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Zircondal, la Capitale de l'Honneur

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Varatorn
farlen farden
Babka
Nathaniel
Sythael
Sirias
Armée Impériale
Fardall
12 participants

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Le palatin dormait d'un sommeil tranquille, les lueurs du matin commençait à filtrer au travers des ouvertures de la tente. Le soleil vint éclairer directement les yeux de l'elfe qui se réveilla.

Et bien, on dirait que le maître des cieux veux que je me lève... une longue journée s'annonce.


Oengus se prépara, enfila sa cotte de maille sous ses habits de cuir puis mit sa cape orné des blasons d'Héraldie, d'Amphise et de Kalamaï. Il avait à peine eut le temps de terminé qu'un mercenaire apportait le message que Nathaniel l'attendait pour les derniers préparatifs.


Dites-lui que j'arrive dans peu de temps.

Oengus ramassa ses dagues et son arc. Son épée était accroché à la selle de son cheval. Quelques instant pour une prière à Folaniss et le voilà en route. Alors qu'il allait sortir de son camp un messager l'interpella et lui tendit un parchemin. Le sceau était celui d'un de ses officiers, Babka. Il le prit, remercia le coursier et décida de l'ouvrir une fois rendu dans les appartements de Nathaniel.

Bonjour à vous Nathaniel, me voici pour discuter des derniers détails de l'assaut. Mais si vous le permettez je vais d'abord prendre quelques instant pour lire la missive que j'ai reçu en me dirigeant ici.


Spoiler :


Oengus tendit la lettre à Nathaniel. Vous devriez lire ceci et garder un oeil sur le palatin Varatorn. Nous ne voulons pas de massacre et il semble impulsif à ce que j'en lis.

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Nathaniel prit le message d'Oengus et le lut rapidement.Contre toute attente, il dit au Palatin :

"Vos forêts ont peu d'importance à mes yeux. Certes ceci n'est pas négligeable. Je surveillerai le palatin, et à la moindre embrouille..."

Il fit le geste de se couper la gorge.

"Quoi qu'il en soit, nous devons maintenant nous occuper des dernìers préparatifs, comme les plans d'assaut terrestres, dont vous serez en charge. Vous connaissez déjà vos instructions, reste à déterminer vos positions."

Nathaniel et Oengus discutèrent de stratégie pendant deux bonnes heures, prenant à peine le temps de déjeuner convenablement.De l'autre côté du camp, on avait presque fini de mettre les harnais sur les montures volantes et on positionnait les troupes terrestres selon les ordres conjoints d'Oengus et de Nathaniel. Lorsque 10 heures sonna.

"Bon. Palatin, Faîtes donc venir Farden."

Pendant que celui-ci appelait le seigneur, il fit attrouper ses propres mercenaires.

"Mais amis. Ceci sera une journée dont nous entendrons parler longtemps!"

Éclats de rire.

"Volons vers notre destin et vers la gloire.Aujourd'hui, la lumière du soleil guidera nos pas et Synodar, notre bras!"

Acclamations.

"Enfin..Soyons heureux si nous devons offrir notre vie. Lyon prendra ma place si je tombe.Longue vie aux légendes qui naîtrons aujourd'hui"

Et les mercenaires s'écrièrent : "LA LÉGENDE BRISE!"

Nathaniel retourna rejoindre le Palatin.

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Arden se réveilla avec difficulté, pourquoi le jour se levait maintenant. Tant pis, un rôdeur se devait d'être toujours prêt. Je me leva, prit mon arc et en mangeant quelques fruist. J'entendit la voix de Oengus m'appeler.

-D'accord, allons-y, me dis-je.

Je me rendit donc à l'endroit où était Oengus et Nataniel. Je regardais en marchant la ville que ce matin nous devrions attaquer, et les quelques soldats qui se sentaient prêts à combattre et ciraient leur arme. Rendu sur les lieux, j'adressa un sourire au deux personnes et leur dit :

-Bonjour à vous, j'espère ne pas être en retard.

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Je le sais que vous vous balancer de la forêt, vous êtes un mercenaire. C'était évident que je vous tendais la lettre à propos de Varatorn et votre réponse, bien que gestuelle était tout à fait clair et répond à mes attentes.

Oengus avait discuté pendant deux bonnes heures avec Nathaniel des événements qui auront lieu dans la journée et il commençait à trouver le temps long. Il alla aller chercher Arden pour les derniers préparatifs puis retourna sous la tente du mercenaire.


Voici Arden, quels sont maintenant les derniers détails ? Avez-vous une position stratégique et précise qui donnerait avantage et un délai d'action plus court ?

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Nathaniel ignora le ton courroucé du Palatin. Peut-être avait-il raison d'être furieux . Mais le mercenaire s'en foutait autant que possible.

"Écoutez, Palatin. Nous parlons ici d'une forteresse naine aux fondations les plus solides que j'ai vue en Scitopole. Elle n'a qu'un cinquième de nos troupes et pourtant je prévois que nous n'arriverons qu'à en tuer une fraction avant qu'elle ne prenne la fuite.Deplus, la cité est si grande qu'il nous faudra des semaines pour la sécuriser complêtement. Le palais est lui-même un petit château gardé par des vétérans d'élites.Les portes des murailles prendraient des heures à abbatre au bélier.Je ne peux rien faire de mieux. En nous élancant du ciel, nous pourrons passer les murs et utiliser notre nombre pour abbatre et faire prisonnier le grand nombre possible d'ennemis.Les bâtiments seront à notre porté.Si je fais cette attaque à midi, c'est pour la bonne raison que le soleil `gènera les tirs des archers et qu'ils se couvriront les yeux de leurs mains aux lieu d'empoigner leurs épées.Et là, nous frapperons."

Il regarda le Palatin puis Farden, qui ne disait mot.

"Ma vie ne passe pas par vos forêts. J'ai fais le choix d'avoir une meilleure vie, loin de la politique et des catastrophes. Je n'ai pas de maitres ni de responsabilité. Tout ce que je fais, je le fais pour moi-même, en premier.Pour vivre. Si vous avez un problème avec ça, je ne veux pas le savoir.Mais notez bien que je n'ai pas amené ce Varatorn dans cette tente. Il recevra ses ordres comme les officiers moins haut-gradé, compte tenu des ses troupes en très faible nombre et de cette lettre qui vous semble si importante et digne d'intérêt."

Il indiqua des endroits précis sur la carte.

"Vous et Farden vous placerez ici. C'est l'endroit le plus près des portes et hors de porté des flèches. Vous emmenerez avec vous des balistes qui mettront le feu à la ville jusqu'à ce qu'on ouvre les portes pour vous. Mettez vous en position, et attendez l'éclair bleu pour tirer les premiers traits."

Il sortit de la tente pour rejoindre ses hommes.

"C'étais le meilleur plan, je l'assure toujours."

-Solitude de Nathaniel, Recueil 1, Page 34

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Oengus et Arden sortirent de la tente sans aucun commentaire pour se rendre au campement amphisois et commencer le mouvement des troupes. Le palatin était visiblement en rogne, après quelques grandes respirations il alla chercher son général.

Waltta, il est maintenant temps de préparer les troupes aériennes et de vous regrouper à proximité du campement des mercenaires. C'est Nathaniel qui vous guidera lors de cet assaut. Que les griffons soit montés par les meilleurs archers ainsi que quelques mages qui ont choisi les arcanes du feu. Nous devons être en mesure de détruire certains bâtiments stratégique.


Bien Messire, je vais de ce pas réunir tout les hommes demandé.


Waltta quitta rapidement en direction des campements, faisant passer l'ordre du départ pour les unités concernés tout en évitant de faire trop de bruit.

Quant à vous Arden, il est temps de faire la même chose car vous avez choisi de prendre la voie des airs pour ce combat. Qu'Orfange guide vos pas.

Oengus laissa le rôdeur à ses affaires et alla rejoindre ceux qui s'occupait des catapultes. Une fois sur place, il s'appuya sur une table avec une carte afin d'indiquer les endroit précis où il devait dès maintenant se rendre afin d'être avoir eu le temps de monter et de charger les armes de sièges lorsque l'éclair bleu traversera le ciel.

Une fois fait, il se rendit dans une autre section du campement où se trouvait les guerriers qui foncerait vers la cité une fois les portes ouvertes. Tout était minutieusement prévu et le temps était compté. Il ne lui restait plus qu'à aller donner ses ordres aux troupes d'Arden dont il avait maintenant la charge. Cela incluait aussi les animaux dressés qui obéisse au porteur de la pierre. Tout était prêts, dans peu de temps tout le monde serait en marche pour l'Empire.


Vivement que tout soit terminé, je toujours eu horreur des mercenaires et de leur manque de valeurs. Le siège a assez duré.
dit-il en se parlant à lui-même

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L’agitation, bien que discrète, ou du moins essayait-elle de l’être, dans le camp des assiégeants ne pouvait échapper aux regards fins des quelques elfes sylvestres et des gardes zirconiens en poste sur les murs. L’information fut relayée jusqu’au oreilles du Général et de l’Intendant, évidemment la Princesse avant entendu aussi, mais son frère l’avertit et lui demanda de rester avec eux sur les remparts.

Il sortirent de la ville haute où ils étaient allés inspecter les réserves de nourriture et d’armes.

Faraël comprit vite ce qui allait se jouer lorsqu’il vit le camp ennemi. Aucun bélier ni équipe de sapeur, l’attaque était évidente, un grand combat se livrerait dans le ciel et dans la ville, car c’était bien par les airs que comptait envahir les assiégeants. Le Général Gamuval, de concert avec l’État-Major fit revenir le gros de l’armée qui campait au Nord du fleuve, elle ne serait plus utile là-bas pour le moment. Les garnisons ses murs furent renforcés, toutes les murailles, surtout celles entre les différentes parties de la ville. Des hommes dans les rues aussi se préparaient au combat qui s’annonçait. Les dragons qui restaient furent harnachés et on leur assigna chacun deux cavaliers. Il fallait empêcher le plus de mercenaires possibles de s’élancer dans la ville par-delà les fortifications. La population fut évacuée dans la Ville Haute et dans le Palais. Zircondal grouillait de soldats et en était pleine, pourtant le fils de Fardall sentait que cela ne saurait être suffisant.

La bataille devait être livrée, pour protéger les foyers mais surtout la populace qui n’avait plus le temps de fuir dans le Nord.

Rafaël ordonna la grande vigilance et, suivi de sa sœur ainsi que de sa mère, la Grande Dame, partit inspecter les troupes qui s’étaient mis en rangs à leur poste. Il prononça ses vœux, et stimula les hommes et les femmes qui allait combattre. Nombreux étaient les regards qui trahissaient la peur de ne plus revoir leurs proches ou de ne pas survivre à cette bataille, mais tous étaient là, pour faire leur devoir envers leur famille et leur pays qui était leur dernier espoir de paix.

Les nombreux phalangistes zirconiens surentraînés étaient confiants de leur force, mais savait tout de même que cet affrontement serait sûrement le dernier qu’ils livraient. Les dragons d’or, d’argent et de bronze se battait pour les dieux du bien, nul ne savait s’ils se souciaient des humains, mais tous étaient content de se battre aux côtés de ces créatures légendaires et emblème de fierté.

La famille royale monta à nouveau sur les remparts et observa les Collines d’Anuras. Nul doute maintenant que les renforts Albaratrixiens arriveraient trop tard.

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Arden regarda ses troupes avec contentement, bientôt, ils seraient en guerre. Tout-à-coup, sa bague se mit à briller. Arden se dépécha d'aller voir ses hommes et de les préparer pour la guerre. Il couru vers Oengus et lui dit rapidement :

-Messire, je doit partir quelques instants, je vous laisse le commandement de mes hommes. Ne les mettez pas en chair à canon.

Arden partit tout de suite après avoir parlé. Il arriva dans sa tente et prit un parchemin, après l'avoir lu, il disparu.

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Des panaches de fumer s’élevait de la capitale de Zirconie.
Le siège avait vraiment commencé, la plus grande partie de la bataille allait ce jouer sur la psychologie des soldats, et généralement plus le temps passait plus elle baissait pour les assiégés.
Mais aussi plus le temps passait et plus les renforts avaient le temps d’arriver…
Il y avait toute sorte de technique de siège, mais généralement peu orthodoxe, et surtout très inhumaine !
Par fois le Seigneur Arzhùl avait recourt à ce genre de technique.
Si pour éradiqué le mal, le bien devait en pâtire…

Les panaches de fumés qui apparaissaient comme des taches à peine distinctive 20 min auparavant, était maintenant clairement visible, les Griffons allait vraiment à une allure remarquable.

Dix minutes plus tard, le Seigneur Gorbad avait posé pied à terre.
Des hommes en arme les attendaient. Et leur sergent pris la parole.

Salutation, Seigneur… ?

Je suis le Maître Inquisiteur et Palatin de Thassopole Arzhùl Gorbad. le sergent se raidi à ces mots, le faite d’avoir un inquisiteur dans les rang n’était pas la meilleur des choses, en plus un palatin…
Y aurai t il un problème sergent ?dit t il en froncent le regard
Non, non Seigneur Palatin, au contraire c’est un honn…
Suffit ! Conduisez moi à votre Commandent en Chef ! je n’ai que faire de votre langue dans mes parties anale…
Le sergent ne savait plus trop ou se mettre, certains gardes firent mines de ne pas rire, mais un regard inquisiteur se posa sur eux, et toute envie de rire disparu.
Le Seigneur Heldrak venait de posé pied à terre et le Seigneur Gorbad se dirigea vers lui.


Comment vas tu frère ?en posant sa main sur son épaule
Je me porte. Je vais m’occuper de trouver l’officier de liaison, je sens que si je ne m’en occupe pas, nous allons retrouvé notre campement au pied des murailles. Et puis il faut préparer le terrain pour le gros de notre armée. Je t’enverrais mon aide de camp pour te tenir au courent.
Ils échangèrent une poignée de mains, et le Seigneur Heldrak parti dans la masse grouillante de soldats

Bon à nous, conduisez moi à votre État-Major, le temps presse.

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Arden réapparu dans une fumée blanche devant son armé qui se préparait de partir. Un sursaut de ses soldats le fit rire. Enfin, ses soldats étaient prêts. Il vit Oengus qui était en train de les commander. Arden s'approcha de lui avant de lui dire :

-Messire Oengus, je suis de retour avec bonne humeur. Vous pouvez maintenant me laisser la garde de mes griffons. Je vous recommande de repartir diriger votre armée.

Arden regarda Oengus et partit et lançant à ses troupes :

-Messieurs, J'ai une idée de premier ordre, venez avec moi.

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Des bruissements d'ailes.


Le temps avait si vite passé. Le soleil atteignait son zénith, et l'heure de la bataille approchait très vite. Il flatta l'encolure de Sadrk, qui grogna, secouant sa tête immense couverte d'écaille. Autour de lui, des masses blanches grouillantes , des griffons majestueux, quelques wivernes et une nuée de créature volantes diverses, des moustiques aux phœnix, que Nathaniel personnellement adorait comme créature de compagnie. Il en avait possédé un il y a quelques années, mais il avaient été tué par une tempête en mer. Le pauvre oiseau avait reçu une vague de plein fouet, éteignant le feu éternel qui l'habitait. Et par le fait même, ses pouvoirs de résurrection.

Il ferma les yeux et laissa ses sens projeter dans toutes les directions. Il sentait l'herbe flotter au vent, le contact dur de celui-ci sur la pierre. Il sentait l'eau s'infiltrer dans le sol ou s'évaporer dans l'air. Il sentait l'oxygène s'engouffrer dans ses poumons ou ceux d'un dragon blancs.Il sentait la rage du combat résonner dans ses oreilles.


Il ouvrit ses yeux d'un coup vif et cria en pointant son hallebarde vers le ciel.

"LA LÉGENDE BRISE!"

Un battement terrible, et le soulèvement d'une armée de créature volante s'élança vers le ciel. Nathaniel soutint la vue du soleil et poussa son dragon toujours plus haut. Les dragons blancs volaient dans une quasi-parfaite, car on ne pouvait domestiquer parfaitement un dragon, autour de lui et rugirent lorsque l'effort de la poussée se fit sentir. Ils battirent des ailes en utilisant toute leur formidable puissance.

Nathaniel atteint la hauteur qu'il voulait et soudainement tira sur les reines pour stabiliser son dragon. On voyait à peine les troupes au sol de cette hauteur. D'ailleurs, ils ne pourraient rester en tel altitude longtemps, surtout que certaines créatures étaient fragiles. Mais il ne comptait pas rester longtemps. Il chargea son bras, puis regarda la Zirconie. À nouveau , le doute l'envahit. Tant d'innocents mourraient... Il devait choisir. Les yeux de Nathaniel se froncèrent , et il déchargea l'éclair bleu de son bras, qui accomplit un large arc de cercle. L'explosion fut sans son, mais l'éclair bleu était facile à voir. Les armes de sièges commencerait désormais à incendier la ville.

Il fit un signe à ses hommes, puis plongea dans le vide. La vitesse lui picota le visage, mais les dragons blancs , eux, rugissaient de plus belle, adorant la sensation de la vitesse. Les hommes autours de lui crièrent leur ferveur, et Nathaniel eut un frisson.

L'essaim de créature s'écrasa sur la ville. Plusieurs créatures faibles n'eurent pas la force de se redresser et s'écrasèrent vraiment sur la ville. Mais la plupart commença sa mission.Nathaniel incendia une maison de son bras puis divisa ses hommes pour détruire la garde. Ceux-ci avaient été surpris à moitié par l'attaque, mais la sauvageté de l'attaque à pic les avaient laissés surpris et désorientés. Rares étaient ceux qui avaient même eux le temps de lever leurs arcs. Sadrk vira vers la muraille grouillantes. Ses serres écrasèrent un archer et de sa gueule il déchiqueta un autre avant de s'envoler à nouveau. Les flèches se firent pleuvoir et Nathaniel sentit son dragon gémir, mais le reptile était orgueilleux et ne devenait encore plus en colère. De son côté, Nathaniel tentait de visionner la bataille.Les dragons blancs massacrèrent un bon nombre de guerriers, à un point tel que certaines créatures alliés fuyaient le champ de bataille de peur.Les griffons d'Oengus faisaient, quand à eux de l'excellent travail, et le feu était pris dans la chapelle.

Nathaniel sentit la douleur emplir son esprit. Les cris, le feu, la souffrance. Au milieu de tout ça, le palais se dessinait.


"Silencieux fut-il quand il constata l'ensemble de mon œuvre.Qui ne l'aurait pas été?"

-Songes de Nathaniel, Adaptation par Ghenjo Keres d'après l'Édition Impériale, Page 54

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Rafaël vit venir l’attaque bien avant la tragédie. La fébrilité de l’air annonçait la début du conflit, la bataille était engagée. Les troupes postées sur les murs virent l’immense force de combat volante s’élever bien au-dessus des voyages.

- Archers, prêt à tirer !


Tous les archers bandèrent leurs arcs et encochèrent leur flèche. Lorsque catapultes ennemies ouvrir le feu, les bombardements déséquilibrèrent un bon nombre d’archers. Les hommes furent surpris, mais se reprirent, seuls quelques archers trop lent ne purent accomplir l’ordre qui fut donné de toute urgence.

- Feu.


Des milliers de flèches partirent en direction des centaines de dragons blancs et de centaines d’autres créatures qui allaient bientôt fondre sur eux. Les flèches atteignirent presque toutes leurs cibles, surtout celles des elfes. Une vingtaine de dragons seulement s’écrasèrent suite à cette volée de projectiles, les autres dragons frémirent, mais leur peau écailleuse et leur orgueil les poussa à se jeter sur la ville, la mettant en feu de leur souffle. D’autres faibles créatures finirent écrasées sur le sol pavée de la ville, mais la majorité commençait déjà à tuer tout ce qui bougeait autour d’eux.

Les fantassins défendirent les archers, qui laissant accroché sur leur dos leur arcs désormais peu utiles après une deuxième salve au sol, dégainèrent une dague pour se défendre. Les phalanges se positionnèrent du mieux qu’elles pouvaient contre les dragons qui les dominaient de leur taille. La ligne d’homme sur les remparts tenaient tant bien que mal les murs, qui venait de se voir assaillis d’une vague d’échelles, de hobgobelins et de mercenaires. Pourtant, l’attaque volante avait été dévastatrice et des griffons aux couleurs d’Héraldie saccagèrent les bâtiments. Hawenira qui, avait malheureusement du rester dans la ville haute avec sa mère, aux ordres de son frère se sentie trahie par la présence de la bannière du Palatin Oengus, dont son père lui avait dit tant de bien, surtout pour son dévouement à l’Empire et à la croisade.

La chapelle de la ville basse, le temple qui accueillait tout le panthéon, prit feu, incendié par l’ennemi. Rafaël avait du se séparer du Général Gamuval durant le combat. Celui-ci devait défendre la famille royale. Alors, aux milieux des flammes qui dansaient, des cadavres qui tombaient, du fracas des armes et du contact avec les dalles de pierre souillées et glissantes de sang ami et ennemi, le Seigneur Rafaël, intendant de Zirconie croisa le regard du général sanguinaire qui menait les sauvages dans la conquête de la sainte ville.

Tout de suite, il se mit à haïr cet homme, encore ce qualificatif étant trop généreux envers un démon avide de sang, cet être qui tuait son peuple, pour servir un homme sans foi ni loi qui régnait par usurpation. Puis, alors qu’il para un coup d’estoc donné par un des cavaliers ennemis, tombé de sa monture, il se repentit, priant pour l’âme du dénommé Nathaniel, que son père avait déjà croisé, des semaines auparavant, devant les murs de Fort Wolfen.

Le fils de Fardall se dit donc, qu’il allait démontrer à ce général du diable que son peuple était un peuple fort, fier et courageux, qui ne se résignait pas par peur ni ne se pliait devant ceux qui voulait détruire la paix, cette paix pour laquelle ils s’étaient exilés d’Étimnon, cette paix, qui, en fin de compte, était le seul but de ce peuple, déjà tant éprouvé et qui, malgré les épreuves avait toujours servi des dieux et sa foi, cette foi, qui déplace les montagnes.




~ Dans son visage, je ne vie qu’ambition et témérité, qui rongeait son cœur et son âme. ~

( Songe de Fardall durant son recueillement en Thassopole, Dernière rencontre avec Enguerrand IV d’Exalon durant la conquête d’Outre-Mer )

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Lorsque Nataniel commenca à attaquer, les griffons montés et Farlen montèrent vers les cieux et se mirent et route vers la caserne, jamais il n'aurait attaqué un temple. Lui qui était croyant de sa soeur. Il pria un instant sur son griffon qui commencait à descendre. Des milliers de flèches se firent entendre. La troupe de farlen était entrainé à faire face à cette menace, mais pas contre autant de flèches. Quelques-uns de ses griffon tombèrent sur le sol en brisant les murs de la caserne. Une voix familière le déconcentra.


Dans la fumée et les soldats, il vit Rafaël. Pourquoi était t'il ici dans ce champ de bataille. La caserne était en feu, Farlen cria à ses hommes de se rendre vers la ville haute. Sur ses 600 soldats, il ne lui en restait à peine 300. Tous des êtres chères pour lui. Un dragon vint le mordre, par chance, les lances qu'il avait installé avant la bataille durent changer la trajectoire du dragon.

Il se rendait proche de la ville haute. Voyant tout ses morts, Farlen pleura. Autant de mort pour une guerre aussi inutile. Après cette guerre, il creusera des tombeaux pour tous et toutes. Même si cela lui prendrait des semaines. Son dieu ne lui pardonnerai pas aussi facilement autant de mort.

-Kandent, prend la moitié des hommes et ouvre le passage vers la ville haute, je vais tenté une entré. D'après moi, tous les gardes doivent être en bas avec Rafaël.

L'officier lui fit un signe de la tête, mais un cracha de flame allait s'écraser sur lui. Farlen avait beau lui crier gare, l'officier tomba carbonisé.

Farlen continua sa route.

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Oengus était sur la plaine devant la cité et s'occupait de bombarder les points stratégiques de la cité afin de permettre aux troupes impériales de prendre place et d'être vainqueur. Lui et ses troupes devait attendre que les troupes aériennes est pu se poser et ouvrir les portes une fois la zone sécurisé afin d'entrer et d'aller faire sortir le peuple pour l'amener vers le fleuve et ainsi éviter les morts inutiles. Une évidence lui traversait l'esprit : Ce serait sa dernière guerre ! Il ne prendrait les armes que pour se défendre et protéger son peuple. Sa paisible forêt lui manquait terriblement.

Il regardait les masses enflammés voler au-dessus de sa tête parmi ses griffons et ceux de Farlen. Il était rongé de remord à l'idée de faire un nombre incalculable de victimes innocentes et commençait sérieusement à se demander ce qu'il était venu y faire. Le palatin regarda derrière lui, il voyait plus loin les troupes de Varatorn qui n'avait pas eu l'autorisation de bouger et plus loin encore une autre armée qui arrivait. Pourtant cette dernière n'y était pas la veille, elle avait dû dépasser les collines tôt ce matin.


Waltta !! Quittez votre poste et allez chercher ce nouveau seigneur qui vient d'arriver, qu'il vienne seul. Je ne veux pas de ses troupes sur le champs de bataille et qu'il fasse vite, il doit être ici avant que les portes de la cité ne s'ouvre sinon il ira s'asseoir tranquille dans son coin jusqu'à ce que l'on revienne.

Oui Messire, j'y cours !
* * * * *
Le Général d'Oengus arriva devant les troupes inconnus un peu essouflé par la course qu'il venait de faire, ses plus jeunes années étaient loin derrière. Il se fit conduire à celui qui dirigeait les troupes.

Salutations Messire, je viens ici vous cherchez à la requête d'Oengus d'Héraldie, Palatin d'Amphise et Conseiller Impérial de l'Empire. Il vous demande de le rejoindre dans les délais les plus brefs avant qu'il ne se joigne aux combats. Évidemment, vos troupes resteront ici et vous irez seul avec moi.

L'elfe salua brièvement et fit signe à l'inquisiteur de le suivre puis repris le chemin vers son palatin. Il ne regardait pas si le seigneur le suivait, il n'en avait pas le temps. Ce serait tan pis pour lui si il prenait trop de temps.

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Enfin se dit Arzhùl...

Sysk'o!
Prépare les hommes et les griffons, c'est bientôt à notre tour de jouer, et fait quérir l'Inquisiteur Heldrak


Oui, mon Seigneur!

Sur ces mots ils partirent tous dans leur direction, Sysk'o alla chercher le Seigneur Heldrak et préparer les hommes à l'assaut.
Arzhùl lui suivit l'elfe, la guerre et la précipitation...
Ils arrivèrent devant l'homme en question, Arzhùl l'avait déjà vue, mais il doutait que lui s'en souvienne, il agissait encore dans l'ombre à cette époque. Il se présenta:

Palatin Oengus d'Héraldie, je suis le Maître Inquisiteur et Palatin de Thassopole Arzhùl Gorbad. ils se sérèrent la main

Assez avec les formalités, je suis ici avec 500 de mes meilleur hommes harnacher sur Griffons. Le gros de l'armée de Thassopole et de l'Ordo Repurgatoris n'arrivera que dans quelque jours, plus de 10.000 têtes.
Dite moi quelle est la situation et où mes cavaliers et moi-même serions les plus utile.
d'un geste de la main mystique, il fit apparaître Eviscerator, une gigantesque mais pas moins magnifique Hache à 2 Mains. Aussi belle que terrifiante, cette antique hache avait fait mainte fois couler le sang, et aujourd'hui encore son destin aller s'accomplir...

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Oengus continuait de diriger les tirs tout en écoutant le nouveau venu.

Content de vous voir messire, vous êtes donc un de ceux de cette nouvelle armada qui veulent nettoyer l'Empire, c'est bien ça ? Vous aurez beaucoup de travail mais surtout beaucoup de résistance car vos valeurs et jugement ne feront sûrement pas l'unanimité. Il semblerait que ce champs de batailles devienne une réunion de Palatin puisque celui de Vénopole est également présent mais ses troupes et lui-même ont reçu l'interdiction de bouger lors de cet assaut. Nous ne voulons pas de boucherie mais bien prendre le contrôle des lieux.


L'elfe regarda la hache puis continua : À en juger par votre attitude, vous semblez également être du genre à tuer tout ce qui bouge et qui porte les couleurs adverses. Si tel est le cas nous ne pouvons vous laissez entrer dans le combat. Il y aura probablement d'autres affrontements où vous pourrez participer, ce qui permettra à vos hommes d'arriver.

L'Amphisois continua de suivre la situation des yeux afin de ne pas manquer le signal de la charge vers la ville.

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Le regard du Seigneur Arzhùl s'assombrit
Je crois que mes aptitudes au combat aussi que celle de mes hommes seraient beaucoup plus efficace sur le terrain qu'en retrait! il finit sa phrase en la ponctuant en enfoncent le manche de sa hache dans le sol

Ne me prenais pas pour une brute sans cervelle...
Je ne suis pas la pour faire de la boucherie, même si les personnes qui ne partage pas mes opinions le pense...
Mes guerriers et moi même sont très compétent dans ce qui est l'art de la guerre et je vous assure que piller, violer et tout autre acte de barbarie est puni de mort dans mes rangs!
dit t il résignement
Nous ne tuons que les soldats, la population sera juger plus tard, quand l'Ordre reviendra!
Je vous assure que nous pouvons prendre d'assaut un secteur et le tenir, utiliser nous de façon stratégique, nous sommes 500 tous sur Griffons!
Soyer judicieux...

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Oengus s'arrêta net suite aux derniers propos d'Arzhùl. Waltta ! Prenez ma place et surveillez l'ouverture de cette porte le temps que je m'explique avec lui.

L'elfe s'approcha de l'inquisiteur et se tenait face à lui.
Tout d'abord, si vous n'êtes pas une brute sans cervelle prouver-le en agissant comme il se doit. Ce n'est pas en me menaçant par vos paroles et vos coups de hache que vous prouverez vos talents.

L'Amphisois jeta un regard sur les griffons et leur cavalier qui attendaient au loin puis regarda à nouveau Arzhùl.
Et bien, puisque vous y tenez je vous envoi avec vos troupes à l'assaut de la ville. Dirigez-vous vers un secteur qui n'est pas encore contrôlé par nos troupes et tenez-le. Inutile de vous précisez que vous venez de m'affirmer que pillage, viol et barbarie sont passible de mort dans vos rang. Si j'attends dire quoi que ce soit à ce propos vous concernant, ce sera à vous d'être sur un bûcher.

Oengus marqua une pause puis termina : Allez, faites-vite, les rebelles ne vous attendront pas très longtemps.

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Il sentit le sifflement froid d'un flèche caresser son cou .

Nathaniel rassemblait son groupe tout en éliminant les vestiges des défenses ennemis.La garde sur le mur reculait constamment et d'ici peu, il faudrait commencer à ouvrir les portes, bien que les échelles faisaient un joli travail.

Des tas de maisons brûlaient, mais la chapelle dominaient avec les énormes flammes qu'elle projetait, probablement un signe de la colère d'un dieu.Sadrk effectua un autre passage pour faire basculer dans les flammes un archer imprudent.

Peu à peu, une équipe de dragon blanc se rassembla.Sans un mot, Nathaniel pointa le palais.Certains hochèrent de la tête, d'autre non.Ils s'élancèrent vers cette petite forteresse, appuyée par les assauts répètées des griffons, qui rendaient difficiles toute attaque stratégique ennemie de la part de l'ennemi.

Le palais était gardé par une petite garde royale, élite, mais qui étaient si mal équipé pour un combat aérien que de passer les murailles pour attérir dans le cour serait une rigolade. D'ailleurs, ils n'eurent aucun problème pour attérir.

Mais les choses se corsèrent. Au sol, les gardes se firent un intense résistence aux mercenaires.

Nathaniel para le coup de bouclier du garde et plongea sa lame dans son ventre jusqu'à la garde. Quelques secondes, et le soldat lâchait toute résistence.

Le mercenaire songea que les cris devaient maintenant avoir alerté la royauté. Il n'y avait pas de temps à perdre.

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Il fronça les sourcils et reprit la parole :

Des menaces ???
Vous n’avez pas la notion du mot menace chère Palatin… Mais ce moment n’est pas arrivé !
Par contre vos menaces pèse lourd, surtout en l’encontre d’un Maître Inquisiteur !
Pour lors concentrons nous sur l’assaut, mes hommes sont entrain de se préparer.
J’ai chargé mon 1er Capitaine de préparer les hommes au combat avant de venir.
Faite moi un rapide briefing de la situation, que je sache où, quand et comment attaqué de la meilleur manière.
Nous sommes là pour vaincre, pas pour se faire ridiculiser en envoyant des hommes qualifier à l’aveuglette !
une légère impatience se faisait ressentir chez l’Inquisiteur

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Faraël se battait avec les soldats dans la Ville Haute. La Ville Basse avait du être presque complètement évacuée car l’ennemi l’avait complètement ravagée et les soldats pour la défendre commençait à manquer. L’ennemi était encore contenu dans la Ville Haute par la vaillance et la bravoure des soldats. La populace était paniquée, elle s’y était réfugiée et voyait maintenant les envahisseurs y débarquer de tout côté. Un cri d’alerte venant des remparts supérieurs de l’acropole l’avertir qu’un petit groupe s’était lâché dans la Ville Royale, près du palais. Le Général Gamuval y avait retrait. Pour organiser la dernière défens.

. . .


Gamuval venait de voir des hommes, dont, semblait-il, le Général ennemi envahir la Ville Royale. Son sergent à côté de lui n’eut pas la chance de parer et reçut la froide lame de l’ennemi, qui s’enfonça jusqu’à la garde dans sa poitrine, au travers de sa côte de maille.
Enragé de cet affront, le célestial chargea le Général, bientôt suivi des ses hommes, couper la tête et le corps tombera, disait le dicton, du moins celui-ci s’appliquait-il encore à certaines armée, pas à toutes, pour le bonheur de certain.


- Chargez !

Il engagea un duel féroce avec le Chef des Mercenaires. Ses hommes submergeant les envahisseurs encore trop peu dans la Ville Royale. Il espérait qu’apprenant la mort de ce Nathaniel, les troupes ennemis de la Ville Haute fuiraient.

Gamuval para aisément un coup d’estoc de son adversaire, et contre-attaqua aussitôt, espérant écarter légèrement le bras ennemi, de manière à se laisser une ouverture dans la position de Nathaniel et ainsi venger le peuple qu’il avait juré de défendre.

. . .

Le combat faisait toujours rage au niveau inférieur, les deux armées semblaient de force égale, quoique les mercenaires pouvaient compter sur des renforts venus de la Ville Basse et, de ce qu’il pouvait voir des créneaux à proximité, les troupes encore stationnées dehors, sur la rive sud du fleuve où une partie des ennemis attendaient.

Il hésita un moment. Devait-il faire retraite et abandonner la ville, sauvant le peuple par le Nord de la ville encore dégagé, où combattre, en espérant que la chance tourne ? Le même dilemme auquel son père avait été confronté, quelque semaines plutôt, au crépuscule d’une chaude soirée rougit du sang des Défenseurs de Fort Wolfen s'imposait sournoisement à lui.
Tentant de repousser la minute où il devrait inéluctablement choisir l’une des options, le fils de Fardall darda son regard vers le palais, où l’escarmouche se poursuivait. L’Intendant s’éloigna de la portée ennemie, pour englober de son regard perçant l’étendue de la bataille, un voile passa momentanément sur ses yeux alors qu’il contemplait son destin.



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~ Chaque fois que le sang coule, chaque fois qu'un corps tombe, nul ne le voit, nul ne l'entend, mais tous le sentent, Nucter, riant aux éclats qui foule le sol et vous tend les bras ~ ( Songe de Rafaël, au Coeur de la Bataille )

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L'armée de Arden avaient réussi à se faufiller malgrès les flèches ennemis, à se rendre proche du palais, Arden voullait se rendre au balcon et prendre la palais d'assault. Pas vraiment en assault, plutôt de sauver les personnes qui avaient une chance de survis. Il vit le seigneur Nataniel qui se battait contre un célestre. Il regarda la scène quelques secondes et lorque Nataniel fut mit à genou, Arden le regarda et souhaita que cet être meurt atrocement pour tout le mal qu'il avait infligé. Il aurait pu l'aider, mais cela n'aurait servit à rien. Il continua lui et sa troupe à blesser les archers qui se situaient proche du palais pour avoir un moyen de rentrer, car selon lui, si Nataniel entrait avant lui, que de terreur planerait sur cette ville. Une flèche passa proche de son visage, un archer avait faillit le tuer, dire qu'il se battait à sa facon pour les aider. Il tira une flèche sur une faille du mur ce qui la fit écrouller sur l'archer qui gémis avant de perdre connaissance.

Dernière édition par farlen farden le Mer 30 Avr 2008 - 5:30, édité 2 fois

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Un choc. Puis la douleur.


Le pommeau de l'épée se fracassa sur son casque. Celui-ci en absorba une grande partie, mais Nathaniel s'écroula sur le sol, sonné. Les cris et les lames entrechoqués résonnèrent autour de lui.Puis il vit arriver la lame de son adversaire et se roula sur le sol au dernier instant, évitant de justesse le coup mortel.

Les combats les plus féroces étaient maintenant tenus sur la ville haute. Les murailles extérieures , qui avaient fait la fierté de la cité de Zircondal, n'était plus qu'un théâtre de désolation. Des morts partous, d'autres agonisants encore, tout en sachant que personne ne viendrait les sauver. Les pleurs des enfants, le débuts des cris de certaines femmes que des soldats entraînaient à l'intérieur des quelques maisons encores intactes dans la ville basse. Et le feu que propageait les dragons, qui lèchait les murailles et répandait sa suie partout.

Le général para les attaques furieuses de son adversaire, qui faisait preuve d'une habileté incroyable et d'une rage dont seuls ceux consumés par la colère pouvait entretenir.Nathaniel tenta de se donner un peu d'espace pour respirer, mais son dos toucha le mur de pierre du palais. Autour de lui, ses hommes maintenant fermement un espace de sécurité, et on entendait les cris des renforcements qui forçait les portes à coups de béliers rudimentaires fabriqués à partir de madriers trouvés dans des ruines.

Son adversaire porta un coup vers le bas puis enchaîna avec une botte diagonale très difficile à exécuter. Là , Nathaniel entraperçu une faille.Immédiatement, il chargea furieusement et prit le contrôle du combat, forçant finalement le célestial à reculer pour éviter ses coups. D'une façon typiquement outremerse, il voulut empaler l'ennemi sur sa lame mais celui-ci semblait connaître son style et para le coup violemment.Ils se battirent ainsi inlassablement au milieu des combats.

Des hommes commencèrent à affluer par une brêche et immédiatement les soldats ennemies furent renversés par les nombres de troupes et reculèrent dans leurs derniers retranchements. On saurait bientôt s'ils fuiraient ou mourraient.

Nathaniel feinta le célestial qui lui portait un coup horizontal puis tenta de l'empaler. D'un geste vif, le général para le coup et Nathaniel vut qu'il s'était fait prendre. Le célestial tourna sur lui même pour plaquer violemment le Général contre le mur, retourner son épée et finalement la planter dans l'épaule droite du mercenaire, qui hurla.

Une explosion de douleur. Nathaniel sentit le sang sortir de sa blessure, près de sa clavicule. Il regarda les yeux du célestial. Ils étaient impassibles, sans aucune fierté , sans aucune haine.Quelques secondes, ils se fixèrent intensément. Puis le célestial arracha sa lame du mercenaire et amorça un coup destinée à décapiter Nathaniel. Celui-ci se contenta de se laissa tomber à genou, et, supportant la douleur du mieux qu'il put , se rapprocha assez prêt du Célestial. Tellement prêt qu'il put sentir leur parfum caractéristique- celui de la pureté. Son sabre courbé traversa sans difficulté la cuirasse du Célestial, ressortant de l'autre côté, d'une lueur écarlate.

Le vieux célestial lâcha son arme, et tomba à genous lorsque Nathaniel enleva sa lame de son corps. Le mercenaire allait s'éloigner quand le célestial posa le bras sur son épaule. Nathaniel s'arrêta pour regarde le soldat agonisant. Tenant son épaule d'une main , il approcha sa tête du célestial, dont le souffle rauque n'annonçait que le destin funèbre qui allait suivre.

Entre deux souffles pénibles, le célestial parvint à murmurer :


" La liberté.......C'est tout ce que nous voulions.....J'ai échoué..."

Le guerrier ailé s'affaissa sur le sol et extirpa son dernier souffle.Nathaniel tomba en arrière sous le choc. La douleur de son épaule sembla même se figer.

"La .....Liberté....?Tant de morts et tants de sacrifices...."murmura t-il.


"Je suis déjà mort. Mort de tout ce que je fais . Et à chaque bataille, nouvel empereur, je revis pour mieux mourir"

-Songes de Nathaniel, Livre inconnu, Édition Scitopolienne, Écrit par Anonyme.

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Oengus faisait de son mieux pour garder son calme devant l'Inquisiteur qui ne cessait de poser des questions en plus de ne pas écouter convenablement ce que l'Elfe lui disait. L'Amphisois jetait constamment un coup d'oeil vers les portes sud de la cité dans l'entente d'y voir une mince ouverture permettant à ses troupes de foncer vers la ville et d'y prendre position.

Les unités volantes montait et descendait dans les cieux de manière répétitive malgré les pluies de flèches qui heureusement diminuait en intensité tout comme le nombre de griffons. Les pertes de cette bataille serait sûrement énorme des deux côtés, en espérant que la fin des affrontements apporte la paix sur l'Empire.

Le palatin sortit de ses pensées et se concentra sur son interlocuteur :
Seigneur Arzhûl, n'ai-je pas été assez clair en vous spécifiant de prendre les airs et de vous dirigez vers une zone inoccupé de la cité ? Je vais donc être plus précis et vous dires de prendre position dans l'est de la ville. Nous voyons clairement d'ici que les impériaux n'y sont pas puisque rien ne sillonne le ciel à cet endroit. Pour ce qui est du sens du mot menace, tout est relatif selon l'esprit de la personne qui écoute les mots. Nous aurons l'occasion d'en discuter en d'autres lieux et moments. Maintenant, je vous serais reconnaissant de presser le pas et de prendre d'assaut cette partie de la cité avant que tout le monde ne soit mort. Rappelez-vous que vous êtes ici sous les ordres de l'Empereur et qu'en aucun cas les habitudes de l'Ordo Repurgatoris ne seront tolérés sur ce champs de bataille.

Oengus salua l'Inquisiteur, le laissant seul afin qu'il prenne dès que possible les airs. Il avait déjà trop discuté et les affrontements continuait dans la cité. Le conseiller était las d'attendre le signal afin d'envoyer ses troupes et celle d'Arden au combat.

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Étouffant sous son armure, Nathaniel retira son casque.

Il s'était accoté à un mur pour essayer de se soigner. Mais il en était peu capable, le combat l'avait épuisé, et les propos du célestial semblait ronger son esprit. Nathaniel sentait qu'il perdait graduellement son dévouement à sa cause, en même temps que son sang, d'ailleurs.

Ailleurs, dans la ville basse, les portes s'ouvraient dans un grincement de serrures brisées et de coups de béliers bien placés. D'ici quelques minutes, la totalité des troupes seraient à l'intérieur du château. Ce qui serait peu utile, en fin de compte. Seul un nombre restreint d'homme pouvait attaquer le palais à la fois, l'espace étant petit. Et les défenseurs de Zirconie se battait intensément , comme une mère dragon protège ses petits : Jusqu'à la mort.

Les impériaux avaient fait un nombre de soldats prisonniers extrèmement faible. Ils semblaient ne jamais vouloir abandonné. Par contre, progessivement , on capturait la population neutre, qui semblait accepter leur sort en silence. On avait aperçu des soldats violer des femmes, mais on ne pourrait que régler leur compte plus tard. Pour l'instant Nathaniel se contentait de survivre, guettant tout ennemi qui voudrait s'en prendre à lui dans cet espace clos.

D'autre hommes se joignirent au combat et prit enfin la relève des mercenaires des légendes. Ceux-ci aidèrent Nathaniel à se relever et un d'eux, magicien, referma enfin sa vilaine blessure, qui lui ferait mal pour un certain temps tout de même.Ils voulurent retourner à la ville basse, mais Nathaniel refusa.Il avait quelque chose à récupérer dans le palais. Les hommes maugréèrent et insistèrent pour l'aider, mais le Mercenaire refusa et les renvoya se reposer hors des combats.

Il regarda encore longuement le cadavre du célestial. Il n'en avait fallu que quelque secondes pour qu'il ait été lui-même à cette place. Impassible, il se pencha sur le corps et détacha délicatement le médaillon que portait l'homme au poignet. C'était une belle pièce de turquoise. Finalement, il ferma les yeux du vieux célestial, et, empoignant son épée, se dirigea vers les portes du palais, comme les soldats impériaux qui courait.

Mais il ne voulait pas courir. Il voulait marcher.

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