Le feu s'était calmé, mais quelque flammes et braisent résistaient. Polokyor s'assit et fit une incantation, quelque gouttes commençérent a tomber du ciel, des nuages noirs apparurent dans le ciel et la pluie tomba, forte, éteignant le feu. Polokyor ouvrit les yeux pour voir le résultat, il ouvrit les paupières et tomba aussitot, s'écroulant, étalant son corps sur le sol. Il était completement inconcient, completement épuisé.
Le chef de l'escouade pyrotechniqe de la Maison de Guérison s'approcha de l'Elfe inconscient. Après s'être assuré que celui-ci n'avait rien de physique, il le fit installer dans le train de blessés qui allait partir. Le chef ne put s'empêcher de sourire quand il dit à un des conducteurs des charettes :
Tu diras à Sirop que le troisième palatin ne tient plus debout !
Voila que le feu était a présent maitrisé.. une bonne chose car le flammes qui jaillissaint de cette Taverne étaient tellement grandes qu'elles auraient pû embraser les batiments avoisinants..
Ranaghar ne pouvait se permettre d'attendre plus ici, il se devait de retrouver le Patriarche Enguerrand, lui seul pouvait l'aider a retrouver les ravisseurs de la petite fille..
Le Drow se remit alors en route vers la maison des guerisseurs afin de retrouver le Palatin de l'Igoumen.. en esperant enfin trouver des indices qui lui permettrai d'avancer sur la piste des bandits..
Bardas et moi arrivérent près de la Taverne, Bardas semblait heureux, regardant tout les coins de la magnifique ville. Je m'arrêtai d'un coup devant la taverne en fumée, les murs brûlés, une odeur de flammes. Un homme enfin ... plutôt un orc, assis devant la Taverne et buvait tranquillement, il avait certainement beaucoup travaillé et se déshaltérait. Je m'approchai de lui laissant Bardas un peu en retrait et lui adressa la parole.
- Hum ! ... Bien le bon jour seigneur de guerre orc, pourrais-je savoir ce qu'il s'est passé ici ? Voilà quelque chose de bien regrettable que cet évenement ...
L’orque interpellé se retourna et regarda la personne qui lui adresser la parole.
« Bonjours messire ; je suis désolé mais je ne puis vous dire se qu’il vient de se dérouler ; quand je suis arriver la taverne était déjà complètement calcinée Je me suis assis la avec une bonne bouteille trouver aux alentours affin d’observé le travail des personnes s’affairant a circoncire le brasier.
Finalement les magiciens sont bien pratiques pour éteindre les incendies. Navrés de ne pas pouvoir les cause de ce sinistres. »
Puis l’orque bus une gorgée du breuvage avant de contempler les dernières personnes explorant la taverne.
- Voilà qui est bien embêtant ... Nous voulions justement y manger un morceau ... Eh bien merci et bonne continuation, seigneur orc
Je repartai donc faisant bouger mes ailes rouges sang sur mon passage pour les dégourdir. Où aller maintenant pour manger ... La capitale à bien changé ...
Bardas était énormément déçut, il aurait tant aimé manger en tête à tête avec son amour, mais il se voyait pas le faire dans un endroit entièrement brûlé... Le barde salua l'orque d'un signe de tête aimable.
"Et bien je crois que nous allons devoir manger ailleurs mon amour... Ne connais-tu pas un autre endroit où nous pourrions rassasier notre faim?"
Bardas était venu m'adresser la parole, oui, il avait faim lui aussi, tout à fait normal, on était venu pour ça ...
- Eh bien, je n'ai fréquenté que deux endroits... le meilleur qui est celui ci, et l'un des moins sécurisés lorsque j'étais infernal et il se trouve dans les quartiers mal-famés ... Tu ne compte pas y aller j'espére ?
Je regardais encore et encore la pauvre Taverne, la fumée s'échappant peu à peu de sa prison qui venait de se détruire ...
Le barde ne savait pas quoi dire, il avait envie de voir toute la ville, mais il avait aussi peur de ces quartiers... Finalement sa faim trancha pour lui.
"Et bien... la faim peut rendre les hommes stupides... Pourquoi ne pas il y aller...?
La voix du barde était timide et il s'en voulait. Il avait fait le mauvais chois, il en était sûr désormais... Mais les dès étaient jetés...
Enchanteur, magicien, sorcier ... Son Barde était vraiment quelqu'un d'exceptionnel, mais Regit préférait une chose en particulier chez lui, c'est un certain goût pour l'aventure mêlé à sa stupidité. Ce sont les nouveau paysage qui font du Barde quelqu'un d'exceptionnel, non ?
Je ne pouvais donc qu'accepter son choix qui de toute façon était également le mien, je ne lui avait pas dit pour ne pas l'influencer. Je me dirigeai donc, tenant mon ami à l'épaule, vers les bas quartiers, ceux dirigé par Tankred, disparu depuis peu de la circulation.
- C'est dans une des Tavernes les plus piteuses que l'on va manger mais bon, ce n'est pas grave ... On fera un tour au casino après tant qu'à braver les bas quartier.
Alors qu'il avait fait escale aux Jardins d'Halicarnasse, Sirias avait maintenant rejoint la ville impérial. Par une courte missive que sa douce lui avait fait parvenir, elle lui racontait sa visite dans la capitale et du même, elle le convoquait à la taverne du moins ce qu'il en restait.
Dernière édition par le Lun 30 Juil 2007 - 0:46, édité 1 fois
Satania avait déjà franchi les remparts de la ville sans autorisation, c’est pourquoi elle n’eut pas de mal à le refaire. Arrivée devant la taverne, la louve blanche comprit tout de suite qu’elle n’y trouverait pas son information : elle avait brûlé. Evidemment, cette nouvelle n’était pas parvenue jusqu’à ses oreilles. La Comtesse comprit alors que le seul qui pourrait l’aider dans sa recherche serait le Tavernier, s’il avait survécu à l’évènement. Derrière l’auberge, elle aperçu une maisonnée, et pria Nimburr pour qu’elle appartienne à l’homme dont elle avait besoin. De ses pattes agiles, elle se dirigea vers celle-ci et se posta devant la porte. Grattant le bois, elle attendit quelques secondes avant de voir l’aubergiste lui ouvrir. Une fois qu’il eu baissé les yeux, la louve lui dit calmement :
- Bonjour, je me nomme Satania et il se trouve que je fus l’une de vos clientes à la Taverne. Me permettez-vous d’entrer une seconde ?
Devant les yeux ronds du gérant, la Vampire trottina à l’intérieur et repris son apparence naturelle, au grand bonheur de l’homme. Elle regarda ce dernier dans les yeux, ne prenant pas garde au mobilier. Elle reprit :
- Hem, votre nom...?
Tentant d’être naturel, il sourit avant de bégayer :
- Hen... Henris... Ma Dame... - Très bien Henris, puis-je me permettre une question ? Mais avant qu’il ne réponde : Il y a quelques temps, un drôle de couple avait fait apparition dans votre bâtisse ; un Elfe Noir accompagné d’une Ancienne –qui ne semblait pas tenir l’alcool–. Je... J’aimerais connaître son nom, si vous vous en souvenez...
Observant l’homme, elle se dit que finalement, s’il ne lui disait rien, elle pouvait toujours pénétrer son esprit. Il semblait cependant songeur, et au bout d’un petit moment, il prononça :
- Zeldrée... Oui, Dame Zeldrée...
Le sourire vint aux lèvres de la Comtesse. Divithra sera contente d’avoir une nouvelle mission... Satisfaite, elle dit simplement :
- Je vous remercie Henris, sincèrement...
Puis, elle se changea à nouveau en louve avant de ressortir, sous les yeux de l’homme. Le regard lumineux, Satania appelait sa fidèle dragonne noire... Elle s’allongea sous un chêne en l’attendant. Une fois celle-ci arrivée, elle lui demanda des renseignements sur cette fameuse ancienne Zeldrée. Disparaissant parmi les arbres, elle n’avait qu’une pensée en tête : elle comptait bien la retrouver rapidement...
