.

Vous me permettez de prendre place sur votre épaule que je puisse suivre le déroulement de la cérémonie ?

Invité

Awake souria du coin des lèvres et accepta, il mît Babka sur son épaule gauche et lui dit.

- Ce bon Palfak.. Mon premier officier que j'ai eu lors de mon incarnation, il est toujours aussi fidèle. Il doit plus apprécier cette vie que son ancienne en même temps, c'est compréhensible.. Être banni de sa tribu parce que l'on refuse de prêter serment d'allégeance à son chef, ça été mal toléré et dire que lui et la fille de son chef vivait une paisible idylle.. Il a été bien triste mais maintenant, il le vit mieux.. Enfin je parle trop, cette cérémonie est agréable, les gens sont calmes et fraternels.. J'attends Penya, dès qu'elle arrivera, je vous demanderais sûrement de partir de mon épaule, j'aurais peut-être quelque chose à faire..

L'Infernal chercha en vain la Thaumaturge dans la salle. Le couronnement allait pourtant bientôt commencer.

Invité

Simuel était joyeux, entre deux fou rire avec son ami Ardent, le paladin vue une magnifique demoiselle se faire bousculer par la foule. Il demanda à ses hommes de le redéposer et il alla chercher la femme qu'il avait remarqué, mais avant de l'atteindre, le seigneur Arden secoura la jeune femme.
Après quelques pas dans la foule le paladin fut porté par ses hommes sur une structure en bois, tout le monde était heureux et riait.

*Le seigneur Fardall doit avoir un peut le traque tant de gens venus uniquement le voir !*

Voila ce que pensait le paladin qui s'inquiétait pour son ami.

Le coeur d'Ardent fut joyeux de voir que son ami avait trouvé compagne parmi la cohue tourbillonnante et qui bouillait d'impatience. Puisqu'ils étaient maintenant deux à supporter, Les hommes de la compagnie ardente construisirent une petite plateforme faite de leurs longs boucliers qu'ils portèrent à leurs épaules, se mettant à 4 pour la soutenir. Leur force conférait une stabilité incroyable à la structure, et lorsque la dame monta sur le bouclier avec Simuel en rougissant, plusieurs commentaires humoristiques furent lancés, pourtant aucun d'eux ne visait à les blesser.

Plusieurs structures du même genre furent dressées, toujours en essayant de ne pas cacher les gens au fond, en prirent place sur les boucliers tous les gens que les hommes d'Ardent trouvaient trop petit pour bien voir, les enfants, les gnomes, les nains (quoique beaucoup plus rarement) et les gens de petite taille.

Ardent, pour sa part, descendit de ses hommes et prit sur ses épaules un petit garçon d'environs dix années qui semblait perdu, et qui lui rappelait quelque chose. Il regarda aux alentours, et ne voyant pas de parents le cherchant il lui demanda:

Tu es seul petit??

Oui, je suis venu ici car ma famille à été tuée en Scitopole...

Comment s'appelaient tes parents? Je suis... enfin j'était un seigneur de Scitopole, Dit-il avec un brin d'inquiétude dans sa voix.

J’étais le compagnon d’Armand, le fils d'Ardent de Montfort... Ma famille est morte en essayant de le protéger... Ils étaient des amis de la famille... J'ai pu fuir mais pour eux c'était trop tard, les soldats étaient trop près...

Ardent pleura de joie, et en expliquant calmement la situation au petit garçon, il lui jura qu'il deviendrait son meilleur ami pour le restant de sa vie, et qu'il essayerait de son mieux de remplacer son père du mieux qu'il pourrait.

Il remercia les dieux. Cette journée semblait être particulière. Partout des couples se formaient, des amis se retrouvèrent et des parents retrouvaient leurs fils qui revenaient de la guerre... L’ambiance était magique. Il ne manquait que le couronnement qui allait rendre cette journée parfaite.

Arrivé aux portes du Palais, Cotin Nerae franchit les portes sans faire plus de cas des gardes.
De sa démarche lente, il atteignit le lieu où devait avoir lieu le couronnement, déjà bondé.
Décidément, le nouveau chef, "Sa Majesté Fardall 1er, Héros de Kalamaï", ne faisait pas dans la demi-mesure...
En vérité, le vampire était à la fois inquiet et satisfait: tous ces changements politiques en aussi peu de temps, cela pouvait être très dangereux... ou très lucratif...

Il jeta un coup d'oeil vers l'arrière, afin de voir si le patriarche Therion le suivait toujours.

Un chevalier au pouvoir... et de sang impur qui plus est...
Le compte d'Irynia avait beau avoir des convictions relativement impérialistes, ce nouvel Empire ne lui inspirait que dégoût.

Il cherchait du regard les autres membres de la Corporation.
Quelque chose, lui avait-on dit, risquerait fort de se produire, quelque chose d'intéressant pour ce qu'il en savait.
Quels projets l'esprit tortueux de la Thaumaturge avait-il conçu?
Dans quelle situation allait-il se retrouver?

Il verrait dans peu de temps, mais tant qu'il pourrait y trouver son intérêt, cela ne pourrait être qu'intéressant.

Mais à ce propos, où était donc la Thaumaturge?

Invité

Sur mes pas, des novices me suivaient, d’autres étaient présent. Il y avait un monde incroyable et peu de protection pour les dignitaires, serions nous conduits auprès du roi? J’avais le sentiment que je n’étais pas bien. Il est rare de voir des coups de chaleurs sur les elfes, mais c’était mon cas. Il y avait une présence ici, beaucoup plus forte que moi. M’infligeant le respect. Juste avant de passer la porte, mes yeux voient une stature imposante, Awake. Répondant aux gardes :

Je suis Penya Tavaril, Thaumaturge, ceux m’accompagnant sont les membres de mon corpus, des novices ainsi que des mages.

Nous portions tous le même vêtement, cape longue, capuche sur la tête aux couleurs blanche et or, avec l’insigne des arcanistes. La magie rends les choses si simple, en un clin d'oeil, tous ont le vêtement sur le dos. Pour ma part, j’avais la cape que Sire Babka m’avait donner. Sauf Awake, car pour lui, mettre un vêtement laisserais une drôle d’impression sur le démon. J’étais très fière des membres du corpus, certains ont des dons pour la magie et je ne doutais pas le moins du monde qu’ils auront une grande place à prendre.

Les elfes sont patients habituellement, les gardes prenant trop de temps, je leur donne un petit coup de pouce.

Je ne voudrais pas être désobligeante, vous attendez la prochaine lune pour m’autoriser à entrée !!

Comme l’éclair, j’ai vue de suite ce qui n’allait pas. Après le couronnement, il y aurait une grande réunion à la corporation. C’est pour cette raison que j’avais demander à ce que tous y soient. Incluant les anciens. Ce sentiment de déchirure ne me quitte pas. Il y a un malaise et je le ressent au plus profond. Depuis un temps, tout le système étaient en reconstruction, il y avait eu beaucoup de changement et nous, en tout les cas, pour ma part, je me sentais drôlement manipuler. L’avenir est incertains, autant pour moi que pour mes membres. J’imagine que les anciens grands magiciens des temps perdues avaient eux aussi leurs lots de problème.

L’on m’autorise finalement, je marche donc dans la foule, trop loin, je sentais un pincement.

Hey bien, les chefs des corporations ne sont pas réunie pour le couronnement.

Me dis-je en moi même. Je décide donc de m’approcher le plus possible de mon ami Awake, prenant aux passage les capes blanches de la corporations, pas question pour moi de laisser UN membres seul, nous sommes une partie importante des corporations.

Awake !!AWAKE !!

De sa stature, un pas et il est près de moi, ainsi que le comte.

Sire Awake, j’aimerais si possible que nous soyons tous à la porte du château, je désire voir le futur roi avant son couronnement.

Un nain se promenait parmi la foule, ayant laissé Adola et la Comtesse à leurs occupation. regardant les personnes présente, écoutant ça et là les conversation afin de voir si des informations utiles pourrait ressortir. Le Spadassin attendait comme tout le monde la venue de celui qui serait normalement le nouvel empereur de l'empire. Il hésitait encore à savoir si il irait le féliciter et lui souhaiter un long règne ou simplement rester parmi la populo.

Il remarqua la présence d'un infernal, individu qu'il fut surpris de voir dans un tel endroit. Y regardant de plus près il reconnu Babka, l'homme de main de son grand ami Oengus, sur l'épaule du démonologiste. Voilà longtemps qu'il ne l'avait pas vu et il semblait en bonne forme.

Il était rare de pouvoir rencontrer en un seul lieu, la majorité des dirigeants des corporations de l'empire. Certains étant dans la foule, d'autres en train de se préparer pour leur tâche dans cette cérémonie. Chacun accompagné de certains de leurs membres, regardant parfois pour en recruter d'autres, établir des contacts avec la nation et offrir leur services selon les besoins.

Le Spadassin s'arrêta à proximité du balcon puis s'écria :

Alors ce couronnement nous le verrons bientôt ? Voilà des heures et des heures que nous attendons, n'ayant même pas la moindre annonce d'un quelconque avancement de la situation. On disait de Fardall qu'il est sobre et différent des précédents empereur, mais pourtant il se fait tout aussi entendre que la défunte Impératrice !

Puis chuchotant : Que tout les dieux garde son âme en paix.

Fardall discutait tranquillement avec le Pontife. Celui-ci avait deviné qu’il était las de discuter de la cérémonie qui le rendait anxieux. L’expatrié d’Étimnon lui parla principalement de son élevage de chèvres, héritage que lui avait cédé naguère son bon ami, feu Garlon de Mirtre, un des plus grands Palatins de Thassopole. Il avait en tête un projet, qui ramènerait à la couronne et à l’État tous les royaumes vacants dont les seigneurs et dames n’auraient pas d’héritiers ou de statut spécial. Il pensait aux exemples des terres de Mirtre de celles de feu Artorius, c’était il y a si longtemps …

Du coin de l’œil il aperçu l’arrivée des représentants de la Corporation des Arcanes par la fenêtre. Elle était difficile a manqué, surtout qu’un infernal de bonne taille était parmi eux. Si cet infernal était de bonne foi et ne désirait pas le chaos ou l’oppression il était le bienvenu. En effet, Fardall avait tendance a croire, contrairement à ses prédécesseurs, que les gens de races ‘‘ mauvaises ’’comme les qualifiaient certaines personnes étaient tout aussi disposer à œuvrer pour le bien que les autres. Simplement des seigneurs de sinistres réputations avaient terni l’image de leur peuple. Les parents nous lèguent ce qu’ils ont et nous devons en hériter, répétait souvent son père.

Il se prépara donc à sortir à l’extérieur de nouveau, pour la cérémonie cette fois. Il fit signe au Palatin de Thassopole qui comprit. Ils se dirigèrent d’un bon pas vers les écuries, où les attendaient le cheval du futur empereur et la délégation de prêtres. Mais de ce fait, le Scitopolien aperçu la nouvelle Thaumaturge dont il n’avait qu’une vague idée. Visiblement, elle cherchait à lui parler avant la cérémonie. Le Seigneur de Zirconie fit un signe au Grand Prêtre de continuer jusqu’aux écuries du palais, pour préparer leur entrée. Il lui laissa le coffre, toujours protégé par les gardes. Ensuite, il se dirigea donc vers une porte discrète, pris rapidement, mais doucement l’elfe pas le bras et l’entraîna dans le couloir.

- Vous désiriez me parler mademoiselle la Thaumaturge ? dit-il avec un sourire espiègle.

Fardall attendit la réponse de celle-ci. Du regard il guetta les seigneurs qu’il avait demandé pour lui servir de haie d’honneur. Le Seigneur Ardent était déjà en place sur son spectaculaire plancher de bouclier, ainsi que le Palatin Simuel, qui avec plus de modestie, s’était rangé le long du grand tapis rouge déroulé menant à l’estrade, Il ne manquait plus que Belthil, Angelion, Faraël et Arianthe de Bise qui prendraient place sous peu. Il espérait la réponse de son interlocutrice assez brève d'ici quelques fébriles minutes il sortirait au grand jour.

Invité

Elle ne s'attendait pas à se faire hisser de la sorte, même si le geste n'était pas fait avec force, elle resta surprise. Et en un instant, elle eu le goût de lancer un sort de glaciation. Dans les yeux du futur empereur, une certaine détermination, mais rien qui puisse mettre en périls la nis.

Je serais brève, rien ne pourra pas avoir lieu aujourd'hui. Je ne peu vous dire plus pour l'instant, mais je sais une chose, je ne pourrai rien faire pour vous aidez, ni les membres de mon corpus. Votre couronnement est un peu trop précipité. Vous n'avez pas que des alliées, et nous chefs des corporations, n'avons pas eus la chance de prendre du recul, tout va trop vite et croyez moi, cela est de mauvais augure, très même.

Je savais au fond de moi, que les mots ainsi dit, ne sont pas réjouissant. Que ce soit moi, ou un autre, si il n'y avait pas de base solide sur ce couronnement, surtout avec les chefs des corporations, tout volerais de travers.

Je n'ai pas juré fidélité à personne, et mon corpus non plus. De mauvais présage autour de vous et votre famille. Ne faite pas les mêmes erreurs que les anciens empereurs.

La thaumaturge avait tout dit, maintenant à lui de prendre son conseil ou pas.

Cela faisait longtemps que nous le peuple de Kalamaï nous attendions le couronnement de l'Empereur qui se faisait attendre. Peut être y avait il un problème mais comment le savoir tout les officiel de l'Empereur paraissait cloitrer dans le palais. Que d'attente que d'attente.
La foule s'amassait, mangeait et buvait plus que de raisons, bientôt le vin viendrait à manquer et cela risquerait alors de dégénérer. Mais bon nous n'en arriverons certainement pas là car cela ne devait plus qu'être une question de temps.

Heureusement pour moi j'étais avec Luciole qui m'accompagnait ainsi le temps ne me paraissait pas long bien au contraire.
Cependant je sentis quelque chose chauffer dans ma poche. Je sortie une pièce d'or c'était bien elle qui chauffait un peu. Je regarda sur la tranche et je pus y lire "un elfe vous attend".
Une phrase tel que ça ne pouvait venir que d'une personne. Cela restait volontairement floue afin de ne pas pouvoir être compris par une autre personne que moi.

Je m'adressa alors à Luciole

Je crois que je vais être obligé de te laisser.

Je vu les yeux interloqué de la charmante vampire

Comprend moi il y a quelqu'un qui s'est présenter tu sais où je suis obligé d'y aller car je suis le deuxième de la Corporation et le Spadassin va être occuppé. Il faut bien y aller, si je le laisse patienter il risque de partir. Comment aurais tu reagi si tu aurais été obligé d'attendre?

Invité

Awake surveillait les alentours en tenant la Thaumaturge par la taille près de soi afin qu'elle se sente en sécurité. Voyant un bref mouvement de la foule, Awake repensa à Babka qu'il avait laisser au sol, il espérait qu'il comprendrait la situation. Le Démon regarda fixement l'Empereur, il s'abaissa légèrement pour le regarder dans les yeux, ils étaient beaux. Awake ne voulait pas la mort de qui que ce soit mais simplement discuté, les grands traits vu déjà saisis par sa Thaumaturge, l'Infernal prit une voix cristalline et rajouta.

- Homme.. Ne vois pas la violence comme un necessité ou une complaisance.. Nous voulons discuté principalement, le peuple n'a pas eu le temps de donner son avis que vous croyez bon de prendre le pouvoir.. Sans doute vous devez l'avoir, mais attendez de connaître l'accord de chacun.. Personnellement, j'ai dit à vos gardes à l'entrée que je ne vous ferais aucun mal, c'est vrai, je n'en ferais rien. Ensuite, j'ai jamais été soumis qu'à mon contrat d'âme mais.. Il déjà bien remplit alors la délégation des Enfers, je ne suis obligé que de moi-même.. Vivez heureux malgré tout, les humains sont communs en tout point, ils cherchent le bonheur de différente manières...

Les mots fût si doux que la surprise a été presque personnelle, il ne pensait pouvoir tenir un tel discours un jour.. Se tournant avec tendresse vers la Thaumaturge, Awake la conseilla.

- Je crois qu'il a besoin de temps pour y penser.. Et.. Nous n'avons plus rien à faire ici.. Je sens déjà la peur et l'affollement monté dans les esprit.. Partons, les membres s'en sortiront, je te le promet..

Awake commença à regarder autour de lui, et les gardes semblaient se diriger envers leur direction. Ne voulant pas causer d'avantage de dégâts que le discours ne l'a fait, Awake invoqua un simple chien et ce dernier se tenait devant lui et la Thaumaturge comme une simple volonté d'ignorance et d'oubli de bataille..

Invité

Amroth apparut par téléportation en plein milieu de la foule,les vêtement en sang sa main caché dans son manteau et le sang coulant a goutte régulière sur le sol il se força cependant a garder l'allure la plus droite possible, essayant de ne pas montrer sa souffrance

il chercha les gardes des yeux et les vit a l'opposé entrain de parler l'air encore un peux choqué et perplexe

il traversa la foule a pas dans la limite de son énergie le plus rapide possible

p...pardon.. excuser..moi ....désolé messieurs...

enfin arriver devant les gardes il s'inclina devant eux

A...Amroth.....elensar

alors il écarta les deux gardes qui était maintenant un peux confus et qui se tenait droit l'air effrayé, ceux-ci le laissèrent passer l'entrée il chercha ses deux ancien compagnon de route et resta la a scruter les environ derrière lui les traces et les goute de sang formait un chemin visible.

ou peuvent t'il bien etre pensa t'il

Arzhùl commença donc à se dirigé vers les écuries. Aux portes de celles-ci il vit Sysk’o qui l’attendais avec le vieux von Torkish. Arzhùl s’adressa aux deux hommes
Tout est prêt mes amis ?
Oui, Grand prêtre nous sommes fin prêt. Dit Von Torkish en baissant la tête
Très bien, très bien, faites sortir le cheval du futur Empereur et que tout le monde se mette en position, nous allons bientôt commencer la cérémonie. Dit t il assez fort pour que tous l’entende dans l’écurie et dans la cour. Par Kanderak nous allons attendre ici que l’Empereur arrive.
Tout le monde se mit en position, Arzhùl était entouré de ses 3 gardes, ainsi que Sysk’o. Il se retourna pour regardé en direction de Fardall et vit… un Démon…

Je serais brève, rien ne pourra pas avoir lieu aujourd'hui. Je ne peu vous dire plus pour l'instant, mais je sais une chose, je ne pourrai rien faire pour vous aidez, ni les membres de mon corpus. Votre couronnement est un peu trop précipité. Vous n'avez pas que des alliées, et nous chefs des corporations, n'avons pas eus la chance de prendre du recul, tout va trop vite et croyez moi, cela est de mauvais augure, très même.

Je n'ai pas juré fidélité à personne, et mon corpus non plus. De mauvais présage autour de vous et votre famille. Ne faite pas les mêmes erreurs que les anciens empereurs

Fardall répondit à la thaumaturge :

- Chère Thaumaturge. Vos conseils me touchent. Je suis conscient que mes actes révoltent certaines gens, et je ferait ce qui est en mon pouvoir pour les respecter et me faire pardonnez si je le puis. Je comprends que vous refusiez de prêtez allégeance. Il est normal de garder son intégrité. Moi-même je n’exige aucune allégeance de mes amis et des mes compatriotes. Je suis leur représentant, mais pas leur maître.

Sur une note plus joyeuse il ajouta :

Quand vous dites de ne pas faire les mêmes erreur que mes prédécesseurs, si vous parlez de faire attendre le peuple, vous avez tout à fait raison. Je ne ferai pas attendre plus la belle grande famille des habitants de Kalamaï. Je vais donc sortir de ce pas. Je vous souhaite une bonne journée mademoiselle, termina-t-il poliment, en ne voulant pas la brusquer par son départ précipité.

Alors qu’il se dirigeait dans le couloir, il entendit la voix d’un infernal. Celui-ci était derrière lui. Il avait pénétré par la même porte que la Thaumaturge, et puisqu’il était lui-même un ancien arcane, Fardall se douta qu’il appartenait au rang du mana. Le fils d’Igardal ne se méfia pas. Il avait tendance à voir le meilleur des gens, on forge notre destin par nos actes et non par notre sang était un vieux parabole oublié d’Étimnon qu’il aimait bien.

Homme.. Ne vois pas la violence comme un nécessité ou une complaisance.. Nous voulons discuté principalement, le peuple n'a pas eu le temps de donner son avis que vous croyez bon de prendre le pouvoir.. Sans doute vous devez l'avoir, mais attendez de connaître l'accord de chacun.. Personnellement, j'ai dit à vos gardes à l'entrée que je ne vous ferais aucun mal, c'est vrai, je n'en ferais rien. Ensuite, j'ai jamais été soumis qu'à mon contrat d'âme mais.. Il déjà bien remplit alors la délégation des Enfers, je ne suis obligé que de moi-même.. Vivez heureux malgré tout, les humains sont communs en tout point, ils cherchent le bonheur de différente manières..

- Vos paroles me rejoignent messire. Vous savez que je cherche le bonheur moi aussi, mais ce couronnement n’en est pas la manifestation. Mon dieu m’a dit de suivre ce destin que j’avais forgé, même si j’aurais bien voulu être chez moi avec ma famille et mes amis. Mais pour le bien du peuple, j’accepte la couronne, peut-être certains prennent-ils le trône comme un privilège dû à leur sang, mais moi je le prend uniquement par devoir. Maintenant, je vais sortir à l’extérieur, je vous prie de regagnez vos places, j’espère que vous passerez une belle journée vous aussi. J’aurai sûrement quelques dons faire aux arcanes moi-même, en signe de mon passage dans cette corporation jadis et pour ce que font les arcanes pour l’Empire.

Le Seigneur de Zirconie continua son chemin vers l’écurie. Les paroles précédemment dites par ses interlocuteurs lui donnaient a réfléchir. Le père de Faraël aperçu le Grand Prêtre qui l’atttendait. Il semblait étonné de voir un infernal dans le couloir.

- Ne vous inquiétez point mon ami, en toute chose il y a du bon, surtout en lui. Prêt ? Venez.

Fardall monta en croupe de son destrier qui l’avait vaillamment suivi dans toutes ses quêtes et ses défis. Il n’avait pas mis d’habits luxueux ou extravagants, il n’avait mis que des vêtements communs. Il n’en avait pas besoin, il n’en avait jamais eu besoin.

Ils sortirent donc tous dehors de l'écurie, lui-même au trot sur son cheval, suivi par la délégation de prêtres menée par le preux et pieux Pontife de Kalamaï, le Grand Prêtre Arzhùl Gorbad. Au début, la foule en fut étonnée, puis elle poussa quelques vivats. Certains semblaient très enthousiastes, d’autre étaient neutres, quelques uns avait une expression hostile, mais très rares étaient ceux-là.

Il avança lentement à dos sur sa monture en chevauchant sur le tapis rouge déroulé vers l’estrade, la cérémonie commençait. Il salua les gens qui étaient venus de la main. Ils étaient nombreux et il en était content. Ce moment marquait la fin d’une époque sombre, et, il l’espérait bien le début d’une ère de bonté et de paix. Mais de ses yeux, il fixait une seule chose. Sa bien-aimée qui le regardait, sa fille et ses deux fils près d’elle qui souriaient.

Un homme vétu de vétement de scribe couru vert Fardall essouflé et lui tendit une missive provenant de Vénopole.

Moi Varatorn, Seignieur d'Aldanas, Palatin de Vénopole, Chef de la Guilde Echo et membre de la guilde des combatants ne prétera aucunement allègeance a votre pouvoir et refusera tout contacte quelqu'il soit envert vous ou les personnes qui vous soutienne.
Néanmoin je ne veut pas de conflit contre vous mais saché que nous somme pas sans ressource.
Je refuse toute alliance politique envert vos allier, je decline toute offre de rejoindre votre mouvement et je désaprouve votre couronnement odieux qui n'aura que pour repercussion votre perte et celle de million de vie innocente.
Et pour finir votre prise de pouvoir vous attire des enemis mais sacher que je n'en fait pas partie enfin pour le moment.
Je fait uniquement partie de ceux qui refuse votre pouvoir et ne aidera ou soutiendra d'aucune manière et pour finir Vénopole restera dans l'Empire mais ne veut pas avoir affaire avec t'en que vous serrez sur le trone.

Le scribe fit 3 pas en arrière et commença a partir.

Quelle pitié...
Tout ce bruit pour rien, toute cette mise en scène, tout ces belles mais vaines paroles...
Tout ceci n'inspirât que dégoût à Cotin Nerae.
Il vit brièvement la Thaumaturge parler avec l'Empereur Fardall, avant que celui-ci ne se prépare au Couronnement, et que celle-là qui les lieux, apparemment furieuse.
Rien d'intéressant ne se passerait donc aujourd'hui.

Il s'apprêtait à demander à l'Elfe sombre derrière lui son avis, lorsqu'un étrange sentiment le submergea.
Il reconnut vite cette impression: le manque.

Un vampire millénaire peut très bien subsister des années, voire des décennies sans prendre une goutte, bien qu'il lui arrive souvent d'égorger quelqu'un par pur plaisir.
Mais lorsque le manque se faisait sentir, tout pouvait basculer: les plus puissants vampires ont un jour succombé; et ce n'était que très rarement le fait d'intervention extérieure, non, souvent, ces vampires se décomposait en quelques minutes, victimes du manque.
Et c'est ce qui était en train d'arriver à Cotin Nerae.
Celà ne lui était déjà arrivé que deux fois: la première lors de son tout premier siècle, la seconde alors qu'il entamait son neuvième. Et s'il s'en était tiré, c'était de justesse et douloureusement.

Il se tourna vers Therion, et dit d'une voix hésitante, chose très inhabituelle pour lui, :

- Je...j'aimerais que nous partions... Venez, jeune Therion, quittons cet endroit... allons... dehors... quelque part... dehors...

Avant même que le patriarche d'Evandar ait le temps de répondre, le vampire l'avait déjà entraîné à sa suite vers la grande porte.
Il devait quitter ce lieu et... se débrouiller...
Il regrettait ce qu'il allait avoir à faire, mais il n'avait pas le choix...

Peut-être un jour l'Elfe Noir le remercierait-il...

Le Couronnement était en train de débuter, quand Cotin Nerae, le vampire qui l'accompagnait, se tourna vers lui, et bredouilla qu'ils devaient partir immédiatement.
Que se passait-il?
La cérémonie venait pourtant de commencer, et tout semblait bien aller.
Therion remarqua aussi l'étrange état dans lequel était le Compte d'Irynia, il semblait à bout de forces, une loque humaine, alors qu'il y a quelques instants, il marchait d'un pas rapide, sûr et calme.
L'Elfe Noir avait bien sûr vu la Thaumaturge s'éclipser, mais était-ce la raison de l'état du Compte Nerae?

Toujours est-il que, mis en confiance par le vampire millénaire, il le suivait rapidement, vers l'extérieur.
Mais que lui voulait-il donc?

Fardall continua d’avancer doucement. Il fixait toujours sa femme et ses enfants. Il était fier d’eux. Le Barka serait resté toute la journée à les observer et à regarder leurs regards brillants et à penser à tout l’amour qu’il éprouvait pour eux.

Cependant, les prêtres étaient derrière lui et il devait avancer. Il détourna avec peine son regard de sa petite famille et observa tous les gens réunis. La plupart semblaient heureux. Surtout les plus pauvres et il s’en réjouissait au plus au point. Il devait y avoir longtemps que ces pauvres gens n’avait eu un repas suffisant.

Le Seigneur de Zirconie était conscient que de nombreuses personnes ici doutaient de sa légitimité au trône. Et il les comprenait. Lui-même en doutait. Il n’était toujours pas sûr de le vouloir, même si Sorenssen lui avait demandé d’accomplir ce destin des plus inouïs
Nombreux étaient persuadés qu’il n’avait que conquis le trône à la pointe de l’épée. D’autres auraient préférés remettre la couronne à une personne connue et déjà au service des empereurs. Fardall espérait se montrer digne de la couronne même s’il n’avait pas les droits qui se rapportaient au couronnement. Il désirait assurer un système plus juste et plus équitable pour le peuple et les seigneurs de Kalamaï, voilà pourquoi il comptait faire une annonce importante une fois qu’il serait arrivé devant tout le monde. Sur ces entrefaites, il reçut une missive du Palatin de Vénopole. Il ne l'ouvrit pas tout de suite, mais il la lut rapidement, sans que personne ne s'en rende compte et la remis dans sa poche. Il écrirait une réponse au Palatin plus tard. Il était déçu. Il ne désirait aucun hommage ni aucune reconnaissance de Seigneur Varatorn, mais il aurait aimé qu'il participât aux débats et au futur Sénat.

Le chemin se poursuivait à travers la foule, sur le tapis qui conduisait à l’estrade, il salua les seigneurs et les hommes qui constituaient sa garde d’honneur, bien qu’il n’en eu pas besoin. Il sourit à chacun d’eux, dont son fils et Dame Arianth qui étaient arrivés, Ardent, Simuel, Angelion et les autres. Il les remercia et les bénit en silence.

Lorsqu’il arriva devant l’estrade, il suivi le rituel et posa pied à terre. Le mari d’Hadawen laissa son cheval derrière et se mit à genou devant l’estrade, en attendant que le Grand Prêtre et son cortège y monte, puis, seulement alors il y monterait pour être à la vue de tous.

Luciole détourna le regard un peu vexée d'avoir été ainsi abandonnée, se retrouvant seul au millieux de gens déchainée, heureux,
sa lui donnait la nausée, surtout qu'après 3 nuit de jeûne voir autant de vivant lui donnait le tournit.

Elle trouva tant bien que mal un place pour s'assoir a l'ombre d'un arbre,
toujours vêtue de sa cape qui la recouvrait et cachait son visage des rayon mortel du soleil.

Qu'était elle donc venue faire ici, elle avait faim, se retrouvait seul, dans un endroit dont elle se moquait totalement sans parler de l'évènement !
n'ayant pas connu l'ancien empereur elle ne trouvait aucune raison de se réjouir, quel ennuis !

Le soleil tappait si fort...
Il y avait a peine du vent, même a l'ombre sous sa cape son corps la brûlait a certain endroit,
cette sortie avec adola devenait plus une punition qu'un plaisir...
Elle serait bien repartie mais elle ne pouvait pas repasser par les souterrains alors qu'elle ne les connaissait pas,
elle avait bien vu combien il y en avait mais c'était trop.

Ils hurlaient tous si fort elle qui aimait le calme, le silence quel supplisse.
La seul raison pour laquel elle était venue était partit et la voila coinsée au millieu de casse croute auquel elle ne peux pas toucher.
Tremblant un peu, elle se sentait vraiment mal, pas totalement remise du poison.