La maison des guérisseurs

La Maison des Guérisons est lieu des lieux les plus calmes de la Ville Impériale. C’est là que les malades sont soignés. Les plus grands soigneurs de Kalamaï travaillent ici ou y ont fait leur apprentissage. On y connaît l’utilité des plantes et on y prépare des remèdes. Les morts sont fréquents car beaucoup de maladies sont inconnues ou les traitements sont inefficaces.
La vielle bâtisse imposante est très éclairée par de grands vitraux. Une petite chapelle se trouve dans le bas-côté. Cette Maison des Guérisons est construite avec des pierres blanches tel le marbre ou le calcaire, ce qui la rend éclatante par l’éclairage et le reflet blanc sur le sol. De nombreux lits sont occupés malgré le nombre impressionnant de ces derniers. Des humaines, habillées tout de blanc, vont de malades en malades pour administrer les remèdes et potions ou pour s’informer de l’état du patient.
Le Grand Prêtre vient souvent en ce lieu de soins pour prier pour la survie des souffrants ou pour bénir l’un d’eux qui aurait décédé. Le Grand Guérisseur, dirigeant des lieux, s’occupe de toute l’administration de l’établissement. C’est un vieil humain très sage qui, par son savoir, en a sauvé plus d’un. Certains disent qu’il fut ermite et Druide autrefois et la rumeur profère qu’il aurait profité de son poste pour en assassiner quelques-uns uns, voir peut être l’ancien Empereur de Kalamaï. Beaucoup le respecte et les médisance sur cet homme sinistre sont, le plus souvent, par jalousie. Ce Grand Guérisseur est aussi le médecin personnel de l’Impératrice.

Ces soins terminés, Manek sortit de la maison et regarda avec affection Zeldrée et Baplens.

"Merci de m'avoir accompagné."

Le sourire qu'il fit était aimable mais il avait la tête ailleurs. Ses pensées étaient pleines de haine et toutes dirigées vers le célestial. A se moment là il sut qu'il n'aurait du répit que quand il tuerait de ses propres mains Regit. Il fronça les sourcils et son sourire s'effaçât. Il dit au revoir à ses compagnons et partit lentement vers la porte Nord et son royaume. Au bout d'une dizaine de mètre il se tourna la tête pour lancer un regard à l'ancienne. Il fit un nouveau sourire et partit laissant le drow et l'ancienne.

Geoffrey entra dans la salle avec auréa dans les bras et interpella le 1er soigneur qui passa:
- Je sais que sa blessure n'est pas très grave ....mais avez vous le temps de la soigner ?
elle s'est cassée la cheville , une attèlle a été improvisé mais on m'a dit de la conduire ici pour des soins complémentaires, vous pouvez vous en occupez ?
Geoffrey vit le soigneur aquiescer d'un signe de tête et il emmena auréa dans une salle un petit peu plus loin.
Il resta sur place pour attendre son rétablissement.

Dernière édition par le Ven 23 Fév 2007 - 15:24, édité 1 fois

Un guérisseur s'approcha de Polokyor, qui avait les yeux fermer, il était redevenu conscient, il pensait :

* Il faut que je remercie celui qui m'a aidé à la Taverne, et aussi Garlon, il me faut ma gourde, ma blesur commence deja a guérir *

Le guerisseur enleva le pansement de fortune que Tanguy avait fait, et poussa un cris de surprise, il dit :

La blessure, elle commence a se refermer !

Polokyor toussa et attrapa le guérisseur par le cl il dit, en cherchant c'est mots :

Gourde... Ma poche, donnez là moi ! Je dois la boire !

Le guerrisseur pris la gourde et la fit boire a Polokyor. La blessure se refermais de plus en plus vite. Le médecin la considéra un long moment, quand Polokyor lui dit :

Merci, y'a pas quelque chose contre les bleus, car la blessure, ce referme, grace à ce que je bois, qui est un remede, j'en bosi tout les jours, mais par contre, il ne fait rien contre les ematome, donc si vous oui, je ne suis pas contre.

Le guerisseur alla chercher une paumade et l'appliqua sur l'ématome de Polokyor. Ce dernier le remercia et sortit malgré l'interdiction du guerriseur. Il retourna a l'auberge pour remercier Tanguy, puis il irais traquer la personne qui avait tenté de le voler.

La personne récemment arrivée de la grande place entra dans la maison des guerisons. Il vit un drow transporté par des gardes Impériaux, l'etre pensa :


* Et merde, ils est bien gardé ! Et pour une fois que je suis mécontent de ma taille, je peux pas passer inaperçu comme cela ! *

Une personne s'approcha de l'etre au visage a demi caché :

Avez vous besoin de Guérisons ?

L'etre au visage caché regarda le guerisseur, ce dernier qui ne voyait pas le visage de son interlocuteur fut pris un frisson, il se dit a lui meme :
* Je n'aurais pas du lui parler ! *

L'etre dit d'une voix grave mais basse :

Non, j'ai du me tromper d'endroit !

Le grand personnage sortit de la maison des guerriseurs.

Tomassino arrivait à la maison des guérisseurs, essouflé et halletant. Il transportait une Ancienne avec un trou béant dans le ventre où s'écoulait beaucoup de sang. Il était également suivi d'une Elfe Noire.

Les guérisseurs accoururent aussitôt auprès d'eux, donnèrent une chambre à l'Ancienne et se dépêchèrent à lui donner les soins primordiaux.

Ils dirent ensuite à Tomassino et à l'Elfe Noire qu'ils ne savaient pas combien de temps elle devrait restée là mais que sa vie n'était plus en danger.

Voyant des chaises près du lit de l'Ancienne, l'Orque en tira 2 vers lui et en tendit une pour l'Elfe.

J'ignore qui vous êtes, mais vos intentions ne semblent pas mauvaises... Je resterai au chevet de cette Ancienne. J'ignore pourquoi, mais je me sent en parti responsable de ce qui lui est arrivé. Je ne dirai rien si vous désirez rester également. Nous pourrions même nous relayer si elle en a pour longtemps."

Sur ce, il croisa les doigts devant sa bouche, lui donnant ainsi un air songeur et se tût.

Une elfe entra dans la vieille bâtisse blanche. Ses pas se firent en silence et sa robe ne semblait pas la gêner, ni faire le frou-frou typique aux habits humains. Son regard innocent et pétillant survola les malades et les blessés et garda le même éclat violet qu'à l'entrer. Ses yeux se posèrent sur un vieil homme agenouillé près d'un nain (ou une naine; il est si difficile de faire la différence) gémissant et ensanglanté.

Si seulement c'était celui qui ne me laisse pas tranquille ces derniers temps... pensa-t-elle.

Ensuite elle s'assit sans se mettre dans le chemin des guérisseur et des guérisseuse en regardant faire l'humain. Elle déclina poliment aux propositions d'assistance à ceux qui avaient du temps à lui offrir. Enfin le vieil homme quitta le nain, ou la naine. L'elfe se leva gracieusement et se diriga vers lui.

"Grand Guérisseur, puis-je avoir un petit peu de votre temps?" demanda-t-elle les yeux encore plus pétillants. Après l'aquiescement du chef de l'établissement, elle continua. "Je me nomme Kimri, conseillère des Toits Infinis. Je viens d'arriver en ville. J'aimerais rester ici un moment pour apprendre l'art, le temps de reprendre mes forces. Les routes sont périlleuses ces jours-ci, même pour une prêtresse de Folaniss."

Dernière édition par le Lun 16 Avr 2007 - 7:05, édité 2 fois

Un orque avait accompagné l'ancienne et Iseult Anaya à la maison des guérisseurs. La plaie de cette ancienne ne semblait plus être un danger. Puis un guérisseur l'interpella.

"Madame, vous êtes également blessée! Venez donc que je vous apporte quelques soins!"

La drow repris conscience de sa blessure mais voyant qu'elle n'était aucunement grave elle refusa les soins du guérisseur.
Elle se retourna vers l'orque.

"Je me nome Iseult Anaya matriarche de Sombranoir, fille du patriarche Manek de Sombranoir.
Je pense que je vais rester avec vous au cotés de cette ancienne, il n'y aura bientôt plus de carnage au tribunal et je n'ai plus envie de tuer, pour aujourd'hui... (Elle fit un petit sourire) Au juste, vous connaissez le nom de cette ancienne?
Oh que suis-je idiote! Je n'ai pas demandé votre nom...

Elle avait sauvé une ancienne et elle était maintenant tachée de son sang et accompagné d'un orque qu'elle ne connaissait pas, tout comme l'ancienne d'ailleurs. Une tenue toute neuve déjà foutue! Je m'en rachèterai une... ou en volerai une! (elle sourit à nouveau en pensant cela) Moi plus envie de tuer?! Mais je me fais vielle trop jeune! Mais il est vrai que j'ai mal au poignet.

Elle s'assit et regarda plus en détail l'ancienne. Elle correspondait bien à la description de Zeldrée que lui avait fait son père mais elle en doutait... Et puis tout les anciens se ressemblent non? Elle fronça les sourcils. Et puis je n'ai pas en vie que se soit elle...

Tomassino semblait n'écouter que d'une oreille. Il en avait beaucoup en tête. Ce qui devait n'être qu'une journée tranquille en quête d'informations s'est avéré se terminer en boucherie...

Il tendit distraitement sa main à l'Elfe Noire et se présenta:

Je me nomme Tomassino, Seigneur de Kel'Gatrok. Ravi de vous connaître. Cette pauvre Zeldrée... Je venais à peine de faire sa connaissance... J'ai à peine eu le temps de me présenter qu'un voleur niais essayait de s'immiscer entre nous. Après lui avoir verser ses bières sur ce qui servait de tête à ce dernier, cette pauvre Ancienne me demandait de l'accompagner à ce procès. L'ayant suivi, la moindre des choses que j'aurais dû faire aurait été de la protéger... Je n,ai malheureusement pas eu les réflexes assez rapides... Et vous? Vous avez une connection quelqu'onque avec cette dame?

Il avait dit cela sans quitter l'Ancienne des yeux comme s'il s'adressait à quelqu'un d'autre. Il se tût et attendit une réponse.

MERDE!!!!! Pourquoi?
La mine d'Iseult se figea d'une expression de surprise et de tristesse. Elle chassa cette expression pour revenir sur un visage impassible. Elle regarda la main de l'orque mais ne lui tendit pas la sienne.

"Mon père, Manek, la connaissait bien, il me semble, nous communiquions par lettre et il m'en avait déjà parlé. Je suis un peu surprise de savoir que c'est elle."

Elle regarda l'ancienne et lui frotta la cuisse pour la réconforter bien qu'elle trouvait ça inutile. Elle la regarda plus attentivement. Elle est pas mal, faut dire.
Elle se retourna vers l'orque.

"Vous avez au moins eu le réflexe de l'aider."

Il est plutôt malin pour un orque.

Tu ne peux pas t'évanouir toi?!
Le visage de la drow resta sans la moindre émotion.

"Oui, j'ai dis Manek."

Elle fronça les sourcils.

"Autant vous le dire tout de suite... (Elle hésita quelques secondes puis repris) Il... vous appréciait beaucoup. Enfin je crois que le mot "apprécier" n'est pas approprié, "aimait" serait plus convenable... Du haut de la tour depuis laquelle il a sauté, dans la pièce il m'avait dit qu'il y laissera un message pour vous. Voyez-vous nous avions un contact maintenue par lettre. Et il m'avait prévenue de... Enfin bref. Je ne suis pas douée pour parler de ça... (Une nouvelle pose) Il m'a aussi écrit qu'il était probable que vous ne compreniez pas. Sachez qu'il vous aimez..."

Tomassino se leva d'un bond. La conversation prenait une allure personnelle dont il ne se sentait pas à sa place.

"Je crois que je vais vous laisser un petit moment. Vous avez visiblement des choses à vous dire qui ne sont aucunement de mes oignons. J'attendrai dehors de la chambre dans le corridor."

Il sorti et ferma délicatement la porte.