Zircondal, la Capitale de l'Honneur

Arden le remercia, il s'enfonça avec le général Walta dans la grande tente. Arden avait plein de question a lui posé. Il s'assit et lui dit:

-Je viens d'un village du nom de Verrallit. J'ai deux frère et une sœur, mon frère s'appelle Farlen et ma sœur Ariéol. Mon village s'est fait attaquer par des démons, nous étions perdu pour cause de leurs supériorité en nombre. Mon second frère Irius est mort lors de la dernière attaque.

Sa voix s'assombrit et il continua:

-Les démon nous ont pris en esclavage, jusqu'aux jour où l'empereur vint nous sauver. Mais les démon avait eu le temps de vendre mon frère et ma sœur. Je ferai tout pour les retrouver. Même si je doit mourir.

Il s'arrêta avant de demander au général Walta:

-Et vous pourquoi êtes vous la. Et d'où venez vous???

Arden regarda l'homme, il prit quelque bouché et lui dit:

<Grâce à lui notre province n'est plus sous l'oppression de l'Igoumen qui était alors dirigé par Enguerrand avant qu'il ne devienne Empereur>

-Dites vous que vous vous battez pour un homme que voit haïssez??

-excuser moi si je comprend mal votre réponse.

Vous comprenez presque ma réponse. J'ai certainement par le passé déjà détesté cet homme pour ces actes. Encore aujourd'hui j'ai parfois la même idée à son sujet. L'Empereur n'est pas tout, il est une figure qui représente un Empire.

C'est pour cet empire que nous nous battons. Pour Kalamaï et son peuple. Notre chef Oengus d'Héraldie a toujours proscrit la guerre et encouragé la diplomatie. Il a en vain essayer de faire éviter la destruction de Fort Wolfen mais les deux protagonistes ne voulait rien entendre. Notre Palatin c'est donc résolu à employer la force pour faire régner la paix. C'est pourquoi nous sommes ici.

Waltta fit une pause puis reprit:

J'aurais une question pour vous ... en quelle circonstance, temps et lieu l'Empereur est-il venu à votre secours ?

Dernière édition par Oengus le Jeu 28 Fév 2008 - 3:55, édité 1 fois

-Je ne crois pas qu'il l'a fait pour nous, plutôt pour sa campagne. C'était selon plusieurs personne le moment lorsque l'outre mer a décider d'envahir Kalamai. l'empereur est passer sans nous regarder a juste détruit la ville. Nous les prisonnier avons juste été voir le général qui nous a libérer. Mon peuple croit que l'empereur a sauver nos vie, ce qui n'est pas réellement vrai a ce que je pense.

Arden regarda l'elfe avec méfiance:

-Pourquoi cette question? serais ce un piège pour me faire mettre au cachot? Bien que l'empereur ne nous ait pas sauver la vie, je pense que si il n'aurait pas été la, nous serions encore prisonnier.

Arden se détendit.

-Et maintenant quand allons nous attaquer cette ville, car mes hommes s'ennuient? Et en même temps, j'apprécie beaucoup votre compagnie, ca fait du bien de pouvoir parler a quelqu'un.

Arden le questionna:

-Mais dites moi, ne me dite pas qu'on est les seuls seigneur ou bien général ici! Sommes nous plus ou bien on va détruire cette ville a nous trois? vous l'empereur et moi!

-Et au fait, pourquoi attaquons nous cette ville? Et qu'allons nous faire après avoir entré dans ces lieux?

-Dites vous qu'il y a encore des seigneur dans cette ville ou bien quoi? Car je trouve que faire des blesser ou des mort pour une guerre n'est pas le meilleur moyen. A oui, pendant que j'y pense, que font les autre seigneur pendant que l'on attaque? est ce que l'empereur est la?

Arden regarda Waltta quelque seconde avant de dire

-Désoler de vous poser autant de question, car c'est une des rares fois que je sort de ma forêts pour aller en milieu peuplé de d'autre races.

Arden prit un peu de nourriture avant de rajouter

-Et vous qu'avez vous a gagner de cette guerre?

Alors pourquoi ne pas leurs envoyer un message comme de quoi que s'ils de rendent, nous les laisseront en paix?

Et en même temps, on m'a parler que ce royaume appartenait a un certain Fardall, le connaissez vous. Et pourquoi n'est il pas ici pour protéger son peuple?

Arden fini son repas, Il sourit en disant:

-eh bien voila un plat que je ne connaissait guère. Mes respects au chef.

Arden regarda le général avec contentement.

-Eh bien merci cher ami, si cela ne vous pose aucun problème, je vais m'entrainer avec mes homme. Il est bon d'avoir de bonne relation.

Arden sortit et dit:

-Si le cœur vous en dit, venez faire un tour.

Arden sortit de la tente

Le Général Gamuval se tenait sur les remparts lorsque la première pierre avait frappée la haute muraille. Une des tours, déjà fragilisée par une faiblesse naturelle du terrain à cet endroit avec montré des signes de faiblesse, mais tenait bon. Cela ne l’inquiétait pas trop, le mur qui était actuellement bombardé n’était que la première défense, deux murs de pierres entouraient la Ville Basse, plus les remparts de la Ville Haute et ceux de la Ville Royale, en cas d’extrême urgence, il y avait toujours des murailles pour les protéger.

- Il faudra qu’ils nous balancent toutes les pierres de la Chaîne du Nord, avant que ces murs tombent, songea le gradé. Les nains de Vénopole ont fait de leur ouvrages une vrai chaîne de montagne naturelle, autant bombarder le Mont Capfalaise lui-même.

C’était plutôt la force terrestre de l’ennemi qui changeait la donne que sa puissance de feu illusoire. Rafaël ne craignait pas que la cité fut envahie, même si les dieux du mal eux-même sortaient des Abysses pour réduire la ville en cendre, le peuple, nombreux pourrait toujours mener une guérilla perpétuelle dans les montagnes et les forêts du Nord, où les troupes impériales se feraient mettre en pièce. Mais valait mieux ne pas penser à cette éventualité. Pour l’instant, le Premier Mur tenait, les faubourgs entre les Trois Murailles avaient été évacués par peur qu’il soient pilonnés. Les troupes patrouillaient toujours, et les Portes ne bougeait pas d’un centimètre.

La nuit dernière, les montagnards étaient entrés renforcir les garnison par le Nord. Les Dragons de Bronze en avaient profités pour aller incendier trois trébuchets avec du feu magique édhessois dont on avait une maigre provision dans l’arsenal.

Pourtant, la cité était calme. Apparemment, Nathaniel avait ordonné de cesser le feu un moment, avant de pilonner de nouveau la muraille extérieure.

* * *

Dans la Grande Cour du Château, Rafaël se tenait avec sa mère et sa sœur. Il tentait de leur faire comprendre que tout se passerait bien et qu’elles n’avaient pas à s’inquiéter pour son père. Alors, qu’il les regardaient partir vers la Ville Basse à cheval pour soigner quelques blessés, qui n’avaient pas eu de chance et avaient reçus quelques éclats de projectiles, un pigeon arriva et se posa sur son doigt fin. De l’autre main, il caressa la tête de l’oiseau et lui chuchota, nous aurions bien besoin d’aide pour chasser ces intrus qui jalouse le peuple de Scitopole. Alors, qu’il allait le laisser partir, il vit un parchemin à la patte du messager et le prit, tout juste avant que la petite chose ne reprenne son envol. Sur la lettre aux armoiries d’Albaratrixiane, accolées à celle de Zirconie était inscrit :

Cher Rafaël,

J’ai reçu votre requête, moi et mes hommes répondront à votre appel par loyauté envers la maison royale de Zirconie et envers notre devoir de protection au peuple de Scitopole, mon armée passera dans le sud et arrivera dans les collines d’Anuras d’ici quelques jours.

Gadrubal, fils de Mandragal,
Seigneur d’Albaratrixiane,
Mager de la Première Charge,

~ Simoless gselba firam ger ca bever zema deos ~
(La vie et la mort sont deux manières de servir les dieux, Proverbe célestial )

Dernière édition par Fardall le Ven 7 Mar 2008 - 23:21, édité 1 fois

après s'être entrainé avec ses hommes et but quelque cervoise, Arden eu une idée, il remercia ses hommes et partit voir Waltta. Il entra dans sa tente et dit:

-messire, je vient d'avoir une idée. Puisque nous devons détruire les mur, pourquoi ne pas plutôt entré dans la ville en volant? Chaqu'un de mes hommes ont un hippogriffe, ce serai l'idéal et en même temps, nous serions supérieur en nombre, et comme les murailles ne serait pas détruit, nous pourrions attendre dans la ville pour nous protéger. Et peut-être que le peuple se rendrait plus facilement.

Arden regarda l'elfe avec satisfaction.

Alors que Waltta se reposait tranquillement dans sa tente, Arden entra subitement, lui énonçant le projet qu'il venait d'avoir.

Et bien, je ne peux que vous dire de suivre votre instinct. Je dois d'abord attendre les ordres avant de bouger. Je vous souhaite la meilleure des chances et puisses votre Dieu vous protéger.

Suite à ces mots, le général quitta sa tente pour faire une ronde parmi ses troupes afin de prendre le pouls de la situation.

Le bruit du souffle du dragon étonna Arden. Des cris venaient de partout. Arden sorti de la tente avant de voir la cavalerie ennemie charger. Il fut pris au dépourvu par cette attaque surprise.

- La première et la troisième troupe avec moi, pendant que les autres préparent les griffons, dit-il en prenant son arc.

Arden mit son armée à l'endroit où se trouvait une petite barricade qu'il avait édifiée, assez loin pour ne pas se faire attaquer, mais cependant assez proche pour pouvoir tirer. Il dit à ses hommes :

- Restez là et tirez sur les hommes, ne tuez pas les chevaux, car n'oubliez pas que ce sont les esclaves des hommes.

La deuxième troupe arriva et vint se placer un peu plus loin.

- Que chargent les archers griffons, je vais aller les aider. Je ne veux pas de morts, seulement des prisonniers ou des blessés. N'oubliez pas que nous ne sommes pas des tueurs. Et essayez de faire prisonniers leurs chefs, peut-être allons-nous pouvoir négocier la paix, au lieu de devoir tout détruire.

Dernière édition par farlen farden le Mer 19 Mar 2008 - 3:08, édité 1 fois

L'assault de Zircondal fut terminé à la tombée de la nuit. Arden fut heureux de savoir qu'aucun de ses hommes n'étaient morts. Car, les armées de Nataniel immobilisaient le front, donc les rodeurs tirairent leurs flèches sur les assaillants.

Lorsque l'ennemi fut en retraite, Arden ordonna à ses hommes d'aller se reposer, Arden avait eu une idée, mais seul il n'y arriverait pas. Il essaya de trouver Waltta pour lui exposer son plan. En même temps, un soldat courrait vers lui.

-Chef, nos renforts sont arrivés ici, que dois-je leur dire.

Arden y pensa deux fois.
-Qu'ils plantent leurs tentes près des nôtres, et qu'ils se reposent. Après tout, il l'ont mérité.

Arden trouva enfin Waltta qui faisait sa ronde pour avoir des renseignements de cette guerre.

Arden ne le trouva pas. Il fallait faire vite car la nuit était sa meilleure chance. Il alla voir un de ses prêtres et lui demanda d'aller le téléporter près d'un garde de la ville, où il pourrait après ça parler diplomacie au lieu de guerre.

Après quelque discution avec celui-ci, il accepta. mais le sort ne durerait que quelques heures. Le magicien incanta et Arden disparut.

Il apparu nez à nez avec une troupe de garde, ce qui le surpris. Arden n'avait pas amené d'armes avec lui, il parla vite au soldat car ils prirent les armes.

-Messieux, je viens parler a votre chef, Je m'appelle Arden Farden, des rodeurs des forets, je viens savoir, s'il n'y aurait pas un moyen de ne plus faire la guerre et, donc de sauver des vies?

Rendu dans la grande salle, Arden vit auprès de lui les trois commandants de la ville. Il fit une courte révérence avant qu'on lui annonce :

- Vous avez devant vous Rafael Barka, fils de Fardall, que désirez-vous ? Les négociations ont avorté par refus du Tyran Sans Nom. Nous ne voulons pas de guerre, mais parfois elles sont inévitables.

Arden regarda messire Rafael et lui dit :

Je viens parler pour la paix, car de l'autre bord de ces murs, il n'y a qu'un homme qui vous attaque. Je pense que vous le connaissez, il s'appelle messire Nataniel. Moi et mes hommes n'avons rien contre vous, ainsi que général Waltta. Nous ne faisons qu'obéir aux ordres. Moi dans cette guerre, je ne viens que remercier l'empereur à ma façon, car il a libéré mon peuple de l'esclavage. Nous essayons de réduire les morts à zéro, mais si vous nous attaquez comme la cavalerie de ce matin, Je ne pourrai pas prendre le risque de laisser un de mes hommes mourir.

Arden se retourna vers la jeune fille.

-Et en plus, vous envoyez cette demoiselle au combat. Ca me surprend un peu. Bien que les femmes puissent se battre autant qu'un homme, cette attaque surprise menait au suicide.
Il regarda encore messire Rafael.

-Je ne connais rien a cette guerre, ni même à celui du fort Wolfen. La seule chose que je sais, est que cette guerre a assez durer. Trop de morts sur les champs de bataille, et il me chagrine de ne pas pouvoir les sauver. Je ne voudrais que deux choses. 1. Que l’on trouve un moyen d'arrêter cette guerre ! 2.Ne plus attaquer notre campement, car nous sommes plus nombreux que vous et je ne pourrais pas les laisser tuer mes hommes.

( HRP/ saurais-tu où est le traiter que l'empereur a refusé, pour que
cette guerre commence? /HRP)

Dernière édition par farlen farden le Mar 25 Mar 2008 - 23:55, édité 1 fois

Le général Waltta fût mit au courant de la requête d'Arden aussitôt qu'il eut fini sa ronde. Il savait que la Zirconie voulait la paix et non la guerre car la destruction de leur cité et de leur peuple de les égayai guère. C'est plutôt Nathaniel qui prône la force plutôt que la diplomatie tel que l'Empereur l'a demandé.

Alors qu'il entrait dans sa tente, un messager y entra précipitament.
Général, nous venons de recevoir deux messages de notre Palatin. Le premier informe que les troupes de griffons situées dans les collines de Scitopole rejoindront sous peu nos effectifs pour renforcir notre armée. Le deuxième est encore plus intéressant car il indique qu'Oengus d'Héraldie est en route lui aussi avec des renforts venu d'Amphise. La composition de ses rangs serait strictement volant : dragons féériques, archons, élémentaux d'air et de légendaires criosphinx. L'arrivé des forces amphisoises serait imminente.

Et bien voilà d'excellente nouvelle s'exclama Waltta. Le seigneur d'Héraldie pourra nous indiquer la marche à suivre. Il ne faut pas que j'oublie de lui faire part que Nathaniel veut le voir.

Le général prit place à sa table, d'un air de satisfaction car enfin les choses allait bouger. Le manque d'activité des troupes pouvait nuire au moral. Il espérait maintenant qu'Arden s'en tirait bien dans la ville.