Le Banquet et le Couronnement de Sa Majesté Fardall 1er

Varatorn regéna sont épée et il dit :

Dans les ténèbres j'amène la flamme. A l'ignorant j'amène la Foi. Ceux qui accueillent ces dons vivrons, mais mort et damnation seront mes seuls présents à qui les refuse.

Varatorn sifla et sont DrAgon d'Or désendit du toit plongea en fléche dans la foule et fit tomber les payans, serviteur et même des garde impérial.
Varatorn monta sur son Dragon et dit :

Traitre, ces vous les hérétique c'est vous les blasfemateur les flamme de la damnation eternel ne seront rien face a la mort que vous reserve votre destion que les dieux et pitier de vous car j'en aurai aucune.
Quand a vous Ardent j'attend avec impatience notre prochaine rencontre.

Varatorn donna un coups de pied a sa monture qui decola sa garde le rejoin et au moment du départ les Dragon volère bat si bat qu'il frollère les toits du Palais et il ce mire a prendre de l'altitude quand il quittère le Palais Impérial.

Futile, c’est tout ce dont il est… dit t il en secouant la tête
Des gardes arrivèrent au niveau d’Arzhùl
Garde allez quérir des soigneurs pour ces pauvres gens.
Il tourna la tête vers Ardent
Je crois que Vénopole vient de nous déclarer la guerre…Mes cela est une autre histoire !
Par les Dieux, j’ai une faim de loup, je mangerais un dragon… il y avait une petite subtilité d’ironie dans ses mots
Seigneur Ardent, asseyez vous et festoyons en l’honneur de Kanderak et ses frères !
Sysk’o s’était réassi lui aussi, le repas commença.

Alors que je quittais la salle où le couronnement avait eu lieu pour me rendre dans les jardins où des tables avaient été dressées pour que les personnes puissent diner, je vis un combattant se comporter de manière plus qu' odieuses envers des serviteurs du palais, j'en releva un en passant devant lui, puis après m'être assurer qu'il n'était pas blessé, ce qui avait eu l'air de le surprendre (sans doute n'était il pas habitué que l'on fasse attention à lui), je me dirigea vers ce personnage.
Je le voyais menaçant, il avait tiré son épée et se tenait face à un valeureux combattant dont j'avais entendu parler mais jamais rencontrer. Visiblement il ne tombait pas d'accord et le premier avait l'air de remettre en question l'Empereur. Puis vint le Grand Inquisiteur qui mit fin à la dispute et le sombre personnage parti.

Je n'eus pas le temps de prendre part à cette virulente altercation car il était difficile de passer au vue de la foule qui fuyait.

Lorsque j'arriva au centre de l'action, j'entendis le Grand Prêtre pester contre le sombre combattant qui était visiblement Palatin de Venopole, ce qui était un comble.

Puis essayant de détendre l'atmosphère je demanda au Grand Prêtre

Vous vouliez du dragons Grand Prêtre et bien peut être que les cuisiniers peuvent vous en préparer.
Mais je vous prévient j'ai entendu dire que c'était une viande un peu dur.

Puis marquant une pause en esquivant un sourire, je déclara

Mais vous avez raison l'heure est plutôt à la fête pour ce joyeux couronnement. Mais je suis sûr que dès demain cet événement sera traité comme il se doit.

Et puis les dragons sont trop nobles pour finir dans une assiette.
Au lieu de resté là debout, venez plutôt vous assoir.
Des serviteurs amenèrent les premiers plats.
Je sens qu’on va se régaler. Dit t il en s’humectent les lèves, le plat devant lui
Pour répondre à votre question, Arzhùl avait la bouche pleine de poulet frits, cet évènement sera traité le plut… *quinte de toux* il en avait oublier de mâché et commençait à s’étouffé, le visage d’Arzhùl s’empourprais, puis après quelques tapes dans le dos, le mal passa et laissa place aux rire. Donc je disais, cet évènement sera traité le plutôt possible. Cela se traduira sûrement devant le Haut Conseille de la Sainte Inquisition ! il n’y avait plus de place aux rire après ses paroles

Je m'étais assis au coté du Grand Prêtre et de Fardall à table où les serviteurs se suivaient pour apporter les plats les plus raffinés et les alcools les plus délicieux.

Puis après avoir entendu ce haut Dignitaire de l'Empire annoncé un possible jugement devant le Haut Conseille de la Sainte Inquisition je ne pouvais qu'avoir froid dans le dos pour lui. Car si les dires étaient exact il risquait un véritable supplice bien que ce qu'il avait dit était inqualifiable et il méritait bien une sanction.

Vous avez tout a fait raison un tel crime ne doit pas rester impunis, cependant je pense si je peux me permettre qu'il faudra aussi du temps pour juger une telle affaire

Marquant une pause j'essaya de jauger l'expression du Grand Pretre

Je pense en effet qu'il faudra du temps pour remettre sur pied les Institutions de Kalamaï. Mais peut être que cela a deja été envisagé depuis longtemps

Sur ces mots je pris une coupe de vin elfique que me tendis un serviteur. Puis je me leva de la table, tendis mon bras pour lever ma coupe afin de porter un toast

Vive l'Empereur Fardall et longue vie à lui et à sa famille

Je bus alors quelques gorgées de cet merveilleux vin liquoreux

Un carrosse laqué de gris s’arrêta devant le palais. Le cheval brun à sa tête frétilla quelques peu. Prestement, le conducteur sauta de son siège malgré son âge avancé. Il sortit les marches de bois et ouvrit la portière. Au travers du voile de la fenêtre, Kimri regardait les lieux qu’elle n’avait pas visités depuis bien longtemps. Des feuilles de toutes sortes formaient une tiare verte argentée dans sa chevelure dorée qui ruisselait jusqu’à ses épaules.

Elle sortit et remercia l’homme. Sa main gauche appuyée sur le cadre de la portière brillait d’un bracelet de pétales orange. Son autre main décorée au poignet d’un simple cercle de bois relevait la jupe de sa robe, colorée d’un jaune paisible et léger. Des grands traits de bleu et de blanc, larges et arrondis d’un bout et pointu de l’autre, décoraient le devant de la tunique, de la taille jusqu’à la poitrine où l’emblème des Mains Ardentes de la Maison de Guérison était brodé vers la gauche. Un torque complexe aux couleurs du chêne pendait de son cou. Autour de la taille il y avait un large ruban vert bouclé sur le côté par une boucle à l’emblème de Folaniss. L’épaule de trois couches de tissu arborait une broche chevalière avec les hauts arbres ombragés et les étoiles des Toits Infinis.

Kimri se dirigea légèrement vers la cérémonie. Elle se savait en retard, mais elle n’allait pas manquer le couronnement d’un des compagnons d’armes de la Deuxième Croisade.

La Grande Prêtresse Guérisseuse arriva à temps pour assister à une partie des serments du nouvel empereur, puisse-t-il mener Kalamaï vers le mieux. Par après, ses oreilles pointues durent à plusieurs reprises s’ouvrir bien grandes pour entendre l’essentiel du discours aux moments où les acclamations se firent hautes et fortes.

Elle resta malgré la fin de la cérémonie, espérant discuter avec quelques invités entre quelques bouchées. La nourriture de la Maison n’était pas mauvaise, mais ce n’était pas de la toute la meilleure. Ce n’est qu’avec la frénésie nouvelle qui animait la foule qu’elle se rendit compte que quelque chose tramait. Avec quelques paroles échangées par-ci et par-là – sa taille ne lui permettant pas de voir au-delà des épaules et des têtes que là où il y avait des gnomes, des fées et des nains – la Conseillère put connaître la situation.

Oh non… murmura-t-elle avec désespoir. Partout et n’importe quand… Elle ne s’était pas du tout attendu à assister à de la violence quand elle était partie se changer. Tout ce qu’elle voulait, c’était assister à un évènement joyeux. Je suis habillée pour un évènement formel et joyeux moi !!

[hrp] IRL je ne savais pas qu’il y avait une confrontation non plus. :P [/hrp]

Une des particularités de la compagnie Ardente était son organisation. dès que les dragons aient passés en reversant les gens, ne laissant aucun blessé grave car leur but était de bousculer et non de tuer, les soldats ayant reçu une formation de soigneur allèrent aider ceux dans le besoin. Ardent, qui depuis la suite des événements frottait son pouce sur la lame su sabre en murmurant, remarqua enfin la compagnie d'un elfe noir et de la maîtresse des guérisons, la belle Kimri. Elle s'était fait particulièrement jolie pour l'occasion et Ardent était assez près pour capter ses paroles.

Ne vous occupez pas des blessés et venez festoyer avec nous. Mes hommes s'y connaissent un peu en guérison et ils transporteront les plus nésseciteux de recevoir des soins à la maison de guérison, où d'autres gens pourront s'en occuper.

Il éprouva de la difficulté à rengainer sa lame. Il sentait que l'acier avait besoin de quelque chose. Du sang fut la première chose qui lui vint à l’esprit. Le mercenaire Nathaniel ne devait jamais avoir rengainé sa lame sans lui avoir fait goûter à du sang. Il poussa le sabre avec toute sa volonté et réussi après quelques secondes qui lui semblèrent des heures à faire entre la lame dans son fourreau

Tant que tu sera avec moi, le sang ne coulera pas pour rien... pensa-t-il

L'elfe avait parlé de quelque chose avec le maître inquisiteur, mais il n'avait pas entendu ce qu'ils se disaient. Puis, il prit un verre de vin et dit:

Vive l'Empereur Fardall et longue vie à lui et à sa famille

En sortant de la torpeur que la lame lui avait causée, il rajouta, en prenant le même breuvage que l'elfe avait pris:

Longue vie au protecteur de la lumière! Que tous les dieux le bénisse et lui accorde la longévité de 100 hommes! Que son règne soit rempli de joie et de bonheur et que la paix règne sur l'empire longtemps après ce merveilleux jour!

Il but d'un trait son verre, et attaqua son repas tout en attendant qu'une personne avec lui commence à lui parler, préférant laisser les autres parler le premier, car il n'avait jamais été très bon pour amorcer une conversation sans parler de stratégie ou de faits d’armes dès le départ.

Je fus ravi d'avoir été suivi pour ce toast cela évitait entre autre d'avoir l'air trop ridicule et de subir un désagréable moment de solitude.Puis après m'être rassis je commença à savourer de délicieux plats des viandes, des poissons, des légumes, certains plats m'étaient inconnus et pourtant je pouvais me vanter d'être un gourmet connaissant la nourriture. Cependant j'avais aussi connu de longue période où je ne mangeais que très peu car lors de missions lointaine il ne fallait compter que sur mes quelques provisions qu'il fallait rationner mais nous n'en étions point là. C'était l'heure de la fête, mais sans doute une période de paix entre 2 guerres, mais c'était malheureusement la triste histoire. Maintenant il fallait profiter du présent.
Je mâcha une part cuisse de gibier que j'avala, puis m'adressa au combattant qui était attablé avec moi j'engagea la conversation.

Excusez moi Seigneur mais nous n'avons jamais été présenté il me semble. Je me présente Adola, Patriarche des Plaines Perdus.

Puis marquant une courte pause je me souviens d'un événement qui avait eu lieu juste après la guerre. Un événement dont j'avais pris légèrement part en prenant la parole car je ne souhaitait pas que l'on mette à mort un homme sans un procès équitable.

Par contre je vous ai déjà aperçu par contre il me semble récemment lors du procès du mercenaire Nathaniel il me semble. Vous aviez parlé avec votre cœur il me semble et cela est rare.

Je suis désolé de mon manque de politesse... Je suis Ardent de Montfort, enfin, des ruines de Montfort... Mon royaume fut détruit par le passage de l'armée impériale lors de la dernière guerre. Je suis chevalier de profession et, au train où vont les élections dans ma corporation, je sera vraisemblablement le prochain maître de celle-ci.
Le visage du patriarche lui revint en mémoire. lui aussi avait voulu protèger Nathaniel, bien qu'il l'avait voulu d'une manière moins drastique que la sienne.

Je me rapelle de votre visage maintenant. Vous y étiez je crois? Vous devriez avoir compris qu'avant j'était comme le mercenaire, mais qu'il m'a rendu meilleur? C'est pour cela que j'ai parlé avec la force de mon âme. Cela fait parti de mes principes de rester le plus honnete possible Lorsque je parle à des gens. Mais parfois, dans le noir au milieu de la nuit, je crains de redevenir l'homme que j'ai été...

Mais cela est du passé maintenant. Je vais essayer de toute ma volonté à rendre Kalamaï meilleur, et je réussirai.

Invité

Le manque d'animation commençait à manquer pour le guerrier qu'est Vorin alors le maître nain regarda une dernière fois le palais et sa cour puis il repartit comme il était venus après avoir salué les hommes avec qui il avait lié amitié pendants les quelques heures précedentes.

"Mes amis je vous quittent, cette cérémonie est bien mal faite, mais bon que cet empereur veille au grain et les loups seront loins espérons le. Alors au revoir et à bientôt je l'espère."

Le nain salua aussi les gardes de l'entrée ce qui les amusa, il n'était pas de coutume qu'un seigneur viennent les voirs uniquement poiur leur dirent au revoir mais bon pour Vorin la politesse est signe de respect et de sagesse, donc il salua tous ceux avec qui il avait échangé quelques mots.
Il faisait beau et l'air était frais, le nain pensa que temps qu'il était au palais autant en profiter pour faire un tour dans le jardin impériale.
Tous ceux qui y avaient été lui avait raporter la magnifiscence des fleurs et la beauté des fontaines, Vorin etait curieux alors une fois dégrisé, le nain prit la poudre d'escampette en direction de la sortit pour rejoindre le jardin impériale.

Kimri remercia Ardent avant que celui-ci s'en aille discuter avec un autre. La cérémonie tirait donc bien à sa fin, comme les convives s'en allèrent petit à petit. Elle fit ce qu'elle put. Elle discuta avec quelques invités et mangea quelques bouchées.

La prochaine fois, se dit-elle, il faudra que je parte plus tôt, quitte à refiler du travail à Sirop...

Après les quelques mots du Seigneur Ardent j'essaya de le rassuré

Le passé est le passé et je crois que n'importe qui peut se réinsérer et se racheter c'est ce que pense également l'Empereur il me semble.

Puis sur ces mots je vida mon verre et me leva. Déjà un bon nombre de personnes étaient partis car les festivités touchèrent à leur fin visiblement.

Je vais vous laisser, j'ai passé un agréable moment en votre compagnie et j'espère vous revoir. Je vais encore faire un petit tour parmi les trainards qui sont encore dans les jardins puis je pense que je vais faire en rentrant tranquillement.

Je me leva de table et salua les personnes. J''arpentais les jardins à la recherche de Luciole qui était avec moi au départ mais qui n'avait pas donné de signe de vie. peut être était elle rentré dans notre repère qui sait. je fis une dernière fois le tour, puis je décida que si je ne le voyais pas je rentrerai.

Bien que tous lui avait dit de rentrer elle était restée silencieuse, les laissant s'éloigner sans un mot, restant assise au sol, comment pouvait elle laisser transparaitre tant de faiblesse, c'était indigne d'elle !
Luciole se releva mais ils avaient déja disparut dans la foule, la voila de nouveau seul, que faire, la soif, la fatigue, même un peu de peur...
sa main gauche tremblait plutôt fort.
Elle ne devait pas faire de scandale ou mourrait dans la seconde, mais elle s'était aussi engagée; elle était une comtesse vampire, quel image médiocre donnait elle d'elle même?!
Il faisait si chaud sous cette cape qu'elle ne pouvait enlever, un peu de fraîcheur, un nuage, n'importe quoi...

Décidée de montrer qu'elle pouvait se contrôler, elle voulait attendre adola, lui prouver qu'elle n'était stupide et inutile !
Vampire ou non elle était encore jeune et n'avait pas un si grand pouvoir que d'autres vampire aussi présent, elle avait un masque qu'elle devait constament garder pour se protéger des prédateur plus puissant, mais c'était tellement épuisant.
Devoir être quelqu'un d'autre pour se protégé, un vampire est ainsi ains et ainsi alors elle était presque obligée de l'être !
Le temp semblait si long, suppliant son dieu de le faire revenir au plus vote pour pouvoir partir, refusant de le faire sans le conseiller.

Haletante et recrocvillée dans un coin sombre fuyant le soleil, dans cette endroit maudit, dans lequel elle était venue pour uniquement être en présence d'adola et qui sais peut être lui faire plaisir...
Ou du moin essayer !
Luciole voulait que le conseiller comme le nain qui sais puisse, l'estimer, cela la changerais qu'on ne la déteste pas.

J'avais presque fini de faire le tour du jardin pour la deuxième fois que je vis au loin une silhouette qui me sembla familière. Je m'approcha un peu plus afin de vérifier si ma vue n'avait pas été troublé par quelques uns de ces vins et cervoises qui avaient coulé durant tout le banquet. Mais non rien de cela, ma vue d'elfe avait eu raison et c'était bien Luciole que j'aperçus. Elle n'était pas rentrée comme je lui avait conseillé, mais ça ne m'étonnait pas d'un coté car il me semblait qu'elle voulait montrer une image d'elle forte et valorisante, qui ne s'écoute pas même confronté à des obstacles où beaucoup aurait abandonné. Je l'avais déjà remarqué avec le guérisseur.

Je m'approcha d'elle, elle avait le dos tournée à moi et recroquevillé. J'arriva donc dos à elle. Je me dirigea vers sa gauche puis m'assis en silence comme sait le faire un assassin. Elle n'avait rien remarqué visiblement, c'est alors que je lui pris la main. Cette main si douce mais qui était tellement glacée mais aussi crispée. Visiblement elle ne me semblait pas au plus haut de sa forme, mais elle avait tenu durant toute la cérémonie.

J'eus l'impression qu'elle ne fut pas surprise que quelqu'un lui prenne la main. Peut être avait-elle reconnu ma main ou bien mon odorat car les femmes étaient et sont toujours réputé pour détecter la moindre odeur bien que j'en doutais avec tout le monde qui avait été présent.

C'est alors que je m'adressa à elle

Je vois que tu es resté jusqu'au bout, cela à dû être un véritable supplice pour toi vu ton état et vu aussi ton intérêt pour la politique en général.

Je marqua une pause et réfléchissant je me disais à moi même que sur ce point nous étions différents. Elle ne se préoccupait guère de politique et moi j'étais Conseiller de la Corporation de l'Ombre et je venais d'être nommé Magistrat des Institutions Impériales une haute fonction dans l'Empire de Kalamaï. Mais cette divergence ne devait pas nous empêcher de nous voir et ne devait rien cassé.

Après cette pensée je lui demanda

Souhaites tu rentrer dans le repère de la Corporation afin de pouvoir se reposer. J'en profiterais également pour mettre à jour 2 ou 3 petites choses que je désire faire rapidement.

Je vis que cette réponse ne lui plu pas au plus haut point, je m'empressa donc de rajouter

Mais cela ne presse pas, nous pouvons également nous accorder un moment de répit et de calme.

Un soldat de la compagnie ardente alla à la table à laquelle le maitre inquisiteur et leur commandant étaient en train de manger. Avec un grand sourire, il s'approha d'eux, avec un pas rapide qui convenait aux messagers.

Ardent, dit-il, Les hommes sont près à partir. Un messager de la corporation des combattants nous a demandé de vous porter cette missive.

Spoiler:

Il se mit à rire. Tout en donnant la missive à son compagnon de table pour qu'il puisse comprendre son hilarité, il demanda à ses hommes:

Qui a voté pour moi? Je suis curieux de qui me soutient et qui ne veut pas de moi.

Nous ne savons pas exactement qui à voté pour vous, mais votre écuyer, Gill, à voté pour vous à votre place et vous êtes soutenu à 75% des membres.

Merci Beltan. Nous partons bientôt.

Il se tourna vers le grand-prêtre de la corporation des cultes, qui lui tendait sa missive ayant fini de la lire. En la récupérant et en la rangeant dans une pochette à sa ceinture, il lui dit:

Je suis désolé de vous laisser seul, mais la journée est encore longue et je vais être promu chef de corporation, comme vous il y a un certain temps.

Je vous souhaite une longue vie et nous allons assurément nous revoir, car les grands esprits finissent toujours par se rencontrer. Puissiez vous trouver le bonheur partout.

Il quitta la salle suivi de ses hommes.

Elle sentit une main chaude doucement venir prendre la sienne, le son du battement de se coeur,
son odeur, la température de son corp, ce ne pouvait être qu'adola.
Doucement je tourna mon visage pâle vers lui et l'écoute parler, j'était un peu a l'ouest,
ayant bu de la servoise pour essayer de calmer sa soif de sang en l'attendant !

"Tu... m'avais demandé de venir... alors je... suis restée...
Mais si... tu rentre alors moi aussi"

se relevant tant bien que mal, mais se colla a lui

"il me font si mal... le soleil est trop fort aujourd'hui..."

espérant se cacher de celui ci dans les bras d'adola, bien qu'elle n'ai techniquement aucun ami,
aucun rattachement elle se sentait en sécurité dans ses bras, elle n'avait jamais,
jamais connu un telle moment de repos que de se mettre dans les bras de quelqu'un et de s'y sentir protégée.

"ma peau me brûle, mes vêtements me brûle, je ne les supporte plus"

Puis une fois qu'il commenca a marcher vers les souterrains elle le suivit, non sans peine,
mais soulagée de partir santant bien qu'au final il n'était pas vraiment heureux qu'elle l'ai attendut jusqu'au bout.
Une fois retournée dans l'ombre des souterrain elle commenca a être soulagée

Je tenais Luciole par la taille tendis qu'elle avait passé un bras autours de mes épaules, cela lui permettait entre autre de pouvoir s'appuyer sur moi et ainsi ne pas avoir trop à puiser sur ces forces. Nous longeâmes l'aller afin de se diriger vers le portail principale afin de regagner l'avenue principale de la ville. Il y avait de moins en moins de monde dans les jardins, il faut dire aussi que le banquet avait durer longtemps et les gens rentraient chez eux petit à petit.
Nous arrivâmes devant le portail toujours garder par les gardes impériaux qui avaient l'air moi active qu'au début de la cérémonie. Il continuait cependant à contrôler. C'est alors que l'un d'eux s'avança vers moi puis déclara

ni épée ni arc, déposé vos armes

J'étais relativement étonné puis je lui répliqua:

Je veux sortir donc de un si vous avez bien fait votre travail je n'ai pas plus d'arme en entrant dans le palais qu'en en sortant.
Deuxièmement je veux sortir et donc ce n'est pas en étant à l'extérieur de l'enceinte du palais que je risque de mettre en danger l'Empereur.
Troisièmement vous m'avez l'air d'avoir abusé d'un breuvage ce qui vous rend peu réactif pour faire face à un potentiel danger, on dirait qu'un simple souffle pourrait vous faire tomber.
Et pour finir je suis avec une personne qui a besoin de repos donc je vous prierais de me laisser passer immédiatement.

Je n'étais pas convaincu que ces paroles allait le calmer car j'avais été plutôt humiliant mais face à cette bêtise je ne pouvais faire autrement.
Je vis alors des gens qui observait la scène commencé à pouffer de rire ce qui allait avoir le don d'accentuer le ,problème que je venais de créer et je vis aussi le garde qui virait un peu plus au rouge, enfin si cela était possible vu son teint viticole.
C'est alors qu'un gradé arriva et nous fit signe de passer le garde se figea comme un piquet pour se mettre au garde à vous.

Cette intervention nous permit de passer un peu plus vite et d'éviter de rentrer en conflit avec ce garde.

Nous longeâmes pendant un petit moment l'avenu puis prime une petite rue sur notre gauche et rentrâmes dans une maison qui abritait l'entrée d'un passage souterrain. pour l'ouvrir je prononça quelques vieilles paroles elfiques.

J'allais partir lorsque je vis 10 dragons autours du lieux de banquet. Ce fut une surprise pour moi de ne pas voir de soldats s'occuper de ca avant le banquet ou bien pour l'entrée. J'étais trop loin pour pouvoir intervenir. Je me tournais donc vers Kaomi. Je pensais que le moment serait bien utilisé pour aller voir le banquet et aider les paysans ou les nobles.

Je vis une choses qui me térrifia de tout mon coeur, un des dragon fonca vers le peuple et se renvolla avec un homme sur le dessus. J'utulisa un petit sort de vision pour mieux voir l'homme et pour me rappeler de son visage. Lorsque je le verrai, je lui ferai payer ce qu'il vient de faire.Les secours vinrent au plus vite et la fête reprit de son plein.

Je regarda Kaomi avec aisance, enfin elle pourra parler avec le grand prêtre. Je me tourna vers l'arrière et fit quelques pas. Je pris une craie et fit quelques symboles à terre. C'étais utile pour mieux avoir de facilité avec le sort. Surtout avec la fatigue du après sort. Dès que je fus certain de mes symboles, je regarda Kaomi et lui dit:

-Demoiselle Kaomi, nous allons partir si vous le voullez encore. Nous allons atterrir près de cette fontaine, il ne faudrait pas que le monde me voyent. Il pourrait penser à plusieurs choses et même appeler la garde.

J'allais arrêter de parler lorsque quelques choses que j'avais oublié de mensionner me vint à l'esprit.

-J'oubliais, ne dites à personne que je suis un magicien et surtout pas mon nom, appeler moi par Némuss. Je veux garder mon nom inconnu encore un peu. Je vais encore rester prè de vouys si vous le voullez encore.

Invité

Une fois bien reposée l'elf vit quelque chose a la fête,
plongée dans mes pensées je ne remarqua rien avant que le dragon ne
s'envole dans le ciel, j'eu peur et me releva rapidement

Pauvre homme

Effrayée je me sentit mal de n'avoir pu rien faire, je soignais bien,
je faisait parfois même des miracles mais la j'était impuissante !
Il dessinait sur le sol, que faisait il encore comme chose farfelue ?
timidement je m'approcha, apparament il comptait partir avec ces drôle de symbole

Euh... bien

Puis sa requête m'étonna, ne pas dire son nom, mais pourquoi avoir risqué.... pourquoi me l'avoir dit?
Peut être les gents me faisait plus confiance parce que j'était une prêtresse,
ou simplement parce que j'avais l'air faible.
Me tuer pour me faire taire ne serait dur...

Bien Nemuss si cela est votre désir je le respecterai sans poser de questions

M'approchant un peu plus je souris tendrement, touchée par la bonté de cet elf.
Une fois encore il allait m'aider a approcher le grand prêtre, mais...
Etais je prête? je n'était pas spécialement habillée comme certain de perle ou d'or.
Voudra t il seulement parler a une petite prêtresse en fuite comme moi?
J'avait peur mais je devait le voir, même si il ne répondait pas a mes questions,
sa présence me soulagera d'un poid, de par sa grandeur il apporte la sagesse,
c'était les mots de ma cher mère adoptive.

A... Allons y

Nerveuse a nouveau je m'accrocha fermement a lui, du moin avec mes petites force.
Je ferma les yeux doucement et attenti simplement pour rouvrir les yeux.

Vers la fin du festin, un serviteur amena une missive au Seigneur Gorbad.

Seigneur, je vous apporte une missive du Sénat, il mon fait dire qu’elle était importante et urgente. Après un salut dans les règles, le serviteur s’en alla.
Mon ami Sysk’o, dit t il tout en lisant, je crois que ce banquet est finit pour nous. Il leva la tête vers son destinataire, nous devons nous rendre au Sénat, on dirait que notre ami Palatin a encore fait des siennes… Sysk’o fit un signe approbateur de la tête.

Les deux hommes se levèrent.
Messieurs je vous salut, le devoir nous appelle au Sénat et nous nous devons d’y répondre.
Si vous me cherchez faites le savoir à la par le biais de la Sainte Corporation. Sur ce, bonne fin de repas à tous.

Les deux hommes partirent en direction de la sorti du palais, et le reste de l’escorte les rattrapèrent.

Je regardais l'endroit où nous serions tantôt. Ca risquais d'être dur dût à la porté de mon sort, mais grâce à mes dessins sur le toit, ca allait être moins essoufflant. Je mis mon bras autours d'elle et commanca mon incantation. Nous disparumes dans la brume.

Nous sommes réapparu près de la fontaine là où je l'avais indiqué il y avais quelques minutes. Je regardais à gauche et à droite pour voir si nous étions pas pris dans l'espace temps. Il me semblait que non. Je chuchota alors à Kaomi:

-Nous sommes arrivé à destination et ne vous en faites pas, vous ne pouvez pas tomber plus bas que la terre elle même.

Je fesais référence au toit bien entendu. Je regardais du côté du grand prêtre, mais àmon grand désarroi, il avait disparu avec sa troupe. Quelques gardes était rester, mais la fête étais presque fini. Les gens partaient dans leurs demeure ou bien plus loin.

Je sentis sur mon bras une grande douleur. J'avais compris, un malheur arrivais ves nous. Il me cherchait encore. Même depuis que j l'avais vaincu, il continuait à avancer. Seul, je n'y aurais pas pris attention, mais avec Kaomi. Cela allait être plus dur. Tant pis, continuons plus tard. Mon compagnion, une chouette vint se poser sur mon bras. Je lui avais demander d'aller regarder le grand prêtre. Après quelques petit cris de celui-ci, je regardais Kaomi et avec un regard désespéré, je lui annonca:

-Je crois que notre grand prêtre n'est plus là. Il est parti au sénat. Je crois que nous avons une nouvelle route à prendre. Alors c'est à vous de choisir, dois-je vous suivre, vous attendre ou bien continuer mo chemin?

Fardall mangeait à une table avec Arzhùl Gorbad et Adola. Il lui parla de sa nouvelle fonction. En effet le Gouverneur Sirias lui avait demandé de devenir Magistrat des Institutions au Sénat, puisqu’il était en très bonne relations avec les corporations et avait ses accès un peu partout. Il avait accepté rapidement. Fardall n’appréciait pas particulièrement les assassins et les gens voués à des métiers douteux, mais le Conseiller de la Corporation de l’Ombre dégageait une personnalité forte et entreprenante, exactement ce qu’il fallait pour ce poste.

- Au fait, si vous pouviez m’envoyer votre Spadassin, le Seigneur Graubuust, j’aimerais bien discuter de la Corporation avec lui, il est parti avec un empressement certain tout à l’heure.

Puis, il vit un homme, le Palatin de Vénopole, qui lui semblait assez impulsif. Celui-ci commença par pester à son endroit et le traitant d’hérétique puisqu’il ne possédait pas le sang impérial. Il ne parla pas au début, laissant le Sieur Varatorn vider son sac et alors qu’il vint pour répondre, le Pontife s’exclama et parla à sa défense. Une violente discussion s’en suivit, au moment où les dragons du Palatin se dévoilaient. Ils étaient certes féroces, mais facilement maîtrisables par l’armée en garnison dans la ville, cependant cela ne se ferait pas sans de douloureuses pertes civiles.

- Je vous ferais remarqué messire, que je n’ai encore pas eu la chance de faire mes preuves que vous m’attaquez déjà de vos remarques. Je ne suis pas un hérétique puisque j’ai servi toute ma vie sous la bannière des dieux et ai lutté pour leurs volontés. Le sang impérial n’est rien, si le cœur et la tête d’un bon souverain ne s’y ajoutent. Feu Enguerrand n’avait pas plus de sang impérial que moi-même, et il a obtenu le trône par complot et assassina alors que seul était prévu l’exil d’Évalia. Il y a longtemps que devait être divisé le pouvoir des derniers empereurs.

Le Palatin finit par s’envoler et ainsi clore cette conversation, au soulagement de plusieurs. L’Empereur vit Adola les quitter avec politesse et s’éloigner. Au loin, il le vit quitter avec une femme, mais cela ne le regardait pas et il se détourna pour annoncer son départ au Grand Prêtre.

Le fils d’Igardal salua tous ses compagnons d’aventure et la foule qui s’amusait toujours parmi le festin des plus délicieux. Aucun reste ne se trouverait sur les tables le lendemain, pensèrent les cuisiniers. La fête se poursuivit jusqu’à la nuit, où les gardes invitèrent la foule à s’éloigner et à regagner leurs logements aidant quelques soudards. C’est à ce moment que le Pontife se leva avec sa délégation, apparemment le nouveau Gouverneur n’avait pas perdu de temps et une session du Sénat avait du commencer, du moins pour quelques mises au point.

Invité

Je rouvrit les yeux et regarda autour de moi, mais le prêtre n'y était plus et Nemuss me confirma.
A la fois triste et soulagée je baissa les yeux , pensive.

Peut être ne devais je pas le rencontrer aujourd'hui, c'est le destin qui en a décidé ainsi.

Tout me semblait si suréaliste dans cette fête, comme si les images des gens condolait devant mes yeux.
Je me tint la tête doucement, reprenant son souffle qui se trouva être court, presque haletant.
J'entandais un légé murmure près de mes oreilles sans savoir dire se qu'il disait ou de qui sa provenait.
J'avais un légé vertige, ne me sentant pas très bien.

Veillez m'excuser un instant

Je m'avanca alors vers la fontaine pour me refraichir le visage, mais je vit dans l'eau quelque chose d'étrange,
rapprochant mon visage, je resta immobile a fixer la surface de l'eau.
Tout semblait bien se passer jusqu'a sentir une force m'attirer vers l'eau,
je voulu sortir la moitier supérieur de monc orps de l'eau mais quelque chose comme invisible m'y maintenait.
Pourvu que quelqu'un me vois et m'aide, Nemuss sauvez moi encore.
Me débattant un peu, j'eu comme une vision effrayant.
L'eau semblait bouilloner, surement un mauvais sort

J'attendais tranquillement en marchant un peu.

-Enfin un peu de repos.

Elle était partit prendre un peu d'eau ou je ne sais quoi. Je pensais à l'après. De ce qui allait ce passer avec moi, où je devais aller maintenant et comment me rendre. On peut dire que j'étais dans les nuages. Penser était pour moi une choses que j'adorais faire même si des fois, je ne reprennais la réalité que vers la nuit.

Mais, aujourd'hui, ce n'était pas comme d'habitude. Je recu de l'eau, pas un peu, beaucoup. Je me tournai donc vers la fontaine. Ce que je vis me térrorisa ou me désespéra. Kaomi se baignait-elle ou se noyait-elle? Je fit se que mon instinct me dicta, aller la sortir de là.

Je mis mes mains dans l'eau pour l'entourer et la sortir de là. La première sensation que j'eus fut que l'eau se réchauffais. Qu'elle se réchauffe, d'accord. Mais qu'elle commence à bouillonner, je ne comprend plus. La seul chose que je savais est que si je ne voullais pas voir Kaomi en rôtie, il fallait que je fasse quelque chose.

Je commenca à la tirer vers l'extérieur. Mais la chose étais trop forte pour moi. Une chose à faire, la magie. Ce qui est bien lorsqu'on à un familier, c'est qu'il peut nous servir de conduit pour les sorts. J'utilisa donc un sort: Vent divin. Grâce à celà, je pus permettre de respirer à Kaomi en attendait d'avoir une meilleurs idée.

Invité

Je me débattit, si chaud c'était si chaud sur mon visage, j'entendais des gens hurler, crier de toute part, quel horreur, j'ai cru un instant entendre l'enfer !
Puis deux mains m'aggripaire et voulurent me sortir de la sans véritable succes ... mais quelque chose m'aida a respirer.
Sa devenait de plus en plus chaud, je priait de tout mon coeur, suppliant que quelqu'un m'aide.

Je penssais que tout était perdu quand quelque chose se mit a briller sur ma poitrine, il y eu une sorte d'explosion qui me projetta moi et l'elf hors de l'emprise du sort sans trop de violence.

Ah !

Effrayée je prit un petit moment pour revenir a la réalité, me bouchant les oreilles voulant arrêter les voix !
le visage rouge et totalement trempée, moi que voulait me raffraichir c'est foutu.

Vous m'avez sauvée encore une fois...

Pensant que la lumière venait de lui et non, en réalité de mon pendantif offert par ma mère adoptive en vie de me protéger... bien qu'il est vrai qu'elle ne m'aie jamais dit de quoi il devrait me protéger.
Je ne pu me retenir, ma gratitude était si grande, le prenant dans mes bras.

vous êtes mon héros Nemuss, je vous serez eternellement reconnaissante, jamais je ne vous oublirai ! jamais !

Sans doute pour lui ne pas être oublié ne voulait rien dire mais pour moi c'était quelque chose d'important, ne plus rien oublier, plus un nom, un visage, un endroit, une odeur, rien !
Bien que depuis mon départ mes efforts non pas de me rappeler mon passé mais de me souvenir de mon présent devenait une lutte acharnée.
Plus j'y penssait plus je me disait que mère me protégeait bien de quelque chose ! Sans doute l'être ou la chose qui m'avait fait oublié et qui ne disirait pas que je me souvienne, voir peut être que je meurt !

Je... je pense avoir de gros ennuis, même si j'ignore pour quoi et par qui... je dois voir le grand prêtre au plus vite !