Toute sa vie. Toute sa vie il regretterait d’avoir incité le convoi à s’engager dans ces plantes. Les éclaireurs étaient réduits en chaire à pâté et les membres de l’expédition étaient maintenant entourés. Perdus dans la jungle de plantes, ils ne pouvaient voir leur ennemi avant qu’il ne fut sur eux. Certains avaient déjà été mangés, d’autres se défendaient comme ils le pouvaient.
Faraël jeta un regard d’espoir au bout de la caverne ou se distinguait l’entrée d’un tunnel plus large que la précédente galerie, la sortie ?
Le commandant ordonna de se mettre en groupe de 8, ce qu’il fit et se plaça avec des soldats de la compagnie ardente. Avec horreur il constata la manœuvre des créatures courbées.
- Nous sommes encerclés !
Il cria ces mots et eu à peine le temps d’esquiver un de ces monstres qui lui sautait dessus, sa gueule dévoilant une dentition inimaginable, qu’un savant aurait pu comparer avec celle d’un requin des eaux chaudes d’Outre-Mer. Il roula sur le côté, et trancha la tête de la créature. Il se redressa et fit face à la vague de petit monstres démoniaques, des pygmées, cachés dans les feuillages sautant sur eux au moment les moins inattendus, il en frappa un à la tête, lui cassant le coup et transperça un autre de son épée. Beaucoup avaient été abattus, mais il ne pouvait évaluer leur nombre dans les feuillages épais. Une des bêtes lui sauta au visage et mordit, il se débattit et sentit du sang lui couler sur les joues. Il donna un coup désespéré pour le chasser alors que la lance d’un autre s’enfonçait dans sa jambe. Il avait maintenant de la difficulté à distinguer le propre sang qui coulait dans ses yeux de celui des feuilles rouges autour d’eux. Il senti des petites jambes en masse passer sur son corps pour attaquer le reste du groupe et hurla de douleur quand des dents pointus percèrent la chair de sa cuisse. Il allait passer à la curée s’il ne faisait rien …
- Élu ! Toi qui a sauvé Ardent …. Sauve-moi ….
Il s’adressait ainsi à Dartoil, inconsciemment, car son père lui avait parlé du jeune paladin qui avait aidé Ardent dans son pèlerinage et aider à sauver son âme … Maintenant il appelait ce célestial, qui semblait avoir été presque attendu par son père, mais déjà il perdit conscience, au milieu du carnage, des cris de douleurs de ses compagnons et des grincements aiguës des pygmées heureux du festin qui leur était offert.
Faraël jeta un regard d’espoir au bout de la caverne ou se distinguait l’entrée d’un tunnel plus large que la précédente galerie, la sortie ?
Le commandant ordonna de se mettre en groupe de 8, ce qu’il fit et se plaça avec des soldats de la compagnie ardente. Avec horreur il constata la manœuvre des créatures courbées.
- Nous sommes encerclés !
Il cria ces mots et eu à peine le temps d’esquiver un de ces monstres qui lui sautait dessus, sa gueule dévoilant une dentition inimaginable, qu’un savant aurait pu comparer avec celle d’un requin des eaux chaudes d’Outre-Mer. Il roula sur le côté, et trancha la tête de la créature. Il se redressa et fit face à la vague de petit monstres démoniaques, des pygmées, cachés dans les feuillages sautant sur eux au moment les moins inattendus, il en frappa un à la tête, lui cassant le coup et transperça un autre de son épée. Beaucoup avaient été abattus, mais il ne pouvait évaluer leur nombre dans les feuillages épais. Une des bêtes lui sauta au visage et mordit, il se débattit et sentit du sang lui couler sur les joues. Il donna un coup désespéré pour le chasser alors que la lance d’un autre s’enfonçait dans sa jambe. Il avait maintenant de la difficulté à distinguer le propre sang qui coulait dans ses yeux de celui des feuilles rouges autour d’eux. Il senti des petites jambes en masse passer sur son corps pour attaquer le reste du groupe et hurla de douleur quand des dents pointus percèrent la chair de sa cuisse. Il allait passer à la curée s’il ne faisait rien …
- Élu ! Toi qui a sauvé Ardent …. Sauve-moi ….
Il s’adressait ainsi à Dartoil, inconsciemment, car son père lui avait parlé du jeune paladin qui avait aidé Ardent dans son pèlerinage et aider à sauver son âme … Maintenant il appelait ce célestial, qui semblait avoir été presque attendu par son père, mais déjà il perdit conscience, au milieu du carnage, des cris de douleurs de ses compagnons et des grincements aiguës des pygmées heureux du festin qui leur était offert.