Bureau du Thaumaturge

Ma famille, elle restera pour moi un grand mystère. Et je me demande une seule chose, comment ont-ils fait pour que je devienne chef de la corporation des arcanes !!

Pas le choix, j'aime la magie et tout ce qui entourent les arcanes, ce poste dans un sens est un bût que je n'avais pas. Maintenant je vais devoir faire face.. a la magie et un peu plus sérieusement. Mon âge elfique aidera, mes vieux grimoire aussi et les notes écrit sur les vieux parchemins, que je garde précieusement, d'autant plus que cela est un héritage que ma mère m'a donner.

La meilleur façon d'entrée est encore de mettre l'énergie, j'entre donc dans le grand bâtiment, d'ici, de l'extérieur, tout me donne l'impression d'être assez rustique. J'aime ce coté mystérieux. Ouvrant la grande porte, je voulais tellement voir de grande bibliothèque poussiéreuse, des sons venant de porte close, un petit pupitre a l'entrée pour que les visiteurs ne trainent pas dans les corridors.

Bien non, rien de tel ou presque. C'est propres, des indications sur des plaques de fers forgés indiques l'emplacement des bureaux. Petit sourire aux lèvres, je vois écris sur une des plaques en lettre d'or :

Bureau chef des Arcanes

C'est le mien, je suis pas un peu fière, j'ai hâte d'y mettre le nez. Sans avoir l'air presser, je prends donc la direction du bureau, le long corridor, illuminés par des lumières magiques, de petite lucarne pour laisser entrée le soleil et au fond.. LA porte de mon bureau. D'un coup, je me sens un peu stupide, et amusée. Je me demande, si je dois dire une formule magique pour que la grande porte ouvre, ou j'ai juste a la pousser. Je suis peu être encore trop jeune pour avoir ce privilège, je trouve encore le goût de m'amuser.

Rien de bien complexe, j'ai juste a la pousser la fameuse porte et le coup fatale pour une imagination débordante comme la mienne vient me frapper en pleine face. Ce bureau est exactement comme je le voulais. Grand, poussiéreux, de grande bibliothèque, des parchemins ici et la. Le bonheur quoi, surtout pour une nis comme moi, aimant la magie, les langues anciennes et aimant apprendre. Je laisse donc mes doigts prendre possession des lieux, mes yeux émerveillés, je n'ai pas un mot qui pourrais sortir de ma bouche.

Rien de plus a dire que, ici c'est l'endroit ou la mémoire laisse sa subsistance, dans les moments de silence du lieu. Sur le bureau en cuir, je vois deux parchemins, des demandes d'intégration pour la corporation des arcanes, une de Sire Awake, Despote des Larmes du Lotus et l'autre de Sire Derundal Ixclam, Seigneur de Sudgeï.

Je m'assoie donc sur le siège et commence a écrire une missive pour chaque demande.

Penya Tavaril a écrit:

Sire, votre demande n'est point tomber dans l'oublie, je viens a peine de prendre possession de la Corporation des Arcanes. Je me ferais une joie de m'entretenir avec vous pour votre intégration, je vous demande donc de venir me rencontrer le plus tôt possible et nous pourrons ainsi discuter ensemble.

Je vous donne un parchemin magique, qui vous aidera pour trouver l'emplacement de la Corporation.

Recrutement Corporation des Arcanes

Penya Tavaril
Conseillère de Planvert
Chef de la Corporation des Arcanes.

Un messager impérial avait été dépêché à la Corporation des Arcanes afin de communiquer à la guilde une annonce fort importante. Après avoir frapper plusieurs fois à la porte de la Thaumaturge, il décida de glisser la missive publique sous la porte.

Peuple de Kalamaï!

Aujourd'hui, vous êtes invité au Banquet et Couronnement de Sa Majesté Fardall 1er l'Empereur Pheonix. Venez en grande nombre à cette importante cérémonie impériale qui formera le XXVe Gouvernement de l'Empire de Kalamaï.

Salutations,
Comité des fêtes impériales

Puis le messager quitta la corporation en route d'une autre corporation.

- Vénopole, alors ? prononça une voix douce devant l'entrée du bureau du Penya Tavaril.
La porte étant légèrement ouverte, le mystérieux inconnu pris sur lui de pénétrer au sein même du bureau, et se plaça en face de son nouveau supérieur.

- Seigneur Penya Tavaril je suppose ? demanda-t-il
Ne laissant guère de temps à son interlocuteur de répondre, l'homme encapuchonné enchaîna :

- Je me nomme Edge, Seigneur d'Elvandar et magicien à mes heures perduesdit-il dans un sourire presque imperceptible. Je viens à vous afin de me présenter et de vous remercier de mon intégration au sein de votre communauté. Soyez sur que vous ne le regretterez pas, ma dame, et sachez que vous n'aurez qu'à murmurer mon nom aux esprits du vent pour que je vienne à vous.
Edge se tourna pour faire face à la porte de sortie, puis d'un mouvement de tête regarda une dernière fois, celle qu'il pensait être le souffle de renouveau qu'ils attendaient tous.

- Ca s'annonce encore plus intéressant que je le pensais dit-il d'une voix glaciale. Ses yeux, qui avaient changé de couleur lorsqu'il prononça sa phrase, ne firent qu'ajouter un sentiment étrange sur un personnage déja insondable.
Puis en un éclair, de nombreux courants de vent pénetrèrent le bureau, s'enroulant autour du nouveau membre de la corporation, et dans un dernier éclat de ténèbre, Edge disparut.

Un roulement de tonnerre assourdit tout à coup les environs, puis tout revint à la normale.

En face de sa Seigneurie, Dame Penya Tavaril, se tenait de nouveau le seigneur Edge.
Apparut aussi rapidement qu'il avait disparu quelques instants plus tôt, son visage présentait toujours le même léger sourire au coin des lèvres que lors de sa présentation.

- Vous m'avez demandé, votre Altesse ? murmura-t-il tout en s'inclinant à la manière d'un gentlemen.
Edge se releva, la capuche abaissée sur son visage par sa courbette.

Edge regarda son supérieur d'un oeil presque dubitatif.
Le voyage ne le dérangait vraiment pas, d'autant que si le point de départ était en Vénopole, ils avaient de très forte chance de passer tout près de son royaume.
Le fait d'être sous les ordres d'un autre, comme le Comte Cotin, ne lui posait pas le moindre problème.

-Après tout, si Penya lui faisait confiance, alors c'est qu'il ne devait pas y avoir de doute sur sa capacité à diriger une escouade et à réagir à toutes éventualitées pensait-il. Et puis bon, Edge était sur que le voyage de toute manière ne se passerait surement pas comme tout le monde l'attendait.

- J'espère que vous ne me décevrez pas, et que vos âmes suffiront à m'amuser ne serait-ce que légèrement pensait-il des pauvres fous qui oseraient s'en prendre à eux.
Mais sortant légèrement de ses songes, Edge hésita ... Il avait bien un soucis avec ce que venait de lui dire son Seigneur.
Lentement, il attrapa le sceaux des arcanistes, l'observa quelques instants puis le glissa sous son long manteau à capuche noir.
Puis quand vint le tour de la tunique, il s'approcha un peu plus de Penya, lui permettant ainsi d'observer plus clairement un visage doux et serein, présentant tout de même une particularité : un oeil vert et un autre mauve.
Edge prit la tunique de sa main droite, et commença à lever le bras en l'air, la jetant au dessus de sa tête. Se faisant, il laissa entrevoir, de par son mouvement de bras, quelques cicatrices lui parcourant l'aîne et surtout une chose inhabituelle pour quiconque se dit magicien : une poignée d'épée qui se laissait deviner, accrochée sans doute dans son dos.
La pièce se fit soudainement plus opressante, du pouvoir semblait s'être concentré en un instant et comme si elle n'avait jamais existée, la tunique blanche disparut.

- Si c'est la mort que vous nous souhaitez, alors libre à vos autres disciples d'aller vers elle tels des phares de lumières dans leurs tuniques blanches. Je resterais pour ma part, parmi les ombres ! lacha-t-il un ton méconnaissable. Edge étant toujours non-loin de Penya, cette dernière eu un bref instant, la possibilité de voir que ses yeux avaient changé de couleurs. Ils arboraient à présent un mauve-rouge sanguinolent, sans pupilles.

- Il est temps pour moi d'y aller coupa d'un coup Edge. J'irai trouver le Comte Cotin afin de me présenter. Vous me reverrez, ne vous inquiétez pas ! De toute manière vous ne pourrez pas passer Vénopole sans que j'en sois au courant.
Il se retourna, et en instant disparut dans de larges gerbes de vents sombres.

Sotame souria faiblement mais son haillon cachait sa faible joie. Sans se dégager de l'armoire, il resta la tête fixé à son haillon qui ruisselait encore quelques gouttes d'eau sur le sol. Il ne revéla toujours pas son visage à sa supérieure par amusement et ressenti, il se contenta d'un rapide coup d'oeil sur la personne et fût émue de sa prestence, elle avait bien l'éloge d'une chef et il semble que le Vampire ne soit pas resté insensible à cette pseudo-droiture qui retranche un côté fragile. Sotame baissa un peu plus la tête en cachant bien son visage de l'ombre que lui offrait son haillon et de la clarté de la nuit.

- Bonsoir à vous, Demoiselle Penya... Tavaril

Le ton était sobre mais enjoué, une parralélisme presque commun chez le Vampire. Par preuve de respect et surtout de galanterie, Sotame s'ota de l'armoire pour approché de l'Elfe, il releva la tête et ôta son haillon vivement. Sa longue chevelure noire corbeau partit en arrière, parsemant encore quelques gouttes de pluies au passage, 2 mèches assez fines tombères sur sa joue droite et laissèrent s'échapper un fin filet d'eau. Il commença à sourir par satisfaction que la Thaumaturge dûre se rendre en cette pièce si peu de temps après son arrivé. Profitant d'un éclair jaillisant, le Vampire engagea la conversation.

- Vous excuserez ma tenue mais les circonstances ne sont pas les meilleures qui soit... Je suppose que vous devez me connaître, Verlaine vous a sans doute parler de moi, Un Vampire ténébreux qui s'amusa à la charmer ? Se nommant Sotame également, Comte d'un royaume de Naxos appellé aussi la Larme Sanguinaire. Oui, vous y êtes... Sûrement... Ensuite, je tenais spécialement à faire votre connaissance, connaître le maître ou la maîtresse d'une entreprise est le meilleur moyen de comprendre comment elle fonctionne. Donc me voilà devant vous, encore novice chez vous. Un petit conseil d'homme au passage, évitez de pensez trop fort lorsque qu'un Psioniste malsain est dans les parages, on ne sait jamais ce qui peu arrivé...

Sotame marqua une petite pause pour confirmer ces heureux doutes d'il y a un instant, la Thaumaturge semblait une femme d'expérience ayant un mental aussi doux que déterminé, ce n'était pas vraiment une surprise pour lui mais il se contenta d'un sourire. La conversation repris sur un ton plus rassuré et plus désireux.

- Bien entendu, je suis Psioniste... Par ailleurs, je souhaiterai connaître les différents importants moments que mouvemente les Arcanes et aussi quelles sont les réglementations pour les membres ? Pour le reste, nous verrons... Plus tard...

Sotame ôta entierement sa cape et la posa sur une chaise qui se situait à sa droite, sans doute celle où les rendez-vous contiennent plusieurs personnes et qui est utilisée à cet usage. Il passa un main dans ses cheveux et secoua sa main pour en évacuer l'eau qui subsistait encore, un regard naturel s'imposait chez le Vampire mais la Demoiselle devant lui semblait quelque peu... Amusée...

Cher Sotame, de part votre race, je sais en quoi m'en tenir. Effectivement, Verlaine est une bavarde sans fin et se laisse charmer, mais faite attention, elle est encore plus sournoise que vous. Sous son apparence d'elfe toute mignonne, elle est d'un noir sombre.

Elle se dirige vers son bureau et aperçoit la petite souris blanche. Amusée par le Psioniste. Elle regarde encore une fois la souris et juste avec un mouvement de la main, la change en gentil petit chiot. Le prend dans ses bras et se retourne vers Sotame.

Enchantée Sire Sotame, je crois que ceci est à vous.

Elle lui remet le petit chiot et ajoute

Je possède les capacités de faire un bouclier sur moi dans les cas d'attaques magiques. D'ailleurs le mot Thaumaturge veut dire "Celui ou celle qui produit des miracles" . Je n'ai donc pas à craindre des attaques. Nous n'en sommes pas là de toute façon. J'en suis à vous souhaiter la bienvenu dans le groupe des Arcanistes. Vous n'êtes pas le seul vampire et votre Maître dans la hiérarchie est le Comte Cotin. C'est mon bras droit et je lui fais entièrement confiance. Vous devez donc le rejoindre et prendre position dans son armée.

Nous ne désirons pas imposer des lois et règlements, tout ceci entrave la liberté de nos membres. Sauf que, nous demandons une présence certaine, de vos talents, un jour vous aurez un poste plus ou moins important. Le groupe des Arcaniste est soudé par la volonté de découvrir et apprendre. En même temps, nous pouvons comprendre que votre royaume à besoin de vous. Nous n'obligeons pas nos membres à prendre part à tout ce que nous devons faire. Ma seule demande est en fonction de l'aide. Si jamais, un des Arcanistes est dans le besoin, peu importe la raison, je vais obliger le groupe à se rendre dans l'empire en besoin et nous donnerons notre aide.

Elle prends une petite pause et s'assoit sur une chaise tout près de Sotame.

Maintenant, parlez moi de vous, quel est votre but dans la Corporation, que désirez vous, avez vous des attentes, avez vous besoin d'aide ? Je sais que c'est beaucoup à la fois, mais savoir ce que les membres désirent font en sorte que je peux facilement les placer à des postes qui leurs convient.

(Je tiens à m'excuser particulièrement auprès de Penya Tavaril, ma réponse fût très tardive et j'espère qu'elle acceptera mes excuses à leurs juste valeurs - Joueur de Sotame)

Sotame eut un flot d'information qui le subjugua, il prît même du plaisir à décortiquer chaque phrase et chaque mot, l'information étant l'une des plus grandes sources de pouvoir dans le monde Kalaïmaien. Un bref sourire apparais sur ses lèvres et il posa le chiot au sol afin d'entamer le dialogue convenablement dans un ordre chronologique des réponses.

- Notre race n'est point sournoise, ce sont simplement les plus simples d'esprit voué à être honnête qui ont été le fruit des bûchers et autres barbaries inutiles humains. Nous autres Vampires savons nous montrer droit et honnête envers nous-mêmes mais pour ce qui est des autres races, nous savons à quoi nous en tenir. Ensuite pour Demoiselle Verlaine, vous semblez bien la connaître et presque que parler de sa personne, une substitution d'identité ou un simple envoûtement ? Après, vous la dites plus sournoise que moi mais cela me fais bien rire... Vous ne me connaissez en rien, juste à travers mes paroles et les actes que je me choisis de faire alors les jugements hâtifs finissent souvent désagréablement. Ensuite Elfe Mignonne, ça se discute, elle possède un joli corps que j'escamoterais volontiers mais, elle n'est pas l'envergure d'une chef telle que vous. Je vise toujours très haut et les proies qui me font sont faciles d'accès ne m'intéressent que dans les cas d'urgences...

La discussion semblait devenir longue, le ton était sobre et enjoué, quelques fois interrompu par le tintamarre de la foudre. Le petit chiot commença à grogner puis couiner selon l'intensité des éclairs, le Vampire fût vite agacé de ces jacassement inutiles et prit le chiot dans ses bras. La Thaumaturge semblait même interrogée par cet excès de tendresse de la part de Sotame mais ce ne fût qu'un court instant. Sotame prit le cou de l'animal dans ses mains et le brisa, un bruit continuel de craquement et brisures de vertèbres sortit du corps de l'animal, un léger sourire de Démence et de Plaisir saisi le Vampire. La mort était l'un de ses doux loisirs le plus exquis après les Femmes... Un sourire de satisfaction de la part de Penya semblait se dessiner sur son visage ou n'étais-ce qu'un désir du Vampire ...? Une fois l'ambiance détendue par le tintement de la pluie sur la toiture du bureau, la conversation reprit.

- L'animal ne nous dérangera plus maintenant... Je suis moi-même disons plutôt Envoutée de votre venue, je vous avoue que j'ai un attendu un bon moment avant d'avoir la joie de vous voir. Ensuite pour ce qui est de ce Comte Cotin, il m'a transmis une missive personnelle d'ici peu me traitant de ces intentions à ma personne et je vous garantie que rien ne me fera plus plaisir que nous nous aidions mutuellement. Ensuite Thaumaturge ou non, vous restez une Elfe ou une Femme préférais-je dire. Miracle ou non, les maux les plus forts sont ceux que l'on croit connaître le plus...

Le Vampire prit une courte pause et reprit d'un ton plus courtois et personnelle.

- Pour ce qui est du talent, vous en aurez peut-être la preuve lors de réunions de membres, je suis Psioniste et Vampire, acceptant volontiers que l'idée même d'être un Vampire et digne d'un talent indélectable aux yeux de nos différences. Pour ce qui est des libertés, ceci m'est plaisant, je suis très indépendant alors cela ne m'oblige pas à faire de faux bonds inutiles, pour ce qui est de l'aide... Si cela vaut la peine d'être vécu, je risquerai sûrement ma vie pour une Demoiselle ou un Homme au point de mourir, ce n'est pas très honorable mais je consacre la plupart de mon temps au voyage, vous le voyez même à ma tenue que je me tiendrais de changer pour notre prochaine rencontre.

Après, appréciant la tournure que prirent les phrases de sa compagnie, Sotame prit une autre chaise et se mit à environ 0,75 de la Thaumaturge. Il aborda le prochain sujet avec un sourire sincère et un ton plus accueillant.

- Moi et bien, dans cette Corporation, je ne serais pas de ceux qui souhaiteront des postes à haute envergure et rôles importants... Je souhaite être la personne que l'on appelle en dernier recours, en cas d'urgence, à ne pas déranger pour une altercation stupide de 2 membres assez idiots pour ne pas s'entendre. Après mes besoins sont ceux de tout Vampires masculines, des Femmes, du Sang et la Nuit... Après pour mon poste, je dois vous dire que...

Sotame se baissa légèrement et passa sa main au-dessus du cadavre de l'animal et le voilà qui retournait à sa forme originel, en souris. La Demoiselle semblait apprécier son geste, on pourrai croire qu'elle appréciait les surprises agréables.

- Je n'ai pas tout le temps été Psioniste...

Elle écoute Sotame et ce demande bien ce qu'il cherche. Elle le laisse jouer un peu avec elle, tout en gardant une certaine distance.

Sa façon de faire ne dérange pas du tout la jeune elfe. Elle avait déjà eu affaire à plus coriace. Une fois qu'il sera un peu plus ouvert et moins prétentieux de son savoir, il sera facile de faire une bonne collaboration avec lui.

Dernière édition par Penya Tavaril le Lun 29 Sep 2008 - 5:41, édité 1 fois

[HRP] Il semble que je ne soit pas le seul à avoir quelques problèmes d'organisation... Ensuite Penya, j'essaierai de respecter votre choix à l'avenir, merci de votre remarque.[/HRP]

Sotame remarqua l'absence que subsistait dans cette pièce. Il choisit de partir, il se dirigea vers Penya et commença à la regarder intensément, finalement, elle ne lui correspondait pas. Il prit sa main et approcha son visage, il baisa sa main et commença à se retourner. Lorsqu'il fût au seuil de la porte, il se rappela du tour de Penya, il passa sa main au-dessus du cadavre qui commençait à se décomposer. La forme de l'animal changea de nouveau pour redevenir celle de départ, une souris blanche. Souriant, le Vampire annonça.

- Je n'ai pas tout le temps été Psioniste... Bonne nuit...

Et Sotame ouvra la porte et partit sans un mot ni en se retournant vers la Thaumaturge, il avait fait ce qu'il avait fait. Laissant la porte ouverte, Sotame avança dans les ténèbres de la nuit et la pénombre que lui procurait la pluie, il revêtis son haillon et disparu... Tel un fantôme qui allait et venait dans la nuit...

Elle accepte ce que l'elfe lui donne. Elle ouvre la missive, elle ouvre le coffret et le referme.

Que Dame nature soit avec vous Sire Oengus.

Elle replace la missive dans le coffret et le cache dans un endroit où elle seule connait l'endroit dans son bureau. Maintenant, son bel amour Babka, il devait venir la rejoindre ici. Elle reste à son bureau, terminant ici et là des parchemins de sort.