Il sortait désormais de sa chambre, en la compagnie chaleureuse de celle qui l’aidait également à se maintenir.
Son aide lui fut très utile en plus d’être agréable, il reprit vite les sensations nécessaires afin de tenir une marche droite et régulière.
A ce moment, il aurait pu se passer de son aide, mais il ne voulait à avoir à rompre le contact de leur corps, il décida donc de la garder auprès de lui.
Il ne savait où aller, mais l’important n’était pas leur destination, mais plutôt de passer du temps avec celle qui marchait serré contre lui, et dans ces cas là, ce temps est inestimable.
Ils étaient arrivés au dénouement du couloir, celui-ci débouchait sur la grande salle où sont accueillis en premier lieu les patients.
Cette salle était bondé, la guerre contre les conquérants d’Outre-Mer faisait un carnage.
Ne s’occupant pas du brouhaha environnant, ils traversèrent la salle, puis finirent par sortir de l’enceinte du grand bâtiment qu’est la maison des guérisseurs.
Pensant que la présence de populace était plus néfaste à leur liberté et leur intimité que les étendus sauvages sans ombre d’âme qui-vive, il proposa à sa belle de rejoindre son royaume.
Là-bas, les plaines étaient dominantes, mais la proximité de la forêt n’en faisait pas un désert, le paysage était grand mais varié. Les plaines sont idéales afin de laisser libre cours à la tranquillité, la confidence, l’isolement tout en offrant un grand terrain.
Il se souvenait que, petit, son passe-temps préféré était de rester des heures durant allongé sur la fine couche d’herbe qui recouvrait tout le terrain.
Le toucher des brindilles sur ses pieds, son visage son corps, voilà un sentiment qu’il avait oublié depuis bien longtemps.
Elle avait accepté avec joie, ils étaient donc en route vers son royaume, là-bas leur amour pourrait pleinement s’exprimé.
Ils auraient peu user de leurs ailes, mais sortant tout juste des guérisseurs, il n’avait pas envie d’y retourner en chutant en plein vol !
Ils marchaient donc tout deux, main dans la main, s’offrant le plaisir d’un baiser de temps en temps.
Sa compagnie faisait de lui l’homme le plus heureux du monde, jamais il n’avait éprouvé autant de sentiment pour une personne.
La route étant longue, et pour lui plus qu’elle, douloureuse, il ne pouvait consacrer pleinement son temps à son ange pendant ce voyage.
Son aide lui fut très utile en plus d’être agréable, il reprit vite les sensations nécessaires afin de tenir une marche droite et régulière.
A ce moment, il aurait pu se passer de son aide, mais il ne voulait à avoir à rompre le contact de leur corps, il décida donc de la garder auprès de lui.
Il ne savait où aller, mais l’important n’était pas leur destination, mais plutôt de passer du temps avec celle qui marchait serré contre lui, et dans ces cas là, ce temps est inestimable.
Ils étaient arrivés au dénouement du couloir, celui-ci débouchait sur la grande salle où sont accueillis en premier lieu les patients.
Cette salle était bondé, la guerre contre les conquérants d’Outre-Mer faisait un carnage.
Ne s’occupant pas du brouhaha environnant, ils traversèrent la salle, puis finirent par sortir de l’enceinte du grand bâtiment qu’est la maison des guérisseurs.
Pensant que la présence de populace était plus néfaste à leur liberté et leur intimité que les étendus sauvages sans ombre d’âme qui-vive, il proposa à sa belle de rejoindre son royaume.
Là-bas, les plaines étaient dominantes, mais la proximité de la forêt n’en faisait pas un désert, le paysage était grand mais varié. Les plaines sont idéales afin de laisser libre cours à la tranquillité, la confidence, l’isolement tout en offrant un grand terrain.
Il se souvenait que, petit, son passe-temps préféré était de rester des heures durant allongé sur la fine couche d’herbe qui recouvrait tout le terrain.
Le toucher des brindilles sur ses pieds, son visage son corps, voilà un sentiment qu’il avait oublié depuis bien longtemps.
Elle avait accepté avec joie, ils étaient donc en route vers son royaume, là-bas leur amour pourrait pleinement s’exprimé.
Ils auraient peu user de leurs ailes, mais sortant tout juste des guérisseurs, il n’avait pas envie d’y retourner en chutant en plein vol !
Ils marchaient donc tout deux, main dans la main, s’offrant le plaisir d’un baiser de temps en temps.
Sa compagnie faisait de lui l’homme le plus heureux du monde, jamais il n’avait éprouvé autant de sentiment pour une personne.
La route étant longue, et pour lui plus qu’elle, douloureuse, il ne pouvait consacrer pleinement son temps à son ange pendant ce voyage.