Il n’y avait plus de danger. Je n’avais pas eu le temps de prendre les fourreaux des armes je les fis donc glisser sous ma ceinture afin d’avoir les mains libres.
Je m’adressai aux agents de l’Ombre et au tavernier.
Ranger moi tout ça je vous pris, que la taverne retrouve dans les plus bref délais son aspect originel.
Soigner les blessés, enterrer les morts et ce cadavres puant allez le jeter dans le quartier Mal Famé.
Aussitôt les hommes s’exécutèrent.
Le seigneur qui était en face de moi n’était pas un ennemi mais il me cherchait. A ce que j’avais vu il devait avoir la qualification d’assassin. J’en déduisais que ce qui l’amenait ici était la Corporation de l’Ombre.
Par contre la politesse et le respect ne semblait pas forcement lui être familier.
Ce n’est pas la peine de m’appeler Monseigneur je ne m’attache pas au titre ni au protocole.
Par contre, le titre de Spadassin n’est pas une connerie il s’agit du plus haut titre de l’Ombre tout comme le Commandant est au Combattant ou le Grand Prêtre à l’Église. Le Spadassin a été désigné par son prédécesseur et a recueilli l’approbation de ses pairs. Il ne s’agit pas d’un petit groupe de bandits mais bien d’une organisation puissante et organisée.
Je repris mon calme car après tout le vampire en face de moi avait l’air jeune et il ne pouvait pas savoir tout les tenants et aboutissant de l’Ombre mais il semblait tout de même curieux. C’était une qualité qui pouvait être fort appréciable dans une certaine mesure.
Si vous voulez bien me suivre vers ce coté de la taverne nous serons plus à l’aise pour discuter.
Je désignai un coin de la taverne qui avait été épargné par les dégâts.
Je m’installai à la table.
Avant de me dire que vous vous amusiez, ce qui soit dit en passant à quant même couté la vie à plusieurs hommes, vous cherchiez le Spadassin de l’Ombre.
Puis je vous demander ce que vous lui voulez.
J’étais curieux de connaitre la réponse du vampire car il semblait s’être renseigné pour déjà connaitre le titre du responsable ainsi que le nom exact de la Corporation. Je n’avais pas encore dévoilé ma véritable identité car je désirais avant voir ce que la personne assise en face de moi savait d’autre.
Je m’adressai aux agents de l’Ombre et au tavernier.
Ranger moi tout ça je vous pris, que la taverne retrouve dans les plus bref délais son aspect originel.
Soigner les blessés, enterrer les morts et ce cadavres puant allez le jeter dans le quartier Mal Famé.
Aussitôt les hommes s’exécutèrent.
Le seigneur qui était en face de moi n’était pas un ennemi mais il me cherchait. A ce que j’avais vu il devait avoir la qualification d’assassin. J’en déduisais que ce qui l’amenait ici était la Corporation de l’Ombre.
Par contre la politesse et le respect ne semblait pas forcement lui être familier.
Ce n’est pas la peine de m’appeler Monseigneur je ne m’attache pas au titre ni au protocole.
Par contre, le titre de Spadassin n’est pas une connerie il s’agit du plus haut titre de l’Ombre tout comme le Commandant est au Combattant ou le Grand Prêtre à l’Église. Le Spadassin a été désigné par son prédécesseur et a recueilli l’approbation de ses pairs. Il ne s’agit pas d’un petit groupe de bandits mais bien d’une organisation puissante et organisée.
Je repris mon calme car après tout le vampire en face de moi avait l’air jeune et il ne pouvait pas savoir tout les tenants et aboutissant de l’Ombre mais il semblait tout de même curieux. C’était une qualité qui pouvait être fort appréciable dans une certaine mesure.
Si vous voulez bien me suivre vers ce coté de la taverne nous serons plus à l’aise pour discuter.
Je désignai un coin de la taverne qui avait été épargné par les dégâts.
Je m’installai à la table.
Avant de me dire que vous vous amusiez, ce qui soit dit en passant à quant même couté la vie à plusieurs hommes, vous cherchiez le Spadassin de l’Ombre.
Puis je vous demander ce que vous lui voulez.
J’étais curieux de connaitre la réponse du vampire car il semblait s’être renseigné pour déjà connaitre le titre du responsable ainsi que le nom exact de la Corporation. Je n’avais pas encore dévoilé ma véritable identité car je désirais avant voir ce que la personne assise en face de moi savait d’autre.