Luciole paraissait bizarre, elle venait également de me poser une question tout aussi bizarre. Moi qui pensais être quelqu’un qui savait rapidement lire dans les personnes comme dans un livre, la Conseillère me déstabilisait. Et ce sentiment m’était aussi étrange qu’inconfortable.
Non je devais garder la tête froide, ce n’était pas le moment pour tout ça il y avait l’Ombre qui était en perte de vitesse, l’Outre Mer qui nous posait de graves problèmes et bien d’autres tracasseries. Non je n’avais pas le droit de me laisser aller en des temps pareils. Mais en même temps quand avais-je pu me laisser aller ? J’étais rapidement entré en formation, par la suite j’avais du faire mes preuves puis j’étais rentré dans l’Ombre. Quelque temps après j’y fus nommer Conseiller puis Spadassin. Au milieu de ça l’Empire m’avait appelé pour remplir la tâche de Magistrat, que j’essayais de remplir de mon mieux et humblement. Mais à vrai dire je ne me rappelais quand j’avais eu du temps pour moi à proprement parlé. Mais je ne me plaignais pas car j’adorais ce que je faisais pour l’Ombre et Kalamaï, je ne voyais pas ma vie sans cela.
Mais je désirais également répondre positivement à Luciole car c’est une personne qui comptait pour moi, elle était plus qu’une consœur. Malheureusement je ne pouvais préciser vraiment mes sentiments qui étaient pour les moins ambigus.
Je décidai donc de ne pas vraiment répondre mais la manière dont elle m'avait appelé me fit sourire.
Je suis très flatté que tu m'appelle Sire mais ce titre ne m'appartient pas bien que j'en ai plusieurs, il y a sa Seigneurie, Spadassin, Patriarche,... Mais cela est reservé au protocole et à mes ennemis pour qu'ils puissent voir quel adversaire ils ont en face d'eux et tremble.
Pour toi, et j'espère que tu le comprendre, mon nom est amplement suffisant pour m'interpeller. Enfin si tu le veux bien et ce n'est pas la peine de me dire vous, surtout pas quand nous ne sommes que tout les deux.
Et pour ce que tu vien de me dire, enfin si tu accepte que je te dise également tu, je n’ai jamais fait de discrimination envers quiconque et je suis même le concepteur de la Charte des Droits et Libertés de Kalamaï.
Je laissai Luciole faire, je ne me débattais pas. Elle n’était pas désagréable mais je n’étais pas des plus doué pour ce genre de relation, du moins pas pour l’instant mon esprit était confus et débordé.
Non je devais garder la tête froide, ce n’était pas le moment pour tout ça il y avait l’Ombre qui était en perte de vitesse, l’Outre Mer qui nous posait de graves problèmes et bien d’autres tracasseries. Non je n’avais pas le droit de me laisser aller en des temps pareils. Mais en même temps quand avais-je pu me laisser aller ? J’étais rapidement entré en formation, par la suite j’avais du faire mes preuves puis j’étais rentré dans l’Ombre. Quelque temps après j’y fus nommer Conseiller puis Spadassin. Au milieu de ça l’Empire m’avait appelé pour remplir la tâche de Magistrat, que j’essayais de remplir de mon mieux et humblement. Mais à vrai dire je ne me rappelais quand j’avais eu du temps pour moi à proprement parlé. Mais je ne me plaignais pas car j’adorais ce que je faisais pour l’Ombre et Kalamaï, je ne voyais pas ma vie sans cela.
Mais je désirais également répondre positivement à Luciole car c’est une personne qui comptait pour moi, elle était plus qu’une consœur. Malheureusement je ne pouvais préciser vraiment mes sentiments qui étaient pour les moins ambigus.
Je décidai donc de ne pas vraiment répondre mais la manière dont elle m'avait appelé me fit sourire.
Je suis très flatté que tu m'appelle Sire mais ce titre ne m'appartient pas bien que j'en ai plusieurs, il y a sa Seigneurie, Spadassin, Patriarche,... Mais cela est reservé au protocole et à mes ennemis pour qu'ils puissent voir quel adversaire ils ont en face d'eux et tremble.
Pour toi, et j'espère que tu le comprendre, mon nom est amplement suffisant pour m'interpeller. Enfin si tu le veux bien et ce n'est pas la peine de me dire vous, surtout pas quand nous ne sommes que tout les deux.
Et pour ce que tu vien de me dire, enfin si tu accepte que je te dise également tu, je n’ai jamais fait de discrimination envers quiconque et je suis même le concepteur de la Charte des Droits et Libertés de Kalamaï.
Je laissai Luciole faire, je ne me débattais pas. Elle n’était pas désagréable mais je n’étais pas des plus doué pour ce genre de relation, du moins pas pour l’instant mon esprit était confus et débordé.