Zircondal, la Capitale de l'Honneur

Arden regardait Rafaël avec surprise, il n'avait pas encore compris le sens de ses mots :

- Pour le moment, je crois que si le palatin du général Waltta arrive, vous serez inondé de tout les côté, surtout que vos murs ne resteront pas debout pendant encore longtemps. Et en même temps, puisque j'ai réussi à venir par magie, des mages pourraient vous détruire facilement, mais puisque Nataniel est assez fou pour envoyer ses hommes à la mort, je crois qu'il pourrait quand même tenter une attaque vers la porte...

Arden interrompit sa phrase et se souvint des mots de Rafaël.

-Si votre sœur vient du nord, alors vous aussi, alors pourquoi êtes vous ici? Je suis sure que vous avez d'autre choses à faire que de me le dire.

Arden reprit son discour.

-Bref, je ne crois pas qu'ils vont détruire ce mur par peur de perdre trop d'homme. Je crois qu'ils vont faire par les airs ou par magie. Car pour le moment, je ne crois pas qu'il vont vous attaquer. Par le général Waltta, ils attendent Oengus et son armée, donc vous ne devriez pas avoir de misère.

-Ahh oui, je proposerait donc d'aller faire de la diplomatie avec se Nataniel ou bien une chose que je ne crois pas que vous feriez, vous rendre.

Arden commença à disparaître.

-Merde, le sort commence à disparaître, il doit me rester que quelques minutes. Et non, Nataniel ne le sait pas que je suis là, seul le général Waltta le sait. Une dernière parole avant que je disparaisse?

Arden attendit quelques instants pour voir ce que le seigneur allait lui dire.

"Le sentez-vous , Palatin? Comme moi, avez vous l'impression que quelque chose d'énorme se prépare?"

Pas encore Nathaniel, pas encore...

Oengus rajouta quelque chose avant de quitter : Je vais aller me renseigner sur ces rôdeurs au près de mon général, nous saurons donc de quel côté il veut défendre la cause. Je serais sur le champs de bataille mais avec mes troupes au sol, j'ai une préférence pour le combat sur la terre ferme, une question de stabilité je suppose.

Le palatin quitta les lieux pour se rendre à son campement, bien que la soirée ne soit pas terminé, il avait le sentiment que la nuit serait courte.

* * * * *

WALTTA ! où êtes-vous ? lança Oengus.

Ici Seigneur, ici. Waltta sortit d'une tente et se rendit face à son supérieur. Que puis-je pour votre service ?

Faites préparez les troupes aériennes pour demain matin, l'assaut sera lancé avant midi. Je guiderai avec vous les unités au sol selon les plans établi par Nathaniel. De plus, j'aurai une question pour vous... Qui est ce Arden et ses hommes ? De quel camp sont-il et où est-il ?

Il se dit chef des rôdeurs que vous voyez dans le campement adjacent au nôtre. Il indique vouloir se battre pour remercier l'Empereur concernant certains choses du passé. Il est actuellement à l'intérieur même des bâtiments de Zirconie grâce à un de vos meilleur mage qui a accepté de l'y téléporter. Il devrait être de retour dans très peu de temps.

Et bien soit, si il est de notre côté il aura l'occasion de le prouver ou de subir. Faites-le venir à moi dès son retour, j'ai quelques questions à lui poser. Le palatin se dirigea vers sa tente pour y prendre un maximum de repos. Comme dans toute guerre, nous savons l'heure du début mais pas celle de fin.

Le sort se dissipa et Arden disparu d’une des remparts

Il réapparu dans sa tente proche de son lit. Il s'étira et sortit prendre l'air. En sortant de sa tente, il vit quelque chose qui le surpris. Depuis quand y'avaient t'ils autant d'hommes et de créatures dans le campement? Il était pourtant partit seulement quelques heures, soit Waltta avait eu une augmentation ou bien un autre seigneur était arrivé.

Il chercha Waltta pour lui parler de Rafael et pour avoir un peu plus d'information. Lorsqu’un de ses rôdeurs vint lui parler :

-Messire, le seigneur Waltta veut vous parler. Et le seigneur Oengus est ici. Dépêcher vous.

-D’accord, j’y vais. Aller dormir maintenant. Vous en aurez de besoin.

Farlen chercha Waltta et le vit qui se promenait. Il alla le voir et lui dit :

-Messire Waltta, vous me cherchiez il me semble.

Après 3 heures de vol, Varaton ce posa prêt du campement des combattants de l'empereur avec sont escorte de 50 dragons qui se pose prêt de lui. Varatorn met le pied à terre et s'avance prêt du camps.

Varatorn s'approche d'un garde et dit :

Conduisez-moi au seigneur mercenaire de cette armée.

Le Garde regarda Varatorn et regarda derrière lui en voyant les 50 dragon il dit :

Bien je vous emmène auprès de lui mais votre escorte reste la.

Varatorn dit :

Bien

Le Garde conduisit Varatorn jusqu'à la tente de commandement.

Attention les fautes d'orthographes sont énormes!

Nathaniel y était presque.

Il avait presque trouvé le sommeil, et en un temps record. Et voilà, que, dehors, on marmonnait, d'une voix semée par la gène:

"Euh...Nathaniel...Quelqu'un veut te voir..."

Nathaniel serra les dents et se leva, remit de l'ordre dans ses vêtements, puis dit :

"Ma nuit est déjà gâchée, de toute façon. Faîtes le donc entrer, qu'on en finisse."

Mots simples, promesses de vengences.


"Et lorsque tout fut mort, il se demanda si se tuer lui-même serait source de fierté."

-Songes de Nathaniel, livre du conte, chapitre 4, page 256

Dernière édition par Nathaniel le Mar 8 Avr 2008 - 0:52, édité 1 fois

Varatorn entra en salua le Général en frappant sur son torse avec un poing ferme et dit :

Bonsoir à vous Général j'espère que je ne vous dérange pas je suis Varatorn, Seigneur d'Aldanas, le Palatin de Vénopole. Je viens ici pour me joindre à vos force armée.
Mon armée est en marche d'ici demain au plus tard après-demain 1000 Homme devrais être là et d'ici 4 jour environs 5.000 autres les rejoindrons.
Je suis ici pour me battre pour l'Empereur Enguerrand et si je devais mourir au champs d'honneur ça sera avec plaisir.
Général acceptez-vous de me prendre sous vos ordres moi et mes compatriotes ?

Varatorn ce mit droit et fixa le général.


Edit : Attentioon, il te faut considérer le temps de voyage aussi ... ça prend plus que deux ou trois jours pour des hommes à pied pour traverser de Vénopole jusqu'au Nord de Scitopole et atteindre les terres de Zirconie. De plus, 70 000 c'est beaucoup trop, tu n'es pas une surpuissance. J'ai donc corriger les quantités pour être réaliste. Bon RP.

Varatorn dit au général :

Général je m'en vais me reposer avec mes hommes la route a été longue et je veux qu'il soient frais et dispos pour demain.

Varatorn sorti de la tente et partie auprès de ses dragons et dragonnier et dit :

Demain nous nous battrons et mourront pour l'Empereur messieurs dormez car demain nous attaquerons vers midi.

Varatorn ce coucha mais ne trouva pas le sommeil perturbé par sa rencontre en terre indépendante d'un messager d'Oengus.
Bien qu'il savait au plus profond de lui que c'était la meilleure chose à faire et que ces deux elfes n'ayant pas décliné leur identité et par ailleurs l'un deux lui avait tirée une flèche à quelques centimètres de sa tête sans même que Varatorn ne l'ai menacé bien que, bon on va dire, il les a avertie.
Et surtout ce qui le pertubait c'était si ces elfes sont allé parler au messager sa pourrait mal tourner pour Varatorn mais sa foi et sa dévotion envers Enguerrant le sauvera peut-être.
Il espère de tout cœur qu'il s'agisse de rebelle dans le cas contraire il sera en très mauvaise posture.

[Edit] manière simple pour tes fautes : utilise Word pour l'écriture de ton RP et utilise la correction avant de poster. Merci de ta compréhension.

Arden fit une révérence au chef de la guilde et s'assit au siège que le seigneur lui avait proposé. Il écouta la parole du seigneur :

-Bonjour à vous messire Arden, je suis heureux d'enfin faire votre connaissance, j'ai entendu parler de vous par mon général et il semblerait que vous aillez un frère qui à rejoint les rangs de notre armada, un certain Farlen Farden. Donc, d'où venez-vous ? Et quels sont vos effectifs pour ce combat ?

Arden regarda l'homme avec sérieux avant de lui répondre :

-Ca me fait chaud au coeur que mon frère soit avec nous, où est-il ?
Je viens d'un petit village, excuser moi si je ne me souviens pas du nom de la ville, car j'ai été vendu comme esclave par un détachement de démon qui ont pillé la ville.

-Et j'ai comme effectif à mes ordres : 600 rôdeurs avec 600 griffons, plus de 2000 animaux de toutes sortes, 50 mages et 10 prêtres. Cela vous suffit t'il ou faut t'il que j'envoi un message à d'autre brigade? Je tient à vous dire que mes rôdeurs ne sont entraînés qu’à l’arc, car se sont les animaux qui foncent dans le tas.

-Il est vrai que je suis déçu par mon frère qui ne viendra pas, mais c'est ca la vie d'un rôdeur. Je vais partir avec les griffons, mais mes elfs vont monter ces bêtes magnifiques. Donc, vous aurez des animaux de toutes sorte pour vous aider. Ils sont rapide mais ne peut obéir qu'à ceux qui ont la pierre ci.

Arden montra la pierre et la tendit à Oengus.

-Prenez en bien soin, car c'est le dernier cadeau que ma soeur m'a donné avant d'être vendu comme esclave. Il en existe que 3, chaque membre de ma famille en à un. Mon frère, moi et ma soeur.

Le visage d'Arden s'assombrie un peu.

-Mais qu'elle est le plan d'attaque ? Allons-nous simplement au château ou bien si on attaque le garde de la porte ? J'espère que messire Nataniel ne va pas mettre tout à feu et a sang.

Les paroles d'Arden devint de plus en plus colérique.

-S'il le fait, je ne saurais pas qu'elle atrocité je lui réserverais. Je ne me bats pas pour tuer, seul ceux qui me menace, Je peux tuer, les autres, je leur laisse la liberté.

Arden se calme et regarda Oengus avec désespoir.

-Excuser moi messire, c'est ma première guerre et je ne puis me permettre de voir autant d'hommes mourir. Je vais me battre, mais j'épargnerais ceux qui ne veille point combattre.

Arden écouta les explications de Oengus. Et lui dit à la fin :

-En gros, nous devons détruire la caserne et la chapelle en premier, ensuite, ouvrir les portes et faire le plus de prisonnier. Je pense plutôt que lorsque la porte sera ouverte, je vais aller faire de l'éclairage autour de la ville, car une flèche ne peut pas vraiment détruire les bâtiments. Mais je peux blesser les gens qui pensent fuir, pour les obliger à ralentir.

Arden regarda Oengus et stoppa son discours. Il avait oublier qu’il avait maintenant un chef.

-Si bien sur, vous me donnez votre permission.

Arden regarda Oengus avec une petite certitude que son plan serait accepter.

Je remercia le seigneur et j'allais dans ma tente, mais après quelques pas, je me suis retourné et j'ai demandé à Oengus :

-Messire, est-ce que vous me dire où étais situé la tente de Nataniel, ne me dite pas la plus grande, car ils sont presque tous énormes.

Avec un air un peu gêner par cette question qui me semblait obligatoire, mais un peu ridicule, j'ai attendu la réponse. Tous de suite après, je me suis rendu à sa tente. Deux gardes m'on dit de ne pas entrer sans permission et le pourquoi j'étais ici.

-Je viens parler stratégie avec le messire et je m'appelle Arden.

-Excuser moi, s'il est si tard, si vous voulez, je reviendrais demain. Je n'ai même pas vu qu'il faisait nuit. Je serai bref. Oengus m'a montré le plan de bataille, mais j'aimerai bien au lieu de devoir détruire les maison après la porte, faire de l'éclairage autour de la ville pour empêcher les ennemie de fuir. Je sais aussi avec la discutions que j'ai eu avec Rafael, qu'il ne va pas s'enfuir. Il est trop brave, il va se battre.

Arden fit un bref regard du coté de Nataniel, celui ci dormait presque debout. IL continua pour finir le plus vite possible.

-Que dite vous de cela? J'espère que mes renseignement vont vous être utile et que vous aller accepter mon autorisation de faire l'éclaireur.

[Double post, à ne pas imiter!]


Nathaniel dormit plutôt...Bien.Les paroles de Oengus sur la guerre l'avait ragaillardi, et il se sentait comme il avait toujours été : Un mercenaire serein. Mais surtout, un chasseur.

Il se leva vers 8 heures et enfila rapidement son armure.Ces pièces de métal étaient les seules preuves qu'ils avaient enduré flèches et épées pour la gloire et l'argent. Son épée courbée, elle, était étincelante mais toujours couverte du sang de tout les adversaires qu'il avait tué, pour la gloire et l'argent.Son casque avait vu les massacres, la guerre, l'infamie et le désespoir. Cruel témoin de la force des hommes étaient son armure.

Il laissa l'énergie déferla dans ses doigts gantés. Une flamme bleue enveloppa sa main et lècha le gant sans toutefois le bruler. Il admira quelques secondes la puissances du sang, puis éteignit les flammes en serrant le poing.Il regarda par la porte de la tente le soleil qui amorçait son regard vers le ciel. Aujourd'hui serait une autre légende, dans lequel il entrerait volontier.

Il médita quelques secondes..

"Je prie pour toi Synodar. Que mon chemin soit dur et fatiguant, mais qu'il en vaille la peine. Je te suivrai Synodar, comme j'ai suivi le sang."

Il ramassa son hallebarde, rengaina son épée et sortit.Le camp bouillonait d'activité fébrile. Tous se préparait à la plus grande attaque aérienne de tout les temps.Il se dirigea vers la grande table couverte de plan où s'étaient rassemblers des officers.Il les regarda , puis fit appeler Oengus.

"Et lorsque vint le jour, les corbeaux s'en réjouirent"

-Songes de Nathaniel, livre 2, Chapitre 3,Folio 1