J’écoutai l’infernal, il avait un discours sans ambigüité possible et il ne prenait pas de détour dans ce qu’il voulait. Le chaos et la volonté de régner était là. C’était d’ailleurs souvent le cas chez les gens de cette race, bien que je ne veuille pas faire de généralité étant donné qu’Adola était lui-même un elfe noir mais à l’opposé de ce qui pouvait être décrié sur les personnes de sa race. Il y avait également la volonté d’apprendre, peut être pour gagner en puissance ?
Et bien au moins ça à le mérité d’être clair.
Mais je crains de devoir vous dire que vos objectifs et ceux de la Corporation de l’Ombre ne sont pas les même. Vous me dites vivre pour le chaos et les tueries.
Nous nous sommes regroupés au sein de l’Ombre afin d’unir nos forces et expérience dans le but de nous entre-aider. Mais également pour veiller à une certaine justice pour le peuple de Kalamaï et non pour le plaisir de faire couler le sang comme vous semblez le vouloir.
D’ailleurs je ne pense pas que vous sachiez que nous aillons des liens plus ou moins étroit avec les officiels de Kalamaï qui œuvre dans le même sens que nous, bien que je doive bien l’avouer la façon de faire ne soit pas la même.
Je marquai un temps d’arrêt et vu la stupéfaction sur le visage de l’infernal. Il ne devait pas s’attendre à ce type de réponse qui pouvait être pour le moins surprenant. Mais depuis fort longtemps les dirigeants de l’Ombre avaient mis les services de cette corporation à des intérêts plus grands que l’or ou le pouvoir.
Maintenant si vous désirez vous mettre au service de l’Ombre il faudra respecter cette principale règle qui est que tout ce que vous faites pour l’Ombre déteint sur cette dernière et que par conséquent pour agir il vous faudra au départ l’aval des responsables et donc le respect de la hiérarchie.
La seconde grande règle est comme je vous disais l’entre-aide et le respect des confrères et consœurs et que par conséquent il est formellement interdit de les attaquer.
Maintenant je suis tout ouï pour répondre à vos éventuelles questions ou interrogations. Sachez par contre que tout ce que vous voyez ou entendez ici ne doit pas transpirer à l’extérieur de ses murs. Dans le cas contraire nous saurons vous retrouvez, croyez moi bien, et vous faire regretter des paroles de trop.
Et bien au moins ça à le mérité d’être clair.
Mais je crains de devoir vous dire que vos objectifs et ceux de la Corporation de l’Ombre ne sont pas les même. Vous me dites vivre pour le chaos et les tueries.
Nous nous sommes regroupés au sein de l’Ombre afin d’unir nos forces et expérience dans le but de nous entre-aider. Mais également pour veiller à une certaine justice pour le peuple de Kalamaï et non pour le plaisir de faire couler le sang comme vous semblez le vouloir.
D’ailleurs je ne pense pas que vous sachiez que nous aillons des liens plus ou moins étroit avec les officiels de Kalamaï qui œuvre dans le même sens que nous, bien que je doive bien l’avouer la façon de faire ne soit pas la même.
Je marquai un temps d’arrêt et vu la stupéfaction sur le visage de l’infernal. Il ne devait pas s’attendre à ce type de réponse qui pouvait être pour le moins surprenant. Mais depuis fort longtemps les dirigeants de l’Ombre avaient mis les services de cette corporation à des intérêts plus grands que l’or ou le pouvoir.
Maintenant si vous désirez vous mettre au service de l’Ombre il faudra respecter cette principale règle qui est que tout ce que vous faites pour l’Ombre déteint sur cette dernière et que par conséquent pour agir il vous faudra au départ l’aval des responsables et donc le respect de la hiérarchie.
La seconde grande règle est comme je vous disais l’entre-aide et le respect des confrères et consœurs et que par conséquent il est formellement interdit de les attaquer.
Maintenant je suis tout ouï pour répondre à vos éventuelles questions ou interrogations. Sachez par contre que tout ce que vous voyez ou entendez ici ne doit pas transpirer à l’extérieur de ses murs. Dans le cas contraire nous saurons vous retrouvez, croyez moi bien, et vous faire regretter des paroles de trop.