Sombre Coeur, Capitale du Royaume de la Rose Noire...

Polokyor n'étai pas très fatigué, enfin il avait vu pire. Il suivait Satania, il écarta aussi quelques plantes. Il fut content de voir que les roses étaient noires. Il sentit le regard de la comtesse, il fut gené, la première fois qu'il était géné dans sa vie, une chose nouvelle pour lui. Le drow s'assit sur le banc en face de Satania. Il releva la tête et posa ses yeux dans ceux de la comtesse, il regarda une nouvelle fois ailleurs, géné. Il s'exclama :

Qu'allons nous manger chère Comtesse ? Après avoir fait des exercices, c'est bien de se restaurer dans un lieu calme, qu'allons-nous boire pour nous hydrater ? Du sang ? Cette fois ci, je prendrais de l'hydromel infernal si vous en avez. Sinon ce que vous avez de plus fort !

Juste après avoir dit celà, un aigle vient se poser près du Drow, ce dernier le regarda étonné. Polokyor remarqua le bout de papier à la patte de l'oiseau, il prit la lettre et lut :

Cher Palatin de Kalamaï,

Notre Bien-Aimée Impératrice Évalia, par l’intermédiaire du Protectorat Impérial, vous demande de vous rendre immédiatement au Palais Impérial. La situation est grave et l’Empire de Kalamaï est menacé d’un immense danger. Des explications plus précises vous seront donnés lors de la conférence.

Nous vous attendons avec impatience,

Veuillez agréer, Palatin, à nos sentiments distingués.

Enguerrand IV d’Exalon,
Palatin de la province d’Igoumen,
Monarque de la Légion de Natémia,
Chef du Conseil du Protectorat Impérial,
Co-Fondateur de l’Ordre des Chevaliers de la Lance Impériale.

Le palatin de Naxos pris la parole :

Vous m'excuserez Comtesse, mais je suis convoqué au Palais Impérial, cette fois-ci je ne serais pas arrêté. Je crois que seul les Palatins ont le droit d'y aller, donc vous ne pourrez m'accompagner, à une autre fois.


Le drow se leva et se prépara, il dit :

Au revoir chère Comtesse !

De la fumée noire apparue autour de lui, il se téléportait jusqu'au plus proche endroit du palais impérial.

Après avoir observé un instant l'endroit où Polokyor avait disparut, la Comtesse bu un verre de sang qu'un serviteur venait d'apporter. Souriant d'incompréhension, elle rejeta ses cheveux en arrière... Elle pensa *Pourquoi donc le Palais Impérial voudrait voir Polokyor?*. Finalement, elle s'allongea sur le banc et tourna la tête pour voir ses roses... Elle imagina la montagne de paperasse qui l'attendait certainement dans son bureau, mais la journée de la veille remonta en surface et elle plongea dans l'abîme de pensées plus heureuses qu'elle avait...

Sortant de sa rêverie en sentant la présence de quelqu'un, la Vampire se releva et s'avança vers la sortie des jardins... Poussant l'une ou l'autre branche pour se frayer un chemin, elle se rapprochait des plaines lorsqu'elle vit une silhouette. Une bonne partie de la nuit était passée, et devant la taille imposante de l'inconnu, elle put déduire que ce n'était autre que Polokyor.
Mettant deux doigts dans sa bouche, elle siffla pour attirer son attention. Elle avança d'un pas rapide vers l'entrée du château et le rejoint. Elle le salua d'un signe de tête et déclara d'une voix claire :

- Ravie de vous savoir toujours libre... Libérer les prisonniers n'est pas mon passe-temps favori... Esquissant un sourire, elle continua : Vous devez être fatigué, je vous propose de manger un bon repas et de vous reposer...

Aux paroles de son Chef, Satania se posa des questions... Un sujet grave? Que peut-il bien y avoir de grave?... Elle reprit ses esprits et mena le Drow dans la grande salle qui lui servait de salle à manger.
Des bougies éclairaient la salle rectangulaire, un décor plutôt luxueux dans une ambiance calme. Le plat chaud les attendait déjà dans les assiettes d'argent, tandis que du sang et de l'hydromel reposaient dans des récipiants de cristal. La table, assez longue, était recouverte d'une nappe pourpre et or. Les couverts étaient installés aux deux opposés.
Un serviteur conduisit Polokyor à la place qui lui était destinée, alors que la Comtesse s'asseyait à la sienne. Elle engagea à nouveau la conversation :

- J'espère que l'endroit vous convient... Alors, quelle était la raison de cette réunion chez l'Impératrice? demanda-t-elle, curieuse.

Chamboulée par les paroles de son Chef, Satania le fixa un moment sans rien dire... Les Seigneurs d'Outre-Mer, ceux qui avaient détruit son Royaume autrefois, reviendraient? Elle imaginait l'ampleur des dégâts et eut un frisson d'effroi. Elle but son verre de sang de façon distraite. Le regard vague, elle constata qu'elle n'avait pas faim. Elle leva les yeux vers Polokyor et le regarda un moment. Elle était songeuse, repensant à sa soeur et son paternel. Que pouvait-elle faire? Une fois l'Empire envahi, aucun endroit ne serait sûr... Ni son royaume, ni celui d'Azatoth... Regardant par la fenêtre, elle vit que la nuit s'achevait presque. Elle prononça d'une voix étrangement calme, tout en se levant :

- Le soleil ne va pas tarder à se lever... Je vais aller me coucher, restez-vous?

- Vous avez raison...

Faisant quelques pas vers Polokyor, elle lui dit :

- Je vous propose les appartements dans lesquels vous avez dormi hier, ce sont les meilleurs que je puisse vous proposer, les miens... étant plus aménagés pour une femme...

Elle avait dit cela sans regarder son Chef dans les yeux, mais elle finit tout de même par l'interroger du regard.

La Comtesse regarda son chef s'éloigner et partit en direction de ses appartements, le coeur lourd. Les évènements qui se préparaient n'assuraient en rien la survie du royaume, ni même de sa dirigeante. Elle passa la porte de sa chambre, songeuse. Réfléchissant à une solution pour revoir sa soeur, elle se vêtit de sa robe de chambre et s'allongea.
Retourner chez le Conseiller serait dangereux... Si je ne possède pas sa permission je n'ai pas sa protection, et les Gardes ne me laisseraient passer sous aucun prétexte... Je pourrais inviter Azatoth et Anadrielle? Le château n'est pas très lumineux, ni luxueux comme je le voudrais, mais il semblait intéresser la Commodore... Shanaria et moi pourrions discuter pour songer à la meilleure des choses à faire...
Elle se retourna plusieurs fois avant de s'endormir enfin, l'aurore ayant déjà montré sa splendeur dans les plaines.

Edgi qui se prommenait tranquillement dans une forêt dense de Naxos pour parfaire ses sens de guerrier tomba dans un piège ...
Mais heuresement c'était un piège dont il était assez simple de se délivrer
(un peu de force).
Continuant ça "promenade" en étant plus vigilant, il décelat de nombreux autres pièges et réussi à les éviter.
[en son fort intérieur][si l'endroit qui est protégé par tant de pièges, est si important que ça il doit receler de trésors...]
Il continua à suivre la "piste" des pièges et arriva bientôt devant une ville camouflée dans la forêt, mais avant qu'il se rende compte de quoi que ce soit il fut emprisonné dans un filet...
Etant resté conscient il remarqua que les gardes qui l'avait fait prisonnier l'emmenait en plein dans la ville.
Au moment ou ils passèrent dans une ruelle sombre, Edgi en profita pour d'un coup d'épaule monstueux (d'infernal) pour assomer un garde, d'un coup de pied tout aussi fort pour en assomer également un deuxième et de se libérer et de reprendre ses armes avant de faire façe au dernier garde et de le vaincre avec force et vivacité.
S'éloignant en silence il ne vit pas un des gardes qui était un humain s'enfuir pour sûrement donner l'alerte.
Alors qu'il se se démenait comme un diable pour sortir de la ville il entra par mégarde dans les endroits où étaient les chambres, pariant sur l'une d'elle vide, il entra et vit une personne faisant les cent pas.
C'était un elfe noir de 2m30 et il engagea le combat contre ce nouvel adversaire qui sortit son katana contre son epée de 1m 50.

[ 1 - tu viens casser un RP
2 - On dis pas ce que fais l'autre fais ( il sortit son Katana )
3 - Mon Bg dis que je fais plus que 2m05 ...]


Polokyor regarda la personne entrer dans la salle, il la regarda d'un oeil surpris et dit :

Qui-etes vous ?

Le Palatin de Naxos regarda l'étrangé, et se rappella d'un image envoyée par ses psionistes, cette infernal ressemblait a l'image envoyé par ses psionistes, il se prepara quand meme a lancer un sort et dit :

Serait- il Possible que tu sois de l'Ombre Chaotique ?

Enfer et damnation !!
Je vous présente mes humbles excuses ainsi qu'à la Comtesse Satania
Sur ce, l'infernal sortit de la chambre puis de la ville discrètement l'air dépité par sa faute grave ...

La Comtesse se réveilla en sursaut en entendant la porte s'ouvrir à la volée : quatre gardes se précipitèrent dans la pièce afin de l'inspecter. Personne. Personne hors mis une Vampire décontenancée par le comportement de ces hommes. L'un d'eux finit tout de même par s'incliner et déclarer :

- Mille excuses Noble Dame, mais l'alerte a été donnée, et l'intrus n'a pas encore été trouvé...

Compréhensive, la Vampire ne dit mot et sortit de ses draps, puis de sa chambre. Sa robe effleurant le sol, elle se dirigea vers les appartements de son Chef, les gardes sur ses talons. Elle ne se précipita pas, Polokyor était certainement la personne de son entourage qui avait le moins besoin d'aide...
Ouvrant sa porte, elle vit le Drow au milieu de la pièce, le sourire aux lèvres. Elle s'avança vers la fenêtre ouverte, la ferma, et se tourna vers son Chef.

- A vous voir je dirais que l'intrus ne vous est pas étranger... Qui était-ce au juste ? Puis, regardant les gardes, elle leur fit signe de sortir. Une fois ceux-ci dehors, elle s'adossa contre la fenêtre close et interrogea le Patriarche du regard.

L'air satisfait, la Comtesse commença à marcher vers la porte. La tête baissée, elle traversa la pièce en déclarant avec hésitation :

- Je... Je vais quitter Naxos un moment... J'ai besoin de réfléchir... Et je ne suis pas en terrain neutre ici... Mes pensées se bousculent et je n'ose plus réfléchir... Si je vais en ville je pourrais faire abstraction de mon entourage pour penser à autre chose... Je suis préoccupée en ce moment, et je crains que rester ici une nuit de plus me rendrait totalement folle...

Elle était à présent dos à Polokyor, et elle sentait en lui son incompréhension. Se retournant, elle le fixa un moment et lui dit :

- Vous pouvez rester ici le temps qu'il vous plaira, j'espère que les hommes qui sont à mon service seront à la hauteur de vos exigences... Elle inclina sa tête en signe de respect, fit apparaître sa cape noire sur ses épaules, puis continua : Vengrahim reste pour s'occuper du domaine, je vous laisse entre ses mains... Elle recouvrit ses cheveux d'ében de sa capuche, puis s'inclina et sortit de la pièce.

Trouvant Vengrahim, elle lui annonça son départ et l'informa de quelques petites choses à garder sous silence. La plus grande confiance que la Comtesse puisse avoir était réfugiée en cet Homme.
Montant sur un cheval ordinaire, elle laissa son représentant sur les plaines du territoire de la Rose Noire, et partit au galop pour sortir de Naxos...

Une nuit de pleine Lune éveilla la Comtesse. Elle se prélassa un moment dans ses draps de soie avant de se rendre à la fenêtre, vêtue de sa robe de jour rouge sang. S’asseyant sur le rebord, elle contempla la nuit, son domaine et ses jardins qu’elle voyait parfaitement de là. Elle s’était perdue dans ses pensées lorsqu’une ombre fit son apparition dans le ciel étoilé ; les yeux perçants qui la fixaient ne pouvaient qu’appartenir à sa fidèle dragonne. Celle-ci n’eut cependant pas le temps de se poser près de la Vampire avant qu’elle ne l’aperçoive, un bruissement d’ailes ayant attiré son attention. Une fois ses griffes resserrées sur le même rebord que celui de la Comtesse, la petite créature se tourna vers sa Maîtresse. Satania lui adressa un sourire avant de communiquer avec l’esprit de Divithra :

- Y es-tu parvenue ? demanda-t-elle, pourtant persuadée de la réponse affirmative.
- Evidemment... Et en mains propres.
- Parfait. Il faut donc que je prépare mon voyage...

Elle se leva alors et fit quelques pas vers sa commode, lorsque la dragonne répondit :

- Ne peux-tu pas rester encore un moment ? Vengrahim se sentait bien auprès de toi, il n’a pas envie que tu t’en ailles à nouveau...

La Comtesse ouvrit un tiroir et en sorti une sorte de peignoir en soie, assorti à la perfection avec sa tenue. Le revêtant et dégageant ses cheveux en les attachant, elle regarda à nouveau Divithra. Elle la fixa un moment puis lui dit :

- Je n’ignore pas cela...
- Alors ne précipite pas ton départ.
- Si je n’avais aucune raison de partir, je ne m’en irais pas. Réfléchissant un moment, elle ajouta : Je partirais demain... Je compte sur toi pour veiller sur le Royaume, et m’avertir en cas de problème.
- Tu peux... Mais je te prie de faire attention...

Esquissant un sourire protecteur, la Vampire jeta un regard à ses appartements personnels lorsque Divithra prit son envol. Elle devrait plutôt partir tout de suite, mais ne se résigna guère à le faire sans en informer Vengrahim.
Sortant donc, elle se retrouva face à lui, qui lui apportait un verre de sang, comme chaque soir. Il parût étonné de la voir en dehors de sa chambre, mais ne posa aucune question. Ne sachant comment le lui dire, Satania prit le temps de boire son breuvage pour réfléchir à la chose. Dégustant jusqu’à la dernière goutte, elle fit disparaître le verre pour ne point s’en encombrer. Elle prit ensuite le bras de son Représentant, et voulut commencer à marcher lorsqu’il la retint. Le regard plein d’incompréhension, elle le considéra, puis il déclara :

- Que voulez-vous me dire, Comtesse ?

Elle détourna les yeux un instant, avant de le regarder à nouveau :

- Je vais devoir partir.

Il baissa les yeux avant de les clore. Ce fut plus fort qu’elle, le sentiment qu’éprouva son homme de main à cet instant la transperça, alors qu’elle n’avait aucunement pénétré son esprit. Soudainement, Vengrahim voulut la prendre dans ses bras, et elle le laissa faire, incapable de lui refuser cela... Elle lui chuchota doucement :

- Je te contacterais régulièrement par l’intermédiaire de Divithra... Je suis persuadée que tu t’occuperas à merveille du Royaume, comme d’habitude... Et je te promets de revenir le plus rapidement que je le pourrais...
- Prenez soin de vous... C’est tout ce que je vous demande...

Il desserra lentement son étreinte avant de la regarder dans les yeux. De chaudes larmes roulaient avec douceur sur son beau visage, malgré qu’il essayait de sourire... La Vampire déposa alors un baiser sur sa joue, provoquant un baisemain de la part de son Remplaçant. Ils allèrent ensuite s’occuper de parchemins importants qui ne pouvaient être traités que par la Comtesse, avant que celle-ci aille parler à ses apprentis. Vengrahim ne la quitta pas un instant, et elle imagina qu’il cherchait en secret une raison valable pour la faire rester.
Le lendemain n’arriva que trop vite pour l’Humain. Satania s’était vêtue de sa tenue de combat, la préférant pour les voyages. Avant de partir, elle prit à son tour l’initiative de prendre son sous-officier dans ses bras, tentant vainement de le rassurer... Puis lui adressant un dernier sourire, elle partit sous le regard inquiet des habitants de la Rose Noire.

Tant d’années avaient passé... Il était difficile d’imaginer que cela se produirait, même les principaux intéressés n’y croyaient pas vraiment. Elle-même était étonnée de son choix, mais après tout, pourquoi pas... Cela faisait bien longtemps que l’Argostole était paisible, calme... Déserte. L’Aventurière qui sommeillait en elle ne se manifestait que rarement : lorsque, seule dans sa chambre, elle laissait son esprit divaguer vers d’autres horizons... Parfois, elle se remémorait sa rencontre avec sa sœur, ses excursions dans la Ville Impériale, ou encore ses innombrables voyages... Le fait est que tout ceci résultait du passé, mais qu’importe aujourd’hui. La Comtesse allait repartir, c’était certain.


C’était le milieu de la nuit. La Lune éclairait divinement les Terres de la Rose Noire, elles-mêmes parcourues par une brise légère et douce. Deux chevaux étaient lancés au galop sur les plaines du Royaume... Suivant le sens du vent, les cavalières échangeaient joies et rires durant la course effrénée. Arrivées à un point qu’elles s’étaient fixé, elles ralentirent le pas avant de descendre de
leur bête.

- Bien joué petite sœur ! lança l’une d’elle.
- Merci, tu t’es bien débrouillée aussi ! rigola son interlocutrice.

Elles continuèrent à échanger, tandis qu’elles flattaient l’encolure de leur monture.

- C’était une belle course !
- En effet, mais la dernière avant un moment...
- Ne me dis pas que je t’ai fait dépasser tes limites...
- Pour cela, il faudrait que j’en ai !

Le sourire aux lèvres, la plus âgées des deux regarda son cheval dans les yeux, avant qu’il ne rejoigne l’écurie de lui-même. Sa sœur fit de même, et son destrier suivit l’autre au trot. Les deux jeunes femmes, gracieuses et délicates, observèrent le calme du Domaine, immobiles. Elles l’ignoraient, mais il se trouvait qu’elles illuminaient la nuit des yeux masculins qui les observaient de loin.

Lorsque la Comtesse dirigea son regard vers celui de sa sœur, elle lu de l’incompréhension. Regardant à nouveau les alentours, ce n’est qu’en observant les étoiles qu’elle osa parler :

- Je savais que je ne pouvais pas te le cacher éternellement...
- Que se passe-t-il ? s’inquiéta la cadette.
- Je vais partir... Puis, devant les yeux interrogateurs qui la regardaient, elle poursuivit : Marchons, je vais t’expliquer...

S’en suivit un discours muet, les esprits échangeant dans le silence de la nuit.

Alors qu’elles arrivaient devant le château, la conversation reprit à haute voix :

- Je t’accompagne. déclara la plus jeune.
- Es-tu sûre de toi ? répondit son aînée après une brève hésitation.
- Il est temps de mettre à profit mon entraînement.

Un sourire, une embrassade, et les deux jeunes femmes allèrent préparer le nécessaire à leur voyage. Les silhouettes encapuchonnées sortirent du Domaine par la suite, après de brèves explications au Représentant de la Comtesse. Décidemment, cette dernière l’étonnera toujours...