Expédition impériale des Terres Nordiques

Nous étions déjà au matin du départ vers les terres froides du Nord, le but de cette expédition dont j'avais maintenant la responsabilité aux côtés du Sieur Adola. Lors de l'annonce de l'Empereur j'avais été grandement surpris des choix qu'il avait fait. Jamais je n'eus espéré me retrouver en une position aussi importante. Il va s'en dire que je souhaitait fortement être à la hauteur, je ne pouvais me permettre de décevoir Fardall en personne.

Sachant qu'Ardent prendrait grand soins de veiller à la protection et la défense de l'expédition, mes craintes se voyaient réduite. Plusieurs espions parcouraient également les environs, effectuant des aller-retour pour nous tenir informer de ce qui nous attendait au devant de notre route. Pour le moment, tout était relativement paisible et je profitais du calme pour discuter avec Adola et Hellän Fingon afin de bien mettre en place la marche à suivre et la destination exacte que nous devions atteindre. Ce dernier partagea alors avec nous une carte qu'il avait griffonné lors de son premier passage en ces lieux arides. Il nous expliqua quelques détails :

Messieurs, cette région est vaste et le climat est toujours à prendre en considération. Il peut faire beau soleil le matin et être en pleine tempête l'après-midi. Les vents causeront aussi problème par son froid et sa force.
Faites attention, le sol n'en est pas toujours un, j'ai perdu de nombreux hommes dans des trous si profond que l'on entendait même pas le corps toucher fond. Nous serons en montagne et ces trous sont des ravins où une croute de glace et de neige c'est formé par le vent.

Merci Hellän, tes conseils nous seront utile lorsque nous commenceront à être en altitude.

Je songea aux explication de l'explorateur, on ne pouvait se permettre de perdre des membres dans ces grands ravins. Nous avons suffisamment perdu de vie comme ça.

Sieur Adola, puisque seul les personnes en santé ont eu droit de continuer la route, pouvons-nous distribuer le matériel et les vivres pour que chacun porte une charge et que nous abandonnions les chariots lorsque nous atteindrons la base des sommets ? Si ces mêmes ravins sont sur notre route, ils ne passeront pas dû à leur poids. Nous avons des cordes, nous pourrions alors les utiliser pour relier les hommes en groupe de trois ou quatre, chacun à distance égale. Cela devrait les éviter de tomber au fond et ainsi permettre de le ramener par les autres. Quand pensez-vous ?

Tandis que j'attendais la réponse du Spadassin, j'observais attentivement la carte. Cherchant une éventuelle zone pour faire le bivouac avant la nuit.



Dernière édition par Babka le Mar 30 Déc 2008 - 3:47, édité 1 fois

Lorsqu'ils étaient à Perganon, Dartoil resta avec ses hommes. Il ne connaissait que le commandant Ardent qui était fort occupé de part ses responsabilités.

Parmis les peut de connaissance qu'il avait pu faire durant ce voyage, il y avait aussi l'autre membre de la corporation des combattants, l'archer Farlen Farden, mais les peux de discutions qu'ils avaient eu ne leurs avaient pas permis de mieux se connaître.

Lorsque l'empereur annonça non seulement qu'il ne continuait pas, mais en plus qu'il nommait l'elfe noir Adola à la tête de cette expédition, Dartoil ne put s'empêcher de se demander si l'empereur voulait que tous ses seigneurs ne reviennent jamais...

Malgré qu'un démon ait organisé l'embuscade, on acceptait sans rien dire les infernaux qui les accompagnaient. Si on rajoute à cela les vampires, elfes noir et le fait que l'armée impériale ne continuait pas, l'expédition risquait d'être majoritairement constitué d'être maléfique, du moins maléfique pour Dartoil...

Malgré cela, ils continuaient tous le chemin, comme si le danger n'existait pas.

Les 3 archers n'ayant pas continué l'expédition à cause de leurs blessures, Dartoil continua donc le voyage en compagnie de ses 4 guerriers et de son soigneur. Tout le long du voyage, le petit groupe restait légèrement à l'écart de la majorité, et surtout des êtres que le Celestial estimait comme dangereux.

Ils étaient désormais dans ce terrible froid, il paraissait évident que dans un tel climat ils ne pourraient plus rester à l'écart du groupe. Quoi qu'il en soit, ils avaient décidé de rester ensemble pour parer à tous les dangers, et surtout ceux venant de l'intérieur...

Alors que nous avancions tranquillement, Yorg arriva, visiblement épuisé d'avoir rejoint le convoi qui était parti avant lui de la cité. Des gobelins avaient encore frappés, plutôt étonnant qu'aucun garde de la ville n'est donné l'alerte.

Seigneur, j'ai les informations que vous vouliez: le traitre qui a mis votre tête à prix ainsi que celle de votre corporation se nomme Mogoth...

Merci de l'information, je venais justement d'en faire part à notre Spadassin en privé, juste avant que nous partions. Des mesures ont été prises pour diminuer l'impact de ce problème.

Yorg semblait n'avoir rien écouter, il se dirigea vers un chariot pour y prendre du repos. Je répondis donc à Adola...

Adola, il est évident qu'il nous faut garder les chariots le plus longtemps possible avant de ne pas épuiser les hommes trop tôt. Nous verrons la largeur du chemin en temps opportun. Excellente idée pour la nourriture, certains ont tendance à tellement craindre de manquer qu'il mange tout d'un coup.

Je tendis ensuite la carte à mon interlocuteur.

Concernant le camp pour la nuit, il nous faudrait choisir si nous allons d'abord vers les gisements qui sont plus au nord ou bien vers la plaine fertile qui se cache vers l'ouest. Dans les deux cas, il serait peut-être préférable de s'abriter à flanc de montagne pour essayer de couper l'effet des grands vents glacials.


[HRP] Voir la carte dans le 2e message de ce topic[/HRP]

Un vent glacial balayait l´expédition, et meme avec le lourd manteau inquisitorial le froid était mordant. Le Seigneur Gorbad avait été laisser a Perganon sur ordre du guerrisseur en chef.
Je venais juste de recevoir une missive des plus inquietante... Je devais en faire par au chef d´expédition, avant que se ne soit mon épée qui face justice. Je me trouvais en compagnie de seigneurs de grande importance, j´étais la en tant que représentant de la Sainte Inquisition.

Pour ce qui est du Saint Ordre, nous avons décidé de laisser le Souverain Pontife a Perganon, avec une escorte. Cela fait qu´il me reste mon unitée de cavalerie, c´est a dire une vingtaine de chevalier, ainsi que trentaine hommes a pied.

Je dois vous faire part d´une information des plus importantes... Je suis a deux doigts de me rendre justice moi meme... Mais il est plus sage de m´en remettre a vous Seigneur Adola!
Une missive en provenance des mes terres. je tandis la missive au Seigneur Adola.



Ceci est un affront des plus intolérables! Il ne peut y avoir de doute, ce soit disant farlen est un traitre, il a attaqué mes terres a deux reprises j´avais le visage empourpré, prets a basculé dans une rage incontrolable...

Mon bras avait enfin repris du neuf depuis le dernier voyage.
Il faut dire qu'avec du temps et de l'entrainement, tout était possible.
Il fallait juste que je me repose encore un tout petit peu histoire de ne pas trop me faire bouger.
J'étais encore assis derrière une charette qui appartenait à mon capitaine.
Essayant du mieux que je pouvais de réparé mon arc de ses simples débris qu'il restait.
Il allait être difficile de tout réparer, surtout lorsque le premier matériaux était un bois qui ne naissait qu'en Amphise.
Au moins, la corde fine de l'arc était encore en bonne état malgré tout.
Il ne me fallait plus grand chose pour tout réparer.
Seul le bois manquant au ingrédiant n'était pas encore là.
Malgré la missive envoyé par aigle à mes confrère, j'avais pensé à deux jours d'aigle pour le recevoir.
Il m'avait l'air que je m'étais trompé encore une fois.

Pour faire passer le temps, j'avais recueilli quelques ingrédients pour crée des potions de soulagements.
J'en avait créé que quelques unes, 3 pour être plus précis.
Malgré mes efforts pour en fabriquer plus, j'en avait raté une bonne dizaine.
Il commencait à faire froid en ses lieux, par chances.
J'avais apporté des vêtements en fourure d'animal trop vieux pour survivre.
On était bien mieux que dans nos vêtements de printemps.
Utilisant mes quelques dernière rations de survies pour manger.
Avant qu'il ne prenne froid avec la montagne, je les ais inséré dans de la laine et du cuir.
Je me suis coucher sur le dos en regardant le ciel blanc et gris...

J'espère recevoir bientôt ma commande.
Si l'ennemi attaque, je ne pense pas avoir de chance avec un arc comme celui-ci.
Surtout ci notre ennemi est un démon, le bois de mon arc est d'une solidité quasi incassable, sauf pour les chutes de 50 mètres.

Un ombre s'était glissé devant mon visage.
J'ai pu reconnaitre ce qui se tramait.
Un sourire apparu dans mon visage et j'eu un air amusé.
Voilà enfin ce que j'attendais depuis longtemps.

Dernière édition par farlen farden le Mer 31 Déc 2008 - 8:16, édité 2 fois

L'expédition était arrivée au pied des monts et déjà les principaux seigneurs formaient conseil pour décider de la marche à suivre ...

Le vent glacial était mordant et le prince résistait au froid tant qu'il pouvait dans sa cape de fourrures. Il ordonna aux hommes de décharger les peaux de loups et les vêtements chauds et de les distribuer aux civils et soldats qui n'en avaient pas.

Faraël s'approcha de Sa Seigneurie Adola et lui répondit:

-Je crois que la raison serait de cheminer par les montagnes, où nous pourrons nous réfugier en cas de besoin, et découvrir cette vallée. Les montagnes couperont peut-être le vent qui vient de la côte en rafale. Pour ma part, je n’ai personne avec moi, mais les civils recueillis et emmenés depuis la Capitale, Scitopole et Édhesse doivent être une centaine, et point d’enfants parmi eux …

Ceci est un affront des plus intolérables! Il ne peut y avoir de doute, ce soit disant farlen est un traitre, il a attaqué mes terres a deux reprises ...

Faraël jeta un regard à Farlen qui, plus loin dans la colonne, chevauchait tranquillement, son arc en bandoulière.

Lui, un traître ? pensa le jeune seigneur. Il en doutait fort, et pourtant tout était possible.
Adola avait évoqué plutôt le fait qu’ils devaient trouver le ou les traîtres avant que la paranoïa ne s’empare d’eux. Déjà certains avaient des doutes envers les races différentes. Lui-même n’appréciait pas, contrairement à son père, les races dites mauvaises, mais il les tolérait et savait qu’elles étaient utiles et parfois dévouées à l’Empire et méritaient le respect. Le Palatin de Naxos, Mogoth était donc à l’origine des mises à prix sur les membres de sa Ligue. Aux dernières nouvelles, à Perganon, il avait appris que des armées s’agitaient dans l’Est, mais il n’en savait guère plus. Néanmoins, il songea avec inquiétude à son peuple et à sa province plus près du danger et espéra que son frère pu prévenir tout désastre. Désormais, ils étaient coupés de nouvelles, hormis les quelques compagnies qui devaient remonter pour les rejoindre, si elles étaient effectivement envoyées.

Alors qu’il songeait à tout cela, il se mit à pleuvoir. Il n’e s'en soucia pas outre mesure au début, mais une cloche sonna soudain dans son esprit.

- De la pluie ?

Une averse ? Ici en plein cœur des Terres Froides ? Il se serait attendu à de la neige, voir de la grêle, bien qu’il eu rarement eu l’occasion d’en voir, mais pas à de la pluie ! Assurément le vent chargé d’humidité du littoral était parvenu à eux, mais la pluie le laissait béat. À moins que ce ne fut le climat étrange de cette région inconnue …

Il interrogea Helläm, leur guide, du regard.

Celui-ci répondit :

- Non monseigneur, je n’ai jamais rien vu de tel, lors de ma précédente expédition, ni même jamais entendu parler d'un tel phénomène …

De la magie ? Il faudrait consulter le Thaumaturge Impérial, Son Éminence Cotin, mais pour le moment il fallait s’abriter, car la pluie devenait plus intense et mouillés, ils risquaient de geler, sans possibilité de faire sécher les seuls vêtements qui les gardaient au chaud.

Faraël observa la chaîne de montagne tout près, et puis la carte, et il demanda au guide :

- N’y aurait-il pas moyen de s’abriter ?

- Si, je crois qu’il y a des cavernes juste à notre droite, à une trentaine de minute de marche je dirais, nous pourrions nous y installer et faire du feu …

- Fort bien ! Adola, ne croyez-vous pas qu’il serait préférable de nous abriter ? Nous devons nous sécher et attendre que cela passe. Nous serons à notre aise là-bas pour discuter de notre itinéraire je pense.


[HRP : Ceci est le début d’un événement prévu par l’animation, bon Rp et Bonne Année. ]

Sysk'o avait rejoint le devant du convoi, visiblement en furie et ses propos le démontrait : Farlen est un traître.

C'est là une grave accusation Sysk'o et vous n'avez aucun fondement pour le faire. Vous même vous attaquez régulièrement des terres des seigneurs de l'empire sous prétexte qu'il s'agit d'hérétiques sans même connaître votre victime et cela j'en suis sûr. Concernant Farlen, il n'est pas un traître car voilà fort longtemps que je le connais. Il est pour la survie et la paix de l'Empire. De plus il est maintenant sous mes ordres puisqu'il rejoindra mon armada qui sera créé sitôt notre retour de cette expédition. Ses attaques n'auront été que justice pour le peuple...

Retournez immédiatement à l'arrière avec vos hommes et tout geste à l'endroit de Farlen fera de Vous le traître... alors réfléchissez-y.

Cette interruption m'avait légèrement distancé de la tête du convoi et la pluie commençait à tomber. Mais .. il fait un froid mordant et il ... pleut ? Rien de normal là-dedans... Je me dépêcha de revenir auprès de Faraël et Adola, juste assez pour entendre leurs derniers propos, en partie.

.. cavernes ...notre droite, trentaine de ... marche je dirais, ..nous pourrions nous y installer et faire du feu …

- Fort ... ! Adola, ne croyez-vous pas ... serait préférable de nous abriter ? Nous devons ... sécher et attendre que ... passe. ... serons à notre ... là-bas pour ...uter de notre itinéraire je ...

Maudit sois le bruit des sabots, impossible de bien entendre. Au moins j'ai compris le principal, nous nous dirigeons vers les montagnes pour se mettre à l'abri et attendre l'arrêt de la pluie.

Regardant autour de moi, je vis un des assassin de l'Ombre.

Euh .. Yorg, que faites-vous là ainsi armé ? Vous êtes un assassin pas un guerrier. Vous devriez faire dans la discrétion pas dans l'agression directe. Rien ne sert d'avoir l'air hostile, la région l'est déjà bien suffisamment.

Pour le peuple??? Quel indignation...
Comment osez vous? Alors que nous vous avons aidé quand varatorn brulait vos terres...
La Très Sainte Inquisition oeuvre pour le peuple, plus que votre personne ne pourrais le faire!
Je me sentis profondément troublé par ses accusations sans fondement...
Donc un membre de l'expédition attaque tranquillement mes terres, a plusieurs reprises et cela ne dérange personne...
Et visiblement cela était le cas... Meme le Seigneur Adola, qui avait réputation d'etre juste, n'en avait que faire... Par Kanderak que se passait t il?
Très bien... Après tout, et que Kanderak me garde, pourquoi s'embarasser avec des futilités comme la Justice ou l'Ordre?

Retournez immédiatement à l'arrière avec vos hommes et tout geste à l'endroit de Farlen fera de Vous le traître... alors réfléchissez-y.

Vue que ma présence est visiblement inutile, je vais faire comme vous me l'avait indiqué! Me rendre à l'opposé du convoie, la ou reigne l'ignorence du bas peuple... Merci pour cette disgrace publique... L'Inquisition ne fera peu etre plus parti du convoie d'ici demain, mais je suppose que vous en avez cure?

Je remis mon épée dans son fourreaux, puis je regarda le ciel, surpris par cette plui inattendu... Elle lavera mon deshonneur...

L’expédition parcourut la cité et arriva finalement à la citadelle. Une enceinte de pierre la séparait du reste de la ville et les gens y laissèrent les chariots et y montèrent les tentes. Ils n’y passeraient que la nuit, ensuite ils iraient dans les Neiges du Grand Nord, le but de cette expédition. Arrivé depuis peut derrière le comte Éliastofar et la comtesse Lailah s’étaient installé au nord du campement avec leurs escortes et leurs hommes et bêtes qui constituaient leur armée pour soutenir l’Empereur et veiller à sa protection.

Un homme d'apparence bizarre, le dos courbé et le visage balafré se présenta devant la tente des Seigneurs vampiriques, membres de l'expédition, il entra sans gêne et portait une missive qu’il devait leur remettre. Aussitôt l'individu ressortit comme il était entré. Le noble duo Nécromancien avaient reçu des ordres de leur chef et devaient les exécuter.

Une tête mise à prix, un homme à prendre en otage et quitter l'expédition et se rendre en Vénopole pour le livrer.

Ils se firent discret le temps d’observer leur cible et d’attendre le moment propice pour l’enlever et disparaitre avec lui.

Départ vers les terres froides du Nord, de forts vents y soufflent en permanence, la neige y est lourde et abondante, la belle et son charmant compagnon étaient vêtu de riches fourrures bien chaudes et chevauchaient leur montures dragonaires de couleur or, suivant bien le reste de l’attroupement et gardant un œil sur une personne en particulier.

L'expédition était arrivée au pied des monts et déjà les principaux seigneurs formaient conseil pour décider de la marche à suivre ...

Comme une pluie se mit à tomber, cela inquiéta des gens du convoi et ils décidèrent de se rendre aux grottes pour s’y abriter et se sécher.

Dernière édition par Lailah le Mar 6 Jan 2009 - 9:52, édité 2 fois

Sur leurs puissants destriers, Eliastofar et Lailah suivait péniblement le convoi. Le voyage de
jour était des plus pénible pour les deux vampires mais par chance, d’épais nuages noirs
obstruaient le ciel, rendant le voyage un peu moins pénible. Quand le convoi pris une pose
du a une importante pluie gelée. Ils allèrent rapidement se réf dans les caverne avoisinante.
Ils avaient enfin un moment de solitude, loin de tout regard et de toute oreille indiscrète.

Eliastofar partit au bout de la caverne et dit quelques mots à sa compagne. Celle-ci lui
répondit et il éclatât de rire. Il ferma longuement les yeux et puis cria d’une voix grutale.

HERMANN !!!

Sur ce cri, il fit apparaître un nuage de fumée dans lequel apparue un visage fantomatique
d’apparence humaine.

Bonjour Maaîtreee. En quoi puis-je vous être utile.

Mon fidèle Hermann. Il se trouve que je désire ardemment savoir en tout temps ce que fait
une certaine personne. J’aurais donc besoin que tu la surveilles et m’informe sur chacun
de ses agissements.

Maaîtreee … Je veux bien vous rendre ce service mais j’Exige en échange
une compensation

Eliastofar leva les yeux au ciel. L’aide des seigneurs morts-vivants exigent toujours la
même chose … Il prit un couteau et releva sa manche. Il s’entailla le bras et déversa un peu
de sang dans une fiole qu’il tendit d’un air nonchalant à l’esprit.

Bon, tu as ce que tu veux. Maintenant, trouve le seigneur en question et tiens moi informé.
Ne te fais pas repéré et tiens toi loin de la fumée. Je ne peux pas me permettre que tu
nous fasses repéré.

Seigneur Sysk'o, je n'ai pas encore eu le temps de tirer cette affaire au clair mais je compte bien le faire quant nous serons arrêter. Cependant je ne peux me permettre d'arrêter le convoi au milieu de nul part sans risquer nos vies.
Quant nous serons dans les grottes je m'entretiendrais avec Farlen afin de savoir les raisons qui l'ont poussé à vous envahir. Peut être que ses hommes ont agis de leur propre initiative je n'en sais rien.
N'oubliez pas non plus que vous ne pouvez vous faire justice vous même.

Merci Seigneur Adola. C'est pour cette raison que je suis venu querir votre aide, car vous etes l'autoritée Suprème de cette expédition. Sachez que je m'en remet à votre sagesse et que j'ai confience en votre capacité de jugement. Mon épée restera dans son fourreaux, que Kanderak en soit témoin! dis je d'un air solanel

Quant à ce que vous avez dit vous avez tout à fait le droit de quitter l'expédition. Mais dans ce cas je serais obligé d'en faire part à l'Empereur ainsi qu'au Grand Prêtre et je dois également vous dire que nous aurons bien besoin de la Sainte Corporation si l'identité de notre ennemi est bien un être démoniaque. Mais maintenant le choix vous appartient.

Merci pour cette remise dans le droit chemin, Seigneur. J'irais faire amende honnorable au près du Père Thangorim. Et sans vouloir vous juger, cela vous ferez un grand bien, Seigneur, à vous et sur tout à votre ame.
J'éspère pouvoir combattre ce démon comme l'Inquisition me l'a apris.

Un ennemi démoniaque... Je ne pouvais me soustraire devant un tel ennemi... Cela aurai été que pur folie... Non, je me devais de le combattre, meme si certains membres de l'expédition me mettrais des batons dans les roues...

Ah oui et pour ce qui est du fait de vous avoir demandé de regagner l'arrière cela ne signifie nullement une disgrâce mais nous avons aussi besoin d'hommes valeureux et de confiance pour assurer la sécurité des civils et du convoi en cas d'attaque. Et si on ne peut plus se fier à l'Eglise qui se doit d'être un modèle de droiture je ne sais plus à qui je pourrais bien me fier.

Vous savez utilisé vos mots avec sagesse, Seigneur Adola. Je n'ai eu qu'une éducation militaire et religieuse, je n'ai pas ce don que vous avez pour les mots, et cette fois ci c'est avec plaisir que je mis rend!
Encore une chose Seigneur. je me mis près de son oreille et chuchota Je sais que votre corporation est un model du genre, mais l'Inquisition est pas mal non plus pour dégoter certaines informations. Il se trouve que j'étais la proie d'un contrat, comme le Seigneur Ardent, mais cela vous le savez déja, et du Seigneur Gorbad, cela peu etre pas. Et farlen as remplis ce contrat qui pesait sur ma tete... 50000 pièce d'or lui on été revercé pour cette acte... Soyez vigilant Seigneur... je repris ma voix normale et leva la tete vers les cieux Et pour l'heure évitons de tombé malade avec cette foutu pluie... Quand pensez vous Seigneur? un triste sourir barrer mon visage...

Durant une courte durée, Thangorthorim avait été indisposé par des maux de ventre, dûs, il en était sûr, à de la bière mal brassée qu'il avait but à Perganon.

Il était fort inquiet, personne n'avait répondu à sa missive pourtant préssente, de plus, l'Empereur était parti pour l'est et le Grand pontife était resté à Perganon pour se reposer.

Des tensions étaient apparues au sein de l'Expédition, confirmant ses craintes de traîtrise au sein du convoi.

Sortant du chariot où il était allité, il sortit éscorté par les gardes fournis par la Corporation et deux de ses fidèles nains.

Une dispute avait éclatée au sein des seigneurs du contingent.

Le prêtre portait une barbe hirsute et mal rasée, sa robe de prêtre sentait l'ours et il avait dans ses yeux une lueur de mauvaise humeur.

Il gagnat le plus vite possible le lieu du conflit où messire Adola, nommé responsable de l'Expédition en l'absence de l'Empereur essayait de calmer les bélligérants, dont le capitaine des troupes de l'Inquisition, son allié le plus solide dans la croisade.

Silence ! Silence !

Seigneurs de l'empire de Kalamaï, est-ce ainsi que vous oeuvrez pour la gandeur de notre empire ?
La traîtrise et le mensonge règne en maîtres ici !
Sire Adola, je vous demande de me laisser recourir à un concile !
La corruption infecte notre sainte tâche, il faut détruire le mal à sa racine !
Puis-je passer à l'absolution tous les seigneurs de la croisade afin de disculper ou de dévoiler la villénie ?

Je vous en prie, le Mal nous guête, des sûppots du démon rôdent autour des tentes la nuit !
Laisser moi jeter une lumire bénie sur l'obscurité ambiante !

Malbrum se présenta devant l'une des grottes, ses habits étaient trempés et il n'aimait guère cela, il entendis qu'un peu plus loin une dispute entre seigneurs avait éclaté, ne voulant en rien nourrir cette dispute par son avis, il s'installa dans un coin et entreprit d'aider des hommes à allumez un feu de camp.
Thangorthorim était arrivé pour calmer le jeu, on pouvait tout entendre de par ces cavernes dont l'écho nous atteignait sans peine et qui soulignait l'ambiance devenue terne.

Silence ! Silence !

Seigneurs de l'empire de Kalamaï, est-ce ainsi que vous oeuvrez pour la gandeur de notre empire ?
La traîtrise et le mensonge règne en maîtres ici !
Sire Adola, je vous demande de me laisser recourir à un concile !
La corruption infecte notre sainte tâche, il faut détruire le mal à sa racine !
Puis-je passer à l'absolution tous les seigneurs de la croisade afin de disculper ou de dévoiler la villénie ?

Je vous en prie, le Mal nous guête, des sûppots du démon rôdent autour des tentes la nuit !
Laisser moi jeter une lumire bénie sur l'obscurité ambiante !

Le marchand tenta d'allumer un feu avec deux silex et quelques brindilles, mais rien n'y faisait.

Certes ! J'aimerais réellement que Thangorthorim jète une lumière bénie, on y voit pas le bout de son nez ici, ah maudit silex ! lança t-il en oubliant que sa voix serait portée par l'écho.

Des espions doivent rôder par ici mieux vaut être discret. dit-il à l'un des hommes devant lui.

Thangorthorim était fort déçu, sire Adola avait decliné son offre de concile.
Il était en effet primordiale de conserver un bonne image des seigneurs afin que les civils gardent leur calme.

Sire Adola, votre âme n'est pas perdue, je ne pense pas....vous ne faisez que suivre la voie que votre dieu tutélaire vous fait suivre.
Je pense avoir une information intéressante pour vous, mon grand pontife, le sire Gorbad a été mis hors combat, je pense que ses blessures ne sont pas dûes au hasard......de plus, un sentiment de malaise m'habite, des êtres malsains nous guêtent.
Sur ce, vous avez raison, allons nous mettre à l'abri !
Il doit me rester de l'ale, vous joindrez-vous à moi ? Et vous messire Sysk'o ?