Le Psioniste, toujours étendu dans le lit, n’ayant pu garder un sommeil réparateur avait décidé de cesser de s’acharner. C’est assis sur le matelas de luxe, qu’il avait entendu deux servantes discuter a propos d’un nouveau Palatin en Argostole et d’un discours qu’il devait prononcer sous peu, a Methymna. L’affaire l’intéressait grandement, il voulait entendre les objectifs et les intérêts du Palatin, en espérant qu’ils soient commun au siens.
Il quitta donc la chambre et informa une servante qu’il serait de retour sous peu. Au salon, il ne vit que la comtesse qu’il avait brièvement rencontrée plus tôt. N’ayant pas l’habitude de se montré impoli avec ceux de sa race, et regrettant légèrement sa conduite plus tôt, qu’il jugeait déplacer, il se dirigea lentement vers elle avant de lui dire :
''Je suis enchanté de vous revoir ici. Je tenais à m’assurer de votre indulgence, quant a ma conduite tout a l’heure. Je suis parti rapidement, et cela sans même vous demandez votre nom. Auriez-vous la bonté de satisfaire ma curiosité et de me dévoiler quel pourrait-être le nom d’une dame aussi charmante que vous ?''
Son regard bleu et charmeur plongé dans celui de la vampire, Valarik attendais une réponse avec impatience. Ne camouflant aucunement l’intérêt qu’il portait aux femmes, il avait presqu’envie de prendre la main de la psioniste dans la sienne afin de toucher sa peau blanche, qu’il imaginait très douce. Mais ce geste serait grossier venant de la part d’un vampire qu’elle ne connaissait même pas, de plus, son cœur étant prisonnier de son amour perdue, il ne désirait pas trahir ses sentiments a cause d’une simple aventure.