Éolia ouvrit les paupières, son regard semblait perdu, balayant de sa vu trouble tous les gens qui se trouvait tout autour, Laylah lui souriait et remercia en elle son Dieu des ténèbres qui lui avait permis de la ramener à la vie parmi les siens, la sortant de se sommeil mélancolique qu’elle se trouvait.
Le sang pur de la famille s’était fortifié en elle avec celui de Éliastofar, se sang qu’elle avait administré à sa cousine et qui courait maintenant dans ses veines et guérissant ses brûlures sur ses avant bras et lui redonnant un teint magnifique et une beauté éclatante digne d’une noble Vampire, de cette fière race qui est des grands seigneurs dans ce monde et du reste de toute l’univers. La petite embrassa Lailah sur les lèvres, un baisé emprunte de reconnaissance et de tendresse familiale.
Une vampire que la comtesse avait remarqué dès son arrivée sur sa monture et paressant faible, s’était remise rapidement et offrait déjà son destrier à Éolia pour la ménager, elle lui faisait un discours de remontrance et délirant sur le rang ou la classe de leur race vampirique. Le comte soupira en levant les épaules et regardant vers le haut et hochant de la tête. Il ne voulu argumenter sur ce discours et décida de retourner vers l’arrière de convoi pour rejoindre ses créature et hommes cha0rgés de la sécurité des civils. Il embrassa. Le front de la comtesse et parti.
Tous devait suivre car l’ordre d’avancer était prononcé, ils arrivèrent à un point d’eau fraîche dans la grande sale, les humains et autres créatures s’y désaltérèrent mais pour les Vampiriques et les démoniaque seul une potion rougeâtre serait efficace à défaut de boire un véritable sang humain ou animal.
Lailah détecta une odeur particulière d’un homme blessé et l’odeur lui chatouillait agréablement ses délicates narines, elle s’approcha du blessé qui se cachait derrière des bandelettes et une capuche remonté sur sa tête. Elle espérait l’apprivoiser pour découvrir qui il était, de sa petite main délicate, elle caressa le visage mal recouvert de l’humain. C’était Ardent qui devait avoir honte de cette image si faible qu’il projetait maintenant et qui ne voulait être pris sous de la pitié.
Adola les interrompit en offrant une potion à Ardant et lui expliquant ses effets soignant et les dangers en cas d’Abu de posologie trop grandement avalé. Lailah fit une petite grimace d’enfant au spadassin et proposa autre chose au souffrant.
-T’en qu’à défier la mort d’aussi prêt Sir, aussi bien de vous confier à moi, je saurai vous faire une saigné des plus agréable et le monde vous semblera différant et vos douleurs disparaîtront à jamais.
Elle était angélique et l’envoutait de sa beauté. Une simple réponse de lui et elle s’exécuterais avec douceur et dévotion et savourerait le goût de son sang avec délectation. La Dame vampirique revenait déranger un peut l’ambiance et la comtesse lui fit un regard aiguisé et revient charmeuse sur Ardent pour le convaincre que sa solution serait des plus agréable pour lui.
-Alors mon beau Sir?
Le sang pur de la famille s’était fortifié en elle avec celui de Éliastofar, se sang qu’elle avait administré à sa cousine et qui courait maintenant dans ses veines et guérissant ses brûlures sur ses avant bras et lui redonnant un teint magnifique et une beauté éclatante digne d’une noble Vampire, de cette fière race qui est des grands seigneurs dans ce monde et du reste de toute l’univers. La petite embrassa Lailah sur les lèvres, un baisé emprunte de reconnaissance et de tendresse familiale.
Une vampire que la comtesse avait remarqué dès son arrivée sur sa monture et paressant faible, s’était remise rapidement et offrait déjà son destrier à Éolia pour la ménager, elle lui faisait un discours de remontrance et délirant sur le rang ou la classe de leur race vampirique. Le comte soupira en levant les épaules et regardant vers le haut et hochant de la tête. Il ne voulu argumenter sur ce discours et décida de retourner vers l’arrière de convoi pour rejoindre ses créature et hommes cha0rgés de la sécurité des civils. Il embrassa. Le front de la comtesse et parti.
Tous devait suivre car l’ordre d’avancer était prononcé, ils arrivèrent à un point d’eau fraîche dans la grande sale, les humains et autres créatures s’y désaltérèrent mais pour les Vampiriques et les démoniaque seul une potion rougeâtre serait efficace à défaut de boire un véritable sang humain ou animal.
Lailah détecta une odeur particulière d’un homme blessé et l’odeur lui chatouillait agréablement ses délicates narines, elle s’approcha du blessé qui se cachait derrière des bandelettes et une capuche remonté sur sa tête. Elle espérait l’apprivoiser pour découvrir qui il était, de sa petite main délicate, elle caressa le visage mal recouvert de l’humain. C’était Ardent qui devait avoir honte de cette image si faible qu’il projetait maintenant et qui ne voulait être pris sous de la pitié.
Adola les interrompit en offrant une potion à Ardant et lui expliquant ses effets soignant et les dangers en cas d’Abu de posologie trop grandement avalé. Lailah fit une petite grimace d’enfant au spadassin et proposa autre chose au souffrant.
-T’en qu’à défier la mort d’aussi prêt Sir, aussi bien de vous confier à moi, je saurai vous faire une saigné des plus agréable et le monde vous semblera différant et vos douleurs disparaîtront à jamais.
Elle était angélique et l’envoutait de sa beauté. Une simple réponse de lui et elle s’exécuterais avec douceur et dévotion et savourerait le goût de son sang avec délectation. La Dame vampirique revenait déranger un peut l’ambiance et la comtesse lui fit un regard aiguisé et revient charmeuse sur Ardent pour le convaincre que sa solution serait des plus agréable pour lui.
-Alors mon beau Sir?