La Grande Place

Dartoil n'avait toujours pas réussit à repérer le seigneur Ardent parmi la foule, il faut dire que son regard se retournait souvent vers des seigneurs qui faisaient porter l'attention sur eux.

Les trompettes sonnèrent, annonçant le discours d'une personnalité. Celui-ci se présenta sous le nom de Syv, nom qui comme beaucoup d'autres sur cette place était inconnu à Dartoil.

A son grand étonnement, le Célestial fût appelé pour recevoir une médaille du Mérite d'argent. Il considérait toujours cela comme une insulte envers ceux qui y ont laissé la vie.
Il hésita fortement à aller chercher cette décoration puis, ce disant qu'un refus pourrait générer des problèmes diplomatique, se décida à rejoindre le lieu ou toute l'attention de la foule était portée.

Après avoir épinglé la médaille, Syv lui serra la main. Dartoil ne put s'empêcher de prononcer quelques parole sans élevé la voix, cependant, seul les personnes à proximités pouvaient l'entendre.

Ceux qui sont mort durant cette expédition mérite bien plus que moi d'être honoré, car sans eux aucun d'entre nous ne serait là aujourd'hui.
Représentant Rotergan, j'accepte cette médaille non pas en mon nom, mais en celui de mes hommes qui sont tombés.

Alors que les médailles d'argent venaient d'être distribués, les noms des seigneurs qui recevraient une médaille d'or venaient d'être cités.

A son grand étonnement, la vampire Lailah avait été cité. Cette femme était arrivée après la première embuscade, et au vue de ce qui a été dit dans la caverne, il parait évident qu'elle était complice de ces deux démons, et même si l'un avait été tué par le seigneur Faraël, il n'en était pas de même pour l'autre.

Bien qu'elle ai peut être changé de camp durant l'expédition, pour Dartoil elle devait certainement porter la responsabilité de nombreux mort de cette quête. Biensur le fait qu'elle soit une vampire ne pouvait également qu'empirer l'opinion qu'il pouvait avoir d'elle.

Faisant des grimaces à l'idée qu'on allait récompenser une traitresse, il se reteint de prononcer un mot. Ce n'était pas le moment pour un scandale, mais le Célestial savait que contrairement à la plupart des seigneurs qui semblaient déjà avoir tout oublié, lui se souviendrait et chercherait plus tard à faire la lumière sur toute cette histoire.

Le nom du Commandent Ardent avait également été prononcé, Dartoil se disait qu'il allait enfin pouvoir rendre compte à son supérieur et donc bientôt rentrer en Rotergan.

Le jeune homme de la Hanse s'avérait en fait maître de la Corporation marchande.

Intrigué, le prêtre assista à une cérémonie commanditée par le basileus lui-même, le Gestionnaire s'excusa de son caractère lunatique et lui promit une entrevue dans les jours prochains.

Selon toute vraisemblance, il s'agissait d'une remise de médailles du mérite.

Trois premiers seigneurs furent appellés, parmis eux se trouvaient son ami voleur, l'elfe sucidaire qu'il avait soigné et un célestial qui lui était inconnu.

Une deuxième vague de seigneurs fut appellée, quelle fut sa surprise lorsque son nom fut cité à côté d'autres bien plus prestigieux.
Le plus haut insigne du mérite impérial, une médaille d'or.

Confus par cettte récompense, il fut un moment abasourdi maisse resaisi lorsque le Gestionnaire mit à sa poitrine la scintillante croix.

[color=darkred][i]Et bien, voilà un immence honneur que cette insigne !
Je vous remercie basileus, c'est trop.
gestionnaire, je vous retrouve d'ici un ou deux jours dans le lieux de votre choix.[/color][/i]
A la fin de la cérémonie, une fête été organisée.L'alcool coulerait à flots et il n'était pas dit qu'un nain ne participerait pas aux libations.

[size=18] [color=darkred]Björn ! Fait venir l'ale de l'abbaye ! Met en perce notre meilleur tonneau ![/color] [/size]

Dernière édition par Thangorthorim le Dim 28 Mar 2010 - 23:28, édité 1 fois

Le Souverain Pontife fut étonné et émerveiller par le présent du jeune prêtre.
Diacre Thangorthorim, ceci est un honneur pour moi. Une lecture assidu se fera dans
les plus bref délais, vous en avez ma parole ! Le Souverain Pontife tendis le précieux manuscrit au Père Gunthar qui le prit délicatement et commença sans attendre à le feuilleté.

Et bien votre Sainteté vous partez en croisade armée comme vous êtes.

C’est presque cela, Seigneur Adola. J’aurais peu être même besoin de m’entretenir avec vous a se sujet. Si vous ne voyez pas d’inconvénient ?

En tout les cas je peux vous dire que vous avez ici un membre de votre Eglise des plus dévoués, il a rempli pleinement ses fonctions au sein de m’expédition. Enfin je suppose car il n’a soumis personne à l’inquisition et
brûler personnes.

L’inquisiteur accepta la pique de son confrère de l’Ombre et fit naître un sourire sur son visage sévère.

Je prend bien note de se que vous venez de dire, le Grand Prêtre le tourna vers Thangorthorim. Considérez vous comme étant un prêtre de pleins droit, nous devrons aussi nous entretenir à ce sujet, bienvenu parmi le Culte. Père Thangorthorim.

Et bien Souverain Pontife, quel honneur ! Bien que je
m'interroge sur l'utilité de la présence de toutes ces armes en ces lieux... de
recueillement. J'en frissonnerais presque. Craignez vous donc que ne se trouve
parmi nous des mécréants, cachée parmi la foule ? dit-il avec un sourire rusé.

Je vous fait pleinement confiance pour cela. Ce n’est pas par démonstration de force, mais par souci pratique et de rapidité.

Mais ou sont passés mes manières, que diable ! Je me présente, Syv, nouveau chef
de la Corporation des Itinérants, l'ancien ayant déserté. J'aurai à coeur de
faire plus ample connaissance avec le messager de la foi universelle mais pas
aujourd'hui. Semble t-il une volonté manifeste des dieux.

Enchanté Gestionnaire. Déserté vous dites? Cela m’étonne de la part de Laonar…
M’enfin, cela sera avec grand plaisir Gestionnaire Syv que de conversé avec vous.

Puis, celui ci commença la cérémonie. Grandeur et resplendissant était de mise pour la remise des médailles. Rien n’avait était laisser au hasard, pour sur le nouveau gestionnaire voulait faire ses preuves et faire en sorte que tout le
monde se rappel son nom. Cet homme avait de l’ambition et l’ambition pouvait amener à des choix dangereux… La Sainte Inquisition se doit de veillé à se que chacun ne dévie pas de sa tache initiale... Puis la cérémonie continua son
court et certains hommes furent appelés pour récompenser leurs faits d’armes.
Cependant, un homme en particulier, enfin un célestial, attira l’attention du Pontife

Ceux qui sont mort durant cette expédition mérite bien plus que moi d'être
honoré, car sans eux aucun d'entre nous ne serait là aujourd'hui.
Représentant Rotergan, j'accepte cette médaille non pas en
mon nom, mais en celui de mes hommes qui sont tombés.

Le Grand Prêtre lui suggéra quelques mots sans interférer avec le bon déroulement de la cérémonie.

Aujourd’hui ce son les vivant que nous honorons. Demain à partir de l’aube, ce sera pour les morts que la journée sera dédiée.

Puis la cérémonie continua son court, pour enfin terminer. Avant que toute la populace ne se dissipe, le Souverain Pontife prit la parole. Les gens reconnurent le Pontife est écoutèrent attentivement ses quelque mots.

Hommes et Femmes de Kalamaï, je me présente à vous comme l’humble serviteur des Dieux
que je suis. En l’hommage aux Martyrs une première veillé se fera se soir, à minuit exactement. J’officierais dans la Grande Cathédrale du Quartier du Culte. Tous les seigneur et petite gens y sont convier. Cependant, sachez que
se même soir, chaque cathédrales, chaque églises, chaque chapelles et autres lieux de culte seront dédier aux Martyre de l’Expédition du Grand Nord Puis.
Puis, une messe aura lieu une fois par jours durant trois moi dans la Grand Cathédrale.

Sachez aussi que les moines de l’abbaye d’Hurlent, en Scitopole, ont fait vœux de silence pour apaiser la douleur des famille et des défunts. Que Nucter garde leurs âmes. Amen.

Puis la foule répondit au Pontife d’une voix. Amen.

Bien, mes seigneurs je vous quitte le devoir m’appel. J’espère vous revoir tous à la Sainte Cathédrale, bien sur ! Dit l’inquisiteur.

Père Gunthar, père Thangorthorim nous avons à faire. Père Thangorthorim, pouvez vous dépêchez un nain pour contacté le Spadassin Adola, cela serai bon pour nous qu’il nous rejoigne dans mon office, si le temps lui en est accordé, bien entendu.

La soirée était des meilleures, après une médaille impérialle, une élévation spirituelle au rang de prêtre, un immence honneur.

Le Grand Pontife semblait apprécier son présent, la Bible de Brak et lui promit de le lire dans de brefs délais.

La mise guérrière du Grand prêtre était pour le moins inquiétante, pour que le Pontife prenne les armes c'est qu'une grande guerre s'annonçait.
Ou du moins une menace pour le Culte et l'Empire à travers lui.

Acquiestant, il fit envoyer un messager au Spadassin afin que celui-ci les rejoingne à l'office.

Emboîtant le pas à son grand maître, il se dirigeat vers les quartiers du Culte.

Le Commandant Ardent était trop connu pour passer inaperçu, et rapidement la foule se tourna vers lui. Qu'il le veuille ou non, il aurait beaucoup de mal à ne pas aller chercher la médaille qu'il méritait.

Avant même qu'il n'ai rejoint les médaillés, Dartoil pu le voir grâce à la foule, à sa vue de Célestial mais également à ses ailes qui lui permettait de devenir plus grand.

Malheureusement, son regard amicale se transforma rapidement en horreur. Le teint pâle, des blessures disparus... non ce n'était pas possible, et pourtant il fallait bien se résigner à l'idée que le Commandant Ardent était devenu un vampire.

Tout en reculant en volant au dessus de la foule, petit à petit, Dartoil s'éloigna de l'attroupement.

Se remémorant le voyage dans le nord, sa dernière rencontre avec le commandant dans la grotte, les vampires présent et en état de le transformer... le nombre de responsable possible était finalement assez réduit.

Appuyé contre un mur, ses pensées furent stoppés par ses hommes qui venaient de le rejoindre.

Revenu à la réalité, ce n'était pas le moment de réfléchir ou de condamner les coupables, Rotergan manquait à ses hommes ainsi qu'à lui même, et sa si longue absence annonçait bien trop de travail pour s'attarder d'avantage ici.

Le commandant est mort... la mission s'arrête donc ici. Allons chercher notre compagnon à la guilde des combattants afin que nous puissions rentrer à Rotergan.

Ses hommes furent étonnés des propos de leur chef à l'encontre du Commandant, mais Dartoil ne considérait pas le vampire qu'était devenu Ardent comme étant celui qu'il considérait presque comme un ami.

Sans s'attarder sur des commentaires, Dartoil pris la direction de la guilde des combattants, ses hommes le suivirent aussitôt.

Des crieurs publics envoyés par le gouverneur à travers tout l'Empire vinrent annoncer l'importante nouvelle.

Oyé ! Oyé !

Citoyens et Citoyennes de Kalamaï,

Tous les Magistrats, Palatins et les Tribuns de l’Empire sont convoqués à la Capitale Impériale pour une session du Senatam Kalamaïa. Dès la lecture de la présente déclaration, les Sénateurs devront se présenter aux portes du Sénat afin de siéger à la place qui leur revient. Les Palais qui n’auront pas signés la Charte du Sénat au nom de leur province, seront priés de le faire.

Le Gouverneur Escalus énoncera l’ordre du jour lorsque tous les Sénateurs, ou là majorité advenant abstention, afin que soient débattues les affaires d’Empire. Son Honorable Président Escalus rappelle que la Vice-Royauté d’Outre-Mer est toujours reconnue comme province impériale, et que Sa Grâce Méhé d’Eryope est priée de siéger au Sénat au nom de son peuple et de faire valoir son opinion aux débats impériaux.

Que cela soit su de tous,

Faict le trentième jour de mai, en l’An de Grâce 1262,

Gouverneur de l'Empire de Kalamaï

Un fonctionnaire arriva avec une missive qu'il déplia et lui à haute voix

A l’Administrateur de la Magistrature des Institutions Impériales,


A l’Intention des Sénateurs et des Tribuns,

Suite à la décision du Sénat Dame Hélèna et Seigneur Babka reviennent d’Outre-Mer où ils avaient été envoyé en tant que diplomates de l’Empire.
Pour écouter leur bilan et statuer sur le devenir de l’Outre-Me , le Sénat dans son intégralité en convoqué d’ici dix jours pour siéger en séance extraordinaire.

Les Sénateurs et Tribuns de l’Empire devront se présenter aux portes du Sénat afin d’y siéger à la place qui leur revient.

Que cela soit su de tous.

Sa Seigneurie Adola,
Magistrat des Institutions Impériales

Après cela il cloua la missive sur un panneau afin que cela soit su de tous

Un homme avança sur le devant de la petite scène. Il souffla dans un cor et déroula un parchemin qu’il lut distinctement et à haute voix.

Chers citoyens, chères citoyennes de Kalamaï.

Le Sénat s’est réuni aujourd’hui pour faire le bilan de l’envoi d’émissaire dans la région de l’Outre-Mer.
Nos braves diplomates ont été la cible d’attaques de pirates tous comme les habitants de l’Outre-Mer qui ont été séquestré.
Mais par la puissance de troupes envoyées en renforts et avec l’aide des dieux, le sang pirates à couler libérant ainsi nos envoyés ainsi que nos alliés de l’Outre-Mer.

Les Sénateurs ont pu faire le bilan de la colonisation. Il est clairement apparu qu’il n’était pas souhaitable de maintenir ce statut d’un point de vu idéologique, politique, et économique. Il a donc été décidé par nos représentants que l’Outre-Mer serait indépendante et s’engage à ne pas provoquer notre bien aimé Empire. Dans le cas contraire la fureur de nos légions ne se feraient pas attendre.
Tous les Sénateurs ont voté dans ce sens, même le Seigneur Aedric qui après avoir affronté Irkos s’est rangé de cet avis.
A propos de ce sénateur, il a provoqué il s’est montré arrogant, insultant, menaçant et provocant. Pour cela notre Empereur a décidé de lui retirer le titre de Pontife qu’il venait d’obtenir. Le Sénateur Aquilodon lui succède.

De plus, le Magistrat des Institutions Impériales vous fait savoir qu’un banquet aura lieu d’ici deux jours dans l’avenue menant aux édifices de l’administration. Chaque citoyen est invité à se réunir dans le calme. Aucun débordement ne sera tolérer.

Que cela soit su de tous !

Après cela le messager cloua l’annonce sur un panneau dédié à cet effet.

La jeune femme se dirigea instinctivement vers la Place Centrale. Ses bottes claquaient sur les pavés dans un rythme lent et mesuré, comme les battements de son cœur. Son esprit fatigué parvenait pourtant à calmer l’excitation de la découverte qui la submergeait. En fait, elle ne savait pas où aller, elle voulait simplement voir et visiter la Ville. Une promenade sous ce beau soleil ne pouvait que lui faire du bien, peu importait le chemin qu’elle emprunterait. Seulement, à peine atteignit-elle le Centre de la Capitale que la course d’un petit garçon martela le sol en sa direction.

- Madame ! Madame !

Etonnée, elle arrêta son pas pour faire volteface. C’était un bambin de 5 ou 6 ans tout au plus : blond aux cheveux bouclés, des yeux bleus et un visage angélique. Déjà sous son charme, Faelyna s’accroupit face à lui, un sourire aux lèvres.

- Un Seigneur là-bas m’a fait porter un message.

Il indiqua la direction d’où elle venait. Aussitôt, la damoiselle sut de qui il s’agissait...

- Parle mon garçon, je t’écoute, dit-elle sans perdre son sourire.
- Il dit que votre chambre est payée pour cette nuit, dans l’auberge, si vous y allez seule.

Un air clairement étonnée s’afficha sur son visage. Décontenancée, elle ferma sa bouche restée entrouverte sous la surprise. Baissant brièvement la tête, la belle réfléchit rapidement, après quoi elle se concentra à nouveau sur l’enfant :

- Merci mon grand. Vas rejoindre tes parents avant de tomber sur quelqu’un de malfaisant.

Elle se pencha ensuite vers lui pour embrasser son front, et se releva. Le petit ange s’inclina avant de repartir dans une ruelle, non loin de là. Hésitante, la damoiselle fixa le chemin qui menait à l’auberge. Ce Seigneur était plein de surprises... Mais sa générosité troublait beaucoup trop la nouvelle arrivée en Ville. Alors, d’un pas déterminé, elle retourna là où elle venait de terminer le plus délicieux repas qu’elle ait mangé depuis plusieurs jours.
Faelyna rejoignit la Place quelques instants plus tard. Elle avait été voir une certaine Mira, l’aubergiste, et lui avait parlé de l’argent déposé par le Sir Irvin lorsqu’il avait payé le repas. Elle demanda que ces pièces d’or soient restituées à Babka à son prochain passage, car la jolie brune se refusait d’abuser davantage de lui.

Une fois retournée à son point de départ, la jeune femme se sentit bien mieux. Elle savait qu’elle avait fait le bon choix. Après un regard circulaire, ses projets lui parurent plus clairs : le Jardin Impérial, la Cathédrale, le Port... La Psioniste avait bien l’intention de parcourir tous ces lieux et plus encore. Alors elle se mit en marche, l’estomac rempli de bonnes choses et l’esprit ouvert à toutes les belles découvertes qui l’attendaient.

Un homme marchait en direction de la Grande Place. Il portait un costume aux couleurs bleu et jaune vives. Un tambour était accroché à sa taille et affichait les emblèmes de l’empire.
Il arriva devant une estrade et y monta.
Il battit un roulement de tambour annonçant qu’un message allait être délivré. La place se figea et les personnes présentent approchèrent pour mieux écouter.
L’homme déroula un morceau de parchemin et se mit à lire

Avis à la population :

Il y a deux nuits un attentat odieux a été commandité contre la très noble et ancienne corporation des Combattants.
Des bâtiments sont partis en flamme mais fort heureusement les secours ont pu limiter les dégâts. Ces dommages matériels il faut ajouter les meurtres de plusieurs malheureux soldats, que Nucter veuille maintenant sur eux.

Cet acte est l’œuvre de terroristes.
Ainsi toute personne ayant des informations permettant de les identifier ou de mener à leur capture doit le faire immédiatement savoir auprès de la Magistrature des Institutions Impériales.
Tout témoignage probant se verra récompensé à la hauteur de son geste.
A l’inverse, toute personne cachant volontairement des informations pourra être accusé de complicité.

Pour le peuple de l’Empire

Adola, votre dévoué Magistrat

L’homme prit un marteau et cloua l’avis à la vue de tous puis repartir.
Quelques personnes allèrent regarder de plus près l’avis, les autres reprirent leur affaire là où elles l’avaient abandonné.