La Taverne du Loup qui boite

La nuit était tombée depuis un bon moment maintenant. Alcyban s'était rendu directement de l'Auberge Sans Attaches à cette taverne. Le chemin lui avait paru assez court et l'air assez frais du début de nuit l'avait dégrisé quelque peu. Il était accompagné d'Armand Malkövien qu'il guida jusque là.

Arrivé à la porte de la taverne, il s'arrêta et l'ouvrit en s'effaçant. L'endroit était assez sombre et il ne distingua pas grand chose. Il fit un signe de la main au vampire en se courbant quelque peu:

Après vous Comte, je vous prie

Farlen attendit un bruit, il repoussa demoiselle Awake et se leva.

-Non, pas déjà ! Désoler demoiselle, je dois partir tout de suite. Ce que je fui m'a retrouvé. Je reviendrai bientôt. Au plaisir de nous revoir.

Farlen quitta la pièce en courant. Il descendit les marches et lança a Raina une bourse et s'écria:

-Gardez la monnaie.

Sa soeur resterai la pour la soirée, elle en avait bien de besoin. Il franchit la porte au pas de course.

La Célestiale aperçut le signe du nouvel arrivant, et elle lui rendit en sourire. Puis elle continua son observation, et la conclusion évidente qui parvenait à son esprit était claire : cette ville était faite pour elle. Les gens étaient sympathiques, même avec une étrangère. Son regard croisa une fenêtre, quelque chose n’était pas normal. Une sorte d’agitation non apparente régnait dehors, et cela ne la rassurait guère. Aventureuse, Sherisha se demanda si elle n’allait pas jeter un coup d’œil, avant de se reposer quelques instants. Finalement, elle se dit qu’elle pourrait attendre de finir calmement son hydromel, avant de se précipiter à l’extérieur pour une chose qui n’en valait peut-être pas la peine... Et elle retourna à ses pensées, ayant une nouvelle personne à regarder des pieds à la tête...

Aréol attendait pendant quelques minutes ses deux frères, ils devraient déjà être là. Quand un hallo apparu dans sa chambre et Arden apparu. Sa soeur s'assit et demanda à Arden de faire de même. Farlen apparu par la suite. Il s'assit par la suite. La réunion pouvait commencer.

Farlen commenca à parler :

-Commencons par le début, comment se porte notre plan pour une meilleur vie ? Comment faire pour prendre le pouvoir à l'empereur, je vous le demande. Pour l'instant, des armées vont vers Zircondal pour vous aidés je crois ?

Arden répondit :

-Oui, je ne crois pas que Zircondal va résister à l'attaque de Nataniel. Tout va tomber ce matin. Et toi petite soeur, des nouvelles de la villes ?

-Oui, par la fenêtre j'ai pu voir l'armée de Fardall. La capital va tomber, nous devons les aider, car sinon, notre plan ne fonctionnera pas.

-Je ne croit pas que l'on peut combattre seul, il nous faudrait une armée suplémentaire. Car, l'empereur va perdre contre Fardall. Des sugestions ?

-Oui, j'ai entendu dire par un de mes rodeurs, qu'une armée voulait mettre en poussière l'armée de Fardall. On pourrait leurs demander leurs aide contre de l'or ou autre.

-D'accord, Farlen reste ici, tu a des bon contact ici, moi je vais voir l'armée et toi Arden, tu retourne en Zircondal. Va d'abord chercher des renforts de l'est.

-D'accord, j'y vais.

Arden incanta un sort et disparu dans le néant.

-Farlen, j'espère qu'on pourra les sauver.

-Merci, bonne chance.

Aréal disparu à la suite d'un sort.

Farlen regarda le lit et se coucha.

Se réveillant en sursaut, Demoiselle Awake sentit des palpitations et des sueurs froides s'émaner de tout son corps puis une odeur familière lui raviva les narines. Puis doucement elle ouvrit la porte de son armoire, mis une cape recouvrant son corps encore tout chaud et elle se dit à vois basse.

- Farlen, te voilà revenu... Quelle joie !

Elle regarda la fenêtre et la nuit se dressais, elle qui était si convoitée par cette Créature. Puis, Awake sortit doucement de sa chambre, elle entra dans celle de Farlen et s'asseya doucement sur le sol dur planché de chêne souillé par les autres locataires. Alors qu'elle se contentit de l'admirer dans son beau sommeil, elle craint l'avoir réveillé lorsqu'il se mit à bouger vers son côté mais ce n'était qu'un mouvement sans raison spécifique donc elle tendit sa bouche de son oreille en lui disant.

- Aie la bonté de faire de beaux rêves, je t'en conjure, cette chance ne met pas accorder. Dors bien, dors vraiment, dors pour toi...

Puis elle lui caressa doucement ses cheveux comme pour le bercer au plus profond du bonheur.

Alors que Awake allait partir, une main lui tenu sa cape. Farlen se leva tranquillement de son lit. Il ne savait pas quoi faire, mais il ne pouvait pas dormir longtemps. Le sommeil ne venait pas à lui. Il regarda Awake avec une lueur de bonheur. Que c'était t'il passer, où était passé Penyal ou Penyil, il était perdu dans sa tête et le faisait souffrir.

-Miss Awake, je suis content de vous revoir. Je me suis ennuyé de vous. Aller voir Graubuust si c'est vraiment lui. Je vais prendre un déjeuner bien mériter.

Farlen embrassa le front de Awake et partit en bas. Il s'arrêta devant Raina et la salua :

-Bonjour Raina comment allez-vous ? Je prendrais bien un petit déjeuner. Merci.

L'attention de Farlen se mit sur une jeune céleste. IL s'approcha de la demoiselle et lui demanda gentiment.

-Bonjour demoiselle, puis-je m'asseoir à votre table ?

Un sourire s'effaça rapidement sur le visage d'Awake mais décidé à ne pas perdre pied, elle sortit puis alla voir Graubuust

- Vous désiriez me voir Messire ?

Puis une lumière étrangère et redoutée sortit de la noirceur habituelle de la lune. La lune bleue brilla de pleins feux. Perçant la peau de la belle demoiselle de toute part, elle se mit à crier tant la douleur fût intense. Puis la belle créature s'évanouit sur le sol lentement, dans une chute lourde et mortuaire. Lorsque le nain tenta de s'approcher, la cape s'embrase et se consume lentement au fur et à mesure que le nouveau visage d'Awake se dévoila en disant :

- Qu'il est bon de reprendre sa vraie forme, cette femme n'aurait pas pu retenir mon âme bien longtemps dans son corps fébril. La peur t'envahit petit homme ? C'est normal, je n'ai plus rien d'humain ou de ce qu'il peut y ressembler. Et oui, qui aurait dit que cette Comtesse aurait fait un pacte avec le Diable...

C'est ainsi que se dévoila un Infernal aussi grand que 3 Hommes, fort comme 2 Minotaures et aussi intelligent qu'un conseil d'Ancien qui était auparavant une Demoiselle commune à la nature ce monde. Brûlant peu à peu le sol par ses pas enflammées, la créature des Enfers se téléporta laissant le Nain dans son interrogation.

Un elf vint voir Farlen, il parraissait qu'une petite armée avait été appercu proche de la ville. Mais avait rejoins le camps adverse. En plus de cela, dans les prisons, tous voullaient s'échapper pour aider leurs libérateurs en plus d'un homme masqué qui avait pénétré l'enceinte de la ville. Il fallait faire quelque chose. Farlen se leva et regarda la célestial :

-Demoiselle, excuser moi de ne pas pouvoir rester plus longtemps, mais j'ai un devoir qui m'attends.

Farlen partit en vitesse vers un lieu de rendez-vous. Une place éclairé où attendait 3 de ses lieutenants. Il les regarda attentivement avant d'annoncer :

-Messire, l'heure est grave, nous devons faire taire cette situation au plus vite. Voici les ordres :

-Une équipe va se rendre dans la prison impérial et va tuer les prissoniers, ou du moins les blesser gravement, tuer les gardes s'il le faut.

-Pendant ce temps, vous devez aller vous cacher proche des portes et attendre que quelque chose arrive, si quelqu'un essaye des ouvrir, empècher les.

Les hommes partirent et allèrent exécuter leurs plan.

Hola ! qu'est-ce que cela ! la taverne du loup qui boite est vide !!

Où sont donc passés les buveurs, les voyageurs, les gourmands qui peuplaient les tables du bâtiment ?

Derrière son bar, Guilam fixait tristement la porte clause qui refusait de s'ouvrir sur l'entrée tant attendue d'un client.

"Même ma serveuse semble m'avoir abandonnée...!"

Soupira-t-il tristement.

Son rêve partait en même temps que son argent.

Un nain entra dans la taverne du loup qui boîte et fut surpris de n'y voir personne. On dirait bien que cette guerre a préoccupé le peuple mais pourtant l'heure est à la fête puisqu'un nouvel Empereur est arrivé ! Soudain, Graubuust remarqua la présence du propriétaire des lieux, il semblait visiblement abattu par la tranquillité de la place. Réaction normale puisque le silence n'a jamais été du genre à boire beaucoup.

Bonjour à vous messire Guilam, voilà longtemps que nous n'avions eu l'occasion de vous voir derrière le comptoir depuis que vous avez engagé votre ravissante serveuse. En parlant de service, je vous prendrais bien quelques choppes de bières pour me désaltérer.

Le Spadassin trouvait désolant de voir dans cet état le tavernier. C'est alors qu'il se souvint d'avoir lu son nom parmi les assassins répertorié par l'Ombre.

Messire, me permettez-vous de vous offrir de rejoindre notre Corporation ? Avec cette offre, ce joint la possibilité de faire de votre établissement un lieu de détente et de réjouissance pour nos membres qui seront évidemment des clients comme les autres aux yeux de votre clientèle régulière qui cherche à évacuer le stress et les soucis par la consommation d'alcool et de bon repas.

Le nain déposa une bourse contenant une bonne somme d'écus.

Vous aurez cette somme chaque mois si le marché est conclu. Vous serez nos yeux et nos oreilles au coeur même de la cité. Il vous suffira de venir faire un tour dans notre repère pour nous tenir au courant des nouvelles.

Le seigneur Simuel entra dans la taverne une fois la nuit tombée, il n'y avait que deux personnes ce soir là. Le paladin en armure s'approcha du tavernier et lui dit d'une voix douce :

"Bonsoir tavernier, pourrais-je avoir un repas chaud et une chambre pour la nuit ?"

Le paladin reçut son repas et il commença à manger tranquillement installé au fond de la taverne.

Dernière édition par Simuel le Lun 26 Mai 2008 - 19:02, édité 1 fois

Un jour était passé, et Simuel c'était bien reposé, maintenant il voulait profiter de son appartenance à la guilde des guerriers. Le paladin descendit avec une bourse pleine d'or qu'il donna au tavernier en guise de remerciement, le tavernier ne sut quoid dire alors la paladin lui sourit et tourna les talons. Il ajouta avant de partir :

"Merci pour tout, que Sorenssen vous garde."

Et le paladin monta son fidèle destrier et s'en alla au lever du jour.

Après avoir quitté le tribunal, Laonar se dirigea, tel que convenue avec Arzhul, vers la Taverne du Loup qui Boite. La nuit commençait à tomber et même si Arzhul n'était pas là, il se prendrait une chambre pour la nuit. Lorsqu'il entra dans la taverne, Arzhul discutait déjà avec le tavernier.

- Si je connais Laonar, bien sur que oui. Ce fut un client régulier il y a quelque temps. Malheureusement, cela fait des mois que je ne l'ai pas vu ...

À l'entrer de Laonar, le tavernier arrêta de parler puis reprit.

- Et bien, le voila. Je vais vous préparer votre table.

Le tavernier prépara la table des deux hommes et ces derniers s'installèrent ensuite. Laonar fut le premier à prendre la parole.

- Bonjour mon seigneur, heureux de vous rencontrer. Je me présente, Laonar, gestionnaire de la Corporation des Itinérants ainsi que grand navigateur et marchand. Au fait, prendriez-vous quelque chose? Laissez moi vous proposer quelque chose, c'est moi qui l'offre.

Puis, il s'adressa au tavernier.

- Mon cher, avez-vous encore la boisson que je vous avais apporté?

- Bien sur, je ne l'ai pas utilisé depuis votre disparition.

- Et bien, amenez moi en deux s'il vous plait.

Puis, il se retourna vers Arzhul.

- C'est une boisson que j'ai ramassé durant un de mes voyages, c'est une tribu sur une île sur le chemin d'Outre-Mer. Cette île n'est même pas sur les cartes.

Puis, il s'arrêta de parler, pour laisser Arzhul prendre la parole.

Hmmm intéressent, cela pourrait être une bonne expérience.
Et une bonne quête pour un cartographe. Et tout aussi bien pour un missionnaire. Il y avait une pointe d’humour dans sa voix, mais rien sur son visage
Mais je ne pense pas que se soit pour cela que vous m’avez contacté ?
Il bu une gorger de la boisson et fut plutôt satisfait. Sysk’o faisait la gueule de son coter, car il avait été oublier.



[LONGUEUR ! ^^ Nathaniel]

Laonar fut un peu déçu par la réponse de son interlocuteur. Il avait essayé d'entamer la conversation avec sympathie mais l'inquisiteur en face de lui ne semblait pas vouloir poursuivre dans cette voie. Malgré son mécontetement, il ne montra aucune expression sur son visage et reprit la parole.

- En effet monseigneur. La raison pour laquelle j'ai organisé cette petite rencontre est à propos de Thassopole. Belle province n'est-ce pas. Ce qui m'a frappé, c'est que j'ai entendu un de vos hommes parler de vous en tant que palatin de cette province. Mais j'ai un doute. Je ne suis pas ici pour vous juger mais je me doute, d'après votre carrure et votre façon d'agir, que vous ayez obtenu ce titre de façon démocratique. Est-ce que je me trompe?

Il laissa de nouveau la parole au Grand Prêtre.

Arzhùl se renfrogna
Oseriez vous remettre en cause mes titres ?
Oui, je suis le Palatin de la belle Thassopole, ma terre natal ! dit il fièrement
Dans un premier temps, j’ai occis le palatin n poste pour corruption, séquestration, hérésie et j’en pas des meilleurs… J’ai pris la tête de la province pour un temps de restauration. Dit t il sur un ton résigné
Et cette période risque d’être long… d’un air persuadé
Par Kanderak pourquoi ces questions ?
Vous êtes le gestionnaire de la corporation des itinérants, voilà un symposium digne de se nom… Arzhùl trouva ce Loanar plutôt sympathique, mais n’était pas sur de ses objectifs, le future lui révélera

Laonar commençait à aimer de plus en plus son interlocuteur et peut-être même futur collaborateur, si ce dernier le souhaitait. Il poursuivit donc la conversation.

- Pourquoi ses questions? Et bien, voilà. Vous dites avoir occis l'ancien palatin, hors, et je ne veux point vous décevoir, mais vous ne l'avez pas fait. Le palatin de Thassopole se trouve devant vous. Celui que vous et vos hommes avait tué n'était que mon second. Ce pourquoi j'étais hors de Thassopole était que j'étais en mission en Outre-Mer au nom de l'Empire et ensuite, je fus emprisonné par l'Empereur, ce pourquoi je ne puis revenir en Thassopole.

Puis, il marqua une courte pause, pour laisser le temps au Grand Prêtre de digérer cette déclaration. Laonar remarqua un peu la frustration qui montait en l'inquisiteur. Il reprit donc la parole pour le calmer.

- Mais voila, je suis prêt à faire une entente avec vous. Je suis prêt à vous laisser le post de palatin. Il est probable que je ne puis passer beaucoup de temps en cette province puisqu'il y a des chances que j'obtienne un poste au sein de l'Empire. Mais voila. Je suis un marchand reconnu un peu partout dans Kalamai et j'aimerais garder le contrôle du marché en Thassopole. Ceci sera profitable pour vous et pour moi. Je vous explique. Le marché me permettrait, à moi et à ma compagnie, de faire des profits. De votre coté, cela vous permettrait d'obtenir un plus grand marché avec les autres provinces tout en recevant une partie importante des profits. Qu'en pensez-vous?

Laonar se rassit au fond de son siège et attendit la réponse du palatin.

- Pourquoi ses questions? Et bien, voilà. Vous dites avoir occis l'ancien palatin, hors, et je ne veux point vous décevoir, mais vous ne l'avez pas fait. Le palatin de Thassopole se trouve devant vous. Celui que vous et vos hommes avait tué n'était que mon second. Ce pourquoi j'étais hors de Thassopole était que j'étais en mission en Outre-Mer au nom de l'Empire et ensuite, je fus emprisonné par l'Empereur, ce pourquoi je ne puis revenir en Thassopole.

Arzhùl fut un peu surpris, me se rappela qu’à plusieurs reprises dans ses recherches au palatinat de Thassopole fut stipuler le nom de Laonar. Il rattrapa vite ses émotions, la parole du visage et très importante sur tout pour un Inquisiteur, et c’était une chose qu’il maîtrisait toute à fait.

-Mais voila, je suis prêt à faire une entente avec vous. Je suis prêt à vous laisser le post de palatin. Il est probable que je ne puis passer beaucoup de temps en cette province puisqu'il y a des chances que j'obtienne un poste au sein de l'Empire. Mais voila. Je suis un marchand reconnu un peu partout dans Kalamai et j'aimerais garder le contrôle du marché en Thassopole. Ceci sera profitable pour vous et pour moi. Je vous explique. Le marché me permettrait, à moi et à ma compagnie, de faire des profits. De votre coté, cela vous permettrait d'obtenir un plus grand marché avec les autres provinces tout en recevant une partie importante des profits. Qu'en pensez-vous?

Il prit la parole

Mon jeune ami, l’entente que vous me proposez me parez convenable. L’Inquisiteur était sincère
Mais je dois vous éclaircir sur un point très important ! Rappelez vous, je suis le Maître d’un Ordre d’Inquisiteur. Et vous venez de m’avouez que l’homme en question était votre second, se qui implique que vous étiez proche l’un de l’autre, à quel point je ne serait vous le dire pour l’instant, mais c’était un homme que vous aviez l’habitude de côtoyer dans tout les cas…
Il prit un ton solennel
Et y se trouve qu’une enquête à été mener sur cet homme.
Et cet homme à été jugé hérétique par la Sainte Inquisition, son réseau démanteler !
Et comme vous le savez, il y a toujours un "mais"…
Le Grand Prêtre prit un pause

Il y avait des personnes haut placées dans sa confrérie, des personnes de… je n’ai pas à vous révélez ces informations.
Et vous venez me dire que vous étiez son supérieur ?
même si Arzhùl appréciait ce Laonar, l’Inquisiteur lui faisait son travail, il avait apprit à mettre de coter ses sentiments
Préférez vous la collaboration ou la force ?