Le Banquet et le Couronnement de Sa Majesté Fardall 1er

(HRP: Oulalala je suis en retard pardon)

Je me sent honteuse tout a coup, d'avoir faillit tomber pour une bêtise.
J'avais quand même peur de tomber alors que nous ne soyons plus près du bord, alors pour me rassurer je l'ai regardé.
Lui ne semblait pas avoir peur alors pourquoi moi?
j'ai voyger seul pendant une semaine !
se ne sera pas un toit qui me fera fléchir ! je me disais sa sans vraiment y croire plus pour me convaincre.

C'est magnifique merci beaucoup

Je ne pu m'empêcher de penser a mère qui aurait tant aimé cette vue.
Timitement je me risqua a m'assoir sur le toit pas très rassurée,
mais rester debout pour apprécier un spectacle n'était pas vraiment conseillé.
Disons que je me connaissait je risquait de m'emballer et de glisser, limitons les dégas !

Sans vous je n'aurais sans doute rien pu voir !
je vous suis redevable, même si je ne sais pas comment vous remercier

Je n'aime pas avoir des dettes, sa signifie que je n'ai pas pu me débrouiller seul et que j'ai encore crié au secourd.
Je tenais ma jupe, les jambes pliée sur le côté pour ne pas qu'avec le vent celle ci se soulève par mégarde.
Déja assé embarassée d'être en présence d'un homme dans un endroit non pas intime mais éloigné des autres et même des regards,
je n'y était pas habituée, il était sans doute l'un des 5 premier hommes que je rencontrait depuis la fuite du couvant...
mais le premier que je ne fuis pas en courrant.
Je ne pu m'empêcher de verser une petite larme de joie et d'émotion.

J'avais suivi Luciole à l'ombre et m'était assis à coté d'elle.
Je voyais Luciole qui paraissait des plus mal au fur et à mesure que le temps passait. Elle était bien plus pâle qu'un vampire ordinaire. En même temps elle était tout sauf commune.
je lui tendis une petite fiole contenant un liquide doré. Je m'adressa alors à elle en lui parlant doucement à son oreille.

Prend donc ça, ça devrait te redonner un peu de force.


Puis marquant une pause

Si tu le désire tu peux retourner te reposer dans le repère. Tu retrouvera ton chemin et pourra rentrer facilement si tu passe par l'entrée de la taverne.
Je ne t'en voudrait pas si tu rentres car tu n'es pas très en forme et je ne pense pas que la politique de Kalamaï soit d'un intérêt très important pour toi.

Si tu as besoin je peux également faire venir n serviteur au porte du palais afin qu'il te raccompagne.

Tout le peuple attendait le couronnement de l'Empereur qui devait commencer très rapidement. car tout se mettait en place

Je regardais le ciel et les nuages, comment être libre de son destin alors que l'on doit attendre pendant plusieurs semaines avant de voir une fin de guerre. J'attendais depuis tellement longtemps que j'avais oublié ce que je devais faire ici. Je regarde la demoiselle qui s'asseoyait par terre. Un doute me vint a l'esprit, était-elle fatiguée ou bien les émotions des quelques minutes l'avait-elle boulversée? Je me sentais un peu malalaise, je ne pensais pas la rendre malade. Pourtant elle ne l'avait pas l'air.

C'est magnifique merci beaucoup.

Après cette phrase, je me sentis mieux, elle devait juste être plus confortable assis.

Sans vous je n'aurais sans doute rien pu voir !
Je vous suis redevable, même si je ne sais pas comment vous remercier.

Regardant la demoiselle, je lui souris un peu, de quoi avais-je de besoin? Je n'avais peut-être pas d'argent, ni de beau costume et de grande maion, mais j'avais la chose la plus importante qui sois, ma liberté.

-Vous ne me devez rien, voir votre sourire est ma récompence.

Le couronnement avait commencé à ce qui me semblait. Je vis Fardall ainsi que les autres. Un petit coup d'oeil vers la demoiselle pour m'assurer qu'elle allait bien et je m'assis à mon tours pour voir le spectacle. Je prit un petit parchemin et le déroula à terre. De la nouriture apparu. Un peu de viandes et des fruits et légumes. Je tendit le parchemin devant elle.

-Je crois que vous devez être affamé après cette aventure. Je n'ai pas de nouriture pour riche, mais de la nouriturr de fôret.


/HRP, tu n'as pas à t'excuser, t'avait pas le temps c'est tout :P HRP/

Tous de la compagnie ardente gardaient le silence. Ils avaient un dette envers l'empereur, qu'il ne l'accepte ou pas. Les trois cent cinquante lances qui se trouvaient dans la cour respectaient l’importance de ce jour. Tous avaient le coeur serré de voir que Kalamaï allait passer dans une ère de paix.

Ardent, avec le petit garçon qui avait connu son fils, regardait la scène avec une larme a l'oeil. Le cortège était impressionnant. Mais plusieurs visages de seigneurs se fermèrent alors que la véritable cérémonie commençait. Du haut de son estrade, il fut un des rares seigneurs ayant la vue assez étendue pour voir le scribe aux couleurs de Vénopole porter la lettre, et le visage des gens alentour de Fardall en disait assez pour comprendre que beaucoup ne l'acceptaient pas comme empereur.

En chuchotant pour lui même, il dit:

Si tu veux la paix prépare la guerre...

Le Spadassin regardait la cérémonie commencer et franchement il n'avait aucun intérêt. Il ne connaissait Fardall que par les renseignements obtenu du réseau et cela lui suffisait amplement. Du coin de l'oeil il avait aperçu la Thaumaturge en discussion avec celui que plusieurs appelait le Phoenix et le départ subit de celle-ci.

Le cortège passa près de lui et le nain ne broncha pas, faisant preuve d'aucun sentiment face à cet événement. C'est alors qu'un de ses messagers lui apporta une lettre. Il l'a lu rapidement et un sourire s'afficha dans son visage, une affaire importante l'attendait en d'autre lieux.

Regardant Fardall qui passait à sa hauteur :
Bonne Chance Seigneur. Vous en aurez besoin

Graubuust se dirigea vers la sortie, croisant au passage Adola et Luciole. Il chuchota : Rien ne vous obliges à rester si vous ne le souhaitez pas. Comtesse, vous me semblez mal à l'aise. Si jamais il s'agit d'un manque de sang, nous en avons une certaine réserve au frais dans nos souterrains, certes il n'est pas chaud comme dans le corps d'un être mais cela vous aidera. Des vampires ont déjà été parmi nous et cette nécessité fut honoré et inscrit dans la liste des vivres à avoir en tout temps.

Le nain attendit réponse avant de continuer sa route vers la sortie.

Vorin arriva quelques heures à peine après le début de la cérémonie, l'empereur défilait dans un élan majestueux. Vorin regarda la scène avec émotion mais ne connaissant le seigneur Fardall que part les actions commises en guerre, il ne voulait pas tirer de plan avant plus de précision sur les ambitions de cet homme. Après un tour de la cour le nain aperçut une troupe d'homme à moitié ivre mais respectant cet instant solanel, il décida de les rejoindres.

"Bonjour mais amis, puis-je me joindre à vous ?" Dit le seigneur Vorin.

"Bien venez boire un coup avec nous en l'honneur du phoenix !"

Le nain prit place parmis les hommes et commença à boire une bonne chope de bière.

[HRP] désolée pour le retard, j'étais en période d'exam. Maintenant c'est bon [/HRP]

Tout le cortège avait suivait le futur Empereur. Arzhùl et Sysk’o, ainsi que trois gardes d’élites Impériaux et trois prêtres, restèrent là où le cortège et Fardall se trouvais quelques minutes auparavant. Une fois arrivée en bas des marches Fardall s’arrêta, le cortège contourna sa droit et sa gauche et montèrent les marches pour ce positionné en demi cercle autour de l’autel.
Par quelques sortilèges, la lumière ambiante s’estompa pour devenir une lumière tamisée. La salle du couronnement était spacieuse, avec en son centre un gigantesque tapis rouge orner d’or. Les convives étaient massés autour de celui-ci. Le tapis allait de la grande porte jusqu’à l’autel et derrière l’autel était la fenêtre (cf photo de Sirias page 2 de ce poste) de là où Fardall allait se prononcé au peuple une fois le couronnement fait.
Fardall descendit de son cheval et gravit les marches et une fois en haut il s’agenouilla, le cheval fut retiré.
Une fois Fardall arrivé en haut de l’estrade, le Grand Prêtre, Sysk’o à sa gauche avec le précieux coffre entre ses mains, un prêtre à sa droite avec un cierge, deux autres juste derrière avec des cierges eux aussi et les trois soldats un peu en retrait, commencèrent leur marche silencieuse sur le grand tapis. A ce même instant, un chœur s’éleva du demi cercle de prêtres derrière l’autel. Il y avait une masse imposante de personnes, de toutes horizons et toutes cultures, mais tous étaient des personnes influentes, palatin, général, seigneur, héros, chef de corporations, courtisant… Tous étaient représentés.
Une fois en bas des marches, ils s’arrêtèrent tous. Les trois guerriers se retirèrent, un à la base droite des escaliers, un à la base gauche des escaliers et le troisième alla se placer derrière l’autel un peu en retrait, tous avait leur épées à deux mains lever plaqué contre le torse.
Puis les deux prêtres qui étaient en retrait eux aussi, se mirent à la base des marches, face à l’assistance. Le dernier prêtre monta les marches et alla derrière l’autel, à côté du soldat.
Dans un même mouvement, Sysk’o et Arzhùl montèrent les marches à leur tour. Le Grand Prêtre se plaça à la droite du futur Empereur, Sysk’o, lui, s’était arrêter une marche avant et s’agenouilla en ouvrant le coffre.
Arzhùl pivota légèrement vers Fardall. Il avait la tête baissé en direction du seigneur agenouiller et les bras levé à mi hauteur les paume au ciel. Le Grand Prêtre prit la parole d’une voix grave et pénétrante pour marquer dans le cœur de tous ces instants magiques.

Fardall… fils d`Igardal… Seigneur de Zircondal… Chevalier de Sorenssen, Dieu sans conteste de la pitié, de l`honneur et des actes impersonnels, et frère de Dinas. Vous êtes donc allier de Kanderak et ennemie juré de Bronek.

Le serment des Dieux doit être prononcé !
Arzhùl ferma les yeux et attendit que Fardall prenne la parole.

Irius avait entendu le discours du grand prêtre jusqu'à la fin. C'était enfin fini, tous criait de bonheur et d'espoir d'un nouveau monde. Mais qu'étais un monde diriger par un empereur. Il avait bien protèger le peuple du précédent empereur, mais aurait-il lui aussi le vouloir du pouvoir? Tant de question et aucune réponse. Que ce passe t'il dans la tête des hommes.

J'entendis les douces paroles de Kaomi et je vis son pendentif, à l'effigie d'un dieu, je ne savais pas. Elle était trop futuriste devant cette élancée. Trop de question étais dans son esprit.

-Il faut savoir une chose sur le chemin à suivre, certain son dangereux, d'autre plus facile. C'est ce qu va faire la différence entre un homme bon et un homme qui ment. Les prêtres ne sont pas tous comme on le croit, certain serve des dieux d'une grande méchanceté et d'autre ne le font que pour s'enrichire.

-Les dieux ne sont que des être supérieur à nous, mais nous avons chaqu'un une tache à accomplir dans ce monde. Telle est notre destin. Une tâche si précieuse que même un dieu ne pourrais nous empêcher.

-Je ne suis pas croyant comme certain d'entre vous, pour moi et mes frères. La seul chose qui incombe cette terre est de désider notre destin. D'arranger le monde sans que les dieu nous impose la tâche. Suivre notre voie sans nous préoccuper du reste.

Je m'arrêtais pour entendre sa réponse, mais elle avait l'air perdu dans ses pensées.

-Je ne puis vous en dire plus, car c'est à vous de vous découvrir. Je peux vous aider à aller voir le grand prêtre, mais un peu plus tard. Car pour le moment, il a l`air occuper.

Un petit sourire au lèvre, je revis la scène en m'imaginant la foule envahir l'estrade et le prêtre. Pauvre d'eux.

-Avant toutes choses. Il serait bien que vous ailler se reposer un peu. Car je sais que un peu de repos vous aidera à mieux comprendre vos questions et à être de bonnes humeur devant le prêtre. Car comme le dit le vieux dicton : La nuit porte conseil.

Ardent se retourna, pour voir trois personnes quitter l'endroit avec empressement, créant un véritable remous dans la population, qui regardait sans comprendre. Un point attira son attention. Une ligne de ce qui semblait être du sang, maculait le sol et s'étendait en cercle au bout de la ligne.

Soudain, des hurlements de joie le tirèrent de ses pensées et il se tourna vers la source de celles ci. Il avait manqué la fin du couronnement. Il se tourna vers la scène et hurla lui aussi sa joie, appuyé par tous ses hommes. Une pluie de fleurs tomba sur la scène, lancés par tout ceux qui étaient à portée.

Une fois la vague d'hurlement passée, beaucoup de gens commencèrent à partir en petits groupes serrés, car le soleil commençait à se coucher même si la fête ne faisait que commencer. On entendait d'un peu partout des rires et des gens parler de la scène. Tous exprimaient leur plaisir, mais il venait surtout des paysans, la plupart des seigneurs ne voulaient pas laisser paraître leurs émotions.

Des tables furent montées, et les gens furent invités à prendre place. Les gens étaient surpris que l'empereur se soucie de leur donner un deuxième repas à ses frais, le dernier n'ayant jamais rien fait du même genre.

Ardent attendait que l'on vienne lui désigner la table à laquelle il s'assoirait. Peu importe avec qui les serviteurs allaient le placer, il savait qu'il allait avoir bonne compagnie, avec un seigneur comme avec un paysan.

Un serveur s'approcha de lui et lui désigna une table encore vide. Il alla s'asseoir, en attendant de voir qui allait venir près de lui.

Au loin une silhouette d'une etrange créature volante ce fit voir quelque instant plus tard cette silhouette ce confirma il s'agissait de Dragon D'or de Vénopole la Garde Personnel de Varatorn celuit-ci aprés s'etre calmé désida de partir a la Capital Impérial pour rencontrer le Seigneur Ardent qui a de forte de chance d'etre promu Commandant de la Guilde des Combatants et Varatorn voulait connaitre ces idée politique et surtout savoir dans quel camps la guilde des combatants va ce ranger.
Aprée avoir brusquement attérie au beau milieu de la Cours du Palais en bousculant une foule de paysant Varatorn désendit de sont noble Dragon et lui ordonna de rejoindre la garde qui attérir sur un toit juste a coter de deux personnage que Varatorn ne voyait pas.
Varatorn prit par le cou un Serviteur sortie sa dague et lui dit :

Ou ce trouve le seigneur Ardent ou ton sang coulera.

Sur ces mots le serviteur lui montra une table vide avec le Seigneur Ardent assit seul.
Varatorn lacha le Serviteur en le laissant tombé par terre.
Varatorn marcha vers la table du Seigneur Ardent et S'assit en face de lui.
Varatorn dit d'une voix sèche.

Bien le Bonsoir Seigneur Ardent je pance que vous sacher qui je suis.

On pouvait appercevoir sur les épaules de Varatorn les armoiries du Palatin de Vénopole.

Varatorn dit :

Je vais etre bref je veut savoir votre point de vue sur cette mascarade le sang ne doit plus coulé mais vue la tournure des choses le sang ne sécera jamais de coulé si un être aussi impie un hérétique sans lien royale ce proclame Empereur.
Je ne veut pas de sa mort je veut qu'il abandonne c'est fonction et qu'un vrai héritier soit nommée.

Varatorn prit un vert de Vin qu'un serviteur porté sur un plateau et fit tombé le serviteur.
Varatorn en but une gorgé et dit :

Alors seigneur quel sera notre position vit a vit de l'Empereur devrons nous le suivre ce qui vous vous en douté m'obligera a me dréssé contre vous.
Soit nous seront neutre et nous pouront alors etre libre de nous.
Ou Hostile et devrons arraché la tête de ce pitoyale insecte.

Varatorn possa le vers et le cassa en serant son poing.
Varatorn dit :

Alors Seigneur Ardent ?

Une fois tout la cérémonie fini, ainsi que tous les aux revoir de circonstance, Arzhùl s’éclipsa de la salle du couronnement. Si on devait le chercher… bin on le cherchera. Se qui fit rager une fois de plus certain dignitaire qui voulais s’entretenir avec lui.

C’est bon Sysk’o? On les a semer ?
Sysk’o eu un grand sourire
Oui seigneur c’est bon, enfin je crois. Vous savez ces bêtes là sont coriaces. Ils se mirent à rire de bon cœur.
Viens allons manger. Par tous les Dieux, ce couronnement m’a donné une faim de loup.

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Un serviteur leur avait indiqué la table qui leurs était impartie.
Arzhùl s’assit. Il y avait déjà une personne assise à cette table et apparemment elle était en pleine conversation avec une autre personne. D’après les armoiries que l’homme portait ce devait être soit le Palatin de Vénopole, soit d’Etimnon, il n’avait jamais été bon en héraldique.
Arzhùl fit un mouvement de tête en signe de bonsoir. L’homme à sa droit lui disait quelque chose, mais il ne se rappelais pas qui il était. Sysk’o prit place à la gauche d’Arzhùl et attendis patiemment le repas. Quand Ardent croisa le regard du Grand Prêtre, celui-ci lui adressa ses salutation.

Il n'en revenait tout simplement pas. Ce palatin, le jour meme du couronnement du Phoenix, voullait formenter une rebellion, sans meme voir ce que le nouveau couronné avait à montrer et à offrir.

Mon cher Varatorn... si vous continuez comme cela, vous pourriez vous attirer des ennuis. Ardent sortit le sabre de Nathaniel en commença a tâter le tranchant de la lame d'un mouvement presque imperceptible. Vous savez, ce n'est pas que la chance qui à dicter mes acte jusqu'a la position que j'occupe aujourd'hui.

Vous voulez former une rébellion. Faites, mais comme vous dites nous allons nous dresser les uns face aux autres. Mais j'ai vu ce que vous faites avec les serviteurs, et cela ne m'impressionne guère. Vous avez tout de l’énerver qui ne cherche qu’à prendre le pouvoir de toutes les façons possibles.

Vous êtes venu me voir, mais vous ne connaissez rien de moi. Je suis Ardent de Montfort, qui se trouve au milieu des terres de Scitopole. Je suis une partie le responsable de la tombée de la ville, et je suis celui qui a libéré les prisonniers Scitopoliens de la prison d'Ocien-Parlat. Il se leva et garda le sabre dans un position qui semblait relaxée, mais qui était le départ d'une botte secrète du Montfort. Et de plus, vous voulez je j'essaie de tuer mon frère de sang?

Je crois que vous devriez changer votre ton de voix, si vous tenez à la vie.

Se retournant vers une forme qui s’approcha de lui, Ardent adressa ses salutations au maître inquisiteur en le reconnaissant in extremis, mais sans toutefois lâcher son sabre.

Varatorn eclata de rire et dit :

Croyait vous avoir une chance contre moi meme si vous parvenais a vous approché de moi ma garde fera pleuvoir un torant de feu en votre direction qui a des chances de touché l'inquisiteur et de tuer nombre de personne.

Varatorn pointa du doight un des toit du palais ou ce trouvé un Dragon sans cavalier et une 10en d'autres avec des cavaliers sur des Dragon d'Or de Vénopole.

Varatorn reprit en restant assie :

Vous n'avait d'une aucune chance et de deux vous amorcé vous meme un mouvement de rébellion je ne veut pas de guerre je veut seulement la tête sur une pique de cette héritique ce traitre cette infâme sang impur dont le destin et de mourir en martyr.

Varatorn sortie sa lame de sont dos une épée a deux main en mitril forgé dans les forge des maitres artisant de Vénopole.
Varatorn reprit :

Si vous voulait mourir libre a vous mais sacher que si vous tenter quoique ce soit vous n'en sortirai pas vivant alors je vous conseil de ranger votre arme et de vous assoir sans quoi 10 Dragon fondra sur vous juste au moment ou vous ferez le moindre mouvement brusque.

Dix dragons hein?? Ardent éclata de rire.

Vous etez quoi, une dizaine? Ici, l'armée de Fardall st encore présente, tous mes 350 hommes sont ici, ainsi qu' une grande partie de l'armée inquisitoriale, et si vous croyez que le feu de vos dragons nous arreterons, nous avons vu pire, quoique vous leur proposez un petit entrainement... Vous savez pourquoi nous nous sommes appelés la compagnie Ardente? Si vous voullez voir, attaquez... Vous ne faites peur à personne ici. Vous dites vouloir épargner des vies, mais vous les menacez impunément.

Je vous défie en duel. Vous contre moi, car je ne veut pas voir vos troupes mourrir par l'incompétence de leur dirigeant. Ça sera votre ridicule épée contre le sabre de Nathaniel.

Qu'en dites vous, maitre inquisiteur? ce duel est-il proposé selon les regles de l'art, on nous devons rajoutter un peu de fantaisie?

Arzhùl avait faim…
Très bien… Arzhùl se frotta les cuisses, comme si il se dépoussiérer celles-ci, et se leva.

Palatin Varatorn, vous frisez l’incidence diplomatique là !
Arzhùl avait horreur de la diplomatie mais son nouveau poste de Grand Prêtre lui obligeait
Vous menacez le futur chef de la corporation des combattants, vous faites venir des éléments hostile aux seins de la citée, il montra de la main les dragons posté en hauteur, qui étaient là clairement de manièrent hostile ce qui est déjà beaucoup...
Mais en plus Arzhùl éleva le ton vous osez me menacé, moi, palatin de Thassopole, membre éminent de la Sainte Inquisition et qui plus est, Grand Prêtre de Kalamaï ! Vous savez, le souverain pontife, le gugusse qui dirige la corporation du Culte, par Kanderak… l'Inquisiteur commençais à être hors de lui Et pour couronner le tout, que les Dieux ait votre âme, s’ayez, Arzhùl gesticulait dans tout les sens et hurlait comme un damné vous osez, en ma sainte présence! Traité l’Empereur de Kalamaï d’HERETIQUE… aaaaaaaah… rentrez chez vous ou je vous fait mettre au arrête pour trahison à la couronne, pour menace public envers de hauts dignitaires de l’Empire et surtout…
Pour hérésie !
Le souverain Pontife été hors de soi. Sysk’o n’essaya même pas de calmer son seigneur, sa aurai aggraver les choses. La foule regardait le spectacle et des soldats Impériaux commençaient à s’approcher.