Le Banquet et le Couronnement de Sa Majesté Fardall 1er

Je pensais à une idée sur le moyen d'aider Kaomi, mais rien ne me venais à l'esprit. Je commencais à paniquer et à mettre en revisions tous les sorts que je connaissaits. Mais rien, le vide total. Je commencais à perdre espoir car je ne avais pas ce qui arrivais. Je murmurais quelques mots:

-Si au moins je savais ce qui ce passe.

Sans m'y attendre, une force me propulsa avec la demoiselle vers l'arrière. Je fut étonné de nous voir sortir de pétrin de cette facon, mais qui nous avais aidé à sortir de cet enfer? Je regarda à droite et à gauche sans succès, la seule choses que je voyais n'étais que des paysans qui appeuré nous regardais.

Elle me prit dans ses bras et me dit ses quelques mots:

-Vous êtes mon héros Nemuss, je vous serez éternellement reconnaissante, jamais je ne vous oublirai ! jamais !

Cette phrase me fit un peu chaud au coeur, mais pour le moment, il fallait plutôt penser à aller se sécher et à se raffraichir un peu. Mais pour le moment, ils valaient mieux se reposer.

-Je... je pense avoir de gros ennuis, même si j'ignore pour quoi et par qui... je dois voir le grand prêtre au plus vite !

-Je crois d'abord que nous devrions aller se rafraichir un peu et se changer un peu. Car je doute que mouiller comme nous le sommes, il acceptera de nous parler.

Je me leva et l'aida à se lever. Je détestais être mouillé au plus au point, mais je pus contenir ma rage à l'intérieur de moi. Je pris quelques bouffé d'air frais et j'attendis sa réponse.

Les paroles de Kaomi me laissèrent sans voix. Peut-être avais-je trop piétinés sur son espace et qu'elle me le disait gentiment. Bref, je me sentis un peu drôle face à cette déclaration. Elle se tourna et partit de quelques pas vers je ne sais où. Au moins, il fallait que je l'aide une dernière fois. Dans cette état, elle n'allait pas aller bien loin. Je commencais à me murmurer pour moi même.

-Bon, voici mon dilème. Sois je la suis encore ou bien je me retourne pour accepter sa décision.

Je sortis une piéce d'or et continua à me murmurer:

-Sois j'écoute mon coeur qui me dit d'aller l'aider encore une fois. Jusqu'au grand prêtre au moins, sois j'écoute mon âme qui me dit que je dois la laisser car elle risquerait sinon de devenir dépendante des autres.

-Donc, pile mon coeur gagne, face mon âme perd.

Avec un petit geste, je fis sauter la pièce qui tomba à terre.

-Face, mon âme perd, tant pis.

Je repris la pièce et m'approcha de demoiselle Kaomi, lorsque je fut asser près pour qu'elle m'entende, je lui disa avec un sourir:

-Si vous pensez vous débarasser de moi aussi facilement, vouv vous tromper. Je vais continuer ce voyage avec vous tant que vous n'aurez pas trouver votre voie ou ce que vous chercher. Car n'oublier pas ce que je vous ais dit sur le toit, je vais t'aider même si cela prend une éternité...
Disons quelques années pour vous et quelques siècles pour moi.

Je vis qu'elle commencait à trembler de froid. Il faut dire que j'avais frois aussi, ais que vu que je n'avais pas tombé dans l'eau, je n'étais pas tout mouillée.

-Je pense que la meilleur choses à faire avant que vous me disiez votre réponse serai d'aller dans un auberge... chez vous aller vous changer ou aller boire quelques chose de chaud dans un bar au taverne de coin.

La journée ne faisait que commencée, le soleil était encore bas et l'air encore frais, rien ne présageait que cette journée pourrait changer l'histoire de toute une province de l'empire, la grande Vénopole. Un émissaire nain arriva tôt dans la cour avec la ferme intention de ne pas repartir sans avoir vus un représentant de l'empire quand bien même l'empereur lui même. Le nain s'avança vers un garde et lui dit d'un ton assez amicale, étant donné que le garde ne montrait aucun signe d'hostilité :

"Bonjour mon ami, saurait tu ou je peut faire une demande d'audience ?"

Le garde répondit :

"Bien sur mon seigneur, vous prennez la première coursive à droite en partant de là ou vous êtes et demandez au garde de vous annoncez.
Bonne chance !"

Après avoir remercier le garde, l'émissaire emtreprit le petit périple décrit par le garde pour arriver devant une porte gigantesque gardée par tout un peloton. L'émissaire dit au plus haut gradé :

"Bonjour soldat, pourriez vous m'annoncer au près de notre empereur ?
Si le phénix est trop prit je te prit de me rediriger vers l'un de ses représentants, merci d'avance."

L'émissaire donna son nom complet pour se faire annoncer et attendit patiemment qu'on lui dise ou aller et avec qui, il allait s'entretenir.

Le Démon était arrassé, il s'était retrouvé peunot devant l'Empereur sans aucune réponse possible simplement car il avait été utilisé comme simple Pion par sa Thaumaturge, en accès de rage bien que personne n'était là, il poussa un cri à en vous en faire mourir de peur. Après un court instant des gardes rappliquaient en sa direction en le menaçant d'hallebardes, ce qui l'amusa au plus haut point. Le plus courageux des 6 gardes présents ce mit devant lui en le menaçant de partir sans même être exécuté, et ne voyant qu'un soupçon de plaisir suite à cette menace dans le regard de l'Ancien Mage, le garde commença à planter son arme dans le poitrail du Démon mais ce n'était qu'une attaque vaine puisque la simple main de l'Infernal arrêta l'attaque et rigola à haute voix en déclarant :

- Tu es courageux petit homme, dommage que ce soit la seule chose que tu aies...

A peine la phrase prononcée que l'arme se retourna contre l'assaillant et que deux de ses confrères partit en hurlant de peur sachant pertinemment qu'il n'était pas de taille face à la Bête qui se tenait devant eux ! C'est alors qu'il n'en restait que trois soldats devant lui, une simple grande baffe à deux au niveau de la tête suffire pour les mettre à terre et les empêcher de se relever simplement par le poids de leurs armures. Et il n'en restait qu'un seul, le pauvre, l'Infernal voyait la peur trahir la garde qui s'efforçait de tenir...

Dans un effort de "bonté", l'Infernal lui dit :

- Frappes moi en premier, il faut bien que tu fasses quelque chose avant de mourir de façon déshonorable... Allez petit Homme... Essaies de me frapper... FRAPPES MOI ! MISERABLE !

Le Puissant Démon s'approchait de l'homme en répétant cette phrase de plus en plus fort, poussant l'Homme à s'énerver mais qui au contraire avait de plus en plus peur devant une Créature aussi sûre d'elle et il fuya en un cri de frayeur et l'Infernal n'avait que confirmer déjà l'idée qu'il avait des Humains, ou Hommes, peu importe, il était tous et toutes les mêmes pour lui : des cibles à éliminer !